Roquevaire

commune française du département des Bouches-du-Rhône

Roquevaire
Roquevaire
Roquevaire : le beffroi.
Blason de Roquevaire
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Bouches-du-Rhône
Arrondissement Marseille
Intercommunalité Métropole d'Aix-Marseille-Provence
Maire
Mandat
Yves Mesnard
2020-2026
Code postal 13360
Code commune 13086
Démographie
Gentilé Roquevairoise, Roquevairois
Population
municipale
8 673 hab. (2021 en diminution de 2,98 % par rapport à 2015)
Densité 364 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 21′ 00″ nord, 5° 36′ 19″ est
Altitude 160 m
Min. 134 m
Max. 732 m
Superficie 23,83 km2
Unité urbaine Marseille-Aix-en-Provence
(banlieue)
Aire d'attraction Marseille - Aix-en-Provence
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Aubagne
Législatives Dixième circonscription
Localisation
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Roquevaire
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Roquevaire
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Roquevaire
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Roquevaire
Liens
Site web http://www.ville-de-roquevaire.fr

Roquevaire (Ròcavaira en provençal selon la norme classique et Rocovairo selon la norme mistralienne) est une commune française située dans le département des Bouches-du-Rhône, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Ses habitants sont appelés les Roquevairois, Roquevairoises.

Géographie modifier

La commune de Roquevaire s'étale le long de l'Huveaune, fleuve côtier qui prend sa source dans le massif de la Sainte-Baume et se jette dans la Méditerranée à Marseille. Elle est composée d'un village principal et de trois hameaux : Lascours, niché au pied du Garlaban, Pont-de-l'Étoile et Pont-de-Joux.

À proximité de Marseille, d'Aix-en-Provence, des calanques et des plages, Roquevaire fait partie du pays Aubagnais.

Géologie modifier

Le sous-sol abrite du gypse exploité de 1800 à 1963 au lieu-dit les Plâtrières, entre le centre de la commune et l'autoroute A52, par trois exploitants successifs (Rancurel, Pontet, Plâtrières du Vaucluse) pour fabriquer du plâtre.

Risques modifier

Les carrières souterraines de gypse exploitées à Roquevaire l'étaient par la technique dite des « chambres et piliers ». Les chambres d'extraction mesurent trois, cinq ou sept mètres de hauteur. Le gypse était remonté par des puits de deux mètres de diamètre jusqu'en 1905, puis par des plans inclinés. Divers éboulements se sont produits et quelques comblements de chambres d'extraction ont été faits[1].

En 1957, quelques chambres ; les galeries centrales plus hautes et proches de la surface ont servi à la culture de champignons, jusqu'en 1995 où des risques manifestes d'affaissement ont été constatés en surface et en profondeur.

Un habitat dispersé existe au-dessus des cavités d'exploitation étagées sur plusieurs niveaux, dont les plus bas sont aujourd'hui inondés à la suite de l'arrêt des pompages (sauf sur les anciennes champignonnières encore pompées). Un double risque existe, de fontis et d'effondrement en masse[2].

Des affaissements en 1995 ont nécessité des évacuations d'immeubles et suscité un règlement d'urbanisme plus adapté. L'INERIS et le BRGM ont précisé les zones à haut risque et analysé l'hydraulique souterraine, en proposant des mesures de surveillance. Un plan de prévention des risques naturels (PPR) a été écrit par la DDE.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 691 mm, avec 6,6 jours de précipitations en janvier et 1,8 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Destrousse_sapc », sur la commune de La Destrousse à 3 km à vol d'oiseau[5], est de 14,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 716,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 43,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −13,2 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].

Statistiques 1991-2020 et records LA DESTROUSSE_SAPC (13) - alt : 201m, lat : 43°23'12"N, lon : 5°36'03"E
Records établis sur la période du 01-09-2007 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,2 0,7 3,3 6,3 9,6 13,5 15,9 15,3 12,4 9,2 5,2 1,9 7,9
Température moyenne (°C) 6,6 6,9 9,8 13,1 16,7 21 23,7 23,4 19,6 15,4 10,6 7,3 14,5
Température maximale moyenne (°C) 12 13 16,4 19,8 23,8 28,6 31,6 31,4 26,8 21,7 16,1 12,8 21,2
Record de froid (°C)
date du record
−8,5
17.01.17
−13,2
11.02.12
−5,4
16.03.13
−4,1
08.04.21
1
07.05.19
6,6
13.06.19
9,8
15.07.16
8,5
18.08.14
3,8
21.09.17
−1,9
22.10.07
−6
18.11.07
−6,6
21.12.09
−13,2
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
21,8
28.01.08
22,4
24.02.20
25,3
30.03.12
28,4
21.04.18
35
23.05.09
43,1
28.06.19
39,1
31.07.17
40,1
23.08.23
35,8
04.09.23
30,9
08.10.23
24,6
01.11.22
22,2
30.12.21
43,1
2019
Précipitations (mm) 60,6 45,5 53,6 64,1 52,5 53,6 17,8 25,8 57 99,5 111,7 74,7 716,4
Source : « Fiche 13031002 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
12
1,2
60,6
 
 
 
13
0,7
45,5
 
 
 
16,4
3,3
53,6
 
 
 
19,8
6,3
64,1
 
 
 
23,8
9,6
52,5
 
 
 
28,6
13,5
53,6
 
 
 
31,6
15,9
17,8
 
 
 
31,4
15,3
25,8
 
 
 
26,8
12,4
57
 
 
 
21,7
9,2
99,5
 
 
 
16,1
5,2
111,7
 
 
 
12,8
1,9
74,7
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Communes limitrophes modifier

Communes limitrophes de Roquevaire
Peypin La Destrousse Auriol
Allauch   Auriol
Aubagne Aubagne Gémenos

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Roquevaire est une commune urbaine[Note 2],[10]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[11],[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Marseille-Aix-en-Provence, une agglomération inter-départementale regroupant 50 communes[13] et 1 596 326 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Marseille-Aix-en-Provence est la troisième de France en nombre d'habitants, derrière celles de Paris et Lyon[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marseille - Aix-en-Provence, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[16],[17].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (59,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (66,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (40,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (39,5 %), forêts (10,7 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (9,1 %), zones agricoles hétérogènes (0,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Identifié par le vocable Lasa à l'époque celto-ligure, son nom prendrait son origine de Rocca Vaira vers 1150 signifiant roche grise en langue Romane[19]. Elle est attestée sous la forme castrum Roche Varie en 1212, du latin varius, « de couleur variée ».

Histoire modifier

Révolution française modifier

À Roquevaire, le comité de surveillance est institué en 1793. Il se recrute en partie chez les simples paysans, parfois illettrés, et son institution marque en quelque sorte l’apogée démocratique de la Révolution. Outre ses fonctions de surveillance, il crée une compagnie de surveillance dans la garde nationale locale, afin de séparer les sans-culottes des fédéralistes. Cette compagnie est utilisée pour des expéditions dans la commune afin de faire appliquer la loi[20].

Dates clés modifier

  • , création de la Régie municipale de l'eau.
  • 16 et , la ville est en proie a des inondations.
  • , inauguration du collège Louis-Aragon.
  • , la ville reçoit la Marianne d'or à la suite de la mise en place de la quasi-gratuité des 30 premiers m3 d'eau[21],[22].
  • , décès de l'ancien maire M. Léon David.
  • , décès de l'ancien maire M. André Niel à l'âge de 63 ans[23].
  • , record du monde d'attelage d’ânes représentant 68 ânes sur 160 m[24],[25],[26].
  • , décès de l'ancien maire M. Henri Gantou à l'âge de 92 ans[27].

Politique et administration modifier

Tendances politiques et résultats modifier

Lors de l'élection présidentielle de 2002, le taux de participation était de 84,59 % au second tour. l'ancien Président de la République, Jacques Chirac, obtient un score de 71,99 %.

Lors des élections législatives de 2002, le taux de participation dans la commune était de 66,59 % au premier tour, la moyenne nationale était de 64,42 %. Au second tour le taux de participation était de 62,18 %, la moyenne nationale était de 60,32 %. Le candidat de l'Union pour la majorité présidentielle est ressortie en tête avec un taux de 56.22 % soit 1922 voix.

Lors de l'élection présidentielle de 2007, le taux de participation dans la commune était de 84.3 % au second tour. Nicolas Sarkozy obtient un score de 60,27 % soit 3210 voix.

Lors des élections législatives de 2007, le taux de participation dans la commune était de 60,73 % au premier tour. La moyenne nationale était de 60,42 %. Au second tour le taux de participation était de 58,75 %, la moyenne nationale était de 59,98 %. Le candidat UMP est élu avec un taux de 59,44 % soit 2222 voix.

Lors de l'élection présidentielle de 2012, Nicolas Sarkozy a obtenu un taux de 56,95 % dans la commune soit 3023 voix. À titre de comparaison, l'ancien Président de la République a fait un score de 52,83 % dans les Bouches-du-Rhône et de 48,37 % au niveau national.

Lors des élections départementales de 2015, le taux de participation dans la commune était de 54,58 % au premier tour (contre 58,49 % au second). L'Union de la Gauche est ressortie en tête lors de ces deux scrutins (respectivement 36,27 % et 38,04 %)[28].

Liste des maires modifier

 
La mairie de Roquevaire.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avril 1945 mai 1953 Cassius Coulomb    
mars 1953 mars 1971 Joseph Martinat   Garagiste
mars 1971 mars 1989 Léon David[29] PCF Sénateur des Bouches-du-Rhône (1946 → 1978)
mars 1989 mars 2001 Henri Gantou PCF Chirurgien-dentiste
mars 2001 mars 2008 André Niel UMP Ancien enseignant
Conseiller régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur (2005 → 2010)
mars 2008 En cours Yves Mesnard app. PCF Retraité de la fonction publique
1er vice-président du conseil de territoire du Pays d'Aubagne et de l'Étoile

MM. Martini Négrel et Félix Trémellat sont décédés durant leur mandat.
MM. Louis Marie Castellan et Étienne Fabre ont démissionné avant la fin de leur mandat.
M. Louis Michel devient maire par intérim à la suite du décès de son prédécesseur[30],[31].

Politique environnementale modifier

La commune fait partiellement partie du nouveau parc naturel régional de la Sainte-Baume, créé par décret du [32].

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[34].

En 2021, la commune comptait 8 673 habitants[Note 4], en diminution de 2,98 % par rapport à 2015 (Bouches-du-Rhône : +2 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
3 0652 7112 8132 8423 2183 1203 1433 1303 180
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 1753 4653 6353 4993 5583 3503 4363 1153 012
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 9733 1102 9692 6002 6452 6132 6082 5213 080
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
3 4083 8545 0425 6197 0617 8538 2998 3198 549
2015 2020 2021 - - - - - -
8 9398 5698 673------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités modifier

  • Le Festival international d'orgue a lieu chaque année vers la mi-septembre. Concerts et récitals sur l'instrument.
  • Le festival International d'Art Singulier, créé par Danielle Jacqui, a lieu à « La Maison de Celle qui Peint » au hameau Pont-de-l'Étoile

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

Les armes peuvent se blasonner ainsi :

D'or à une montagne de gueules, surmontée d'une étoile de même.

Économie modifier

Lieux et monuments modifier

Patrimoine religieux [37] modifier

  • Chapelle Saint-Vincent de Roquevaire, chapelle romane du XIIe siècle classée au titre de monument historique[38]. La chapelle est située dans le terrain des services techniques de Roquevaire, elle se visite sur rendez-vous uniquement. Elle fut vendue comme bien national après estimation en 1794 (1200 livres). Y était accolé un ermitage. On peut y voir la stèle (première moitié du IIIe siècle) dont parle Papon en 1775 et Léon Benoît en 1920.
  • Ancienne chapelle des pénitents.
  • Ancienne chapelle Saint-Étienne à Touron (propriété privée).
  • Église Saint-Vincent de Roquevaire.
  • Église Saint-Jean de Lascours.
  • Église Notre-Dame-de-l'Étoile de Pont-de-l'Étoile.

Patrimoine civil modifier

  • Les ruines du château médiéval du XIIe siècle dominent la vallée sur les hauteurs du promontoire rocheux.

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Internet DREAL PACA, « Ancienne exploitation de gypse de Roquevaire »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur paca.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le ).
  2. page de la DRIRE paca sur les risques de fontis et effondrement à Roquevaire
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Roquevaire et La Destrousse », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « La Destrousse_sapc », sur la commune de La Destrousse - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « La Destrousse_sapc », sur la commune de La Destrousse - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  10. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Unité urbaine 2020 de Marseille-Aix-en-Provence », sur insee.fr (consulté le ).
  14. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. Roquevaire sur le site de l'OTI Pays d'Aubagne et de l'Etoile.
  20. Jacques Guilhaumou et Martine Lapied, « Paysans et politique sous la Révolution française à partir des dossiers des comités de surveillance des Bouches-du-Rhône », Rives nord-méditerranéennes, 5 | 2000, mis en ligne le 25 mars 2004
  21. M.M., « La Marianne d'Or pour Roquevaire », La Provence,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. « Palmares », sur lesmariannedordelarepublique.com (consulté le ).
  23. La Provence, « André Niel, ancien maire, est mort », La Provence,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. « Roquevaire (13) : le plus grand attelage d'ânes du monde », sur France 3 Provence-Alpes-Côte d'Azur (consulté le ).
  25. Marie-Cécile Berenger, « Roquevaire bat le record du monde d'attelage d'ânes », La Provence,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. M.-C.B., « Le record du monde d'attelage d'ânes battu », La Provence,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. « lamarseillaise.fr/bouches-du-r… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  28. source: https://www.francetvinfo.fr/elections/resultats/bouches-du-rhone_13/roquevaire_13360
  29. Nécrologie de Léon David
  30. « Les maires », sur souvenirderoquevaire.webador.fr (consulté le ).
  31. Robert Weinland, « francegenweb.org - votre service benevole d'assistance genealogique », sur francegenweb.org (consulté le ).
  32. décret de constitution du Parc naturel régional de la Sainte-Baume
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. Les églises et édifices religieux recensés par l'Observatoire du patrimoine religieux (OPR)
  38. « Chapelle romane Saint-Vincent », notice no PA00081420, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture

Voir aussi modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie modifier

  • Pierre Servan, Voies antiques de la moyenne vallée de l'Huveaune, p. 189-221, dans Provence historique, tome 10, fascicule 41, 1960 (lire en ligne)

Articles connexes modifier

Liens externes modifier