Utelle
Utelle | |||||
![]() Le village d'Utelle. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Alpes-Maritimes | ||||
Arrondissement | Nice | ||||
Canton | Tourrette-Levens | ||||
Intercommunalité | Métropole Nice Côte d'Azur | ||||
Maire Mandat |
Bernard Cortes 2014-2020 |
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Code postal | 06450 | ||||
Code commune | 06151 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Utellois | ||||
Population municipale |
853 hab. (2016 ![]() |
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Densité | 13 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 55′ 07″ nord, 7° 14′ 53″ est | ||||
Altitude | Min. 126 m Max. 2 080 m |
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Superficie | 67,97 km2 | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur Géolocalisation sur la carte : Alpes-Maritimes Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France | |||||
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Utelle est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. La commune est particulièrement connue pour ses pèlerinages à la madone d'Utelle et son église classée monument historique.
Ses habitants sont appelés les Utellois.
GéographieModifier
LocalisationModifier
Commune située à 17 km de Lantosque, 19 km de Plan-du-Var et 23 km de Levens.
Géologie et reliefModifier
La commune d'Utelle est située au confluent du Var et de la Tinée.
Mais le village est situé sur les hauteurs, dominant la vallée de la Tinée, comme celle de la Vésubie.
Hameaux de la commune :
- Le Blaquet,
- Le Chaudan,
- Le Cros d'Utelle,
- Le Figaret,
- Saint-Jean-la-Rivière (où se trouve la mairie).
SismicitéModifier
Commune située dans une zone de sismicité moyenne[1].
Hydrographie et les eaux souterrainesModifier
Près du pont de Saint-Jean-la-Rivière se trouve la prise d'eau[2] du canal de la Vésubie qui alimente les différents villages jusqu'à Nice.
La prise d’eau du canal de la Vésubie servant à alimenter en eau potable la campagne niçoise : cet aqueduc est réalisé à partir de 1881 par la Compagnie générale des eaux sur un projet de l’ingénieur E. Delacroix. L’ensemble des ouvrages de départ du canal dit de Saint-Jean-la-Rivière sont inscrits au titre des monuments historiques le [3].
Cours d'eau sur la commune ou à son aval :
- fleuve le var,
- rivière la Tinée,
- rivière la Vésubie,
- ruisseaux des carbonnières, de la cardinarde, de gorgétta, de campon, de saint-honorat,
- vallons des hirondelles, des fournés de bagnolar.
Le Beausset dispose de trois stations d'épuration :
- Utelle village, d'une capacité de 1000 équivalent-habitants[4],
- Saint Jean rive droite, d'une capacité de 400 équivalent-habitants[5],
- La Vilette, d'une capacité de 30 000 équivalent-habitants, d'une capacité de 250 équivalent-habitants[6].
ClimatModifier
Climat classé Csb dans la classification de Köppen et Geiger[7].
Voies de communications et transportsModifier
Voies routièresModifier
Commune accessible notamment par la nationale 202, puis à la sortie de Plan-du-Var, par la route de la Vésubie M2565.
Transports en communModifier
Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur
- Commune desservie par le réseau Lignes d'Azur[8].
Communes limitrophesModifier
IntercommunalitéModifier
Commune membre de la Métropole Nice Côte d'Azur.
UrbanismeModifier
La commune est régie par une carte communale[9].
ÉconomieModifier
Entreprises et commercesModifier
AgricultureModifier
TourismeModifier
- Utelle est traversé par le GR 5, sentier de randonnée reliant La Mer du Nord à La Mer Méditerranée[12].
- Gites de France[13],[14],[15].
CommercesModifier
HistoireModifier
Lieu de passage au XVe siècle de la route du sel depuis Hyères vers Borgo San Dalmazzo[18]. L’histoire d’Utelle a toujours été liée à celle de Nice et de son Comté. Nous retracerons donc brièvement l’histoire du comté, et nous efforcerons de voir les aspects propres à Utelle : Légende de la Reine Jeanne, Prise du Brec d’Utelle par Masséna, révolte des Barbets.
- Les Ligures : le site est déjà peuplé à l’âge de bronze par les « Vesubiani » qui occupent la vallée et tirent leur nom de la rivière. Ils construisent des castellaras, oppidums protégés par de gros blocs de pierre, pour eux-mêmes et leurs troupeaux.
- les Romains : après la domination romaine, Utelle devient un carrefour du commerce vers la Durance.
- le comté de Provence[19] - période d’insécurité et de guerre, Utelle affirme sa soumission au Comte de Provence devenu roi de Naples. La Reine Jeanne confirme le privilège de porter des couteaux de longueur non limitée, d’où le surnom des Utellois « les couteliers ». À 17 ans Jeanne commence un règne truffé d’extravagance et de rebondissements.
- le duché de Savoie - lors de la dédition (rattachement) de Nice à la Savoie en 1388, Utelle rend hommage aux comtes de Savoie.
- La Révolution[20] - Au cours de la guerre entre les Français et les austro-Piémontais, les Français occupent le Comté de Nice. Plusieurs batailles ont lieu dans l’arrière-pays, à Utelle on note l’exploit de Masséna qui réussit à faire installer des canons sur le Brec d’Utelle pour bombarder Utelle et la Madone. Les Barbets, mi-résistants mi-bandits, mènent la vie dure aux soldats français. Les habitants souhaitent une réunion du Comté à la France. Utelle : 694 oui, 0 non.
- la période contemporaine - depuis 1860, Utelle suit l’histoire de la France avec le développement du département. La route de la Vésubie par Levens et Duranus en 1864. Le percement de la basse vallée ne se fait qu’autour de 1900 avec l’idée d’un chemin de fer TNL (Tramway de Nice et du Littoral). La jonction Plan du Var – Saint-Jean-la Rivière est achevée en 1893. La première voiture (camionnette avec jantes en fer et pneus pleins) atteint Utelle en 1912. Concurrencé par l’automobile, le tramway s’arrête en 1928. Cette période est surtout marquée par l’exode rural : 2400 habitants en 1860, 500 en 1960.
HéraldiqueModifier
Blason | D’argent aux deux pals d’azur, à l’ours en pied de sable brochant sur le tout[21]. | |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administrationModifier
Budget et fiscalité 2017Modifier
En 2017, le budget de la commune était constitué ainsi[24] :
- total des produits de fonctionnement : 756 000 €, soit 926 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 643 000 €, soit 788 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 10 000 €, soit 13 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 69 000 €, soit 84 € par habitant ;
- endettement : 374 000 €, soit 458 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 10,91 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 11,51 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 58,160 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2015 : médiane en 2015 du revenu disponible, par unité de consommation : 20 305 €[25].
Population et sociétéModifier
DémographieModifier
Évolution démographiqueModifier
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[27].
En 2016, la commune comptait 853 habitants[Note 1], en augmentation de 14,8 % par rapport à 2011 (Alpes-Maritimes : +0,23 %, France hors Mayotte : +2,44 %).
EnseignementModifier
Établissements d'enseignements[30] :
- Écoles maternelle et primaire[31],
- Collèges à Roquebillière, Saint-Martin-du-Var,
- Lycées à Valdeblore, Drap.
SantéModifier
Professionnels et établissements de santé[32] :
- Médecins à Levens, Lantosque,
- Pharmacies à Levens, Lantosque,
- Hôpitaux à Roquebillière, Villars-sur-Var.
CultesModifier
- Culte catholique, Paroisse Saint Benoît les Oliviers[33], Sanctuaire N.D. des Miracle[34], Diocèse de Nice.
Lieux et monumentsModifier
Patrimoine religieuxModifier
- Sanctuaire de la Madone d'Utelle : lieu de pèlerinage, le sanctuaire[35], reconstruit en 1806, fut fondé en 850 par des marins espagnols qui remercièrent ainsi la Vierge de les avoir sauvés d'un naufrage en les guidant par une étoile. L'intérieur contient des ex-voto des pèlerins reconnaissants.
- L’église Saint-Véran[36], XIVe / XVIIe siècle, commencée dans le style roman et achevée en baroque, présente de nombreuses richesses intérieures, dont un retable en bois sculpté que Napoléon aurait bien voulu s’approprier. Un porche gothique précède un portail en bois sculpté[37].
- L'église Le Chaudan[38].
- L'église Sainte Trinité Le Cros d'Utelle[39].
- L'église Saint Honorat Le Figaret[40].
- L'église Notre Dame du Rosaire Le Reveston[41].
- La chapelle Sainte-Croix des Pénitents Blancs[42] ou chapelle des Pénitents blancs[43].
- L'ancienne chapelle des Pénitents Noirs[44], actuelle salle des fêtes.
- L'ancienne chapelle Saint-Sébastien[45].
- La chapelle Saint Antoine Villars[46].
- La chapelle Sainte Anne Le Blaquet[47].
- La chapelle Saint Jean Baptiste Saint Jean la Rivière[48].
- La chapelle Saint Pierre Saint Jean la Rivière[49].
- La chapelle Sainte Barbe La Villette[50].
Monuments commémoratifsModifier
Autres patrimoinesModifier
- L'ancien hôpital[54] Sainte-Christine d'Utelle[55]. La fondation de l'hôpital est prévue dans le testament du notaire ducal Jacques Cristini fait le 16 avril 1686. Le testament prévoit que « la confrérie du Gonfalon (celle des pénitents blancs sous le vocable de la Sainte-Croix) établisse un hôpital pour les pauvres de ce lieu et les autres … pour ce, le chapelain de la dite confrérie devra faire réparer sa maison ».
- Il lègue aussi 4 draps, une douzaine de serviettes, 6 essuie-mains, 6 nappes et un lit. Le reste des dépenses devait être assuré par la confrérie. Le fils du premier donateur, J.-B. Christini, et ses neveux, J.-B. et Jean-Ludovic Ghinaudi instituèrent un jus-patronat sur la chapelle Sainte-Christine et rédigèrent dans leur testament 20 avril 1740 dans lequel ils prévoient la création d'un hôpital dont la réalisation est confiée à Jean-Ludovic, prêtre et ancien prieur de Malaussène.
- À sa mort, en 1765, un inventaire de tous ses biens a été dressé et on vendit ceux n'ayant pas d'utilité pour l'hôpital. Avec l'argent ont été achetés meubles et ustensiles nécessaires. L'hôpital devait fonctionner un an après la mort du prêtre et recevoir ses premiers malades. L'hôpital a été administré comme toutes les fondations pieuses du Comté. Il suit les règles canoniques voulues par le fondateur et sous le patronage de l'évêque. Le testament de Jean-Luc Ghinaudi, rédigé le 9 octobre 1765, prévoit que la direction de l'hôpital devait être collégiale : le curé de la paroisse, le prieur de la Confrérie du Gonfalon et le syndic de la ville Il est géré par le recteur-économe, Michel-Ange Massilia, à sa fondation. Le règlement de l'hôpital n'a été rédigé qu'en 1840.
- Le roi de Piémont-Sardaigne mit en place une réforme du système d'assistance dans l'édit du 24 décembre 1836, pour assurer la gestion et placer son contrôle sous l'autorité du roi et de ses représentants. Malgré l'opposition du collège dirigeant l'hôpital, faisant remarquer que ces dispositions ne sont pas conformes aux testaments, elles furent appliquer par l'édit royal du 22 mars 1850. Cette organisation a perduré après le rattachement du Comté de Nice à la France. Un nouveau règlement entra en vigueur en 1900. Dès 1843, la commission administrative rappelait aux médecins qu'ils devaient aussi soigner à leur domicile les malades non accueillis à l'hôpital à cause du manque de lit ou atteints de maladies non admises. L'hôpital va aussi fournir de la nourriture aux plus pauvres. La Révolution va entraîner une baisse des revenus tirés des biens de l'hôpital, qui ne suffirent plus pour couvrir les dépenses.
- En 1798, les déficits de l'hôpital vont entraîner la liquidation des biens de l'hôpital. L'hôpital a eu des difficultés à recouvrer ses créances. La loi du 21 juillet 1927 « permettant la réduction des charges des fondations dans les établissements hospitaliers », va conduire à la fermeture de l'hôpital en mai 1928.
- De nombreuses maisons anciennes dans les différentes rues du village.
- Le pont de Saint-Jean-la-Rivière construit en 1908, étudié par le bureau d'études d'Armand Considère avec d'Henry Lossier, construit par l'entreprise Thorrand et Cie, pour la ligne de tramway des Alpes-Maritimes entre la station Levens-Vésubie et Saint-Martin-Vésubie.
- Ouvrage fortifié du secteur fortifié frontalier dit chiuse de Saint-Jean-la-Rivière[56].
- Ouvrage fortifié du secteur fortifié frontalier dit chiuse de Bauma [57].
Personnalités liées à la communeModifier
Madeleine Faraut (1899-1983) : Institutrice à Nice et communiste proche de Virgile Barel[58] et de Célestin Freinet, elle fut déplacée d'office en 1932 à Saint-Jean-la-Rivière. C'est le Front Populaire qui la ramena à Nice. Elle s'y distingua en s’occupant pendant deux ans de l'Union des Femmes contre la misère et la guerre. Elle fut révoquée en mars 1940 et envoyée en résidence surveillée à Berre-les-Alpes. Elle fut ensuite internée dans le Tarn mais libérée en 1942 en raison de son mariage, et c'est en 1943 qu'elle entra en contact avec les maquis FTP de la région.
À la Libération, elle entra comme représentante des « Femmes de France » dans l'équipe municipale (délégation spéciale) que dirigeait alors Virgile Barel. Membre du bureau fédéral du PC, elle fut élue conseillère municipale de Nice en 1947 et le resta jusqu'en 1965[59].
Notes et référencesModifier
NotesModifier
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.
RéférencesModifier
- Didacticiel de la règlementation parasismique
- « Prise d'eau du canal de la Vésubie », notice no PA06000022, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Prise d'eau de Saint-Jean-la-Rivière, ouvrage de tête du canal de la Vésubie », notice no PA06000022, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Description de la station UTELLE Village
- Description de la station UTELLE St Jean rive droite
- Station La Vilette
- Table climatique
- Réseau régional de transport
- La carte communale de la commune a été approuvée le 28 janvier 2014
- Ferme Le Merinos
- Élevage
- Le village
- Gites de France
- Gîtes
- Le moulin des Lucioles
- Commerces et services de proximité
- Annuaire des professionnels
- Philippe de Beauchamp, Le haut pays méconnu. Villages & hameaux isolés des Alpes-Maritimes, p. 31-35, Éditions Serre, Nice, 1989 (ISBN 2-86410-131-9)
- Ernest Hildesheimer, Utelle d'après les anciennes chartes, p. 7-34, Nice historique, Paris, 1952 [1]
- Georges Baumet, Aspect de la vie économique et sociale dans la commune d'Utelle 1792-1814, p. 91-114, Nice historique, Nice, 1970 [2]
- Nice Côte d'Azur 1 : Utelle, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
- [Une élection municipale partielle eut lieu en 2002 à la suite de l'annulation de l'élection de 2001, amenant à l'élection d'Alain Faraut.
- Site de la préfecture des Alpes-Maritimes, consulté le 20 juin 2008
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016.
- Établissements d'enseignements
- École maternelle et élémentaire
- Professionnels et établissements de santé
- Paroisse Saint Benoît les Oliviers
- Sanctuaire N.D. des Miracle
- Madone d'Utelle
- Église Saint Véran
- « Église Saint-Veran », notice no PA00080900, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Église Le Chaudan
- Église Sainte Trinité Le Cros d'Utelle
- L'église Saint Honorat Le Figaret
- Église Notre Dame du Rosaire Le Reveston
- Chapelle Sainte Croix
- « Chapelle des Pénitents Blancs », notice no PA00080899, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Chapelle des Pénitents Noirs
- Chapelle Saint Sébastien
- Chapelle Saint Antoine Villars
- Chapelle Sainte Anne Le Blaquet
- Chapelle Saint Jean Baptiste Saint Jean la Rivière
- Chapelle Saint Pierre Saint Jean la Rivière
- Chapelle Sainte Barbe La Villette
- Le Figaret d'Utelle. Conflits commémorés : 1914-1918 - 1939-1945
- Le Cros d'Utelle. Conflits commémorés : 1914-1918 - 1939-1945
- Plaque commémorative : Conflits commémorés : 1914-1918
- Hôpital Sainte Christine
- Janine Malausséna, Olivier Vernier, Un hôpital du comté de Nice au XIXe siècle : Sainte-Christine d’Utelle, p. 46-53, Nice historique, Nice, 1994 [3]
- « Ouvrage fortifié du secteur fortifié frontalier dit chiuse de Saint-Jean-la-Rivière », notice no IA06000073, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « ouvrage fortifié du secteur fortifié frontalier dit chiuse de Bauma Negra », notice no IA06000072, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Barel Virgile (Barel Joseph, dit)
- Demande "officielle" portant 15 propositions de noms de femmes pour la dénomination des rues de Nice
Voir aussiModifier
BibliographieModifier
- Pierre-Robert Garino, La vallée de la Vésubie. Guide du visiteur, p. 66-72, Serre éditeur, Nice, 1998 (ISBN 2-86410-287-0).
- Utelle : histoire
- Collectif, Le patrimoine des communes des Alpes-Maritimes en deux volumes, vol. I : Cantons d'Antibes à Levens, Paris, Flohic Éditions, coll. « Le Patrimoine des Communes de France », , 504 p. (ISBN 2-84234-071-X)Canton de Lantosque, Utelle, pp. 440 à 445
- Utelle, village
- Utelle : abris sous roches de la Villette; chapelle de la villette; four à plâtre; gravures de la Villette; mythe des têtes humaines; gravure du Figaret; moulins; moulins à sang; murs et linteaux; Sites militaires de Villette; vallée de la Vésubie; Site du Reveston; Utelle selon Casalis; Village de Baraba; Temple Vésubie et Pont du Cros
- Philippe de Beauchamp, Photographies Loïc-Jahan, L'art religieux dans les Alpes-Maritimes, architecture religieuse, peintures murales et retables, Aix-en-Provence, Édisud, , 143 p. (ISBN 2-85744-485-0)Vallée de la Vésubie : Utelle, La chapelle des Pénitents blancs, pp. 61 à 62
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 2-86535-070-3)Utelle, p. 1192
- Coordination générale : René Dinkel, Élisabeth Decugnière, Hortensia Gauthier, Marie-Christine Oculi. Rédaction des notices : CRMH : Martine Audibert-Bringer, Odile de Pierrefeu, Sylvie Réol. Direction régionale des antiquités préhistoriques (DRAP) : Gérard Sauzade. Direction régionale des antiquités historiques (DRAH) : Jean-Paul Jacob directeur, Armelle Guilcher, Mireille Pagni, Anne Roth-Congés Institut de recherche sur l'architecture antique (Maison de l'Orient et de la Méditerranée - IRAA)-Centre national de la recherche scientifique (CNRS), Suivez le guide - Monuments Historiques Provence Alpes Côte d’Azur, Marseille, Direction régionale des affaires culturelles et Conseil régional de Provence – Alpes - Côte d’Azur (Office Régional de la Culture), 1er trimestre 1986, 198 p. (ISBN 2-906035-00-9)Guide présentant l'histoire des monuments historiques ouverts au public en Provence – Alpes – Côte - d'Azur, avec cartes thématiques (traduit en allemand et anglais en septembre 1988). Utelle, Église Saint-Véran, p. 79
Articles connexesModifier
- Liste des communes des Alpes-Maritimes
- Liste des anciennes communes des Alpes-Maritimes
- Canal de la Vésubie
- le Cepoun, jeu de lutte et d'adresse entre hommes célibataires et mariés.
Liens externesModifier
- Site de la mairie
- Utelle sur le portail vésubian
- Utelle sur le site de l'Institut géographique national
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement des communes