Julos

commune française du département des Hautes-Pyrénées

Julos
Julos
Vue du village (Les Granges).
Blason de Julos
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Argelès-Gazost
Intercommunalité Communauté d'agglomération Tarbes-Lourdes-Pyrénées
Maire
Mandat
Éric Abbadie
2020-2026
Code postal 65100
Code commune 65236
Démographie
Gentilé Julosais
Population
municipale
463 hab. (2021 en augmentation de 27,2 % par rapport à 2015)
Densité 79 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 07′ 21″ nord, 0° 00′ 22″ est
Altitude Min. 398 m
Max. 648 m
Superficie 5,86 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Lourdes
(banlieue)
Aire d'attraction Lourdes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lourdes-2
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Julos
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Julos
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Julos
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Julos

Julos est une commune française située dans le centre du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans l’ancien comté de Bigorre, comté historique des Pyrénées françaises et de Gascogne.

Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le ruisseau des Graves et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Julos est une commune rurale qui compte 463 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'agglomération de Lourdes et fait partie de l'aire d'attraction de Lourdes..

Ses habitants sont appelés les Julosais.

Géographie modifier

Localisation modifier

La commune de Julos se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 13 km à vol d'oiseau de Tarbes[1], préfecture du département, à 16 km d'Argelès-Gazost[2], sous-préfecture, et à 5 km de Lourdes[3], bureau centralisateur du canton de Lourdes-2 dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lourdes[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Paréac (1,6 km), Averan (1,8 km), Bourréac (2,1 km), Lézignan (2,7 km), Escoubès-Pouts (2,8 km), Orincles (2,9 km), Adé (3,0 km), Barry (3,0 km).

Sur le plan historique et culturel, Julos fait partie de l’ancien comté de Bigorre, comté historique des Pyrénées françaises et de Gascogne créé au IXe siècle puis rattaché au domaine royal en 1302, inclus ensuite au comté de Foix en 1425 puis une nouvelle fois rattaché au royaume de France en 1607. La commune est dans le pays de Tarbes et de la Haute Bigorre[5].

 
Carte de la commune de Julos et des proches communes.
Communes limitrophes de Julos[6]
Adé Averan Barry
Lourdes   Orincles
Lézignan Bourréac Paréac
 
Vue du bourg de Julos.

Hydrographie modifier

La commune est dans le bassin de l'Adour, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par le ruisseau des Graves, le ruisseau de la Mate et par deux petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 5 km de longueur totale[8],[Carte 1].

Climat modifier

Le climat est tempéré de type océanique, dû à l'influence proche de l'océan Atlantique situé à peu près 150 km plus à l'ouest. La proximité des Pyrénées fait que la commune profite d'un effet de foehn, il peut aussi y neiger en hiver, même si cela reste inhabituel.

Données climatiques à Julos.
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,6 1,3 2,7 5,2 8,3 11,6 14,1 13,9 11,7 8 3,6 1,3 6,9
Température moyenne (°C) 5,3 6,1 7,8 10 13,3 16,7 19,3 19 17,2 13,3 8,5 5,8 11,9
Température maximale moyenne (°C) 9,9 11 12,9 14,8 18,3 21,7 24,5 24 22,6 18,6 13,4 10,4 16,8
Ensoleillement (h) 108,8 118,8 155,6 157,2 181,3 191,5 215,5 196,4 194,5 164,4 124,4 104,4 1 912,8
Précipitations (mm) 112,8 97,5 100,2 105,7 113,6 80,7 57,3 70,3 71 85,2 93 112,1 1 099,4
Source : Climatologie mensuelle à la station départementale d'Ossun de 1961-1990[9].


Milieux naturels et biodiversité modifier

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 2] est recensée sur la commune[10] : le « réseau hydrographique des Angles et du Bénaquès » (260 ha), couvrant 35 communes du département[11] et une ZNIEFF de type 2[Note 3],[10] : les « coteaux et vallons des Angles et du Bénaquès » (12 879 ha), couvrant 45 communes du département[12].

Urbanisme modifier

 
La fontaine.

Typologie modifier

Julos est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[13],[I 2],[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lourdes, une agglomération intra-départementale regroupant 13 communes[I 3] et 16 872 habitants en 2018, dont elle est une commune de la banlieue[I 4],[I 5].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lourdes dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 6],[I 7].

 
Rues du village.
 

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (81,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (47,5 %), zones agricoles hétérogènes (28,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (12 %), zones urbanisées (6,1 %), forêts (6,1 %)[15].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
La chapelle Saint-Martin.

Logement modifier

En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 177[I 8].
Parmi ces logements, 85.5  % sont des résidences principales, 7.2  % des résidences secondaires 7.2  % des logements vacants.

Voies de communication et transports modifier

Cette commune est desservie par les routes départementales D 95 et D 507a.

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Julos est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Risques naturels modifier

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[18]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1999, 2009 et 2018[19],[16].

Julos est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2020-2029. Le précédent couvrait la période 2007-2017. L’emploi du feu est régi par deux types de réglementations. D’abord le code forestier et l’arrêté préfectoral du , qui réglementent l’emploi du feu à moins de 200 m des espaces naturels combustibles sur l’ensemble du département. Ensuite celle établie dans le cadre de la lutte contre la pollution de l’air, qui interdit le brûlage des déchets verts des particuliers. L’écobuage est quant à lui réglementé dans le cadre de commissions locales d’écobuage (CLE)[20]

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Julos.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[21].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 5,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (44,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 145 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 8 sont en aléa moyen ou fort, soit 6 %, à comparer aux 75 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[23].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[16].

Risque technologique modifier

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[24].

Toponymie modifier

 
 
 
 
Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Julos au nord est de Lourdes

On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[25] qui rapporte les dénominations historiques du village :

Dénominations historiques :

Étymologie : nom de domaine antique formé sur le nom de personnage latin Julius et le suffixe aquitain -ossum.
Nom occitan : Julòs.

Histoire modifier

Sous l'Ancien Régime, l'histoire de Julos est associée à l’ascension d'une famille, les Castelnau, du val d'Azun, qui par un mariage en 1339 devinrent seigneurs de Julos, Paréac, Escoubès, entre autres, et aussi de Laloubère pour former une famille influente, les Castelnau-Julos puis Castelnau-Laloubère. On lit dans l'histoire de la Bigorre par l'abbé Colomez « La terre de Laloubère faisait partie de celle de Julos en Bigorre. Pérégrin de Julos, puiné de la maison, l'eut pour son partage, et s'étant signalé par sa valeur en Castille, il rendit le nom de Laloubère recommandable dans sa postérité. Les seigneurs de Castelnau en ont augmenté les biens et la gloire y ayant pris alliance »[26].

Ces détails ont de l'importance pour rendre compte du mode de gestion communautaire et intercommunal des landes situées sur ces communes, et tout particulièrement sur Julos, qui perdura jusque dans les années 1970. Jusqu'à 1789, en effet, ces landes étaient des réserves seigneuriales de la seigneurie de Laloubère, elles devinrent ensuite des biens communaux gérés avec un droit de pacage consenti aux communes voisines, notamment Bourréac. Cette situation d'indivision a pris fin en 1978, avec le partage de ces landes entre les communes de Julos, Bourréac, Paréac et Lézignan, appuyé sur l'exploitation de documents d'archives seigneuriales de Laloubère[27].

Selon l'historien de la Bigorre, Marie-Armand d'Avezac de Castera-Macaya (1823), « la terre de Castelnau était située dans la vallée d'Azun : les villages de Gaillagos, Arras, Ourout, Ayzac, en relevaient. Jean-Bernard, chevalier, seigneur de Castelnau, vivait vers 1260 ; et eut pour fils Bernard 1er mort vers 1300, père de Menaud, chevalier. Garcie-Arnaud 1er, fils de ce dernier,épousa, en 1339, Mahaud de Julos, héritière de Laloubère, dont il eut Jean-Raymond de Castelnau-Laloubère, qui vivait en 1366, et fut le père d'Odet : celui-ci eut de Catherine de Gramont, son épouse, deux fils, 1° Bernard II qui continua la maison de Castelnau-Laloubère, 2° Raymond Garcie, chef de la maison de Castelnau-Mauvissière, dont était Michel de Castelnau, ambassadeur en Angleterre, qui a laissé des mémoires fort estimés et est mort en 1592 »[28].

Cadastre napoléonien de Julos modifier

Le plan cadastral napoléonien de Julos est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[29].

Politique et administration modifier

 
La mairie en 2018.
 
Le foyer rural en 2021.

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
avant 1988 ? Antoine Pirès    
mars 2001 mars 2020 Georges Castres    
mars 2020 en cours Éric Abbadie    

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Historique administratif modifier

Pays et sénéchaussée de Bigorre, quarteron de Lourdes, canton de Lourdes (depuis 1790), Lourdes-Est (1973)[30].

Intercommunalité modifier

Julos appartient à la Communauté d'agglomération Tarbes-Lourdes-Pyrénées créée en et qui réunit 86 communes.

Services publics modifier

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[33].

En 2021, la commune comptait 463 habitants[Note 6], en augmentation de 27,2 % par rapport à 2015 (Hautes-Pyrénées : +1,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
295246299324331335345310355
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
321312321316315314274272243
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
223227239213209207189178170
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
178188191191218241304322345
2018 2021 - - - - - - -
426463-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2016[36].

Économie modifier

Revenus modifier

En 2018, la commune compte 179 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 420 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 500 [I 9] (20 420  dans le département[I 10]).

Emploi modifier

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 11] 3,2 % 6,5 % 8,8 %
Département[I 12] 7,7 % 9,4 % 9,8 %
France entière[I 13] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 297 personnes, parmi lesquelles on compte 78,5 % d'actifs (69,7 % ayant un emploi et 8,8 % de chômeurs) et 21,5 % d'inactifs[Note 8],[I 11]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Lourdes, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 14]. Elle compte 22 emplois en 2018, contre 34 en 2013 et 52 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 209, soit un indicateur de concentration d'emploi de 10,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 65,5 %[I 15].

Sur ces 209 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 19 travaillent dans la commune, soit 9 % des habitants[I 16]. Pour se rendre au travail, 95,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1 % les transports en commun, 1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 2,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 17].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

 
Le lavoir.
 
Le monument aux morts municipal.

Édifices religieux modifier

Crête de Miramont modifier

La colline de Miramont était un lieu de pèlerinage pour les communes limitrophes. Avec les éminences voisines. Il s'agit aujourd'hui, avant tout, d'un espace voué à la randonnée offrant un magnifique point de vue sur Tarbes, Ossun… Leurs sommets abritent des antennes relais.

Personnalités liées à la commune modifier

  • Jean-Joseph Pays (1882-1951), évêque de Carcassonne nommé le 16 août 1932, né sur la commune.

Héraldique modifier

  Blasonnement :
De gueules à un château d’argent maçonné de sable posé sur un mont de sinople et accompagné de trois étoiles de six rais d'or posées deux en chef et une en pointe.
Commentaires : officialisé par la mairie (avril 2015).

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  8. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Julos » sur Géoportail (consulté le 3 novembre 2021).
  2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

  1. a b et c « Métadonnées de la commune de Julos » (consulté le ).
  2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  3. « Unité urbaine 2020 de Lourdes » (consulté le ).
  4. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
  5. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
  6. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lourdes » (consulté le ).
  7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  8. Insee : Rapport statistique communal pour la commune de Julos
  9. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Julos » (consulté le ).
  10. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
  11. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Julos » (consulté le ).
  12. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
  13. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  15. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Julos » (consulté le ).
  16. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  17. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources modifier

  1. Stephan Georg, « Distance entre Julos et Tarbes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Julos et Argelès-Gazost », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Julos et Lourdes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Julos », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 287-289.
  6. Carte IGN sous Géoportail
  7. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Fiche communale de Julos », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  9. « Climatologie mensuelle à Tarbes », sur le site de l'association InfoClimat (consulté le ).
  10. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Julos », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « ZNIEFF le « réseau hydrographique des Angles et du Bénaquès » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « ZNIEFF les « coteaux et vallons des Angles et du Bénaquès » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Julos », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. DREAL Occitanie, « CIZI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », sur gouvernement.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  20. « Plan départemental de protection des forêts contre l’incendie (PDPFCI) 2020 – 2029 », sur hautes-pyrenees.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », sur gouvernement.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Julos », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Dossier départemental des risques majeurs des Hautes-Pyrénées », sur gouvernement.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  25. Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes Pyrénées intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Conseil Général des Hautes Pyrénées, 2000.
  26. Abbé Colomez : Histoire de la province et comté de Bigorre écrite vers 1735 par l'abbé Colomez et annotée par l'abbé Ferdinand Duffau, 283 pages 21 x 15 cm, réédition de l’œuvre originale imprimée en 1890, (ISBN 2 7504-1341-9).
  27. Roland Darré, maire de Bourréac, communication personnelle, février 2016,, d'après les archives des réunions des conseils municipaux de Bourréac
  28. M.A. d’Avezac-Macaya : Essais historiques sur le Bigorre, accompagnés de remarques critiques, de pièces justificatives, de notices chronologiques et généalogiques. Tome second, 312 pp. Imprimerie de J.M. Dossun éditeur, Bagnères ; 1823. [lire en ligne].
  29. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral de Julos en 1809
  30. Archives départementales des Hautes-Pyrénées
  31. « Liste des juridictions compétentes pour Julos », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. « Annuaire : Résultats de recherche »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).