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Église et Croix de Sacré-Cœur
Église et Croix de Sacré-Cœur

Sacré-Cœur est une municipalité située dans la MRC de La Haute-Côte-Nord. Son nom fait référence au Sacré-Cœur. Le recensement 2011 y dénombre 1 881 habitants.

L'agriculture et la foresterie sont la base de son économie mais le tourisme prend un certaine place car il s'agit d'un havre naturel sur les routes touristiques du Fjord et des Baleines. La baie Sainte-Marguerite, avec son centre d’interprétation, est un site pour faire l'observation terrestre du béluga, en compagnie des naturalistes du parc national du Fjord-du-Saguenay. Une randonnée dans le sentier du fjord permet de découvrir l'aspect historique et naturel de ce milieu. Le village, d’une superficie de 342 kilomètres carrés, est érigé sur un plateau agricole surnommé à l’origine « Grand Brûlé ».

La forêt constitue encore aujourd’hui la principale activité économique. Le complexe de sciage Boisaco, l'usine de panneaux Sacopan et l'usine d’ensachage de rabotures Ripco, consacrées à la deuxième transformation du bois, forment son secteur industriel. Cette base économique est de plus en plus complétée par l’activité touristique avec le secteur de l'Anse-de-Roche qui est une fenêtre sur le fjord du Saguenay. On y retrouve de l'hébergement, des restaurants, des visites des animaux sauvages et domestiques de la ferme, du kayak de mer. Les touristes peuvent y faire différentes activités de randonnée pédestre, en quad, en traîneau à chien, ski de fond, raquette à neige, motoneige, etc.

Municipalités modifier

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Église de Baie-Trinité

Baie-Trinité est une municipalité du Québec située dans la MRC de Manicouagan. La ville est nommée en l'honneur de la Sainte Trinité.

La principale activité économique est l'exploitation forestière, suivie de la de la pêche et la transformation des produits de la mer.

Ce village enchanteur est aussi réputé pour ses plages à couper le souffle et sa forêt épaisse qui borde le fleuve Saint-Laurent.

Le hameau Les Islets-Caribou est un secteur de Baie-Trinité.

Le phare de Pointe-des-Monts fait également partie de la municipalité de Baie-Trinité, bien que situé à 10 km du village.

Le recensement de 2011 y dénombre 419 habitants, soit 20,3 % de moins qu'en 2006.

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Longue-Pointe-de-Mingan

Longue-Pointe-de-Mingan est une municipalité du Québec (Canada) située dans la municipalité régionale de comté de la Minganie qui fait partie de la région de la Côte-Nord. Les gens de la région disent simplement Longue-Pointe.

Ce petit village a été fondé en 1849 par des pêcheurs venus de la région de Paspébiac, en Gaspésie, et avec, à leur tête, Thaddée Leblanc.

Le village doit son nom à une pointe de sable qui s'avance vers le golfe du Saint-Laurent.

Sa population s'élève à 430 habitants qui vivent principalement du tourisme, de la transformation des produits de la mer, des biens et services et de la pêche.

Directement situé sur le bord du golfe du Saint-Laurent, Longue-Pointe-de-Mingan profite d'une plage de sable fin semblable à celle que l'on trouve dans les pays chauds: toutefois la température de l'eau n'y dépasse guère les 4 degrés. La municipalité a aménagé un trottoir de bois, le long de la rive, afin d'encourager la randonnée pédestre et de mieux permettre l'observation des baleines, des phoques et des oiseaux marins.

Face au village, on trouve les premières îles du Parc national de l'Archipel-de-Mingan. Sont visibles de la côte : l'Île aux Bouleaux, l'Île Nue de Mingan et l'Île aux Perroquets. Cette dernière doit son nom aux nombreux macareux moines (aussi appelé perroquets de mer) qui y résident en été. Le village tient, en juillet de chaque année, le festival des Paspayas, au cours duquel se déroulent une foule d'activités. On y retrouve aussi la Station de recherche des îles Mingan qui est le seul centre de recherche spécialisé sur les rorquals bleus.

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Église et Croix de Sacré-Cœur

Sacré-Cœur est une municipalité située dans la MRC de La Haute-Côte-Nord. Son nom fait référence au Sacré-Cœur. Le recensement 2011 y dénombre 1 881 habitants.

L'agriculture et la foresterie sont la base de son économie mais le tourisme prend un certaine place car il s'agit d'un havre naturel sur les routes touristiques du Fjord et des Baleines. La baie Sainte-Marguerite, avec son centre d’interprétation, est un site pour faire l'observation terrestre du béluga, en compagnie des naturalistes du parc national du Fjord-du-Saguenay. Une randonnée dans le sentier du fjord permet de découvrir l'aspect historique et naturel de ce milieu. Le village, d’une superficie de 342 kilomètres carrés, est érigé sur un plateau agricole surnommé à l’origine « Grand Brûlé ».

La forêt constitue encore aujourd’hui la principale activité économique. Le complexe de sciage Boisaco, l'usine de panneaux Sacopan et l'usine d’ensachage de rabotures Ripco, consacrées à la deuxième transformation du bois, forment son secteur industriel. Cette base économique est de plus en plus complétée par l’activité touristique avec le secteur de l'Anse-de-Roche qui est une fenêtre sur le fjord du Saguenay. On y retrouve de l'hébergement, des restaurants, des visites des animaux sauvages et domestiques de la ferme, du kayak de mer. Les touristes peuvent y faire différentes activités de randonnée pédestre, en quad, en traîneau à chien, ski de fond, raquette à neige, motoneige, etc.

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Église de Rivière-au-Tonnerre

Rivière-au-Tonnerre est une municipalité située dans la MRC de Minganie. Deux villages en font partie : le village de Sheldrake et celui de Rivière-au-Tonnerre. La municipalité est membre de la Fédération des Villages-relais du Québec.

La rivière au Tonnerre coule sur son territoire et, à 5 km de son embouchure, se trouve une série de cascades hautes au total d'environ 50 m dont le fracas fait songer au bruit provoqué par le tonnerre.

Un nommé André Loisel possédait un établissement de pêche à Rivière-au-Tonnerre, Isaie Duguay maria sa fille et ce dernier lui offrit de traverser sur la Côte-Nord pour s'occuper de son rang de pêche. Isaie Duguay est allé à Rivière-au-Tonnerre, seul, pendant une saison, il y a trouvé les conditions excellentes puis, par la suite, a décidé d'y demeurer avec sa famille. C'était vers 1858.

La tendance de la population est à la baisse. Le recensement de 2011 y dénombre 307 habitants alors que celui de 2006 en comptait 383.

La ville abrite une des seules églises de style normand en Amérique du Nord qui fut construite presque entièrement en bois alors que la ville n'était pas reliée par voie terrestre à aucune autre.

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Église de Chute-aux-Outardes

Chute-aux-Outardes est un municipalité située dans la MRC de Manicouagan.

Les outardes qui foisonnaient entre Hauterive et Ragueneau ont laissé leur nom à la rivière qui y coule, puis au village créé en 1951. Une chute actionne les génératrices d'une centrale qui alimente la papeterie de Baie-Comeau.

Dès 1910, le peuplement de ce village est dû à l'essor de l'industrie forestière et à la création d'une première centrale hydroélectrique au cours des années 1923-1950, Outardes 1 (cette dernière étant maintenant désaffectée), ainsi que la centrale Outardes 2 durant les années 1970.

Le premier résident est Alfred Labbé, originaire de Saint-Éphrem-de-Beauce qui s'installait sur le site entre 1905 et 1908. Il n'obtint, cependant, son billet de location qu'en 1923 de la part du gouvernement.

La majorité des emplois est située dans la ville de Baie-Comeau, ou encore dans les villages voisins comme Ragueneau et Pointe-aux-Outardes. Cependant, une usine de transformation du poisson assure des emplois locaux saisonniers.

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Vue aérienne de Port-Menier, 1895

L'Île-d'Anticosti est une municipalité située dans la MRC de la Minganie. Son territoire couvre la totalité de l'île d'Anticosti. La majorité de la population de l'île habite le village de Port-Menier, un petit village à la pointe ouest de l'île.

Port-Menier fut fondé à la fin du XIXe siècle par l'industriel chocolatier français Henri Menier après que ce dernier eut acheté l'île en 1895 et décidé d'en faire une réserve de chasse. Il s'agit du seul village de l'île et n’est habité que par 250 résidents permanents. On retrouve tous les services disponibles à Port-Menier tel que : magasin général, épiceries, station d'essence, banque, restaurant et hôtellerie. La population double pendant la période estivale par le tourisme et en automne pour la chasse. On y retrouve également des installations pour la pêche et la coupe forestière.

Le principal attrait de l'île après la chasse est le parc national d'Anticosti situé au centre de l'île.

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Église de Ragueneau

Ragueneau est une municipalité de paroisse située dans la MRC de Manicouagan. Elle est nommée en l'honneur de Paul Ragueneau. Le recensement de 2006 y dénombre 1 520 habitants.

Ragueneau fut d'abord une terre amérindienne. En 1664, le père Henri Nouvel signale la présence des Papinachois et de quelques familles qui habitèrent à la baie des Outardes. Ces familles vivaient de la chasse à l'orignal, de la pêche au saumon et probablement de la chasse au loup-marin.

Ragueneau fit longtemps partie du « Domaine du Roy » qui s'étendait de la région du Lac Saint-Jean jusqu'à l'est de Sept-Îles. N'eut été un échange de territoire en 1861 entre les Montagnais et le gouvernement, le village de Ragueneau n'aurait jamais existé.

C'est devant les petites îles, entourées de récifs et d'apparence modeste, sur la rive ouest de la rivière aux Vases, que s'établissent les premiers habitants, vers 1870. En 1876, dans un rapport à l'évêque de Rimouski, le Père Babel confirme la présence de 28 personnes à cet endroit.

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Betsiamites ou plutôt Pessamit

Pessamit (« lieu où il y a des lamproies »), anciennement Bersimis, est une grande réserve indienne peuplée par des Innus (également appelés Montagnais). Elle est située à l'embouchure de la rivière Bersimis, à 46 km à l'ouest de Baie-Comeau.

Berceau de plusieurs groupes populaires, elle est une communauté active au niveau culturel, surtout pour la langue, innu-aimun, qui est parlée par une grande majorité de sa population. Le recensement de 2006 y dénombre 2 357 habitants.

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Baie des Escoumins

Les Escoumins est située dans la MRC de La Haute-Côte-Nord. On y dénombre 2 074 habitants (2006).

Les Escoumins est le premier village fondé sur la Haute-Côte-Nord en 1860. La municipalité dispense des services publics et privés, dont le centre de santé de La Haute-Côte-Nord. Le tourisme, la foresterie et la pêche sont des activités économiques importantes.

Une des attractions touristiques les plus réputées est la croisière à bord d'embarcations légères, permettant d'approcher les mammifères marins qui fréquentent l'estuaire du Saint Laurent : rorqual commun, baleine à bosse, beluga et le phoque.

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Vue aérienne de Forestville

Forestville est une ville située dans la MRC de La Haute-Côte-Nord.

Forestville a vu le jour en 1937, mais c'est seulement le 1er mai 1944 que l'incorporation est devenue officielle. D'abord connue sous le nom de « Sault aux Cochons », elle fut rebaptisée Forestville en l'honneur de Grand W. Forrest, gérant de la première scierie installée à l'embouchure de la rivière Sault aux Cochons en 1845.

La devise de la ville est Per Sylvam, qui veut dire « par nos forêts ». En effet, Forestville existe en grande partie en raison de l'exploitation des forêts de la Haute Côte-Nord et son avenir en est encore aujourd'hui largement tributaire.

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Le Château

Baie-Johan-Beetz est une municipalité située dans la MRC de Minganie. Le recensement de 2006 y dénombre 95 habitants.

Autrefois appelé Piesthebi, ce village a été renommé au début du XXe siècle en l'honneur d'un aristocrate belge, Johan Beetz, s'étant établi dans ce village pendant quelques années. Ce dernier y a fait construire un manoir luxueux que les habitants appellent encore aujourd'hui « Le château ». Il a apporté une grande contribution aux habitants de ce village par ses connaissances en médecine. De plus, Baie-Johan-Beetz est le seul endroit au Canada à avoir été épargné par la grippe espagnole puisque Johan Beetz a mis le village en quarantaine.

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Église de Godbout

Godbout est une municipalité de village située dans la MRC de Manicouagan. Le recensement de 2006 y dénombre 361 habitants.

Elle aurait été nommée en l'honneur de Nicolas Godeboust (1634-1674), qui fut navigateur, pilote puis défricheur.

En 1684, un poste de traite fut établi sur la rivière, et les indigènes se regroupèrent autour du poste. Après 1720, le poste prit de l'importance pour la chasse aux phoques.

Vers 1850, la région de Godbout, de Pointe-des-Monts jusqu'à Pointe-à-la-Croix avait vingt-cinq familles Innus comme chasseurs. Mais après 1860, la population canadienne se mit à croître.

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Les Bergeronnes

Les Bergeronnes est une municipalité située dans la MRC de La Haute-Côte-Nord. Le nom serait vraisemblablement une référence à la hauteur de la berge.

Le village se développe à partir de 1844, lorsque Thomas Simard construit un moulin à scie dans la vallée de la rivière Petites-Bergeronnes. Puis, en 1848, Charles Pentland acquiert, sur la rivière à Beaulieu, un des affluents.

En 1853, une première chapelle, consacrée à Sainte-Zoé, desservait un peu plus d’une trentaine de familles, vivant de la coupe du bois ou de l’agriculture. Cette chapelle, détruite en 1858, n'est reconstruite qu'en 1869. En 1889, la mission de Sainte-Zoé devient une paroisse canonique et reçoit son premier curé résident, Arthur Guay.

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Schefferville

Schefferville est située dans la MRC de Caniapiscau. En plein cœur de la péninsule du Labrador, à 500 km au nord du port de Sept-Îles, la ville est sise à 54° 49' de latitude nord et à 66° 50' de longitude ouest, entre les lacs Knob Lake et Pearce. En 1982, la compagnie IOC a cessé ses opérations minières et les habitants ont dû quitter la ville.

Le recensement de 2006 y dénombre 202 habitants. Avec les communautés amérindiennes Innu (réserves indiennes de Matimekosh et Lac-John) et Naskapi (communauté de Kawawachikamach), Schefferville compte environ 1300 habitants permanents.

La saison estivale accueille de nombreux touristes pour les activités de plein-air, la pêche et la chasse au caribou.

Les seuls moyens pour se rendre à Schefferville sont le train et l'avion à partir de Sept-Îles.

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Fermont

Fermont est située dans la MRC de Caniapiscau. Créée en 1974, Fermont comptait au recensement de 2006 une population de 2 633 habitants.

Fermont fait partie, avec Wabush et Labrador City au Labrador (Terre-Neuve-et-Labrador), de la Fosse du Labrador. Ceci est le nom d'un vaste centre minier d'où l'on extrait des minerais de fer, d'où le nom de Fermont.

Le principal employeur de l'endroit est ArcelorMittal Mines Canada, anciennement la Compagnie Minière Québec Cartier.

La mine du Mont-Wright, est située à 17 km à l'ouest de la petite ville.

Une nouvelle mine est présentement en construction à proximité de la ville, le gisement exploité sera celui du Lac Bloom.

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Blanc-Sablon

Blanc-Sablon est la municipalité la plus à l'est du Québec, à la frontière de la province de Terre-Neuve-et-Labrador, dans la municipalité régionale de comté (MRC) du Golfe-du-Saint-Laurent. Elle est située à environ 800 km à l'est de Sept-Îles. Elle est composée de trois villages : Brador, Lourdes-de-Blanc-Sablon et Blanc-Sablon.

Blanc-Sablon a la particularité de ne pas être reliée par chemin carrossable au reste du Québec. On peut y parvenir en voiture seulement à partir du Labrador ou de Terre-Neuve (via le traversier).

Pour s'y rendre à partir du Québec, il faut prendre la route 138 jusqu'à Pointe-Parent, tout juste à l'est de Natashquan). De là, quiconque ne désirant pas prendre d'avion doit embarquer sur un navire du Relais Nordik pour une nuit et deux jours, passant par les communautés isolées de Kégaska, La Romaine, Harrington Harbour, Tête-à-la-Baleine, La Tabatière (Gros-Mécatina) et Saint-Augustin.

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Port-Cartier

Port-Cartier est située dans la MRC des Sept-Rivières au nord du 50e parallèle. Le recensement de 2006 y dénombre 6 758 habitants.

Bien que le nom de Port-Cartier peut rappeler l'explorateur Jacques Cartier, le nom de la ville fait bien plus référence à la Quebec Cartier Mining, qui a exploité les gisements de fer de Gagnon et qui exploite maintenant ceux de Fermont.

La région de Port-Cartier fut d'abord « découverte » par l'explorateur français Samuel de Champlain en 1603, le même explorateur qui fondera plus tard les établissements de Tadoussac et de Québec. À la vue du delta formé par les deux rivières qui coulent entre plusieurs îles au rivage rocheux (aujourd'hui au cœur de Port-Cartier), Samuel de Champlain nomma cette région « Rivière-aux-Rochers ». Ce nom est encore utilisé aujourd'hui, mais désigne la plus grande des deux rivières, l'autre rivière portant le nom de Rivière Dominique.

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Sept-Îles au lever de soleil

Sept-Îles est une ville du Québec située dans la MRC des Sept-Rivières sur la Côte-Nord. Le recensement de 2006 y dénombre 25 514 habitants.

La ville de Sept-Îles est située sur la rive nord du Golfe du Saint-Laurent, approximativement à 230 km à l'est de Baie-Comeau. À la suite d'une fusion en 2003, la ville actuelle de Sept-Îles est composée des anciennes municipalités de Gallix, Moisie et Sept-Îles.

Le territoire de Sept-Îles est croisé par la rivière Sainte-Marguerite et la rivière Moisie. Il fait le tour entier de la Baie des Sept îles, une baie aux eaux profondes, face à un archipel de 7 îles.

Aujourd’hui, Sept-Îles est une ville moderne dotée de tous les équipements et services. Sept-Îles possède un Hôpital qui dessert la population de Port-Cartier jusqu'à la basse Côte-Nord.

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L'Hôtel Le Manoir, reconstruit en 1965

Baie-Comeau est une ville du Québec, située dans la municipalité régionale de comté de Manicouagan et dans la région administrative de la Côte-Nord. Elle est située à 400 km à l'est de la ville de Québec.

Baie-Comeau a été nommé ainsi en l’honneur de Napoléon-Alexandre Comeau, géologue et naturaliste de la Côte-Nord. La population approximative de la ville est de 23 000 personnes, 30 000 habitants en comptant les villages environnants.

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Symbole du village de Natashquan, les magasins du Galet sont d'anciennes cabanes de pêches, vieilles pour certaines de plus de 150 ans.

Natashquan est une municipalité de canton du Québec située dans la municipalité régionale de comté de la Minganie et la région administrative de la Côte-Nord. Natashquan est le village natal de Gilles Vigneault. Le recensement de 2006 y dénombre 264 habitants.

Petit village au grand nom rendu célèbre par son barde, qui l'a chanté et rechanté à travers ses personnages légendaires, Natashquan a gardé tout le charme et sa poésie «d'avant la route».

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