Fontaines-Saint-Martin

commune française de la métropole de Lyon

Fontaines-Saint-Martin
Fontaines-Saint-Martin
La mairie de Fontaines-Saint-Martin en 2019.
Blason de Fontaines-Saint-Martin
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Métropole Métropole de Lyon
Circonscription départementale Circonscription départementale du Rhône
Arrondissement Lyon
Maire
Mandat
Virginie Poulain
2020-2026
Code postal 69270
Code commune 69087
Démographie
Gentilé Saint-Martinois[1].
Population
municipale
3 043 hab. (2021 en diminution de 1,43 % par rapport à 2015)
Densité 1 111 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 50′ 42″ nord, 4° 51′ 14″ est
Altitude Min. 182 m
Max. 288 m
Superficie 2,74 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Lyon
(banlieue)
Aire d'attraction Lyon
(commune de la couronne)
Localisation
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Liens
Site web http://www.fontaines-saint-martin.fr/

Fontaines-Saint-Martin est une commune française, située dans la métropole de Lyon en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Ses habitants sont les Saint-Martinois.

Géographie modifier

Situation modifier

Distante de 13 kilomètres par rapport à la place Bellecour, point kilométrique 0 de Lyon, la commune est située au nord-est de la Métropole de Lyon et face au petit massif du Mont d'Or.

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Lieux-dits et écarts modifier

Le David et le Buisson avec son château médiéval sont les hameaux les plus anciens (XIe et XIIe siècles).

Puis vinrent les hameaux des Guettes avec la présence de moulins à grains et à huile sur le ruisseau d'Ayon qui prit ensuite le nom de ruisseau des Vosges.

Le Trève Oray et le Mas-Joint datent du XVIe siècle, et apparurent les hameaux du Cantin, du Petit Moulin et de la Ruelle.

Le cimetière placé autour de l'église fut déplacé en haut de la montée du même nom en 1835.

Communes limitrophes modifier

Communes limitrophes de Fontaines-Saint-Martin
Fleurieu-sur-Saône Fleurieu-sur-Saône Cailloux-sur-Fontaines
Rochetaillée-sur-Saône   Sathonay-Village
Fontaines-sur-Saône Fontaines-sur-Saône Sathonay-Village

Les villes voisines sont :

Relief modifier

Hydrographie modifier

Le ruisseau des Vosges court sur la commune.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat semi-continental et le climat de montagne et est dans la région climatique Bourgogne, vallée de la Saône, caractérisée par un bon ensoleillement (1 900 h/an), un été chaud (18,5 °C), un air sec au printemps et en été et des vents faibles[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 823 mm, avec 9,3 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lyon-Bron », sur la commune de Bron à 13 km à vol d'oiseau[4], est de 13,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 820,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Transports modifier

Desserte routière modifier

 
La rue du Diot en 2018.

L'artère principale du village est la rue du Diot et aboutit sur la Place du Moulin (la place principale de Fontaines-Saint-Martin)

Transports ferroviaires modifier

Un pont de chemin de fer de la ligne Lyon-Trévoux enjambe la petite vallée à l'ouest.

Transports en commun modifier

 
L'arrêt de bus Fontaines-Saint-Martin-Centre desservi par la ligne 77.

Les Transports en commun lyonnais (TCL) desservent la commune, notamment avec la ligne     qui part de Montessuy pour rejoindre Fontaines-sur-Saône.

Ils assurent également des transports scolaires grâce à sept lignes dites Junior Direct desservant les établissements scolaires suivants :

  • JD 61 : collège André Lassagne à Caluire, collège et lycée Antoine de Saint-Exupéry et lycée Denis Diderot à Lyon ;
  • JD 73, 74 et 75 : école Notre-Dame de Bellegarde et lycée Rosa Parks à Neuville-sur-Saône, uniquement le matin ;
  • JD 79 : lycée Rosa Parks à Neuville-sur-Saône ;
  • JD 311 et 314 : collège Jean de Tournes à Fontaines-sur-Saône.

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Fontaines-Saint-Martin est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lyon, une agglomération inter-départementale regroupant 124 communes[11] et 1 653 951 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Lyon est la deuxième plus importante de la France en termes de population, derrière celle de Paris[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 398 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[14],[15].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (54 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (46,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (54 %), terres arables (17,5 %), zones agricoles hétérogènes (16,6 %), forêts (11,8 %), prairies (0,1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Deux lieux géographiques en France portent un nom identique :

  1. la commune de La Fontaine-Saint-Martin dans la Sarthe,
  2. Les Fontaines Saint-Martin, lieu-dit en Gironde à côté de Blaye.

Ces trois sites ont comme point commun le passage de voies romaines sur leurs terres qu'empruntait saint Martin pour aller évangéliser les campagnes gauloises[réf. nécessaire].

Héraldique modifier

Histoire modifier

Le village, appelé Saint-Martin de Fontaines de 1245 à 1850, aurait été fondé par saint Martin de Tours en 377, qui avait participé à la fondation des premières communautés chrétiennes du Val de Saône. Cette année-là, il détruisit un temple romain dédié à Isis, dont certains restes en marbre de Carrare ont été découverts récemment lors de fouilles[réf. nécessaire]. Puis il baptisa les habitants du village aux fontaines nombreuses qui existaient, ce qui fut l'origine du nom de la bourgade. Au Moyen Âge, le village était un lieu de pèlerinage réputé[réf. nécessaire], les pèlerins venant prier saint Martin, premier patron de la France. Une fontaine trônant sur la place du village fait référence à l'épisode fameux de la cape que le saint partagea en deux.

Placée dès le XIIIe siècle sous la protection du comté puis duché de Savoie, et indirectement, du Saint-Empire, la province du Franc-Lyonnais à laquelle appartient le village de Saint-Martin de Fontaines, est réunie au royaume de France vers 1475, puis cédée par la Savoie au traité de Turin en 1696. De nombreuses croix de Savoie dans l'église et sur le blason communal rappellent ces origines.

En 1789, le Franc-Lyonnais occidental est intégré dans le nouveau département de Rhône-et-Loire, cependant que Saint-Martin de Fontaines est réuni avec les paroisses Saint-Louis (Fontaines-sur-Saône) et Notre-Dame de Fontaines (Cailloux-sur-Fontaines) au sein d'une commune dont Cailloux se sépare dès 1793. Enfin, la commune de Fontaines-sur-Saône est créée par la loi du 25 juin 1850.

 
Le monument aux morts

Fontaines-Saint-Martin a connu l’évolution naturelle d’une commune rurale jusqu’aux années 1980. Une modification importante a eu lieu à cette époque avec la création du centre village (place Jean Moulin, commerces, école). Dans les années 1990, la zone pavillonnaire du Belvédère et des Coteaux se sont construits.

Ont suivi la création du pôle médical, du site petite enfance et de la cantine, la réhabilitation de la ferme Soliman-Pacha, la zone d’habitation du Père Chevrier.

Le Grand Lyon disparait le , et laisse place à la collectivité territoriale de la métropole de Lyon. La commune quitte ainsi le département du Rhône[17].

Politique et administration modifier

Tendances politiques et résultats modifier

Administration municipale modifier

Liste des maires modifier

Maires de Saint-Martin de Fontaines puis de Fontaines Saint-Martin :

Liste des maires successifs depuis 1945
Période Identité Étiquette Qualité
2014 En cours Virginie Poulain SE Première femme maire de la commune
2008 2014 André Gléréan DVD  
2001 2008 Patrick Laurent SE Vice-président du Grand Lyon, chevalier du Mérite agricole
1977 2001 Pierre Magnard DVD Conseiller communautaire
1945 1977 Charles Laroche DVD Doyen des maires du Rhône[Quand ?]

Intercommunalité modifier

La commune fait partie du Val de Saône, une des neuf subdivisions de la communauté urbaine du Grand Lyon dont elle représente environ 0,52 % du territoire et 0,21 % de la population en 2007[Note 3].

Budget et fiscalité modifier

Jumelages modifier

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[19].

En 2021, la commune comptait 3 043 habitants[Note 4], en diminution de 1,43 % par rapport à 2015 (Rhône : +3,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 0001 2051 3611 3461 4801 4201 5801 580810
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
797812772720710704696655708
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
669636622602694684710712878
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 0261 3061 8262 0562 1242 7212 7022 6983 060
2017 2021 - - - - - - -
3 0523 043-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

 
Le groupe scolaire Roger Gavage.

Fontaines-Saint-Martin est située dans l'académie de Lyon.

Le groupe scolaire Roger Gavage intègre une école maternelle et une école élémentaire.

Manifestations culturelles et festivités modifier

Santé modifier

Sports modifier

Cadre de vie modifier

Cultes modifier

Environnement modifier

Économie modifier

Revenus de la population et fiscalité modifier

En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 47 038 €[22].

Emploi modifier

Entreprises et commerces modifier

Culture locale et patrimoine modifier

Patrimoine architectural modifier

 
Le Château du Buisson au début du XXe siècle
 
L'église Saint-Martin.

L'église est le principal monument du village. Fondée en 377 par saint Martin, une chapelle fut bâtie au IXe siècle qui existe encore dans la nef latérale droite de l'église. Puis une église plus importante a été construite au XVIIe siècle, son autel est exposé dans la chapelle Sainte-Philomène. Enfin, en 1835, fut édifiée l'église actuelle qui a été financée dans sa totalité par le Chanoine Colomb de Gast[réf. nécessaire], curé de la paroisse. Entièrement rénové à l'extérieur comme à l'intérieur, ce monument sacré à classer dans le rustique flamboyant[Quoi ?], rappelle les églises savoyardes et piémontaises. Le mardi 19 mars 1989, dans les salons de la Préfecture du Rhône, le maire recevait des mains de Monsieur Yves Bruyas, vice-président du Conseil Général le Premier Prix Départemental pour la protection du patrimoine historique et artistique, à l'occasion de la restauration intérieure de l'Église de saint-Martin[réf. nécessaire].

Personnalités liées à la commune modifier

Plusieurs personnages célèbres ont séjourné dans la commune de Saint-Martin de Fontaines[réf. nécessaire] : Hugues Ier de Bourgogne (1106), le pape Innocent IV (1244), le cardinal Pierre de Tarentaise (1271) qui deviendra pape sous le nom de bienheureux Innocent V, le Duc de Savoie Amédée VIII (1420), le cardinal Charles de Bourbon (1448), le duc de Savoie Charles III (1510), le cardinal Jean de Lorraine (1538), Camille de Neuville de Villeroy archevêque de Lyon (1663), le Duc de Savoie et Roi de Sardaigne Victor-Amédée II (1682), le cardinal Joseph Fesch, oncle de Napoléon (1836), etc.

Deux hommes célèbres viennent à Saint-Martin, Joseph Seve (1788-1860) dit « Soliman Pacha » officier sous le premier empire et Major Général des armées égyptiennes du roi Méhémet Ali, dont l'arrière grand-père était meunier à Saint-Martin au Buisson, et Jean-Henri Lagrange (1845-1909) qui fut président du Conseil Général du Rhône et qui demeurait au Mas-Joint. Le saint curé d'Ars, ami intime du chanoine Colomb de Gast, séjourna souvent à la cure. Il confessait les Saint-Martinois dans le confessionnal toujours situé dans la chapelle de Saint-Antoine de Padoue. Le chanoine fut chargé d'instruire pour le Vatican le procès en béatification de Jean-Marie Vianney.

Joseph Anthelme Seve (1788-1860) dit Soliman Pacha modifier

Joseph Seve est né le 17 mai 1788 à Lyon à bord du bateau usine de son père. Il est le fils d’Anthelme Sevoz et d’Antoinette Julliet sa femme. Il est le deuxième enfant du couple. En 1793, enfant de 5 ans, il part avec ses parents en exil à Lhuis (Ain), le village de son père. Il y trouve une autre vie. Il passe du monde urbain au monde rural. Il se forge un tempérament de travailleur, de valeurs, entraîné par Marie, une très jeune préceptrice dévouée et merveilleuse pour combler les malheurs de la révolution. C’est un enfant généreux, créatif et plein de bonheur. Dans ces lieux apaisés il se révèle très doué, si bien qu’à dix ans il réussit au concours pour entrer aux Écoles de la Marine, le 2 vendémiaire an VII (23 septembre 1798). Il embarque alors sur la frégate "La Muiron", au port de Toulon dans le Var. Un an après, il se retrouvera comme valet et accompagnateur du Général Bonaparte de retour d'Égypte, ce, pendant 47 jours, suivi de 4 jours en voiture pour retrouver sa famille à Lyon. Épisode de sa vie qui réglera son devenir. En 1801 il participe à la bataille navale d'Algégiras. En 1802, il est de l'expédition de Saint Domingue. Il entre, le 25 septembre 1803, à l’École de l’Artillerie de Marine pour devenir officier. Ayant failli perdre la vie à Trafalgar en 1805, il réussit à retourner à terre et à continuer son ascension vers la gloire. Sa gloire ! Promu dans une formation d'élite, le 2 mai 1807, il est incorporé au 6e Régiment de Hussards à Udine en Italie. Tout basculera en 1807 quand il est admis à terre au 6e Hussards, section spéciale, il apprendra l’Art du renseignement et de la diplomatie, il change de prénom et prend celui de son père : Anthelme !

Le 20 avril 1808, il est opérationnel dans toute l'Europe de l'Est, aidé par Napoléon et la Franc Maçonnerie, très active en ces temps-là. Ce n'est plus un enfant, il va avoir 20 ans et il va devenir un très grand serviteur de l'Empire et de la France. Il finira officier, lieutenant porte étendard du 14e régiment de Chasseur à Cheval sous le premier Empire.(source Marc Pittiou 2014 : "L'enfance de Joseph Seve, futur Soliman Pacha").

À la Restauration il se plaça aux ordres de Méhémet-Ali, Vice-Roi d’Égypte. Il deviendra son confident et son ami et sera nommé Major Général des armées égyptiennes. C’est sur son initiative que Ferdinand de Lesseps constructeur du Canal de Suez[réf. nécessaire], Horace Vernet grand peintre de l’époque, Gustave Flaubert et Gérard de Nerval séjournèrent aux pays des Pharaons. Une de ses filles se maria avec Chérif Pacha, petit-fils de Méhémet-Ali, dont la descendance régna avec les rois Farouk Ier et Fouad II. Son arrière-petite-fille, la Princesse Fawzia d'Égypte, décédée en juillet 2013, , fut la première femme du Shah d’Iran. Le 5 mai 1846, date anniversaire de la mort de Napoléon Ier, le roi Louis-Philippe nomme, sur le Champ de Mars, Grand Officier de la Légion d’Honneur le Généralissime Égyptien Soliman Pacha. Lors de ses passages en France il venait toujours se ressourcer une dizaine de jours dans le village.

Autres personnalités modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Calcul basé sur les données de l'INSEE
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. « Nom des habitants des communes françaises », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Fontaines-Saint-Martin et Bron », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Lyon-Bron », sur la commune de Bron - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Lyon-Bron », sur la commune de Bron - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Lyon », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lyon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Métropole : clap de fin pour le Grand Lyon, Lyon Capitale
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  22. « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 | Insee », sur insee.fr (consulté le ).

Annexes modifier

Bibliographie modifier

  • Patrick Laurent, Si Saint-Martin m'était conté... Fontaines Saint-Martin en Franc-Lyonnois. L'Aube précède l'Aurore, Lyon, , 112 p..
  • Hier engendre Demain
  • Marc Pittiou, L'enfance de Joseph Seve, futur Soliman Pacha, éditions Marc Pittiou

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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