Le Vieux-Cérier

commune française du département de la Charente

Le Vieux-Cérier est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Le Vieux-Cérier
Le Vieux-Cérier
La mairie du Vieux-Cérier.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes de Charente Limousine
Maire
Mandat
Dominique Rolland
2020-2026
Code postal 16350
Code commune 16403
Démographie
Population
municipale
130 hab. (2021 en diminution de 2,26 % par rapport à 2015)
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 58′ 00″ nord, 0° 26′ 44″ est
Altitude Min. 141 m
Max. 195 m
Superficie 9,65 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Charente-Bonnieure
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Le Vieux-Cérier
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Le Vieux-Cérier
Géolocalisation sur la carte : Charente
Voir sur la carte topographique de la Charente
Le Vieux-Cérier
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Le Vieux-Cérier

Géographie modifier

Localisation et accès modifier

Le Vieux-Cérier est une petite commune du Nord Charente située à 4 km au sud-est de Champagne-Mouton et 42 km au nord-est d'Angoulême.

Le bourg du Vieux-Cérier est aussi à 8 km au nord de Saint-Claud, 14 km au nord-ouest de Roumazières-Loubert, 16 km au nord de Chasseneuil, 18 km à l'ouest de Confolens et 21 km à l'est de Ruffec[1].

À l'écart des grandes voies de communication, la commune est bordée à l'ouest par la D 28, route de Champagne-Mouton au Grand-Madieu et Saint-Claud. La D 342 et la D 343 se croisent au bourg[2].

Hameaux et lieux-dits modifier

Le bourg est minuscule et la commune, en plus de fermes, compte quelques hameaux : la Bosse et Chez Ravard à l'est, les Courades et Chez la Rose au sud, et la Touche à l'extrême nord en limite avec Saint-Coutant[2].

Communes limitrophes modifier

Géologie et relief modifier

Géologiquement, la commune est dans le calcaire du Jurassique du Bassin aquitain, comme toute la moitié nord du département de la Charente. Plus particulièrement, le Bajocien (Dogger) occupe une partie centrale de la commune et est visible sur les flancs de la vallée. D'importants épandages d'altérites et dépôts du Tertiaire en provenance du Massif central sous forme d'argile à silex et d'argile marbrée couvrent le plateau sur le restant du territoire communal[3],[4],[5].

Le relief de la commune est celui d'un plateau d'une altitude moyenne de 170 m assez vallonné. Le point culminant est à une altitude de 195 m, situé sur la limite orientale près de Boissanné. Le point le plus bas est à 141 m, situé sur la limite ouest au Bois Chauminet. Le bourg est à 164 m d'altitude[2].

Hydrographie modifier

Réseau hydrographique modifier

 
Réseaux hydrographique et routier du Vieux-Cérier.

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par l'Argent-Or et l'Or et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 5 km de longueur totale[7],[Carte 1].

L'Argent et l'Or qui se réunissent en l'Argentor, affluent de la Charente, traversent la commune. Ils prennent tous deux leur source dans la commune voisine de Saint-Coutant à l'est.

L'Argent traverse la commune du sud-est au nord-ouest et passe au pied du bourg, construit sur sa rive gauche.

L'Or qui coule vers l'ouest arrose l'extrémité nord de la commune, au pied de la Garnerie et du vieux bourg de Saint-Coutant[2].

Gestion des eaux modifier

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[8]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [9].

Climat modifier

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain, légèrement dégradé au nord du département aux abords de la Charente limousine.

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Le Vieux-Cérier est une commune rurale[Note 1],[10]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[11],[12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (83,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (49,5 %), terres arables (24,2 %), forêts (19,1 %), zones agricoles hétérogènes (7,2 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune du Vieux-Cérier est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible)[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux du Vieux-Cérier.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 109 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 109 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[18],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[19].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[16].

Toponymie modifier

Les formes anciennes sont Veteri Cereso vers 1300[20], Veteri Seraso (non datée, Moyen Âge)[21].

La commune a été créée Vieux Cerier en 1793, orthographiée Viel-Cerrier en 1801[22]. Elle est orthographiée Vielcerier sur la carte de Cassini (XVIIIe siècle), Vieux-Cérier sur la carte d'état-major (XIXe siècle).

Le nom du Vieux-Cérier signifie le Vieux Cerisier (ceresium en bas latin)[23],[24].

Dialecte modifier

La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est marchois, non loin du dialecte limousin à l'est (Ambernac) et de la langue d'oil (dialecte poitevin) à l'ouest (Champagne-Mouton)[25],[26].

Histoire modifier

L'Antiquité a laissé quelques vestiges intéressants, comme un four rectangulaire datant des IIe et IIIe siècles situé au nord-est du village de Chez Ferroux, qui a pu produire des tegulae et de la céramique. D'autres fours ont été trouvés juste à proximité, ainsi qu'au Champ des Ferrières un fourneau à fer et des creusets, non datés, avec un four à chaux.

Dans l'ancien cimetière situé à l'emplacement actuel de la place et qui a été transféré en 1862 ont été trouvés des vases qui seraient des vases funéraires datant du Haut Moyen Âge[27],[28].

Sous l'Ancien Régime, la paroisse, comme celles autour de Champagne-Mouton, dépendaient du Poitou.

Pendant la première moitié du XXe siècle, la commune était desservie par la ligne de Ruffec à Roumazières[29].

Administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
depuis 1995 En cours Dominique Rolland SE Agent de maîtrise

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[31].

En 2021, la commune comptait 130 habitants[Note 2], en diminution de 2,26 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
531747464579600563575576570
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
522499475476502485466456412
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
419396386351356334293301303
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021
282243199154134142134133130
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 14,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 50,3 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 67 hommes pour 62 femmes, soit un taux de 51,94 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
3,1 
18,8 
75-89 ans
17,2 
29,0 
60-74 ans
32,8 
21,7 
45-59 ans
25,0 
14,5 
30-44 ans
9,4 
11,6 
15-29 ans
7,8 
4,3 
0-14 ans
4,7 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Économie modifier

Équipements, services et vie locale modifier

Lieux et monuments modifier

 
L'église et le monument aux morts.

L'église paroissiale Saint-Pierre-ès-Liens a été reconstruite au XVe siècle puis modifiée au XIXe siècle avec ajout du clocher daté de 1864[35]. La cloche en bronze datant de 1613 avec l'inscription « FPSP DE VIUS CERIES. 1613. LOYS ANGELYS, SR SR DE MASSIUSSIER P.MARIE DEBORD M. » est classée monument historique au titre objet depuis 1944[36].

Une motte féodale près de Chez Ferroux se présente sous forme d'une levée de terre plantée d'arbres[37].

Une borne sculptée d'un écu et d'une croix alésée, située au lieu-dit les Courades datée du milieu du Moyen Âge marquait la limite de juridiction des commandeurs du Grand-Masdieu[38],[29].

Le manoir nommé la Tour Majusier présente les armoiries des Angély sur la cheminée. C'est un logis constitué de deux grandes pièces l'une en rez-de-chaussée et une à l'étage remanié au XVIIe siècle[39].

Le lavoir, un four à pain situé Chez la Rose et le petit pont datent du XIXe siècle.

Personnalités liées à la commune modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique du Vieux-Cérier » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  2. a b c et d Carte IGN sous Géoportail
  3. Carte du BRGM sous Géoportail
  4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  5. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Confolens », sur Infoterre, (consulté le ).
  6. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  7. « Fiche communale du Vieux-Cérier », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  8. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  9. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a et b « Les risques près de chez moi - commune du Vieux-Cérier », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune du Vieux-Cérier », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  20. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 270
  21. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. II, Angoulême, imprimerie Roux et Despujols, , 588 p., p. 221
  22. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
  24. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 713.
  25. Charles de Tourtoulon et Olivier Bringuier, Limite géographique de la langue d'oc et de la langue d'oil, Paris, Imprimerie nationale (réimprimé en 2007 par Massert-Meuzac, IEO), , 63 p. (Carte de la limite oc-oil en France, partie ouest, visualisation en ligne)
  26. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
  27. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 107-108
  28. « Ancien cimetière », notice no IA16001322, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  29. a et b Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 402
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune du Vieux-Cérier (16403) », (consulté le ).
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  35. « Église », notice no IA16001320, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  36. « Cloche de l'église », notice no PM16000299, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  37. « Motte féodale », notice no IA16001921, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  38. « Borne », notice no IA16001924, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  39. « Tour Majusier », notice no IA16001888, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture

Voir aussi modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes modifier

Bibliographie modifier

  • Dujardin V., Moinot É., Ourry Y. (2007) - Le Confolentais, entre Poitou, Charente et Limousin, Images du patrimoine, n° 243, Geste éditions, 2007.

Liens externes modifier