Sorel-Moussel

commune française du département d'Eure-et-Loir

Sorel-Moussel est une commune française du département d'Eure-et-Loir, en région Centre-Val de Loire. Elle comprend notamment le site préhistorique de Fort Harrouard au bord de l'Eure.

Sorel-Moussel
Sorel-Moussel
L'église Saint-Roch du Moussel
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Dreux
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays de Dreux
Maire
Mandat
Gilbert Galland
2020-2026
Code postal 28260
Code commune 28377
Démographie
Population
municipale
1 722 hab. (2021 en évolution de −4,23 % par rapport à 2015)
Densité 135 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 50′ 31″ nord, 1° 22′ 59″ est
Altitude Min. 64 m
Max. 137 m
Superficie 12,8 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Ézy-sur-Eure
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Anet
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Sorel-Moussel
Liens
Site web site officiel

Géographie

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Situation

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La commune de Sorel-Moussel se situe dans le nord du département d'Eure-et-Loir, aux confins des régions Centre-Val de Loire, Normandie et Île-de-France. Elle est limitrophe du département de l'Eure à l'ouest, avec le département des Yvelines à 15 km à l'est. Elle se trouve à environ 14 km km au nord de Dreux, 52 km au nord de Chartres, 82 km à l'ouest de Paris et 92 km au sud de Rouen.

Communes limitrophes

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Communes limitrophes de Sorel-Moussel[1]
Croth (Eure) Croth (Eure) Saussay
Marcilly-sur-Eure (Eure)   Anet
Marcilly-sur-Eure (Eure) Abondant Rouvres

Hameaux et écarts

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Bordée au nord et à l'ouest par la rivière Eure, elle est constituée d'un grand nombre de hameaux :

  • le Bailly
  • la Boissière
  • la Briquetterie
  • La Charmoie
  • les Christophes
  • les Duvaux
  • la Ferme Brûlée
  • Ficelle (ferme)
  • Hauterive
  • les Hauteurs, incluant :
    • Beauregard
    • les Rousseaux
    • les Sorniers
  • les Hoguets
  • les Hues
  • les Maisons Neuves
  • la Malignerie
  • les Maries (Hautes et Basses)
  • le Moussel (Saint-Roch)
  • le Pied des Côtes
  • La Poussarderie
  • la Robertière
  • Sorel
  • le Terrier
  • La Vallée aux Loutres
  • les Vieilles Ventes

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 619 mm, avec 10,6 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bû_sapc », sur la commune de à 10 km à vol d'oiseau[4], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 633,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Sorel-Moussel est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Ézy-sur-Eure, une agglomération inter-régionale dont elle est une commune de la banlieue[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[10].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (46,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (47,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (46,7 %), terres arables (30,3 %), zones urbanisées (17,8 %), zones agricoles hétérogènes (4 %), prairies (1,1 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Sorel-Moussel est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[12]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[13].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Eure. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1995 et 1999[14],[12].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Sorel-Moussel.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile, des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des effondrements généralisés[15]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[16].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 57,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 881 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 472 sont en aléa moyen ou fort, soit 54 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[17],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1996 et par des mouvements de terrain en 1999[12].

Risques technologiques

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Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[18].

Toponymie

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Au XIIe siècle, Sorel était une succursale de la paroisse du Moncel (aujourd'hui Moussel)[19].

Sorel est attesté sous la forme Sorellum en 1104[20]. Sorel est un nom de famille assez fréquent dans la Normandie voisine, dérivé de sor, saur, roux, fauve, sobriquet d’après la couleur des cheveux.

Moussel (Moncel) est attesté sous la forme « ecclesia sancte Marie de Moncellis cura capella de Sorel »[21]. Moussel est un toponyme désignant le plus souvent une petite colline (variante de moncel, monceau).

Histoire

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  • En bordure de l'Eure dans le sud-ouest de la commune, se trouve le site archéologique de Fort Harrouard, un village agropastoral du Néolithique. Lors des fouilles, du mobilier a été découvert (voir photos).
La première présence humaine avérée sur la commune de Sorel-Moussel remonte donc au Néolithique.
  • Le fief de Sorel est détaché du domaine royal au Xe siècle au profit des seigneurs du Thymerais. Il y est réintégré après la mort en 1248 de Jean de Châteauneuf, fils de Hughes III, baron de Châteauneuf-en-Thymerais, et d'Aliénor de Dreux.
  • Entre le et le , plus de 2 000 réfugiés espagnols fuyant l'effondrement de la république espagnole devant les troupes de Franco, arrivent en Eure-et-Loir. Devant l'insuffisance des structures d'accueil (le camp de Lucé et la prison de Châteaudun rouverte pour l’occasion), 53 villages sont mis à contribution[22], dont Sorel-Moussel[23]. Les réfugiés, essentiellement des femmes et des enfants (les hommes sont désarmés et retenus dans le sud de la France), sont soumis à une quarantaine stricte, vaccinés, le courrier est limité, le ravitaillement, s'il est peu varié et cuisiné à la française, est cependant assuré[24]. Une partie des réfugiés rentrent en Espagne, incités par le gouvernement français qui facilite conditions du retour, mais en décembre, 922 ont préféré rester et sont rassemblés à Dreux et Lucé[25].

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires à partir de 1945
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1945 1979 Jean Moreau    
1979 2017 Norbert Maître UMP-LR Retraité
septembre 2017 En cours Gilbert Galland[26],[27]   Ancien cadre

Politique environnementale

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Population et société

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Démographie

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Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
913762946846881869860892875
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9021 0531 1101 0561 0451 0181 008966939
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
950920934847864840774709720
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
8488228941 0111 3171 4791 7971 8101 767
2015 2020 2021 - - - - - -
1 7981 7401 722------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Manifestations culturelles et festivités

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Tous les ans a lieu la course cycliste Paris-Sorel (31e édition en 2013). Elle réunit entre 100 et 150 coureurs sur une centaine de kilomètres. Le départ a lieu à Houdan avec passages à Saint-Lubin-de-la-Haye, Berchères-sur-Vesgre, Oulins et Anet. L'arrivée a lieu en haut de la côte Bilbeau (lieu-dit les Hauteurs de Sorel).

Économie

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Patrimoine

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Château de Sorel

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Porte monumentale du château de Sorel par Mieusement, XVIIe siècle

  Classé MH (1862)[30]

Le château de Sorel a été précédé par une motte du Xe siècle bâtie pour lutter contre les raids vikings. Situé sur le promontoire de Sorel dominant l'Eure en rive droite en aval de Dreux et qui offrait protection contre ces attaques, elle appartenait alors en fief aux seigneurs de Thymerais (Châteauneuf-en-Thymerais).

La motte se transforme progressivement en forteresse avec l'adjonction d'un donjon et de remparts construits en pierre, et devient la propriété de Gervais[31] († env. 1116), grand sénéchal de France sous Philippe Ier[32]. Au XIIIe siècle Philippe de Dreux, évêque-comte de Beauvais, détruit la forteresse qui est subséquemment reconstruite par son neveu[31].

Au XIVe siècle la forteresse passe dans les mains de Pierre II d'Alençon (1340 - 1404), puis de la famille de Laval, et pendant le XVe siècle à la famille d'Albret. Sous Louis XI elle est un élément-clé de la défense de l'Île-de-France contre les attaques des Anglais[31].

Au XVIe siècle le château, devenue une résidence de plaisance, passe à Pierre Séguier (1504-1580), fondateur de la famille Séguier, l'une des plus puissantes familles de robe de l'Ancien Régime. Le fils de Pierre Séguier en hérite ; mais étant passé dans le camp de Henri de Navarre, protestant et futur Henri IV, la Ligue catholique détruit le château. Son héritier fait rebâtir le château au XVIIe siècle, sous sa forme actuelle ; le portail fort remarqué est quant à lui construit par la génération suivante[31].

Pendant les XVIIe et XVIIIe siècles, la demeure passe au duc de Luynes, à la famille Dyel du Parquet, au financier Antoine Crozat (1655-1738), à Louis-Charles de Bourbon prince d’Anet et comte de Dreux, à la princesse Anne de Condé, à la duchesse du Maine, au prince de Dombes et au comte d’Eu puis duc de Penthièvre (1725 - 1793). Mais ces siècles voient le déclin du château au profit du château d'Anet qui avait appartenu à Diane de Poitiers, maîtresse d'Henri II. Il est même question de livrer le château aux marchands de pierre et autres matériaux - ce qui finit par arriver avec la Révolution. Louise-Marie-Adélaïde de Bourbon (1753-1821), fille du duc de Penthièvre, revient d'exil lorsque Napoléon tombe et en rachète les ruines en 1820. Son fils le roi Louis-Philippe en hérite mais la chute de la monarchie de juillet amène la confiscation des biens de la famille d’Orléans en 1848[31].

Ce qui reste du château (le pavillon de chasse du XVIIIe siècle et le portail) est classé monument historique en 1862 et est ainsi préservé d'une disparition complète. En 1872 la propriété passe à la famille d’Orléans, qui en fait restaurer une partie à l’identique. Cependant, très endommagé lors des deux guerres précédentes le « Vieux Château » n'est plus habité ; et le pavillon rescapé a été vandalisé et laissé pour compte aux intempéries et à la végétation. En 1952, le comte Olivier-Pomponne de Bazelaire (fils du général de Bazelaire de Ruppierre), architecte des bâtiments du « comte de Paris », acquiert de ce dernier la propriété, envahie de décombres et de végétation, pour le prix de la coupe de quelques arbres du parc. Il y fait réaliser d'importants travaux de réhabilitation, dont les douves sèches le « Pavillon des Oiseaux » et la remise en état du parc. Le propriétaire actuel (2016) est son petit-fils[31],[33].

Enceinte préhistorique de Fort Harrouard

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  Classé MH (1934)[34]

Le site archéologique de Fort Harrouard a été occupé dès le Néolithique. Son occupation s'est poursuivie pendant l'âge du bronze et au-delà.

Dolmen et polissoir

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Dolmen et polissoir de la Ferme Brûlée.

  Inscrit MH (1951)[35]

Lieu-dit la Ferme Brûlée.

Forêt domaniale de Dreux

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La forêt de Dreux occupe une grande partie du territoire de la commune, avec un massif couvrant la limite Est (96 hectares), un traversant de part en part le centre de la commune (150 hectares), et un troisième en limite Ouest (191 hectares). Elle est classée forêt de protection depuis 2004.

Autres lieux et monuments

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  • Les papeteries Firmin Didot sont situées sur trois sites au bord de l'Eure : Saussay, Sorel et le Moussel. Ces papeteries, partiellement détruites en 1987[36] et faisant partie du patrimoine architectural industriel de la commune, ont été aujourd'hui reconverties en locaux d'activités pour les artisans et les PME (Espace Didot).
Une statue d'Ambroise Firmin Didot est commandée en 1888 par le conseil municipal de Sorel-Moussel au sculpteur Félix Charpentier et inaugurée en 1890 sur la place Firmin-Didot. Il est représenté en pied, avec un livre dans la main droite, l'autre main sur la poignée d'une vis de presse[37].
  • L'église Saint-Nicolas de Sorel (XVIe siècle)
  • L'église Saint-Roch du Moussel (XVIIIe siècle).
  • Le lavoir.
  • À l'époque moderne, la forêt de Dreux aux alentours de Sorel était également appelée forêt de Crotais. Ce toponyme a probablement donné naissance au nom de Croth, le village voisin situé sur l'autre rive de l'Eure.
Le sentier de grande randonnée 22 qui relie Paris au Mont Saint-Michel[38] passe en forêt de Dreux sur la commune de Sorel-Moussel, en limite de communes avec Rouvres.

Personnalités liées à la commune

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Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Sorel-Moussel et Bû », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Bû_sapc », sur la commune de Bû - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Bû_sapc », sur la commune de Bû - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  9. « Unité urbaine 2020 d'Ézy-sur-Eure », sur insee.fr (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Sorel-Moussel », sur Géorisques (consulté le ).
  13. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  14. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  15. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  16. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Sorel-Moussel », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  19. Mémoires de la Société archéologique d'Eure-et-Loir, Société archéologique d'Eure-et-Loir, , p. 17.
  20. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, Droz, , p. 1293.
  21. Mémoires de la Société archéologique d'Eure-et-Loir, Société archéologique d'Eure-et-Loir, , p. 19.
  22. Jeanine Sodigné-Loustau, L'accueil des réfugiés civils espagnols de 1936 à 1940. Un exemple : la région Centre, Matériaux pour l'histoire de notre temps. 1996, no 44. p. 43.
  23. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 46.
  24. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 43-44.
  25. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 47.
  26. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  27. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. « Ruines du château du 17e siècle », notice no PA00097215, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. a b c d e et f Château de Sorel, Histoire et découverte du site sur intohistory.com.
  32. J.M. Quérard, Le Moniteur de la librairie: mémorial universel des publications françaises anciennes et modernes, troisième année. Paris, 1844. p. 517.
  33. Histoire du château de Sorel sur chateau-de-sorel.com.
  34. « Enceinte préhistorique du Fort Harrouard », notice no PA00097217, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. « Dolmen et polissoir », notice no PA00097216, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. Articles de "Paris Normandie" des 28 et 28 février 1987.
  37. « Sorel-Moussel : statue d'Ambroise-Firmin Didot », notice no IM28000752, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  38. GR 22 sur gr-infos.com.
  39. Vallée de l'Eure de Maintenon à Anet et vallons affluents, site Natura 2000 n° FR2400552.
  40. André Fourny, Dictionnaire de la boxe, Paris, Perrin, , 582 p. (ISBN 978-2-262-04294-3), p. 362.