Carnoules
Carnoules est une commune française, située dans le département du Var en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Carnoules | |||||
L'église Notre-Dame-de-l'Assomption. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Var | ||||
Arrondissement | Brignoles | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Cœur du Var | ||||
Maire Mandat |
Christophe Cortes 2024-2026 |
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Code postal | 83660 | ||||
Code commune | 83033 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Carnoulais, Carnoulaises | ||||
Population municipale |
3 852 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 151 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
16 019 hab. (2021) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 18′ 10″ nord, 6° 11′ 21″ est | ||||
Altitude | Min. 115 m Max. 485 m |
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Superficie | 25,49 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Gonfaron (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Toulon (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Garéoult | ||||
Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Var
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
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Liens | |||||
Site web | carnoules.fr | ||||
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Ses habitants sont appelés les Carnoulais.
Géographie
modifierLocalisation
modifierCarnoules se situe en France, à environ 6 km de Besse-sur-Issole, 20 de Brignoles, 37 de Toulon[1], 57 de Draguignan et 102 de Marseille.
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de quatre communes :
Géologie et relief
modifierUne vallée traverse la commune d'est en ouest. Le point culminant, au nord du village, est une crête surplombant le Puits du Guerriers, à 467 mètres d'altitude.
La commune compte d'autres collines, comme le Roucas (367 m), Notre Dame de la Vière (350 m), Le Défens (369 m).
- Massifs calcaires du Trias au Crétacé dans le BV de l'Argens[2].
- Alluvions du Gapeau[3].
- Domaine marno-calcaire et gréseux de Provence est - BV Cotiers est.
- Socle Massif de l'Esterel, des Maures et Îles d'Hyères.
Hydrographie et les eaux souterraines
modifierCarnoules est traversée par plusieurs rivières[4] :
- le Réal Martin, affluent du Gapeau ;
- le Merlançon, le Vallon des Bîmes et le Ruisseau de Carnoules, affluents du Réal Martin ;
- la Font de l'Ile, affluent du Ruisseau de Carnoules.
Ressource en eau des contreforts de la Sainte-Baumme
modifierDans le secteur Cœur du Var, les communes de Gonfaron, Les Mayons, Le Cannet-des-Maures, Le Luc et Le Thoronet, appartenant au territoire Cœur de Var, n’ont pas été intégrées au secteur « Ouest Cœur de Var ». Ces cinq communes sont desservies par le syndicat d’Entraigues, dont les ressources en eau relève d’un autre contexte géographique.
- Le secteur « Ouest Cœur de Var » regroupe six communes (Cabasse, Flassans-sur-Issole, Besse-sur-Issole, Pujet-Ville, Carnoules et Pignans)[5].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Var, Alpes-Maritimes, caractérisée par une pluviométrie abondante en automne et en hiver (250 à 300 mm en automne), un très bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 75 %), un hiver doux (8 °C) et peu de brouillards[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 839 mm, avec 6,4 jours de précipitations en janvier et 1,8 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Collobrières_sapc », sur la commune de Collobrières à 12 km à vol d'oiseau[8], est de 14,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 822,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,9 °C, atteinte le ; la température minimale est de −9,6 °C, atteinte le [Note 1],[9],[10].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Carnoules est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Gonfaron[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant quatre communes, dont elle est ville-centre[Note 3],[14],[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulon, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[15]. Cette aire, qui regroupe 35 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[16],[17].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (66,2 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (64,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (54,3 %), cultures permanentes (22,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (12 %), zones urbanisées (7 %), zones agricoles hétérogènes (4,4 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Lieux-dits, hameaux et écarts
modifierLe hameau de Bron est situé au sud du village de Carnoules. Le quartier Saint-Michel se situe à l'est du village, en direction en direction de Pignans, le long de la ligne de chemin de fer.
La commune compte également plusieurs lieux-dits :
- les Cros de Sauvan
- les Moulières
- les Bouscarlonnes
- Saint Victor
- Notre Dame
- les Vallons
- les Naies
- les Baumes
- le quartier Saint-Michel.
Voies de communication et transports
modifierRoutes et autoroutes
modifierCarnoules est traversée par l'ex-route nationale 97 qui relie Toulon au Luc et par la route départementale 13, vers Besse-sur-Issole ou Pierrefeu-du-Var. L'autoroute A57 11 Carnoules (Toulon - Le Luc) a un échangeur à Cuers, à 10 km de Carnoules.
Transports en commun
modifierCommune desservie par le réseau régional de transports en commun Zou ! (ex Varlib). Les collectivités territoriales ont en effet mis en œuvre un « service de transports à la demande » (TAD), réseau régional Zou ![19].
Carnoules est desservie par la Ligne les Arcs - Toulon et par plusieurs lignes scolaires.
Transports ferroviaires
modifierLa gare de Carnoules[20] est desservie par les trains TER Provence-Alpes-Côte d'Azur en direction de Toulon et Marseille d'une part, les Arcs et au-delà vers Nice et Vintimille d'autre part.
Transports aériens
modifierLes aéroports les plus proches sont :
Ports
modifier- Ports en Provence-Alpes-Côte d'Azur :
- Rade de Toulon,
- Port Lympia (port de Nice),
- Port de Marseille,
- Port Hercule (Port de Monaco).
Risques majeurs
modifierRisques sismiques
modifierLa commune est située en zone de sismicité 2 faible[21],[22].
Toponymie
modifierCarnoules, au pied d'une colline rocailleuse[23], est dérivé du mot pré-celtique et celtique *karn qui signifie « monticule de pierre », dont le pluriel *karniou signifie « tas de pierre »[24], lui-même formé sur la racine pré-indo-européen *kar[25],[26],[27], « pierre, rocher » avec un suffixe pré-gaulois ou gaulois.
Histoire
modifierPeu avant la Révolution française, l’agitation monte. Outre les problèmes fiscaux présents depuis plusieurs années, la récolte de 1788 avait été mauvaise et l’hiver 1788-1789 très froid. L’élection des États généraux de 1789 avait été préparée par celles des États de Provence de 1788 et de janvier 1789, ce qui avait contribué à faire ressortir les oppositions politiques de classe et à provoquer une certaine agitation[28]. Au moment de la rédaction des cahiers de doléances, fin mars, une vague insurrectionnelle secoue la Provence. Une émeute anti-seigneuriale se produit à Carnoules le 1er avril[29]. Les habitants, paysans peu dotés et artisans, se soulèvent contre leur seigneur[30]. Dans un premier temps, la réaction consiste dans le rassemblement d’effectifs de la maréchaussée sur place. Puis des poursuites judiciaires sont diligentées, mais les condamnations ne sont pas exécutées, la prise de la Bastille comme les troubles de la Grande peur provoquant, par mesure d’apaisement, une amnistie début août[31].
Ce territoire a autrefois connu une exploitation minière du minerai de Plomb−Zinc, qui a laissé des séquelles environnementales (pollution par divers métaux lourds, dont notamment le thallium, le plus toxique des métaux lourds)[32]. Une étude publiée en 2011 a trouvé jusqu'à 534 μg/L de thallium, issu du drainage minier acide dans le ruisseau Reigous en aval de la mine abandonnée. Ce taux atteignait encore 5,44 μg/L dans la rivière Amous qui reçoit le ruisseau Reigous[32]. la forme Tl(I), la plus toxique, prédominait (constituant plus 98% du Tl total dissous) par rapport au Tl(III)[32].
En 1862, le train fait sa première apparition et Carnoules reste pendant plusieurs années le seul dépôt ferroviaire entre Marseille et Nice. Ainsi, la gare se développe avec plus de 80 locomotives à vapeur et un grand nombre de cheminots travaillent dans le village. L'importance du dépôt durant la Seconde Guerre mondiale motive le bombardement du 25 mai 1944 où 600 bombes sont lâchées sur la commune tuant un grand nombre d'agent de la SNCF ; une plaque inscrite sur la façade de la gare de Carnoules « A la mémoire des agents de la SNCF tués par faits de guerre, 1939/SNCF/1945 » commémore cet évènement[33].
La conclusion du pacte germano-soviétique fin août 1939 et le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale suscitent une chasse aux communistes, à la fois dans l’espace politique (le parti est interdit, les maires suspendus) et dans l’espace symbolique : Albert Sarraut, ministre de l’Intérieur, envoie une circulaire aux préfets leur enjoignant de mener la chasse aux noms de rues évoquant le communisme, ce qui est un tournant, car le gouvernement n’intervient pas dans ce domaine qui relève traditionnellement du pouvoir des communes[34]. C’est ainsi qu'à Carnoules, la rue Lénine et la place Rouge sont débaptisées[35].
La deuxième moitié du XXe siècle voit la disparition de la traction à vapeur au profit de la traction électrique mais également de la voiture, ce qui entraîne l'arrêt de l'activité du dépôt. Aujourd'hui, cette activité passée est fièrement exposée à l’entrée ouest du village avec la présence de la locomotive type 4B-9 et son tender de 1893.
Politique et administration
modifierTendances politiques et résultats
modifierListe des maires
modifierIntercommunalité
modifierCarnoules est membre de la communauté de communes Cœur du Var, créée en janvier 2002, qui rassemble onze communes et 43 796 habitants en 2020[43].
Politique environnementale
modifierCarnoules ne dispose pas de déchèterie. Le dépôt se fait sur les communes de Pignans et Flassans-sur-Issole[44].
Finances communales
modifierEn 2020, le budget de la commune était constitué ainsi[45] :
- total des produits de fonctionnement : 3 541 000 €, soit 1 017 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 3 065 000 €, soit 880 € par habitant ;
- total des ressources d’investissement : 1 077 000 €, soit 309 € par habitant ;
- total des emplois d’investissement : 1 973 000 €, soit 567 € par habitant.
- endettement : 3 516 000 €, soit 1 010 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d’habitation : 18,70 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 21,89 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 100,04 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2018 : Médiane en 2018 du revenu disponible, par unité de consommation : 20 900 €[46].
Jumelages
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[48].
En 2021, la commune comptait 3 852 habitants[Note 5], en évolution de +10,82 % par rapport à 2015 (Var : +4,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
modifierCarnoules dépend de l'académie de Nice (zone A). Richard Laganier est recteur de l'académie depuis le 1er avril 2019.
Les établissements d'enseignements :
- Écoles maternelles et primaires :
- Les élèves de Carnoules commencent leurs études à l'école maternelle et primaire de la commune[51].
- Enseignement secondaire :
- Les collégiens se rendent à Besse-sur-Issole ou Cuers, les lycéens au Luc-en-Provence, Hyères ou Toulon.
- Carnoules compte un établissement privé, le collège Jean-Baptiste Fouque.
- Enseignement supérieur :
- Les étudiants peuvent se rendre à l'université de Toulon.
Sports
modifierCarnoules compte quelques clubs et équipements sportifs sportifs : un centre équestre, le Tennis Club Carnoulais, un club de football (le FC Carnoules, qui évolue sur le stade Jacques Bracchet dans le quartier de Bron).
Le Tour méditerranéen 2011 cycliste traverse Carnoules lors de la 3e étape, entre Carnoux-en-Provence et La Farlede.
La commune est traversée par le GR 9.
Santé
modifierDeux médecins généralistes sont installés dans la commune[52], ainsi qu'une pharmacie, un dentiste et plusieurs infirmiers. L'hôpital le plus proche est situé à Pierrefeu-du-Var.
Cultes
modifierÉconomie
modifierEntreprises et commerces
modifierAgriculture
modifier- Coopérative vinicole dite Coopérative la Laborieuse[54].
Tourisme
modifier- Auberges et restaurants.
- Le village des tortues.
Commerces et artisanat
modifierCulture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifierPatrimoine religieux
modifier- L'église Notre-Dame-de-l'Assomption, construite en 1842 située sur la place Gabriel-Péri (au centre du village)[57] et sa cloche de 1672[58] ;
- Chapelle Saint-Jean[59] ;
- Chapelle Saint-Michel[60] ;
- Chapelle Notre-Dame[61] ;
- Notre-Dame de la Vière, aussi dénommée Notre-Dame-de-Bon-Secours[62].
- La chapelle a été réaménagée sur l'ancien site médiéval entre 1819 et 1825. Elle appartenait au site de l'ancien castrum du Château Royal du XIIe siècle. Accolé au prieuré, un bâtiment permettait d’accueillir les pèlerins en route vers Saint-Jacques-de-Compostelle.
- Couvent d'Observants Notre-Dame-de-Consolation[63] ;
- Monuments commémoratifs : Plaque commémorative SNCF[64], monument aux morts[65],[66] ;
- Oratoires[67].
-
La gare SNCF.
-
La locomotive 4B9 avant son déplacement et l'ajout de son tender.
-
La locomotive 4B9 après son déplacement et l'ajout de son tender[68].
-
L'ancien moulin à huile.
Patrimoine civil
modifier- Mairie[69] ;
- Les ruines du castrum[70],[71],[72];
- La locomotive 4B9, après son déplacement et l'ajout de son tender[73] 4B9 et son tender. La locomotive[74] était située sur la RD 97 (anciennement RN 97) à l'entrée ouest de l'agglomération (depuis 1979) et depuis le a été transférée de l'autre côté de son emplacement d'origine pour accueillir son tender[75],[76] ;
- La cité ouvrière dite Cité SNCF a été conservée et rénovée[77] ;
- L'ancien moulin à huile qui date de 1830, ouvert lors d'expositions, dans lequel sont restés en l'état les principaux éléments (meule, scourtins, presses, etc.)[78],[79] ;
- Lavoirs et fontaines[80],[81],[82],[83],[84].
Personnalités liées à la commune
modifier- Robert Blanc (1944-1992), ancien footballeur français né à Carnoules.
Héraldique
modifierBlason | De gueules à la tour crénelée de sept pièces d'argent, ouverte du champ[85]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Notes et références
modifierNotes
modifier- Les records sont établis sur la période du au .
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Gonfaron comprend quatre villes-centres (Besse-sur-Issole, Carnoules, Gonfaron, Pignans).
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Itinéraires
- L'eau dans le bassin
- de synthèse masse d'eau souterraine : Alluvions du Gapeau
- Cours d'eau sur la commune ou à son aval
- Identification et caractérisation de la ressource majeure à préserver pour l’alimentation en eau potable, juillet 2011
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Carnoules et Collobrières », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Collobrières_sapc », sur la commune de Collobrières - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Collobrières_sapc », sur la commune de Collobrières - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Gonfaron », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Carnoules ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Toulon », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Réseau régional de transports en commun
- Bâtiment répertorié à l'Inventaire général du patrimoine culturel (Notice no IA83000897, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture)
- Nouveau zonage sismique des communes françaises en vigueur depuis le 1er mai 2011
- Didacticiel de la réglementation parasismique
- Louis-Fernand Flutre, Recherches sur les Éléments pré-gaulois dans la toponymie de la Lozère, page 88
- PEGORIER André, « Les noms de lieux en France : glossaire de termes dialectaux », sur Education.IGN, (consulté le ), p. 107.
- Chroniques de Haute-Provence - Numéros 351 à 353 - Page 122
- André Compan, Illustration du nissart et du provençal, Page 46
- Revue internationale d'onomastique - Volumes 1 à 2 - Page 305
- Monique Cubells, « Les mouvements populaires du printemps 1789 en Provence », Provence historique, volume 36, no 145, 1986, p. 309
- M. Cubells, op. cit., p. 310 et 312.
- M. Cubells, op. cit., p. 313-314.
- M. Cubells, op. cit., p. 322.
- Corinne Casiot et Marion Egal, « Predominance of Aqueous Tl(I) Species in the River System Downstream from the Abandoned Carnoulès Mine (Southern France) », sur Environmental Science & Technology, (ISSN 0013-936X, DOI 10.1021/es102064r, consulté le ), p. 2056–2064.
- Plaque commémorative de la gare de Carnoules
- Richard Vassakos, « Une revanche symbolique dans le Royaume du maréchal. La toponymie urbaine sous Vichy : premiers bilans d’une recherche », Nouvelle revue d’onomastique, 2019, no 61, p. 244.
- R. Vassakos, op. cit., p. 245.
- Joseph Salvarelli, Les Administrateurs du département du Var (1790-1897). Notices biographiques, Draguignan, 1897, pp.454-455 [1]
- Il fut déchu de ses fonctions en février 1940.
- Notice TURLE Henri, Isidore par Jacques Girault, version mise en ligne le 30 novembre 2010, dernière modification le 8 octobre 2015
- Notice CÈZE Paul par Jacques Girault, version mise en ligne le 25 octobre 2008, dernière modification le 20 octobre 2021
- Notice CÈZE Henri, Lucien par Jacques Girault, version mise en ligne le 25 octobre 2008, dernière modification le 22 mai 2022
- M. V., « L'ancien adjoint Christophe Cortes a été élu maire de Carnoules : Christophe Cortes a été élu maire à la majorité. », Var-Matin, (lire en ligne ).
- Romain Alcaraz, « "Devenir maire, c’est un destin" : nouvellement élu à Carnoules, Christophe Cortes se confie : À la suite de la démission de Christian David, Christophe Cortes, ex-premier adjoint, est devenu maire de Carnoules. Un rôle pas forcément souhaité au départ, clairement assumé désormais. », Var-Matin, (lire en ligne ).
- Communes appartenant au Groupement Fiscalisé : Communauté de communes Cœur du Var et les Comptes des communes : Commune Carnoules
- Déchèterie à Carnoules
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- écoles de Carnoules
- Santé à Carnoules
- Paroisse de l'Assomption e Notre Dame
- « Coopérative vinicole dite Coopérative la Laborieuse », notice no IA00121293, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture nventaire topographique ; enquête thématique régionale (coopératives agricoles de Provence-Alpes-Côte d'Azur)
- Commerces et services de proximité
- Carnoules sur le site Provence 7
- L'église de l'Assomption de Notre-Dame.
- Notice no PM83000167, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de l'église Notre-Dame de l'Assomption.
- « Chapelle Saint-Jean », notice no IA00060109, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Chapelle Saint-Michel », notice no IA00060110, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Chapelle Notre-Dame », notice no IA00060104, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- La chapelle Notre-Dame de la Vière, aussi dénomée Notre-Dame de Bon Secours
- « Couvent d'OBSERVANTS Notre-Dame-de-Consolation », notice no IA00060101, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Monuments aux morts gerre 1914-1918.
- Monument aux morts.
- « monument aux morts de la guerre de 1914-1918 », notice no IA83000896, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Oratoires », notice no IA00060084, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Photo prise lors de l'inauguration le .
- « Prieuré Cours Victor Hugo », notice no IA00121292, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Le Castrum Médiéval de Château Royal.
- « bourg castral de Château-Royal », notice no IA83001217, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Notre-Dame-de-la-Vière », notice no IA00060105, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Monument dit « La Locomotive ».
- Notice no PM83000168, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture locomotive à vapeur Creusot, à tender séparé, à voie normale, 040 B 9.
- Carnoules: la mythique locomotive « 4B9 » déplacée et agrémentée d'un tender.
- Une locomotive en mémoire.
- « cité ouvrière dite Cité SNCF », notice no IA83000898, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- L’ancien moulin à huile.
- « moulin à huile », notice no IA83000899, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « lavoir ; fontaine », notice no IA83000893, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « fontaine rue Jeanne d'Arc », notice no IA00060090, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Fontaine, Lavoir rue de la Liberté », notice no IA00060093, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « lavoir rue Pierre Curie », notice no IA83000892, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Bornes, Fontaines », notice no IA00060087, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- du Var Plaine des Maures : Carnoules, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Histoire du village
- Histoire de Carnoules
- Charles-Laurent Salch, Atlas des villes et villages fortifiés en France, Début du Ve siècle à la fin du XVe siècle, Strasbourg, Editions Publitotal, , 495 p.Carnoules p. 441 et Carte n°14 Provence-Alpes-Côte d'azur, B.38.688.87
- Photothèque Archéologie :
- Castrum de Château-Royal et chapelle Notre-Dame
- Castrum de Château-Royal
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
- Cavités souterraines naturelles
Articles connexes
modifier- Gare de Carnoules
- Communauté de communes Cœur du Var
- Huile d'olive de Provence AOC
- Liste des communes du Var
Liens externes
modifier- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Carnoules sur le site de l'Institut géographique national
- Site du Syndicat d'initiative de Carnoules
- Site de la Communauté de communes Cœur du Var
- Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA
- Système d’information géographique du Var (SIG Var) : Carnoules