Bueil-en-Touraine

commune française du département d'Indre-et-Loire

Bueil-en-Touraine
Bueil-en-Touraine
La collégiale.
Blason de Bueil-en-Touraine
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre-et-Loire
Arrondissement Chinon
Intercommunalité Communauté de communes de Gâtine et Choisilles - Pays de Racan
Maire
Mandat
Didier Descloux
2020-2026
Code postal 37370
Code commune 37041
Démographie
Gentilé Bueillois
Population
municipale
323 hab. (2021 en augmentation de 1,57 % par rapport à 2015)
Densité 18 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 38′ 44″ nord, 0° 33′ 03″ est
Altitude Min. 63 m
Max. 127 m
Superficie 18,06 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Tours
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Château-Renault
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Bueil-en-Touraine
Liens
Site web bueilentouraine.com

Bueil-en-Touraine est une commune française située dans le département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire.

Géographie modifier

Localisation modifier

Communes limitrophes modifier

Les communes limitrophes sont Épeigné-sur-Dême, Neuvy-le-Roi, Saint-Paterne-Racan et Villebourg.

Communes limitrophes de Bueil-en-Touraine
Villebourg Épeigné-sur-Dême
 
Saint-Paterne-Racan Neuvy-le-Roi

Hydrographie modifier

 
Réseau hydrographique de Bueil-en-Touraine.

Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 11,03 km, comprend un cours d'eau notable, le Long (2,431 km), également dénommé « la Vandoeuvre » et sept petits cours d'eau dont le Maunay (1,018 km)[1],[2].

Le Long, d'une longueur totale de 22,1 km, prend sa source dans la commune de Rouziers-de-Touraine et se jette dans l'Escotais à Dissay-sous-Courcillon (Sarthe) après avoir traversé 6 communes[3]. Ce cours d'eau est classé dans la liste 2[Note 1] au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement sur le Bassin Loire-Bretagne. Du fait de ce classement, tout ouvrage doit être géré, entretenu et équipé selon des règles définies par l'autorité administrative, en concertation avec le propriétaire ou, à défaut, l'exploitant[4]. Sur le plan piscicole, le Long est classé en première catégorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constitué essentiellement de salmonidés (truite, omble chevalier, ombre commun, huchon)[5].

Deux zones humides[Note 2] ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le conseil départemental d'Indre-et-Loire : « la vallée du Long de la Ribondière au Château du Plessis » et « la vallée du Long du Château du Plessis à la Baratterie »[6],[7].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 703 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Saint-Christophe-sur-le-Nais à 6 km à vol d'oiseau[10], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 682,2 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Bueil-en-Touraine est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[14],[15],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tours, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (69,2 %), prairies (11,3 %), forêts (9,4 %), zones agricoles hétérogènes (8,3 %), zones urbanisées (1,7 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Bueil-en-Touraine est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible)[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bueil-en-Touraine.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (90,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 179 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 179 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 91 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[23].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1990 et par des mouvements de terrain en 1999[20].

Toponymie modifier

Du gaulois boduo (Corneille) et ialo (clairière, champ).

Histoire modifier

Bueil-en-Touraine était une châtellenie relevant de la baronnie de Saint-Mars, mais ses seigneurs n'étaient sans doute pas issus, contrairement à ce qu'avançait la tradition[24],[25],[26], des seigneurs de L'Isle-Bouchard, Rivarennes et Cinq-Mars (voir l'article Bueil). Le premier seigneur connu est Hugues de Vaux, cité en 1108 postérieurement à son décès. Une famille féodale, probablement d'origine locale plutôt que venue, donc, des L'Isle-Bouchard, exerce la seigneurie de Bueil à partir du XIVe siècle au moins, et en prend le nom : la famille de Bueil. Mais dès les XIIe – XIIIe siècles, on rencontre des notables locaux, nommés de Bueil : certes sans preuve, il est cependant tentant de voir dans ces personnages des ancêtres de la maison seigneuriale.

Jean III de Bueil (v. 1340-1405) est maître des Arbalétriers en 1396-1398 (plutôt semble-t-il que son fils Jean IV, † en 1415 à la bataille d'Azincourt). À l'été 1476, le fils de Jean IV, Jean V de Bueil (né vers 1405-† 1478), comte de Sancerre, amiral de France, cède en fief la seigneurie directe de Bueil au chapitre de six chanoines de la collégiale de Bueil qu'il venait de fonder ; ledit chapitre assuma désormais ladite seigneurie jusqu'à la Révolution.

Le Plessis-Barbe[27] était un fief notable, possédé en 1252 par un certain chevalier Barthélemy du Plessis († av. 1255), secondé par maître Pierre de Bueil. Au XIVe siècle, plusieurs Jean de Bueil (les seigneurs de Bueil portent alors le même nom : Jean) étaient les maîtres du Plessis. De 1389 à 1512 au moins, les détenteurs du fief du Plessis-Barbe sont les Villeblanche (aux Fondettes et à Mettray ; cf. Registres des comptes de la ville de Tours, 1881, p. 358-362, par Joseph Delaville Le Roulx), suivis par les Du Bois, de 1557 au moins jusqu'à la fin du XVIIe/début du XVIIIe siècle environ. En 1716, probablement à l'occasion de ses noces avec Jeanne-Catherine-Madeleine de Cotignon, le petit-fils de Racan, Pierre-Antoine de Bueil de Racan, (sgr. de Fontaines), en est doté (sa grand-mère paternelle, l'épouse de Racan, était Madeleine du Bois, fille de Pierre du Bois[28] et de Françoise Olivier (fille de Suzanne de Chabannes-La Palice et de Jean Olivier du Hommet de La Rivière de Leuville, lui-même fils du chancelier Olivier) qui furent seigneurs du Plessis-Barbe (d'où sans doute l'accession de leur arrière-petit-fils Pierre-Antoine de Bueil audit Plessis-Barbe).

En 1745, le fief fut racheté par Michel-Roland des Escotais (1709-1781)[29], seigneur de Chantilly, aussi maître de la Roche-Racan à St-Paterne, du fief de L'Ile à Chemillé, et du Coudray-Macouard. En 1755, le Plessis fut réuni aux seigneuries de Thoriau, d'Armilly et de La Roche, et érigée en comté des Escotais en faveur dudit Michel-Roland des Escotais de Chantilly, époux de Geneviève Pineau de Viennay[30],[31].

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 2020 Rémi Tondereau DVD Agriculteur retraité
2020 En cours Didier Descloux    
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[33].

En 2021, la commune comptait 323 habitants[Note 5], en augmentation de 1,57 % par rapport à 2015 (Indre-et-Loire : +1,19 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
800665885747659708642639603
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
577629614594551553561573560
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
535527466422415433434388392
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
425519429452341366377378323
2015 2020 2021 - - - - - -
318325323------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

Bueil-en-Touraine se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Saint-Cyr-Sur-Loire. La commune compte une école élémentaire publique.

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

 
« Lumières de Bueil » dans l'église Saint-Pierre.

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

Les armoiries de Bueil-en-Touraine se blasonnent ainsi :

D'azur au croissant d'argent accompagné de six croisettes recroisetées au pied fiché d'or, trois rangées en chef et trois rangées en pointe. (armes des Du Bueil)

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Le classement en liste 2 au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement est attribué aux parties de cours d'eau ou canaux sur lesquels il est nécessaire d'assurer le transport suffisant des sédiments et la circulation des poissons migrateurs.
  2. D’après l’article L. 211-1 du Code de l’environnement, « on entend par zone humide les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année ».
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
  2. « Carte hydrologique de Bueil-en-Touraine », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Fiche Sandre - le Long », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
  4. « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 2 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  5. (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  6. Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur terresdeloire.net (consulté le ).
  7. « L'inventaire départemental des zones humides », sur indre-et-loire.gouv.fr, (consulté le ).
  8. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  9. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  10. « Orthodromie entre Bueil-en-Touraine et Saint-Christophe-sur-le-Nais », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Saint-Christophe-sur-le-Nais », sur la commune de Saint-Christophe-sur-le-Nais - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Station Météo-France « Saint-Christophe-sur-le-Nais », sur la commune de Saint-Christophe-sur-le-Nais - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  14. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Bueil-en-Touraine », sur Géorisques (consulté le ).
  21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  24. « Maison de Bueil, p. 847-855 », sur Histoire généalogique et chronologique de la Maison royale de France, t. VII, par les Pères Anselme, Ange et Simplicien, et Honoré Caille du Fourny, par la Compagnie des Libraires associés, à Paris, 1733
  25. « Bueil en Touraine, p. 456-466 », sur Dictionnaire géographique, historique et biographique d'Indre-et-Loire et de l'ancienne province de Touraine, par Jacques-Xavier Carré de Busserolle, t. Ier, chez Rouillé-Ladevèze, à Tours, 1878, in Mémoires de la Société archéologique de Touraine, t. XXVII
  26. « Bueil », sur Racines & Histoire
  27. « Le Plessis-Barbe, p. 96-98 », sur Dictionnaire géographique, historique et biographique de l'Indre-et-Loire et de l'ancienne province de Touraine, t. V, par Jacques-Xavier Carré de Busserolle, chez Rouillé-Ladevèze, à Tours, 1883
  28. La famille Du Bois est souvent présentée comme une branche tourangelle des Du Bois de Fiennes mais cela reste à mieux établir (cf. Racines&Histoire : Fienne, p. 3, 5, 11, et 13-17, p. 14 notamment). Les Du Bois étaient les seigneurs du Plessis-Barbe, de Rouziers et Fontaine(s), et de Maran (ils sont souvent dits de Fontaine(s)-Maran) (cf. Touraine insolite : Maran, à Nouzilly). Madeleine du Bois (née en 1612), épouse du poète Racan en 1628, était la nièce d'autre Madeleine du Bois (1578-1637), en religion Madeleine de St-Joseph, carmélite déchaussée, déclarée vénérable en 1789 par le pape Pie VI (cf. Pierre Serouet, chez Beauchesne, et BNF).
  29. « Château du Plessis », sur Culture.gouv.fr (consulté le ).
  30. M. de Saint-Allais, Nobiliaire universel de France, tome 4, Paris, (lire en ligne), p. 145.
  31. M. Lainé, Dictionnaire véridique des origines des maisons nobles ou anoblies du Royaume de France, Paris, (lire en ligne), p. 378.
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.