Cernay (Haut-Rhin)
Cernay | |
![]() L'hôtel de ville[1]. | |
![]() Blason |
![]() Logo |
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Grand Est |
Département | Haut-Rhin |
Arrondissement | Thann-Guebwiller |
Intercommunalité | Communauté de communes de Thann-Cernay (siège) |
Maire Mandat |
Michel Sordi 2020-2026 |
Code postal | 68700 |
Code commune | 68063 |
Démographie | |
Gentilé | Cernéens |
Population municipale |
11 326 hab. (2018 ![]() |
Densité | 628 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 47° 48′ 26″ nord, 7° 10′ 36″ est |
Altitude | Min. 277 m Max. 358 m |
Superficie | 18,04 km2 |
Élections | |
Départementales | Cernay (bureau centralisateur) |
Localisation | |
Liens | |
Site web | ville-cernay.fr |
modifier ![]() |
Cernay Écouter /sɛʁ.nɛ/, en allemand Sennheim, en alsacien Sanna, est une commune française située dans le département du Haut-Rhin, en région Grand Est. Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.
Elle est le bureau centralisateur d'un canton dépendant de l'arrondissement de Thann, dans l'aire urbaine Thann-Cernay.
Ses habitants sont appelés les Cernéens Écouter et les Cernéennes Écouter.
GéographieModifier
Arrosée par la Thur, bordée à l'ouest par le massif vosgien, Cernay est traditionnellement un lieu de passage, au carrefour des nationales 66 et 83, à 6 km de Thann, 12 km de Guebwiller, 18 km de Mulhouse, 36 km de Colmar et 35 km de Belfort.
Écarts et lieux-ditsModifier
- Saint-André : lieu-dit situé à 2 km de la mairie, au sud de la ville. Saint-André été durement éprouvé durant les deux grandes guerres. Il accueille depuis 1891 un institut d'accueil de personnes handicapées mentales et une zone horticole.
Unité urbaine de CernayModifier
ToponymieModifier
- En allemand : Sennheim[2].
- Sennenheim (1144), Sennenhem (1156), Senneheim (1179), Senene (1191), Senheim (1259), Senhin (1275), Seyreney (1307), Senhein (1312), Sennen (1576), Cernay (1793).
- Le nom de Cernay est mentionné sous les formes Sennenheim en 1144 (d'où la forme allemande), Sennene en 1184 (d'où la forme alsacienne), Seyrenay en 1327 d'où la forme française Cernay, dont la graphie actuelle apparait seulement au XIXe siècle.
- Il s'agit donc d'une adaptation française de son nom germanique et est donc sans rapport avec les toponymes du type Cernay qui dérivent du celtique *(i)sarnāko- « lieu où il y a du fer », latinisés en Sarnacum. Dans les régions germanisées, le suffixe -acum aurait abouti à -ich ou -ach.
- Le premier élément s'explique par un nom de personne germanique, comme c'est le plus souvent le cas dans ce type de formation en -heim.<mapframe> : Impossible d'analyser JSON : Erreur de syntaxe
GéologieModifier
Le bassin houiller stéphanien sous-vosgien est situé au sud-ouest du territoire communal, à proximité de la ville[3]. La
HistoireModifier
C'est probablement aux environs de Cernay, en septembre 58 av. J.-C., que Jules César, aidé de quelques troupes gauloises éduennes et séquanes, battit Arioviste chef des Germains Suèves, qui menaçait d'envahir la Gaule du Nord-Est. En l'absence de preuves archéologiques et compte tenu de l'imprécision des écrits de Jules César, un grand nombre d'historiens comme C. Oberreiner et J.J. Hatt s'accordent à situer le lieu de la bataille dans un quadrilatère situé entre Cernay, Reiningue, Mulhouse et Wittelsheim, peut-être dans cette grande plaine alluviale qu'est l'Ochsenfeld. Cette bataille opposa environ 40 000 Romains/Éduens à 60 000 Germains et se solda par la débâcle des troupes d'Arioviste, dont les rares survivants réussirent à franchir le Rhin. {Le proconsul César disposait de six légions}.
Dénommé Sennenheim en 1144, la cité fut fortifiée dès 1268. Faisant partie du comté de Ferrette, elle passa aux Habsbourg en 1324. Elle devint française, comme une grande partie de l'Alsace, par les traités de Westphalie du . La ville possédait alors les villages de Steinbach et de Birlingen.
La ville a été en grande partie détruite en 1914 et 1915, durant la bataille de Mulhouse (1914) et à nouveau très endommagée début 1945 par les combats de la « poche de Colmar ».
La commune a été décorée le 2 novembre 1921 de la croix de guerre 1914-1918[4].
Pendant la Seconde Guerre mondiale, alors que la ville se trouvait en zone annexée au Reich allemand, l'ancien asile psychiatrique servit de centre d'instruction pour les volontaires et sous-officiers de la Waffen-SS, en particulier pour les membres des divisions francophones, comme la division Charlemagne.
En janvier 1945 (19 au 6 février), les Commandos d'Afrique mènent de durs combats sur les Hauts-de-Cernay/Thann/Aspach, face à des troupes allemandes parfaitement équipées pour le froid et la neige (Alpenjäger).
La commune a été décorée, le 27 mai 1952, de la croix de guerre 1939-1945[5] avec étoile d'argent.
HéraldiqueModifier
Les armes de Cernay se blasonnent ainsi :
|
DémographieModifier
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[7],[Note 1]
En 2018, la commune comptait 11 326 habitants[Note 2], en diminution de 2,9 % par rapport à 2013 (Haut-Rhin : +0,82 %, France hors Mayotte : +2,36 %).
Aspects socio-économiquesModifier
La population active est majoritairement employée dans le bassin d'emploi local. Les déplacements privés se font majoritairement par les moyens personnels, mais la ligne de tram-train Mulhouse-Vallée de la Thur est de plus en plus employée. Pour les trajets plus éloignés, celle-ci permet de joindre sans changement la gare TGV de Mulhouse. Cernay est à 35 km[réf. nécessaire] de l'EuroAirport via le réseau autoroutier A36/A35.
Activités - Patrimoine industrielModifier
- L'histoire industrielle :
- Usine textile[10] ;
- Usine textile, Cernay SA[11] ;
- Usine de construction de matériel industriel, dite usine Lisch[12] ;
- Filature de coton Sandoz Baudry et Cie, puis filature de coton Nouvelles Filatures de coton de Cernay puis filature de coton Cernay SA, actuellement établissement industriel désaffecté[13] ;
- Maison d'industriel dite Villa Thierry-Mieg[14] ;
- Cités ouvrières[15],[16],[17],[18],[19].
- Établissement médical dit institut médico-pédagogique Saint-André[20].
- Communauté Emmaüs
EnseignementModifier
Les établissements scolaires sont :
- Les écoles maternelles:
Les Roses[21]
Les Géraniums[22]
Saint-Joseph[23]
Les Hirondelles[24]
- Les écoles primaires:
Les Lilas[25]
Les Tilleuls[26]
Les établissements les Tilleuls sont composé de 3 cours.
Les Tilleuls ont deux options: une classe pour enfants dyslexiques (ULIS)[27] et une option bilingue avec autant de classe que les monolingue allant de la maternelles au CM2.
Les monolingues et les bilingues sont séparé et ont chacun leurs bâtiments respectif. Cet établissement date de 1820 même s'il a été reconstruit en majeure partie suite aux combats de la poche de Colmar.
- Un collège public d'enseignement secondaire, le collège René-Cassin,
- Un lycée technique professionnel du bâtiment, le lycée Gustave-Eiffel.
Politique et administrationModifier
Tendances politiques et résultatsModifier
Budget et fiscalitéModifier
En 2015, le budget de la commune était constitué ainsi[28] :
- total des produits de fonctionnement : 11 025 000 €, soit 1 355 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 9 726 000 €, soit 835 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 4 779 000 €, soit 410 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 4 532 000 €, soit 389 € par habitant ;
- endettement : 5 268 000 €, soit 452 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 7,34 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 9,53 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 39,89 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Pour 2020, la Ville de Cernay qui, comme depuis plus de 15 ans, n’a pas augmenté ses taux, devrait percevoir:
- -taxe d’habitation au taux de 7.34 % pour un produit de 878 525 € ;
- -taxe foncière bâtie au taux de 9.53 % pour un produit de 1 833 191 € ;
- -taxe foncière non bâtie au taux de 39.89 % pour un produit de 19 107 €.soit un total prévisionnel de 2 730 823 €.Pour mémoire, ces taxes ont rapporté la somme de 2 662367 € à la commune en 2019.
Rappelons toutefois la réforme en cours de la taxe d’habitation et des modalités de sa suppression et de ses conséquences :
Liste des mairesModifier
TourismeModifier
- Le château du Herrenfluh situé sur le col du Herrenfluh. Le château est coupé en deux par la frontière communale entre Uffholtz et Wattwiller. Château de la renaissance, a été occupé par les français comme poste de reconnaissance pendant la guerre de 14-18 et il n'en reste qu'un pans du murs mais une vue imprenable sur Cernay et environ vous attend.
- La chapelle Saint-Morand, petite chapelle close dans les vignes détruite très largement détruites ne 1803 mais rénovée avec l'aide du lycée du bâtiment de Cernay. La chapelle remémore le moine clunisien morand de cluny [29]surnommé "l'apôtre du Sundgau".
- Cour de Ferrette, ancienne ferme domaniale abritant les reste d'une tour de ferme avec enceinte.Très belle fresque en face de la ruine.
- Les rives de la Thur, grand parc traversant Cernay et longeant la Thur. Il y a dans ce parc 2 terrains de jeu et un parcours vita, piste cyclables, tour touristique et surtout un magnifique petit paysage liant l'urbaine et le naturel.
- Forêt de Cernay
- Étangs de Cernay à côté de la voie rapide. Environ 2/3 kilomètre du centre-ville, très beau paysage resté naturel.
- Hartmannswillerkopf à 12 km. Cimetière nationalement connu. Il fut l'endroit de l'un des principaux combats durant la grande guerre.
- Le parc à cigognes : la cigogne, symbole de l'Alsace, est aussi celui de Cernay par excellence. En 1938, l'Alsace comptait 140 couples nicheurs. Leur nombre diminua fortement après la guerre pour atteindre 7 couples en 1967. Un parc de réintroduction des cigognes est créé à Cernay en 1978, sous l'impulsion du maire de l'époque et en étroite collaboration avec le Centre Régional de Baguage d'Oiseaux. Après 10 ans d'efforts, de patience et beaucoup d'amour, le résultat fut à la hauteur des espérances : Cernay était redevenue, à juste titre, « Cernay, cité des cigognes ».
- Espace Grün, centre culturel (Site Internet).
- Train Thur Doller Alsace, (Site Web) dans la vallée de la Doller de Cernay à Sentheim.
- La Fête de l'Eau à Wattwiller (3 km) Site web, parcours d'art contemporain chaque année en juin.
- Festival des fenêtres de l'Avent à Uffholtz (1 km) du 1er au 24 décembre : festival de théâtre itinérant, buvette, etc.
- De nombreux restaurants renommé comme Papajoe ou encore un hôtel typique alsacien: L’hôtel d’Alsace et bien sur le camping 3 étoiles avec piscine: le camping les cigognes.
Ancienne ville fortifiée au Moyen Âge, Cernay a su préserver certains vestiges de cette époque : les rues du centre-ville sont restées fidèles au plan carré de la vieille ville et la Porte de Thann abrite le musée historique. Spécialisée dans le secteur textile au XIXe siècle, Cernay est aujourd'hui un pôle économique et industriel et fait face à la géante agglomération voisine qu'est Mulhouse, nationalement renommée.
Lieux et monumentsModifier
- L'église Saint-Étienne : de style néo-gothique, sa construction date de 1925 en remplacement de l'ancienne église détruite pendant la Première Guerre mondiale. Son plan de construction est celui d'une église classique en forme de croix latine (avec un transept). Elle comprend une nef principale, deux bas-côtés, un chœur flanqué d'une sacristie. Le clocher, dont la flèche très élancée est recouverte d'une toiture de cuivre, se trouve en position latérale à côté du chœur[30],[31].
- Les murs de la nef sont décorés de 10 tableaux qui sont l'œuvre du grand artiste-peintre alsacien René Kuder (1882-1962). À la voûte de la croisée du transept se trouve accroché un monumental Christ en croix de 5 m de haut appelé « le Grand Bon Dieu » ; elle contient également une statue de la Vierge à l'Enfant provenant de la chapelle du village disparu de Birlingen. L'orgue a été construit par le facteur Joseph Rinckenbach, tandis que son buffet est l'œuvre des ateliers Klem de Colmar[32].
- Chapelle Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours, dite chapelle de l'Ochsenfeld[33].
- Chapelle Saint-Henri, chapelle de l'hôpital[34].
- Chapelle du Saint-Esprit[35].
- Temple[36].
- Synagogue[37], actuellement immeuble[38].
- La Porte de Thann[39] et son musée : situé dans une porte médiévale classée monument historique, le bâtiment s'intégrait dans les fortifications de la ville depuis le XIIIe siècle[40]. Le musée a pour vocation de présenter le patrimoine historique local et de promouvoir des expositions temporaires.
- La tour d'angle sud-est du rempart médiéval : la massive tour ronde qui s'élève au bord du canal usinier défendait l'angle sud-est des anciennes fortifications de la ville. Construite en 1422, elle présente un mur de plus de 3 mètres d'épaisseur à la base et une voûte en cul-de-four. Avant la Première Guerre mondiale, la Tour est convertie en cave couverte ou brasserie, elle est alors agrémentée d'un balcon. Elle est maintenant classée Monument Historique[41],[42],[43].
- L'Hôtel du Maréchal de Schönbeck[44] : dès 1643, Louis XIII octroie la seigneurie de Cernay au Général Major de Schönbeck, colonel d'un régiment d'infanterie de l'armée suédoise du duc de Weimar. Après la mort du duc, son armée passe au service de la couronne française en 1639. Le maréchal de Schönbeck acquiert la maison en 1647. Ses gendres et lui-même l'agrandissent, un donjon est ajouté au corps de logis. Vendu après la Révolution, l'Hôtel appartiendra à un notaire jusqu'à la veille de la guerre de 1870. L'Hôtel du Maréchal de Schönbeck est devenu célèbre pour avoir accueilli le Roi Soleil, Louis XIV, ainsi que la reine et leur suite, dans la nuit du 22 au 23 juin 1683.
- Maison dite villa Jeannot Lapin[45].
- Demeure dite cour de Lucelle[46].
- Ancien tribunal cantonal[47],[48].
- Fontaine monumentale[49].
- Lieux de mémoire et moments commémoratifs :
Personnalités liées à la communeModifier
- Auguste-Charles Risler, artiste-peintre portraitiste, né à Cernay le 28 août 1819[54].
- Henry Kuss (1852-1914), ingénieur général des mines, né le à Cernay.
- Maurice Gastiger (1896-1966), international de football français.
- Daniel Kutermak (né en 1959), footballeur français, est né à Cernay.
- Claudio Capéo, chanteur et accordéoniste, né en 1985.
- Thierry Omeyer, handballeur professionnel, né le 2 novembre 1976.
et aussi :
- Smash Hit Combo, groupe de rapcore français originaire de Cernay, regroupant 6 musiciens.
Voir aussiModifier
BibliographieModifier
- Communauté juive de Cernay
- Cernay, paroisse réformée
- Dominique Toursel-Harster, Jean-Pierre Beck, Guy Bronner, Dictionnaire des monuments historiques d’Alsace, Strasbourg, La Nuée Bleue, , 662 p. (ISBN 2-7165-0250-1)Cernay, p. 76
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)Cernay, p. 256
- Cavités souterraines : ouvrages militaires
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Articles connexesModifier
Liens externesModifier
- Site de la mairie
- Cernay sur le site de l'Institut géographique national
- Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région Alsace
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)
Notes et référencesModifier
NotesModifier
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
RéférencesModifier
- « Hôtel de ville », notice no IA68004675, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Dictionnaire topographique du département du Haut-Rhin - Georges Stoffel (1868)
- Édouard Thirria, Manuel à l'usage de l'habitant du département de la Haute-Saône, (lire en ligne), p. 184-185.
- Communes décorées de la Croix de guerre 1914-1918
- Communes décorées de la Croix de guerre 1939 - 1945
- Archives Départementales du Haut-Rhin
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Usine textile », notice no IA68005519, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Usine textile, Cernay SA », notice no IA68004679, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Usine de construction de matériel industriel, dite usine Lisch », notice no IA68004680, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « filature de coton Sandoz Baudry et Cie, puis filature de coton Nouvelles Filatures de coton de Cernay puis filature de coton Cernay SA », notice no IA68000800, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Maison d'industriel dite Villa Thierry-Mieg », notice no IA68005504, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Cité ouvrière Rogelet (cité 16) », notice no IA68005518, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Cité ouvrière 18 », notice no IA68005521, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Cité ouvrière Baudry (cité 17) », notice no IA68005520, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Cité ouvrière Muehlwegviertel (cité 15) », notice no IA68005517, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Cité ouvrière Sandozwiller (cité 14) », notice no IA68005516, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Etablissement médical dit institut médico-pédagogique Saint-André », notice no IA68005522, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Ecole maternelle Les Roses », sur Ministère de l'Education Nationale de la Jeunesse et des Sports (consulté le 11 décembre 2020)
- « Ecole maternelle Les Géraniums », sur Ministère de l'Education Nationale de la Jeunesse et des Sports (consulté le 11 décembre 2020)
- « Ecole maternelle Saint-Joseph », sur Ministère de l'Education Nationale de la Jeunesse et des Sports (consulté le 11 décembre 2020)
- « Ecole maternelle Les Hirondelles », sur Ministère de l'Education Nationale de la Jeunesse et des Sports (consulté le 11 décembre 2020)
- « Ecole Elémentaire Les Lilas », sur Ministère de l'Education Nationale de la Jeunesse et des Sports (consulté le 11 décembre 2020)
- « Ecole Elémentaire Les Tilleuls », sur Ministère de l'Education Nationale de la Jeunesse et des Sports (consulté le 11 décembre 2020)
- « ULIS-école de Cernay », sur annuaire.action-sociale.org (consulté le 11 décembre 2020)
- Les comptes de la commune
- « Morand de Cluny », dans Wikipédia, (lire en ligne)
- « Eglise catholique Saint-Etienne », notice no PA68000035, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Eglise paroissiale Saint-Etienne », notice no IA68004662, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice no IM68008047, base Palissy, ministère français de la Culture Orgue de l'église paroissiale Saint-Étienne
- « Chapelle Notre-Dame-du-Perpétuel-Secours, dite chapelle de l'Ochsenfeld », notice no IA68004664, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Chapelle Saint-Henri, chapelle de l'hôpital », notice no IA68004665, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Chapelle du Saint-Esprit », notice no IA68004663, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Temple », notice no IA68004666, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Synagogue », notice no IA68004669, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Synagogue, actuellement immeuble », notice no IA68004667, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Ouvrage d'entrée, porte de Thann », notice no IA68004673, base Mérimée, ministère français de la Culture
- La réparation des dommages de guerre. La doctrine du service des Monuments historiques en 1919 : La porte de Thann
- « Anciennes fortifications », notice no PA00085358, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Remparts », notice no PA00085359, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Fortification d'agglomération », notice no IA68004672, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « demeure dite hôtel de Schoenbeck », notice no IA68005509, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « maison dite villa Jeannot Lapin », notice no IA68005507, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « demeure dite cour de Lucelle », notice no IA68005514, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Ancien tribunal cantonal », notice no PA68000036, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Tribunal », notice no IA68004676, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice no IM68008078, base Palissy, ministère français de la Culture Fontaine monumentale
- Monument aux Morts, Monument commémoratif du 1er R.T.M., Nécropole nationale, Tombes militaires, Carré militaire
- « Cimetière », notice no IA68004668, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Le cimetière juif médiéval et le nouveau cimetière
- « Cimetière militaire allemand », notice no IA68004674, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Auguste-Charles Risler