Crêches-sur-Saône

commune française du département de Saône-et-Loire

Crêches-sur-Saône
Crêches-sur-Saône
L'église Saint-Jacques-le-Majeur.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Saône-et-Loire
Arrondissement Mâcon
Intercommunalité CA Mâconnais Beaujolais Agglomération
Code postal 71680
Code commune 71150
Démographie
Gentilé Crêchois
Population
municipale
3 156 hab. (2021 en augmentation de 6,91 % par rapport à 2015)
Densité 338 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 14′ 51″ nord, 4° 47′ 14″ est
Altitude Min. 169 m
Max. 230 m
Superficie 9,33 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Mâcon
(banlieue)
Aire d'attraction Mâcon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de La Chapelle-de-Guinchay
Législatives 1re circonscription de Saône-et-Loire
Localisation
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Crêches-sur-Saône
Liens
Site web https://creches-sur-saone.com/fr/

Crêches-sur-Saône est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Géographie modifier

Localisation modifier

Communes limitrophes modifier

Les communes limitrophes sont Cormoranche-sur-Saône, Garnerans, Chaintré, Chânes, La Chapelle-de-Guinchay et Varennes-lès-Mâcon.

Communes limitrophes de Crêches-sur-Saône
Chaintré
Chânes   Cormoranche-sur-Saône (Ain)
La Chapelle-de-Guinchay Garnerans (Ain)

Hydrographie modifier

Comme son nom le suggère, le territoire communal est limité à l'est par le lit de la Saône, l'un des principaux affluents du fleuve le Rhône.

L'Arlois y conflue.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat semi-continental et le climat de montagne et est dans la région climatique Bourgogne, vallée de la Saône, caractérisée par un bon ensoleillement (1 900 h/an), un été chaud (18,5 °C), un air sec au printemps et en été et des vents faibles[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 868 mm, avec 10,3 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mâcon », sur la commune de Charnay-lès-Mâcon à 7 km à vol d'oiseau[3], est de 12,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 833,7 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,8 °C, atteinte le ; la température minimale est de −21,4 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Crêches-sur-Saône est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Mâcon, une agglomération inter-régionale regroupant 16 communes[11] et 61 519 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Macon dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 105 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols modifier

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (68,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (37,7 %), zones urbanisées (22,5 %), zones agricoles hétérogènes (13,4 %), terres arables (7,7 %), eaux continentales[Note 4] (7,2 %), cultures permanentes (4,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,8 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,4 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement modifier

En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 1 547, alors qu'il était de 1 387 en 2015 et de 1 289 en 2010[I 1].

Parmi ces logements, 91,8 % étaient des résidences principales, 0,5 % des résidences secondaires et 7,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 74,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 23,8 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Crêches-sur-Saône en 2020 en comparaison avec celle de Saône-et-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,5 %) inférieure à celle du département (7,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 68 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (66,7 % en 2015), contre 64,2 % pour la Saône-et-Loire et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Crêches-sur-Saône en 2020.
Typologie Crêches-sur-Saône[I 1] Saône-et-Loire[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 91,8 82,3 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,5 7,4 9,7
Logements vacants (en %) 7,8 10,2 8,2

Voies de communication et transports modifier

La commune est traversée par l'autoroute A6, dont l'accès le plus proche est la sortie 29 : Mâcon-sud, Moulins.

Le , le nouveau pont d'Arciat entre Crêches-sur-Saône et Cormoranche-sur-Saône est inauguré. Ce pont d'une longueur de 263 mètres en béton-acier qui a couté 21,5 millions d'euros a été construit par les entreprises Campenon-Bernard et Cimolai[Note 5]. L'ancien pont provisoirement reconstruit après la guerre, sera démoli[17].

La gare de Crêches-sur-Saône, établie sur la ligne de Paris-Lyon à Marseille-Saint-Charles, est desservie desservie par des trains express régionaux TER Rhône-Alpes de la relation : Mâcon - Lyon-Perrache (- Valence).

Toponymie modifier

 

La commune, instituée par la Révolution française sous le nom de Crèche, prend ultérieurement celui de Crèches avant de prendre en 1893 sa dénomination actuelle de Crêches-sur-Saône[18].

Histoire modifier

Antiquité modifier

Le territoire de Crêches-sur-Saône est fréquenté depuis l’Antiquité puisqu’il se trouvait ici une villa romaine, dont nous avons retrouvé quelques rares vestiges. La présence de cette villa ici n’est pas très surprenante : le village se trouve sur la via Agrippa, une des voies romaines les plus importantes, qui reliait Burdigala (Bordeaux) à Lugdunum (Lyon), capitale des Gaules. Cette voie longeait la Saône, et est encore appelée sur le cadastre de Crêches « Vieux chemin de Mâcon à Belleville » De plus il y avait non loin un poste militaire romain à Ludna (Belleville).

Moyen Âge modifier

En août 880, a lieu la bataille de Crêches-sur-Saône, qui voit la victoire des Carolingiens de Louis III contre les troupes du Lotharingien Boson.

Peu à peu, le territoire s’est peuplé, et au Xe siècle, le village de Cropio existe déjà. On signale la présence d’un marché en ces lieux, et un cartulaire des moines de Cluny, daté de 910, y cite la construction d’une église[réf. nécessaire].

Au Xe siècle, le village dépend de la Bourgogne pour la majeure partie (2/3 de son territoire actuel), dont le château et la seigneurie, mais pour autre partie de Beaujeu et donc du royaume de France, les influences et servitudes des seigneuries et du clergé s’entremêlant, se juxtaposant, se contredisant aussi parfois.

De là une situation longtemps explosive, ce qui explique la présence de deux châteaux défensifs : d’abord Germolles, qui sombra rapidement au profit des seigneurs du château d'Estours, dynastie fondé par les « de Feurs ».

Les seigneurs d'Estours sont liés aux évêques de Mâcon, mais accueillent sur leurs terres la dépendance d’une abbaye beaujolaise. On pense en effet que la création de l'abbaye de Joug Dieu, dépendant d'un ordre dont la maison mère se trouve à Villefranche-sur-Saône, a servi leurs intérêts. Elle sera longtemps un argument de poids dans la gestion de leurs affaires[réf. nécessaire].

Le village a connu de nombreux conflits, de nombreuses rivalités, que ce soit pour des intérêts locaux (justice, propriétés) ou nationaux. La guerre de Cent Ans en fut l'apogée. C’est à la fin de celle-ci que Germolles disparaît de l’histoire de la commune. En 1437, on apprend que ses seigneurs de Germolles ont perdu toutes leurs possessions au profit de ceux d’Estours[réf. nécessaire].

Voie de circulation, Crêches verra passer de nombreuses armées d'invasion, comme les Écorcheurs en 1443, ainsi que les convois de vin romains, les pèlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle, et les commerces de toutes sortes...

Révolution française et Empire modifier

Sous la Révolution, la seigneurie de Beaujeu est incluse au Rhône. Le canton, en majorité de dépendance beaujolaise, est lui inclus à la Saône-et-Loire, Bourgogne-Franche-Comté : en représailles au comportement résistant des Lyonnais sous la Terreur, on ampute le département du Rhône de ce canton.

Le village voit encore ses frontières redéfinies en 1805. Un décret napoléonien rattachera en effet le hameau de Dracé les Ollières, alors sur Chânes, à Crêches-sur-Saône. Ce décret semble faire suite à de nombreuses disputes et tractations entre les deux villages concernant des droits de passage et les propriétés de l'un ou l'autre[réf. nécessaire].

Le village voit passer les troupes coalisés contre Napoléon en 1814, qui font de nombreux dégâts.

Époque contemporaine modifier

Durant la Seconde Guerre mondiale, l'armée allemande s'installe au château d'Estours).

Le général de Lattre de Tassigny se cache[Quand ?] pendant la guerre au port d'Arciat, un hameau de Crêches-sur-Saône, avant de rallier l'Angleterre[19].

En 1981, Carrefour vient implanter un centre commercial dans la commune, le Carrefour Les Bouchardes qui ne cesse depuis de s'agrandir.

En 2019, la commune est traversée par le Tour de France.

Politique et administration modifier

 
Mairie.

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Rattachements administratifs modifier

La commune se trouve dans l'arrondissement de Mâcon du département de la Saône-et-Loire.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de La Chapelle-de-Guinchay[18]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux modifier

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de La Chapelle-de-Guinchay porté de 11 à 34 communes.

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de Saône-et-Loire.

Intercommunalité modifier

Crêches-sur-Saône était membre de la communauté de communes du Mâconnais Beaujolais, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1993 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté d'agglomération dénommée Mâconnais Beaujolais Agglomération, dont est désormais membre la commune.

Tendances politiques et résultats modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1912   Félix Pinsard Rad. Viticulteur
Conseiller général de La Chapelle-de-Guinchay (1938 → 1940)
         
octobre 1947 mars 1971 Jules Pinsard Rad. puis MRG Négociant en bestiaux
Sénateur de Saône-et-Loire (1951 → 1977)
Conseiller général de La Chapelle-de-Guinchay (1945 → 1982)
mars 1971 juillet 1981 Jean Dubessay   Mort en fonction
juillet 1981 mars 2014 Daniel Juvanon[20] UDF puis UMP Directeur commercial retraité
Conseiller général de La Chapelle-de-Guinchay (1994 → 2015)
Président de la CC du Mâconnais Beaujolais
mars 2014[21] mai 2020[22] Michel Rosi SE Enseignant retraité
mai 2020[23] juin 2023[24] Roger Thévenot SE Cadre administratif hospitalier retraité
Démissionnaire
juillet 2023[25] février 2024[26] Christian Jolivet[27] SE Directeur de filiale
Démissionnaire

Population et société modifier

Les habitants sont les Crêchois[28],[29], Crêchons[28].

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

En 2021, la commune comptait 3 156 habitants[Note 6], en augmentation de 6,91 % par rapport à 2015 (Saône-et-Loire : −1,1 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
6065508739489711 0601 0681 0911 180
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 2091 2461 2281 2801 2941 2101 1501 1931 253
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1801 2251 2331 1141 1141 1371 0491 0081 089
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 2541 5882 1692 3452 5312 7532 8332 8252 846
2015 2020 2021 - - - - - -
2 9523 1403 156------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Cultes modifier

Les fidèles catholiques de Crêches-sur-Saône relèvent de la paroisse Notre-Dame-des-Vignes en Sud-Mâconnais, qui a son siège à La Chapelle-de-Guinchay et qui regroupe quatorze villages du Mâconnais. Elle fait partie du doyenné de Mâcon et du diocèse d'Autun :

Économie modifier

 
Vue sur la Bresse et le Mâconnais. La photo a été prise au sommet de la roche de Solutré. En premier plan, on voit la zone commerciale des Bouchardes à Crêches-sur-Saône qui se situe devant le pont d'Arciat, qui lui-même est devant le château d'eau de Bey.

Vignoble modifier

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

 
Chapelle Saint-Roch.

Crêches-sur-Saône dans les arts modifier

Crêches-sur-Saône est citée dans le poème d'Aragon, Le conscrit des cent villages, écrit comme acte de Résistance intellectuelle de manière clandestine au printemps 1943, pendant la Seconde Guerre mondiale[33].

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

  Blason
D'azur à la roue de chariot de huit rayons d'or accompagnée en chef de deux poissons affrontés d'argent et en pointe de deux châteaux du même, à la bordure cousue de gueules chargée de 24 grappes de raisin d'or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Cimolai est une entreprise italienne spécialiste de la construction métallique.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

Autres sources modifier

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Crêches-sur-Saône et Charnay-lès-Mâcon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Mâcon », sur la commune de Charnay-lès-Mâcon - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Mâcon », sur la commune de Charnay-lès-Mâcon - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Mâcon », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d'habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Mâcon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Le Moniteur no 5576 du 8 octobre 2010.
  18. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. Johan Bozon, « Sur les traces de De Lattre », sur lejsl.com, Le Journal de Saône-et-Loire, (consulté le ).
  20. Bernard Chapuis, « Daniel Juvanon devient maire honoraire : C’est un homme serein qui laisse sa place après 43 années passées à la mairie de Crêches », Le Journal de Saône-et-Loire,‎ (lire en ligne, consulté le ) « C’est en 1971, âgé de 31 ans, que Daniel Juvanon intègre le conseil municipal directement comme premier adjoint. En 1981, suite au décès du maire Jean Dubessay, Daniel Juvanon devient maire. Sept mandats plus tard, il laisse la place à Michel Rosi, élu dès le premier tour le 23 mars ».
  21. Bernard Chapuis, « Michel Rosi a été élu maire », Le Journal de Saône-et-Loire,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Michel Rosi, tête de liste de «L’essentiel c’est Crêches» s’est vu confié le rôle de maire pour cette nouvelle mandature (18 voix pour et 4 contre) face à Marie Joubert-Laurencin ».
  22. Jean Gatille, « Michel Rosi raccrochera son écharpe de maire en mars : Avec les prochaines élections municipales, en mars, Michel Rosi achèvera 37 années au service de la commune, dont six comme maire. Il fait le bilan de toutes ces années et livre ses regrets », Le Journal de Saône-et-Loire,‎ 15/12/2019 ;mis à jour le 17/1/2020 (lire en ligne  , consulté le ) « Élu conseiller en 1983, 5e adjoint, puis 3e et ensuite 1er pendant 13 ans, il est devenu maire pour six ans en 2014 ».
  23. « Roger Thévenot élu maire par le conseil municipal », Le Journal de Saône-et-Loire,‎ 25/5/2020 mis à jour le 27/5/2020 (lire en ligne, consulté le ) « L'ex-premier adjoint de Michel Rosi (qui ne se représentait pas) a été élu avec 18 voix, contre quatre pour son opposant à l'élection municipale, Alain Houdinet ».
  24. « Crêches-sur-Saône – Le maire, Roger Thévenot, jette l’éponge à mi-mandat : Le premier magistrat de la commune a formalisé sa demande à la préfecture de Mâcon, jeudi 8 juin », La Voix de l'Ain,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Après deux mandats en tant qu’adjoint, le premier sous Daniel Juvanon et le deuxième sous Michel Rosi, dont il a pris la suite en 2020, l’élu local quitte l’écharpe bleu blanc rouge ».
  25. Jean Gatille, « Christian Jolivet élu maire de la commune : Suite à la démission de Roger Thévenot et de Crystelle Chanaud adjointe, le conseil devait réélire un nouveau maire et déterminer le nombre d'adjoints avant de les élire », Le Journal de Saône-et-Loire,‎ (lire en ligne).
  26. Adrien Wagnon, « Sept mois après son élection, le maire, Christian Jolivet, a démissionné : Christian Jolivet, le maire de Crêches-sur-Saône rend son écharpe. À peine sept mois après son élection, qui faisait suite à la démission de Roger Thévenot, il a jeté l’éponge. De nouvelles élections municipales se dérouleront en avril », Le Journal de Saône-et-Loire,‎ (lire en ligne  ).
  27. Maire, sur creches-sur-saone.com
  28. a et b Lex Jacquelot, Le Langage populaire de Mâcon et des environs, Slatkine Reprints, Genève, 1978, p. 54
  29. habitants.fr
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Louis Aragon, « Le Conscrit des cent villages », publié initialement dans La Diane française, consulté dans Pierre Seghers, La Résistance et ses poètes : France, 1940-1945, Paris : Seghers, 2004 (2e édition). (ISBN 2-232-12242-5), p. 373-375