Garentreville

commune française du département de Seine-et-Marne

Garentreville
Garentreville
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Fontainebleau
Intercommunalité Communauté de communes Pays de Nemours
Maire
Mandat
Jean-Luc Racinet
2020-2026
Code postal 77890
Code commune 77200
Démographie
Gentilé Garentrevillois
Population
municipale
122 hab. (2021 en augmentation de 10,91 % par rapport à 2015)
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 14′ 12″ nord, 2° 32′ 59″ est
Altitude Min. 107 m
Max. 144 m
Superficie 6,35 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Nemours
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Garentreville

Garentreville est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France.

En 2021, elle compte 122 habitants.

Géographie modifier

Localisation modifier

 
Localisation de Garentreville dans le département de Seine-et-Marne.

La commune de Garentreville se trouve dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France[1]. Elle est située dans le parc naturel régional du Gâtinais français[2].

Elle se situe à 41,57 km par la route[Note 1] de Melun[3], préfecture du département, à 28,28 km de Fontainebleau[4], sous-préfecture et à 12,40 km de Nemours[5], bureau centralisateur du canton de Nemours dont dépend la commune depuis 2015. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Puiseaux[1].

Communes limitrophes modifier

 
Carte des communes limitrophes de Garentreville.

Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Burcy (2,1 km), Obsonville (2,3 km), Guercheville (2,6 km), Ichy (3,8 km), Fromont (4,0 km), Desmonts (4,1 km), Chevrainvilliers (4,9 km), Rumont (5,0 km).

Communes limitrophes de Garentreville
Guercheville
Burcy   Chevrainvilliers
Obsonville Aufferville

Géologie et relief modifier

L'altitude varie de 107 mètres à 144 mètres pour le point le plus haut , le centre du bourg se situant à environ 112 mètres d'altitude (mairie)[Carte 1].

Le territoire de la commune se situe dans le sud du Bassin parisien, plus précisément au nord de la région naturelle du Gâtinais.

Géologiquement intégré au bassin parisien, qui est une région géologique sédimentaire, l'ensemble des terrains affleurants de la commune sont issus de l'ère géologique Cénozoïque (des périodes géologiques s'étageant du Paléogène au Quaternaire)[7],[8].

Géologie de la commune de Garentreville selon l'échelle des temps géologiques[7],[8].
Ères Périodes géologiques Époques géologiques Nature des sols
Cénozoïque Quaternaire Holocène
LP : Limon des plateaux de composition argilo-marneuse.
Pléistocène
Néogène Pliocène non présent.
Miocène
m1CPi : Calcaire de Beauce, Calcaire de Pithiviers (Loiret).
m1MG  : Molasse du Gâtinais, marnes vertes de Neuville-sur-Essonne (Loiret).
Paléogène Oligocène
g1CE : Calcaire d'Étampes, meulières, marnes, calcaires du Gâtinais.
Éocène non présent.

La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[9].

Hydrographie modifier

La commune n’est traversée par aucun cours d'eau[10].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[12].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 690 mm, avec 10,9 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Pierre-lès-Nemours à 10 km à vol d'oiseau[13], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 697,6 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Espaces protégés modifier

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[17],[18]. Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé, le Parc naturel régional du Gâtinais français, créé en 1999 et d'une superficie de 75 567 ha. D’une grande richesse en termes d’habitats naturels, de flore et de faune, il est un maillon essentiel de l’Arc sud-francilien des continuités écologiques (notamment pour les espaces naturels ouverts et la circulation de la grande faune)[19],[20].

Un autre espace protégé est présent sur la commune : la zone de transition de la réserve de biosphère « Fontainebleau et Gâtinais », créée en 1998 et d'une superficie totale de 150 544 ha (95 595 ha pour la zone de transition). Cette réserve de biosphère, d'une grande biodiversité, comprend trois grands ensembles : une grande moitié ouest à dominante agricole, l’emblématique forêt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine à l’est. La structure de coordination est l'Association de la Réserve de biosphère de Fontainebleau et du Gâtinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Education, unique parmi les Réserves de biosphère françaises[21],[22].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Garentreville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[23],[24],[25].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire regroupe 1 929 communes[26],[27].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (100 %)[28].

Occupation des sols en 1990 et 2018[28].
Type d’occupation 1990 2018 Bilan
Territoires artificialisés
(zones urbanisées, zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication, mines, décharges et chantiers, espaces verts artificialisés ou non agricoles)
0 ha 0,00 % 0 ha 0,00 % 0 ha  
Territoires agricoles
(terres arables, cultures permanentes, prairies, zones agricoles hétérogènes)
645,82 ha 100,00 % 645,82 ha 100,00 % 0 ha  
Forêts et milieux semi-naturels
(forêts, milieux à végétation arbustive et/ou herbacée, espaces ouverts sans ou avec peu de végétation)
0 ha 0,00 % 0 ha 0,00 % 0 ha  

Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[29],[30],[Carte 2]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].

Planification modifier

La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Nemours Gâtinais, approuvé le et porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) Nemours-Gâtinais[31].

La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[32]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 4].

Lieux-dits et écarts modifier

 
Carte du cadastre de la commune de Garentreville.

La commune compte 32 lieux-dits administratifs[Note 5] répertoriés consultables ici[33] dont Fargeville.

Logement modifier

En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 53 dont 100 % de maisons[Note 6].

Parmi ces logements, 83,5 % étaient des résidences principales, 8,3 % des résidences secondaires et 8,3 % des logements vacants.

La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 84,8 % contre 10,9 % de locataires et 4,3 % logés gratuitement[34].

Voies de communication et transports modifier

Voies de communication modifier

 
Carte des réseaux hydrographique et routier de Garentreville.

Deux routes départementales relient Garentreville aux communes voisines :

  • la D 98, à Chevrainvilliers, à l'est ;
  • la D 103, à Burcy, à l'ouest ; et à Obsonville, au sud.

Transports modifier

La commune est desservie par deux lignes d'autocars  :

Toponymie modifier

Le nom de la localité est mentionné sous les formes Guasantreville en 1192[35] ; Gasentreville en 1198[36] ; Gasentrevilla en 1203[37] ; Guesantreville en 1319[38] ; Guarantreville vers 1330[39] ; Guesentreville en 1340[38] ; Gaisentreville en 1346[38] ; Guezantreville en 1384[40] ; Guerantreville en 1386[38] ; Guesanteville en 1403[41] ; Guerentreville en 1412[38],[42].

Histoire modifier

Politique et administration modifier

Liste des maires modifier

 
La mairie.
Liste des maires successifs[43].
Période Identité Étiquette Qualité
1846   Louis Portheault    
1871   Jules Paillard    
1876   Désiré Jousset    
1881   Désiré Paillard    
1892   Zéphirin Combe    
...        
1989   Claude Vincent    
mars 2001 En cours Didier Boulay[44]   Agriculteur

Politique environnementale modifier

Équipements et services modifier

Eau et assainissement modifier

L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [45],[46].

Assainissement des eaux usées modifier

En 2020, la commune de Garentreville ne dispose pas d'assainissement collectif[47],[48].

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[49]. La commune assure le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[47],[50].

Eau potable modifier

En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la commune qui gère le service en régie[47],[51],[52].

Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Beauce[53].

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[54]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[55].

En 2021, la commune comptait 122 habitants[Note 7], en augmentation de 10,91 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
146139154159161187203179181
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
190169190171172179181175165
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
155154162143144139131118118
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1031038274857996101106
2018 2021 - - - - - - -
116122-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[56] puis Insee à partir de 2006[57].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

La commune ne dispose pas d’école primaire publique (maternelle ou élémentaire)[58].

Économie modifier

Revenus de la population et fiscalité modifier

En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 42, représentant 102 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 25 180 euros[59].

Emploi modifier

En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 15, occupant 58 actifs résidants.

Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 76,6 % contre un taux de chômage de 2,6 %.

Les 20,8 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 9,1 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 9,1 % de retraités ou préretraités et 2,6 % pour les autres inactifs[60].

Entreprises et commerces modifier

En 2015, le nombre d'établissements actifs était de 17 dont 7 dans l'agriculture-sylviculture-pêche, 1 dans la construction, 8 dans le commerce-transports-services divers et 1 étaient relatifs au secteur administratif[61].

Ces établissements ont pourvu 16 postes salariés.

Secteurs d'activité modifier

Agriculture modifier

Garentreville est dans la petite région agricole dénommée le « Gâtinais », à l'extrême sud-ouest du département, s'étendant sur un large territoire entre la Seine et la Loire sur les départements du Loiret, de Seine-et-Marne, de l'Essonne et de l'Yonne[Carte 5]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 8] de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)[62].

Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[63]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 14 en 1988 à 7 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 47 ha en 1988 à 118 ha en 2010[62]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Garentreville, observées sur une période de 22 ans :

Évolution de l’agriculture à Garentreville entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique[62],[Note 9]
Nombre d’exploitations (u) 14 9 7
Travail (UTA) 21 11 9
Surface agricole utilisée (ha) 655 836 827
Cultures[64]
Terres labourables (ha) 635 836 827
Céréales (ha) 434 538 518
dont blé tendre (ha) 223 331 270
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 36 s
Tournesol (ha) 40
Colza et navette (ha) s 40 55
Élevage[62]
Cheptel (UGBTA[Note 10]) 72 30 0

Culture locale et patrimoine modifier

 
L'église Saint-Martin.

Lieux et monuments modifier

Personnalités liées à la commune modifier

Jorge Semprún, écrivain et homme politique, y possédait une maison de campagne. Il est inhumé au cimetière de Garentreville, au côté de sa femme[65].

Voir aussi modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie modifier

  • Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Garentreville », p. 1140–1141

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
  6. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  8. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  9. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
  10. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
  • Cartes
  1. « Garentreville » sur Géoportail. Carte IGN classique.
  2. « Garentreville - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  3. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  4. « Géoportail de l’urbanisme », sur geoportail-urbanisme.gouv.fr (consulté le ).
  5. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références modifier

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  4. « Distance entre Garentreville et Fontainebleau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Distance entre Garentreville et Nemours », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Communes les plus proches de Garentreville », sur villorama.com (consulté le ).
  7. a et b « InfoTerre », sur le site du Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) (consulté le ).
  8. a et b « Carte géologique harmonisée du département de la Seine-et-Marne » [PDF], sur le site du Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) (consulté le ).
  9. « Plan séisme consulté le 30 octobre 2020 ».
  10. Site SIGES - Seine-Normandie consulté le 2 juillet 2018
  11. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  12. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  13. « Orthodromie entre Garentreville et Saint-Pierre-lès-Nemours », sur fr.distance.to (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Saint-Pierre-lès-Nemours » (commune de Saint-Pierre-lès-Nemours) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  15. « Station Météo-France « Saint-Pierre-lès-Nemours » (commune de Saint-Pierre-lès-Nemours) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  16. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  17. « Les différents espaces protégés. », sur observatoire-biodiversite-centre.fr (consulté le ).
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