Utilisateur:Stefan Ivanovich/Plaques de Paris

Ici, je tente de recenser les plaques qui sont sur les murs de Paris: environ 2000 selon Dautriat ^[1], et 981 sur 286 sujets selon OpenPlaques ^[2]. J'espère à la fin en faire une ou plusieurs Catégories, peut-être comme sous-catégorie de catégorie:Histoire de Paris et de catégorie:Plaque commémorative à la fois.

Liens externes

« Atlas des plaques commémoratives de Paris » : « Cet atlas répertorie les plaques commémoratives apposées dans l’espace public parisien. Visibles de toutes et tous, elles font connaître l’histoire de notre ville à travers les événements et les personnalités qui l’ont marquée »

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Mes essais divers et variés

Article détaillé : Liste des plaques commémoratives posées à Paris pour le bicentenaire de la Révolution.

Essai à la main
Titre	Texte	Sujets et personnes	Localisation
Immeuble Tarrin	« Immeuble construit en 1931 par Auguste Tarrin (1860-1940) »	Auguste Tarrin^[3]	139 avenue Émile Zola
Ateliers Sarrabezolles	« Carlo Sarrabezolles, sculpteur, 1888-1971, a vécu et travaillé dans cette maison de 1926 à sa mort. »	Carlo Sarrabezolles	16 rue des Volontaires, 75015
Rafle du Vel' d'Hiv'	« Les 16 et 17 juillet 1942, 13 152 juifs furent arrêtés dans Paris et sa banlieue déportés et assassinés à Auschwitz. Dans le Vélodrome d'hiver, qui s'élevait ici, 4115 enfants, 2916 femmes, 1129 hommes, furent parqués dans des conditions inhumaines par la police du gouvernement de Vichy sur ordre des occupants nazis. Que ceux qui ont tenté de leur venir en aide soient remerciés. Passant, souviens-toi. »	Shoah	8 Boulevard de Grenelle, 75015 48° 51′ 14″ N, 2° 17′ 20″ E
"J'accuse!"	C'est dans cet immeuble, qui abritait alors les bureaux du journal "L'Aurore", que le 12 janvier 1898 Émile Zola remir à Georges Clémenceau, rédacteur en chef, sa lettre au Président de la République Félix Faure démontrant l'innocence d'Alfred Dreyfus et proclamant: "La vérité est en marche et rien ne l'arrêtera.". Le texte parut le lendemain sous le célèbre titre "J'accuse".	J'accuse Affaire Dreyfus Zola Clémenceau	48, Avenue Charles-Floquet, 75007 48° 52′ 13″ N, 2° 20′ 16″ E
Le baron de Batz et ses amis	« Ici, le baron de Batz et ses amis tentèrent de faire évader Louis XVI au matin du 21 janvier 1793 »	Jean-Pierre de Batz Louis XVI	52, rue Beauregard, 75002 gps tbd
Chamfort	texte tbd	Sébastien-Roch Nicolas de Chamfort	10, rue Chabanais, 75002 GPS tbd
Élisabeth Vigée-Lebrun	texte tbd	Élisabeth Vigée-Lebrun	19, rue de Cléry, 75002 gps
Hôtel de Mondragon	texte tbd	Napoléon & Josephine	3, rue d'Antin, 75002 gps tbs

↑ Alain Dautriat, Sur les murs de Paris: Guide des plaques commémoratives, L'inventaire, 1999, 167 p. (ISBN 9782910490201, présentation en ligne)
↑ « OpenPlaques », sur Open Plaques Paris, 25 février 2024
↑ Auguste Tarrin, sous-chef du bureau à la préfecture de la Seine, est l'auteur de « Auguste Tarrin, La nouvelle législation sur les habitations à bon marché, 1906 (lire en ligne) »

Let's go

ESSAI
Texte	Photo	Sujets et personnes	Adresse	GPS
« Dans cette maison le 27 février 1804 fut arrêté le général Pichegru impliqué dans la conjuration de Cadoudal »	11 rue Chabanais	2^e	48° 52′ 03″ N, 2° 20′ 13″ E
« Dans cette maison habita en 1793 le Conventionnel Jacques Pierre Brissot 1754 – 1793 »	1 rue Grétry	2^e		^{[G 1]} ^{[D 1]}
« Ici habita en 1791 Jean-Baptiste Bouchotte 1754 – 1840 ministre de la Guerre sous la Convention. »	Hôtel de VicHôtel de Vic, 77 rue du Temple	3^e	48° 51′ 40″ N, 2° 21′ 22″ E	^{[D 2]}
« Sur cet emplacement s'élevait l'hôtel dans lequel demeura Jacques de Flesselles dernier prévôt des marchands de Paris mis à mort devant l'hôtel de ville le 14 juillet 1789 »	Hôtel de FlessellesHôtel de Flesselles, 52 rue de Sévigné	3^e	48° 51′ 29″ N, 2° 21′ 49″ E	^{[G 2]} ^{[D 3]} ^{[O 1]} ^{[S 1]}
« Dans cette maison habita Edmond Louis Alexis Dubois-Crancé député à la Convention et ministre de la Guerre sous le Directoire 1747 – 1814 »	22 rue Michel-le-Comte	3^e	48° 51′ 45″ N, 2° 21′ 21″ E	^{[G 2]} ^{[D 3]} ^{[N 1]} ^{[O 2]}
« Vestige de l'ancien couvent des Madelonnettes, fondé en 1618, transformé en prison en 1793 »	Pan de mur subsistant entre les 6 et 8 rue des Fontaines-du-Temple	3^e	48° 51′ 56″ N, 2° 21′ 34″ E	^{[G 2]}
« Dans cette maison habita en 1793 Romain de Sèze 1748 – 1828 avocat de Louis XVI »	Hôtel Le Ferron, 20 rue des Quatre-Fils	3^e	48° 51′ 39″ N, 2° 21′ 33″ E	^{[G 2]} ^{[D 4]} ^{[O 3]}
« Ici s'élevait le donjon du Temple où Louis XVI et la famille royale furent emprisonnés à partir du 13 août 1792. »	Mairie du 3^e arrondissement, 2 rue Eugène-Spuller	3^e	48° 51′ 51″ N, 2° 21′ 42″ E	^{[G 2]} ^{[D 4]} ^{[S 2]}
« Ancien prieuré Saint-Martin-des-Champs supprimé en 1790. En 1798, les bâtiments ont été affectés au Conservatoire national des arts et métiers, créé par décret de la Convention du 19 vendémiaire an III (10 octobre 1794) sur proposition de l'abbé Grégoire »	292 rue Saint-Martin	3^e	48° 52′ 02″ N, 2° 21′ 17″ E	^{[G 2]}
« Ancienne place de Grève agrandie en 1778, puis en 1853. À cet endroit, le 22 juillet 1789, l'intendant de Paris, Louis Bénigne François de Bertier de Sauvigny et son beau-père Joseph Foullon, conseiller d'État, furent mis à mort. »	7 place de l'Hôtel-de-Ville	4^e	48° 51′ 25″ N, 2° 21′ 04″ E	^{[G 3]} ^{[D 5]} ^{[O 4]}
« Vestige du bâtiment d'entrée de la prison de la Petite-Force^[a] 1785 – 1845 »	Pan de mur subsistant sur l'hôtel de Lamoignon, 24 rue Pavée	4^e	48° 51′ 25″ N, 2° 21′ 41″ E	^{[G 3]}
« Ici était l'entrée de la prison de la Grande-Force^[b]. ( 1782 . 1845 ) À cet endroit 161 détenus, dont la princesse de Lamballe, furent mis à mort les 3,4 et 5 septembre 1792 »	2 rue du Roi-de-Sicile	4^e	48° 51′ 20″ N, 2° 21′ 39″ E	^{[G 3]} ^{[D 6]} ^{[S 3]}
« Ici se trouvait le Théâtre du Marais construit en 1791 où furent jouées plusieurs pièces de Beaumarchais »	11 rue de Sévigné	4^e	48° 51′ 22″ N, 2° 21′ 44″ E	^{[G 3]} ^{[D 7]} ^{[O 5]} ^{[S 4]}
« Dans cette maison mourut le 3 février 1806 Nicolas-Edme Restif de La Bretonne auteur du “Paysan perverti„ et des “Nuits de Paris„ »	16 rue de la Bûcherie	5^e	48° 51′ 07″ N, 2° 20′ 55″ E	^{[G 4]} ^{[D 8]}
« Ancienne église S^te Geneviève Monument commencé en 1764 sur les plans de Soufflot affecté à la sépulture des grands hommes par l'Assemblée constituante le 4 avril 1791 »	Place du Panthéon, sur le socle du candélabre au coin de la grille, côté bibliothèque Sainte-Geneviève	5^e	48° 50′ 48″ N, 2° 20′ 43″ E	^{[G 4]}
« Dans cette maison habita en 1791 le député girondin Charles Barbaroux 1767 – 1794 »	20 rue Mazarine	6^e	48° 51′ 23″ N, 2° 20′ 14″ E	^{[D 9]} ^{[O 6]}
« Ancien couvent des Petits-Augustins dans lequel Alexandre Lenoir installa le Musée des Monuments français à partir de 1790 »	École des Beaux-Arts, 14 rue Bonaparte	6^e	48° 51′ 24″ N, 2° 20′ 05″ E	^{[G 5]} ^{[D 9]} ^{[O 7]}
« Jean-Jacques de Cambacérès Conventionnel archi-chancelier de l'Empire 1753 – 1824 principal rédacteur du Code civil demeura dans cette maison de 1795 à 1800 »	5 rue de l'Ancienne-Comédie	6^e		^{[G 4]} ^{[D 10]} ^{[N 2]}
« Ancien couvent des Carmes Dans ce lieu transformé en prison 114 prêtres furent massacrés le 2 septembre 1792 »	Institut catholique, 70 rue de Vaugirard	6^e	48° 50′ 53″ N, 2° 19′ 50″ E	^{[G 5]} ^{[D 11]} ^{[O 8]} ^{[S 5]}
« Ce passage fut un haut lieu de la Révolution française Au n^o 8 était installée l'imprimerie dans laquelle Marat fit paraître son journal “L'Ami du peuple„ en 1793 Au n^o 9 se trouvait l'atelier du charpentier Schmidt qui fabriqua la première guillotine en 1792 Au n^o 20 (emplacement de l'actuelle statue) Danton habita de 1789 jusqu'à son arrestation le 30 mars 1794 »	9 cour du Commerce-Saint-André	6^e	48° 51′ 10″ N, 2° 20′ 21″ E	^{[D 12]}
« Ici s'élevait l'ancien couvent des Cordeliers où la Société des droits de l'homme et du citoyen connue sous le nom de Club des cordeliers tint séance de 1791 a 1794 »	Campus des Cordeliers, 15 rue de l'École-de-Médecine	6^e		^{[D 12]} ^{[O 9]}
« Dans cette maison Camille Desmoulins 1760 – 1794 habita de 1782 jusqu'à son arrestation le 30 mars 1794 »	22 rue de l'Odéon	6^e	48° 51′ 01″ N, 2° 20′ 19″ E	^{[G 4]} ^{[D 13]}
« Dans cette maison Lucile Duplessis guillotinée le 13 avril 1794 habita avant son mariage avec Camille Desmoulins »	22 rue de Condé	6^e	48° 51′ 02″ N, 2° 20′ 17″ E	^{[G 4]} ^{[D 13]} ^{[O 10]}
« Dans cette maison le 28 mai 1831 mourut l'abbé Grégoire évêque constitutionnel comte de l'Empire membre de l'Institut défenseur des droits des Juifs et des Noirs »	44 rue du Cherche-Midi	6^e	48° 50′ 58″ N, 2° 19′ 34″ E	^{[G 5]} ^{[D 14]} ^{[N 3]} ^{[O 11]}
« Ici s'élevait la prison de l'Abbaye où les massacres de septembre 1792 firent 326 victimes »	133 boulevard Saint-Germain	6^e	48° 51′ 11″ N, 2° 20′ 07″ E	^{[D 15]} ^{[O 12]}
« Ici Jean Sylvain Bailly premier maire de Paris a été guillotiné le 11 novembre 1793 »	2 avenue de La Bourdonnais	7^e	48° 51′ 37″ N, 2° 17′ 45″ E	^{[G 5]} ^{[D 16]} ^{[O 13]}
« Ici était le cabaret des “Deux Anges” où logea en 1804 le Chouan Georges Cadoudal 1771 – 1804 alors qu'il préparait son complot contre Bonaparte »	98 rue du Bac	7^e	48° 51′ 14″ N, 2° 19′ 26″ E	^{[G 5]} ^{[D 17]} ^{[N 4]} ^{[O 14]}
« Talleyrand 1754 – 1838 habita cette maison en 1790 »	17 rue de l'Université	7^e	48° 51′ 26″ N, 2° 19′ 45″ E	^{[D 18]} ^{[N 5]}
« Cette place, inaugurée en 1763, fut appelée, à l'origine, place Louis XV. De novembre 1792 à mai 1795 alors dénommée place de la Révolution, elle fut le lieu principal des exécutions publiques, dont celle de Louis XVI le 21 janvier 1793 et de Marie-Antoinette le 16 octobre 1793. »	Place de la Concorde, devant l'obélisque, côté Champs-Élysées	8^e	48° 51′ 56″ N, 2° 19′ 16″ E	^{[O 15]}
« Ancien cimetière Sainte-Marguerite où furent inhumés en juin 1794 les corps des 73 personnes guillotinées place de la Bastille et le 10 juin 1795, celui de l'enfant mort au donjon du Temple^[c] »	Église Sainte-Marguerite, 36 rue Saint-Bernard	11^e	48° 51′ 11″ N, 2° 22′ 51″ E	^{[G 6]} ^{[D 19]}
« Dans cette maison, habita en 1793 le député girondin Armand Gensonné 1758 – 1793 »	19 rue Saint-Sébastien	11^e		^{[G 6]} ^{[D 20]}
« Ici à la Barrière du Trône l'échafaud fut installé du 13 juin au 28 juillet 1794 »	Place de l'Île-de-la-Réunion, bâtiment sud de la barrière du Trône, façade arrière	12^e	48° 50′ 51″ N, 2° 23′ 55″ E	^{[G 6]} ^{[D 21]} ^{[O 16]}
« Ici dans deux fosses communes ont été inhumés les corps de plus de 1300 personnes guillotinées sur la place du Trône du 13 juin au 28 juillet 1794 »	Cimetière de Picpus, 35 rue de Picpus	12^e	48° 50′ 39″ N, 2° 23′ 47″ E	^{[G 6]} ^{[D 21]}
« Ici s'élevait le château de Grenelle. Transformé en manufacture de poudres sous la Révolution, il fut détruit le 31 août 1794 par une explosion qui causa la mort de plus de cent personnes. »	16 place Dupleix	15^e	48° 51′ 05″ N, 2° 17′ 44″ E	^{[G 7]} ^{[D 22]}
« Dans cet hôtel habita Marie-Thérèse Louise de Savoie-Carignan princesse de Lamballe amie dévouée de la reine Marie-Antoinette 1749 – 1792 »	Hôtel de Lamballe, 17 rue d'Ankara	16^e	48° 51′ 20″ N, 2° 16′ 54″ E	^{[G 7]} ^{[D 23]} ^{[O 17]}
« Dans cette maison habita Olympe de Gouges écrivain féministe 1748 – 1793 »	4 rue du Buis	16^e	48° 50′ 50″ N, 2° 16′ 04″ E	^{[G 7]} ^{[O 18]}
style="text-align: center; white-space: nowrap;"	« Cette maison ^[d], »	Enceinte du jardin de l'Hospice-Debrousse 148 rue de Bagnolet	20^e	48° 51′ 43″ N, 2° 24′ 23″ E	^{[G 7]}
« Claude Chappe 1763 – 1805 fit en 1793 sur les hauteurs de Belleville l'expérience du télégraphe aérien qui annonça les victoires des armées de la République ———— Emplacement de la propriété de L. M. Lepeletier de Saint Fargeau membre de la Convention nationale 1760 – 1793 ———— Plaque apposée à l'occasion du 150^ème anniversaire de la Révolution française »	Cimetière de Belleville, bureaux de la conservation, 40 rue du Télégraphe	20^e	48° 52′ 28″ N, 2° 23′ 57″ E	^{[G 7]} ^{[N 6]}

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↑ ^{a b c et d} p. 113.
↑ ^{a b c d et e} p. 114.

↑ p. 308.
↑ p. 314.
↑ p. 315.
↑ p. 319.
↑ p. 324.
↑ p. 368.

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↑ p. 26.
↑ ^{a et b} p. 27.
↑ ^{a et b} p. 28.
↑ p. 34.
↑ p. 36.
↑ p. 39.
↑ p. 47.
↑ ^{a et b} p. 52.
↑ p. 53.
↑ p. 54.
↑ ^{a et b} p. 55.
↑ ^{a et b} p. 56.
↑ p. 58.
↑ p. 62.
↑ p. 68.
↑ p. 70.
↑ p. 77.
↑ p. 103.
↑ p. 102.
↑ ^{a et b} p. 106.
↑ p. 120.
↑ p. 129.

↑ La prison de la Petite-Force est le quartier des femmes de la prison de La Force.
↑ La prison de la Grande-Force est le quartier des hommes de la prison de La Force.
↑ L'« enfant mort au donjon du Temple » est Louis XVII, dauphin puis prétendant au trône après l'exécution de son père, Louis XVI.
↑ La maison est le pavillon de l'Ermitage, une folie du château de Bagnolet dont il est le seul vestige.

Par autre critère

Par période

Révolution française: Liste des plaques commémorant le bicentenaire de la Révolution à Paris
Seconde guerre mondiale
Autres guerres
Sciences
Arts

[1] Alain Dautriat, Sur les murs de Paris: Guide des plaques commémoratives, L'inventaire, 1999, 167 p. (ISBN 9782910490201, présentation en ligne)

[2] « OpenPlaques », sur Open Plaques Paris, 25 février 2024

[3] Auguste Tarrin, sous-chef du bureau à la préfecture de la Seine, est l'auteur de « Auguste Tarrin, La nouvelle législation sur les habitations à bon marché, 1906 (lire en ligne) »

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[p110-16] {a b c et d} p. 110.

[p111-26] {a b c d et e} p. 111.

[p112-30] {a b c d et e} p. 112

[p113-55] {a b c et d} p. 113.

[p114-60] {a b c d et e} p. 114.

[11] . 308.

[33] . 314.

[42] . 315.

[49] . 319.

[52] . 324.

[66] . 368.

[9] 41684.

[12] 39996.

[14] 42931.

[18] 33168.

[24] 49761.

[29] 30800.

[31] 31074.

[35] 41922.

[38] 31564.

[40] 11571.

[43] 39101
et 11657.

[45] 39580.

[47] 11259.

[50] 40325

[53] 30740.

[59] 31659.

[63] 41658.

[64] 28196.

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[6] . 26.

[p27-8] {a et b} p. 27.

[p28-13] {a et b} p. 28.

[17] . 34.

[21] . 36.

[23] . 39.

[27] . 47.

[p52-28] {a et b} p. 52.

[32] . 53.

[34] . 54.

[p55-37] {a et b} p. 55.

[p56-39] {a et b} p. 56.

[41] . 58.

[44] . 62.

[46] . 68.

[48] . 70.

[51] . 77.

[56] . 103.

[57] . 102.

[p106-58] {a et b} p. 106.

[61] . 120.

[62] . 129.

[10] 5163849130.

[15] 4912588251.

[22] 7778236550.

[25] 8987108175.

[36] 9558741518.

[19] La prison de la Petite-Force est le quartier des femmes de la prison de La Force.

[20] La prison de la Grande-Force est le quartier des hommes de la prison de La Force.

[54] L'« enfant mort au donjon du Temple » est Louis XVII, dauphin puis prétendant au trône après l'exécution de son père, Louis XVI.

[65] La maison est le pavillon de l'Ermitage, une folie du château de Bagnolet dont il est le seul vestige.

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