Franchevelle

commune française du département de la Haute-Saône

Franchevelle est une commune française située dans le département de la Haute-Saône, la région culturelle et historique de Franche-Comté et la région administrative Bourgogne-Franche-Comté.

Franchevelle
Franchevelle
Vue générale avec les Vosges.
Blason de Franchevelle
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Haute-Saône
Arrondissement Lure
Intercommunalité Communauté de communes du Triangle Vert
Maire
Mandat
Raymond Bilquez
2020-2026
Code postal 70200
Code commune 70250
Démographie
Population
municipale
483 hab. (2021 en augmentation de 16,39 % par rapport à 2015)
Densité 46 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 44′ 28″ nord, 6° 27′ 42″ est
Altitude Min. 283 m
Max. 350 m
Superficie 10,42 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Lure
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lure-1
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Franchevelle
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Franchevelle
Liens
Site web franchevelle.fr

Géographie modifier

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Communes limitrophes modifier

  Citers Rignovelle  
N Linexert
O    Franchevelle    E
S
Quers Lure Saint-Germain

Géologie et relief modifier

Sur une superficie totale de 1 052 hectares (dont 401 hectares de bois), à 300 mètres d'altitude, Franchevelle occupe une zone vallonnée pleine de collines. Le territoire communal repose sur le bassin houiller stéphanien sous-vosgien[1].

Hydrographie modifier

Du nord-est au sud-est coule un petit ruisseau portant le nom de Lambier. Celui-ci va se jeter dans la Lanterne près de Citers. Quelques étangs sont répartis çà et là sur le territoire : La Maisonnette, Le Verret, l'étang de Corbenay et bien d'autres encore.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 163 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 10,5 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Luxeuil », sur la commune de Saint-Sauveur à 9 km à vol d'oiseau[4], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 977,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,9 °C, atteinte le ; la température minimale est de −25,9 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Franchevelle est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lure, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 33 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (53,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (41,2 %), prairies (36,7 %), zones agricoles hétérogènes (11,7 %), terres arables (4,5 %), zones urbanisées (2,9 %), eaux continentales[Note 4] (2,9 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Le nom de la localité est connu sous plusieurs formes depuis le Moyen Âge. Elles sont toutes similaires. La mention la plus ancienne du lieu est la Franche Vile en 1200[15], puis La Franchivile, puis la Fransche Vile en 1308, puis encore Franchevelle. L'élément -velle s'explique par une variante locale de l'appellatif toponymique ville au sens ancien de « domaine rural » ou de « village ». Le second sens de « village franc » convient mieux ici. Il se réfère sans doute aux franchises médiévales[16]. Les terres des comtes de Bourgogne ont été affranchies de certains impôts et redevances avant les villages d’autres domaines voisins[17].

La présence de l'article défini la dans les formes anciennes, indique qu'il s'agit d'une création toponymique relativement tardive au Moyen Âge.

Franchevelle correspond aux Franqueville, Francheville du nord de la France et aux Villefranche plus au sud.

Histoire modifier

Antiquité modifier

Avant l'apparition de la localité, une voie romaine passait par ce qui deviendra plus tard Franchevelle. Elle est orientée du nord ouest vers le sud est de Luxeuil vers Belfort, son tracé était encore reconnaissable au XIX è siecle[18],[19].

Moyen Âge modifier

Le massacre de la Sainte Ursule par les Huns vers 451 ou 454 aurait eu lieu à proximité de la bourgade. Le nom de Franchevelle apparaît au milieu du XIIIe siècle : il désignait « le bois des franches communes » qui sont respectivement Adelans, Bouhans, Quers et Linexert. L'origine de ces appellations sont quelque peu méconnues.

En 1173, la princesse Béatrix héritière de la Comté, fille de Raynaud III fonde l’hôpital des lépreuses en assurant son fonctionnement financièrement[20],[21].

La commune a changé plusieurs fois de propriétaire durant les siècles suivants comme bon nombre de communes autour de Lure. En 1415, Franchevelle était citée parmi « les cinq plus grosses villes, plus aisiez » (orthographe correcte).

En 1277, Richard fils de Thierry III comte de Montbéliard fait hommage à Alix de Méranie comtesse palatine de Bourgogne de la terre de la Francheville.

Les archives du Doubs mentionnent de 1278 à 1544 les rentes et revenus de Faucogney sur Franchevelle comme suzerain Alix de Bourgogne et son mari Philippe de Savoie, Richard fils de Thierry III comte de Montbéliard, Hugues de Bourgogne, Othon IV comte de Bourgogne. Ils ont conféré la seigneurie de Francheville à Jean de Neuf connétable, mari d’Isabelle de la Francheville puis à des gentilshommes de la terre de Faucogney[22],[23].

Période moderne modifier

Pendant la Guerre de 10 ans, comme pour les autres villages de la Comté, c’est une décennie de barbarie et de peste qu’a vécu Franchevelle. Ainsi, au recensement nominatif de la population de la Franche-Comté, il ne reste plus que 3 ménages en 1654 la population remonte à 6 ménages pour 26 personnes en 1657[24].

En 1664, le roi Philippe IV cède la baronnie de Faucogney avec la seigneurie de Franchevelle à la maison d Aremberg. Plus tard, le fief de Franchevelle passe à la famille Henrion de Faucogney[25].

En 1782, Le marquis de Châteaurenaud obtient le fief par son mariage avec Barbe Henrion de Franchevelle[26],[27].Leur fils Antoine de Mailly, secrétaire de Voltaire, conventionnel signataire de la mort de Louis XVI, décède à Franchevelle en 1819. Les héritiers du château de Franchevelle et de ses terres sont la famille Bouvier puis Galmiche-Bouvier.[28],[29]

Après la découverte du gisement de houille dans le secteur, le territoire communal est intégré en juin 1914 dans la Concession de Saint-Germain, d'une superficie de 5 308 ha. Aucun chantier d'exploitation n'a lieu, retardé par les guerres mondiales, les crises du charbon et l'incertitude d'une rentabilité[30].

Pendant l’occupation allemande de la Seconde guerre mondiale, la résistance de Franchevelle compte une quarantaine de maquisards. En représailles d’actions de la résistance, le château est détruit par la Wehrmacht ainsi que le village incendié en 1944[31].

À la fin des années 1980, la commune accueillait les studios de la station FM locale Radio Vega.

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

La commune fait partie de l'arrondissement de Lure du département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté. Pour l'élection des députés, elle dépend de la deuxième circonscription de la Haute-Saône.

La commune faisait partie depuis 1805 du canton de Lure, puis, à la suite de sa division, du canton de Lure-Nord en 1985[32]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est rattachée du canton de Lure-1.

Intercommunalité modifier

La commune était membre de la communauté de communes des Franches-Communes, créée le et qui regroupait 14 communes et environ 4 200 habitants.

Dans le cadre des dispositions de la loi du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales[33], qui prévoit toutefois d'achever et de rationaliser le dispositif intercommunal en France, et notamment d'intégrer la quasi-totalité des communes françaises dans des EPCI à fiscalité propre dont la population soit normalement supérieure à 5 000 habitants, le schéma départemental de coopération intercommunale de 2011 a prévu la fusion des communautés de communes :
- du Pays de Saulx,
- des grands bois
- des Franches Communes (sauf Amblans et Genevreuille),
et en y rajoutant la commune isolée de Velorcey, afin de former une nouvelle structure regroupant 42 communes et environ 11 200 habitants[34].

Cette fusion est effective depuis le et a permis la création, à la place des intercommunalités supprimées, de la Communauté de communes du Triangle Vert.

Liste des maires modifier

 
L'ancienne mairie de Franchevelle.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
juin 1995[35] En cours
(au 26 mai 2020)
Raymond Bilquez LR[36] Retraité
Président de l'ex-CC des Franches-Communes ( ? → 2013)
Président de la CC du Triangle Vert (2014 → )
Vice-président du SIED-70 (2014[37] → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[38]

Démographie modifier

On dénombrait 20 ménages en 1614. En 2021, la commune de Franchevelle comptait 483 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Les autres « recensements » sont des estimations.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
397435519598601567572527539
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
497491487466500554529506488
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
461483492427385354333283259
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
266264242233296310333348410
2014 2019 2021 - - - - - -
414451483------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

L'économie est essentiellement agricole laitière et fruits rouges[40].

Culture locale et patrimoine modifier

 
L'église.

Lieux et monuments modifier

Personnalités liées à la commune modifier

  • Antoine de Mailly (25 novembre 1742 - 12 juin 1819) a été secrétaire de Voltaire, premier président de la Société d’agriculture, sciences et arts de la Haute-Saône et premier maire de Vesoul. Il a été enterré à Franchevelle[41].
  • Jean-Baptiste-Joseph Bouvier (9 avril 1770 - 18 novembre 1812, Krasnoë Russie) : Napoléon Ier lui a conféré le titre de baron d'Empire, il est mort lors de la campagne de Russie.
  • Claude-Joseph-Hippolyte Bouvier (8 ventôse an X - 4 mars 1876, Franchevelle) : baron, fils du baron Jean-Baptiste-Joseph Bouvier partage son travail entre Vesoul et Franchevelle.
  • Charles Roger Galmiche-Bouvier (3 août 1838 - 1894, Franchevelle), petit-fils du député Nicolas Galmiche, il a repris le château de Franchevelle et les terres agricoles de son grand-oncle le baron Jean-Baptiste-Joseph Bouvier. Il s'est dévoué entièrement à la cause agricole.

Héraldique modifier

  Blason
De gueules au chevron d’argent chargé de quatre burelles ondées d’azur, accompagné en chef de cinq étoiles d’argent ordonnées en sautoir accostées de deux rameaux, de hêtre à dextre et de chêne à senestre, feuillés de trois pièces et fruités de deux, et en pointe d’un lis de jardin d’argent tigé et feuillé d’or, ses pistils de même.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi modifier

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articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Édouard Thirria, Manuel à l'usage de l'habitant du département de la Haute-Saône, (lire en ligne), p. 184-185.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Franchevelle et Saint-Sauveur », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Luxeuil », sur la commune de Saint-Sauveur - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Luxeuil », sur la commune de Saint-Sauveur - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lure », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Librairie Guénégaud, Paris, 1989 (ISBN 2-85023-076-6).
  16. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France: Volume 1, Droz, p. 1490.
  17. L. Suchaux, La Haute-Saône: dictionnaire historique, topographique et statistique des communes du département..., Imprimerie et lithographie de A. Suchaux, (lire en ligne), P 276 A défaut de données historiques bien précises on peut admettre que la Franche Ville village franc et les Franches Communes furent ainsi désignées par suite de franchises à elles accordées particulièrement par leurs seigneurs à une époque où d autres communautés voisines ne jouissaient pas encore des mêmes concessions.
  18. L. Suchaux, La Haute-Saône: dictionnaire historique, topographique et statistique des communes du département..., Imprimerie et lithographie de A. Suchaux, (lire en ligne), P 277 Sur le territoire de Franchevelle vestiges d une voie romaine qui se dirigeait du nord ouest vers sud est c est à dire de Luxeuil vers Belfort Le tracé en est bien reconnaissable à la pointe orientale de l étang dit de Corbenay près du hameau de la Boiche et au nord ouest du Bois Derrière.
  19. Victor Du Bled, « La Franche-Comté Deuxième partie », Revue des Deux Mondes, vol. 118, no 1,‎ , P 1 Au-delà du chemin romain, qui va de Besançon à Langres, sont les gabelles, impôts et servitudes royales; au-delà les nobles libertés de la franche terre de Bourgogne.
  20. Jean-Yves Mariotte, Le comté de Bourgogne sous les Hohenstaufen, 1156-1208, Presses universitaires de Franche-Comté, (ISBN 978-2-251-60056-7, lire en ligne), P 168 Page 168 ... 1173 ( mars ) . - Béatrice fonde et dote d'un cens l'hôpital de lépreuses de Franchevelle . - Acte perdu connu par trois mentions : F. Güterbock , Zur Geschichte Burgunds , p . 169 ; B. N. , Baluze 142 , f . 130 v ° ; Cartul . de l'Hôpital ...
  21. Victor Du Bled, « La Franche-Comté : Première Partie », Revue des Deux Mondes, vol. 117, no 2,‎
  22. Jules Gauthier, Inventaire-sommaire des archives départementales antérieures a 1790: Doubs, Paul Jacquin, (lire en ligne), P 190
  23. Mémoires de la Société d'émulation du Jura, Société d'émulation du Jura, (lire en ligne)
  24. François Lassus, La population de la Franche-Comté au lendemain de la guerre de dix ans: Bailliages de Vesoul et de Gray, Presses Univ. Franche-Comté, (ISBN 978-2-251-60586-9, lire en ligne)
  25. L. Suchaux, La Haute-Saône: dictionnaire historique, topographique et statistique des communes du département..., Imprimerie et lithographie de A. Suchaux, (lire en ligne), P 276
  26. Henry de baron Woelmont, Notices généalogiques, Champion, (lire en ligne)
  27. J. Finot, Inventaire-sommaire des archives départementales antérieures a 1790: Haute-Saone, (lire en ligne)
  28. Commission d'archéologie de la Haute-Saône Vesoul, Mémoires de la Commission d'archéologie, L. Suchaux, (lire en ligne)
  29. Journal de l'agriculture de la ferme et des maisons de campagnes de la zootechnie, de la viticulture, de l'horticulture, de l'économie rurale et des intérêts de la propriété, (lire en ligne)
  30. « En 1914, le bassin houiller de Ronchamp faillit avoir un voisin… », sur aetdebesancon.blog.lemonde.fr, .
  31. Jean-Pierre Perrin, L'honneur perdu d'un Résistant, FeniXX réédition numérique, (ISBN 978-2-402-08905-0, lire en ligne), ... et à son chef l'adjudant-chef René B., qui fut l'ami d'Henri Cerutti. Le maquis de Franchevelle compte une quarantaine d'hommes, dont certains auront une belle conduite au feu dans les derniers mois de l'occupation.... En revanche, le château et le village sont brûlés. Seule l’église est épargnée.
  32. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Loi n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales sur Légifrance.
  34. « Arrêté préfectoral du 23 décembre 2011, portant définition du schéma départemental de coopération intercommunale du département de la Haute-Saône » [PDF], Préfecture de la Haute-Saône (consulté le ), p. 5.
  35. « Municipales : Raymond Bilquez vise un 7e mandat », L'Est républicain, édition de la Haute-Saône,‎ (lire en ligne) « Élu conseiller municipal en 1977, adjoint en 1983, maire dès 1995, c’est pour un 4e mandat de maire que Raymond Bilquez sollicite les suffrages de ses administrés à la tête d’une « Liste des Intérêts communaux ».
  36. « Résultats municipales 2020 à Franchevelle », sur Le Monde.fr (consulté le ).
  37. « Comite syndical du SIED 70 du 26 avril 2014 - Procès-verbal de l'élection du bureau du SIED-70 » [PDF], sur sied70.fr (consulté le ).
  38. « Franchevelle : Raymond Bilquez : 4e mandat », sur L'Est républicain, (consulté le ).
  39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  40. France TV 3 Franche-Comté
  41. « La tombe du secrétaire de Voltaire », sur estrepublicain.fr (consulté le ).