Savennières

Savennières | |||||
Église de Savennières. | |||||
Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Maine-et-Loire | ||||
Arrondissement | Angers | ||||
Canton | Angers-3 | ||||
Intercommunalité | Angers Loire Métropole | ||||
Maire Mandat |
Jérémy Girault 2014-2020 |
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Code postal | 49170 | ||||
Code commune | 49329 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saponarien, Saponarienne | ||||
Population municipale |
1 338 hab. (2016 ![]() |
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Densité | 64 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 23′ 02″ nord, 0° 39′ 23″ ouest | ||||
Altitude | 20 m Min. 12 m Max. 77 m |
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Superficie | 21,01 km2 | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France | |||||
Liens | |||||
Site web | Site de Savennières | ||||
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Savennières est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.
Située dans la deuxième couronne sud de la ville d'Angers, on trouve sur la commune un vignoble réputé.
GéographieModifier
LocalisationModifier
Commune angevine implantée sur la rive nord de la Loire, Savennières est située à une quinzaine de kilomètres à l’ouest d’Angers, dans la zone du val de Loire inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO depuis novembre 2000.
Aux alentoursModifier
Les communes les plus proches sont Béhuard (1 km), La Possonnière (2 km), Rochefort-sur-Loire (3 km), Denée (4 km), Saint-Jean-de-la-Croix (6 km), Bouchemaine (6 km), Saint-Aubin-de-Luigné (6 km), Saint-Martin-du-Fouilloux (6 km), Chaudefonds-sur-Layon (8 km) et Mûrs-Erigné (8 km)[1].
Géologie et reliefModifier
L'altitude de la commune varie de 12 à 77 mètres[2]. Elle est due à ses nombreux vallons à l'est du bourg jusqu'à Bouchemaine, en bord de Loire. Son territoire s'étend sur une superficie de plus de 21 km2 (2 101 hectares)[3].
ClimatModifier
Son climat est tempéré, de type océanique. Le climat angevin est particulièrement doux, de par sa situation entre les influences océaniques et continentales. Généralement les hivers sont pluvieux, les gelées rares et les étés ensoleillés[4].
UrbanismeModifier
La ville se compose des bourgs de Savennières et d'Épiré[5].
ToponymieModifier
Ce toponyme vient de la saponaire. Formes anciennes du nom : Vicus Saponaria au VIIe siècle, Saponaria in territorio Andegavensi, Curtis Saponaria au XIe siècle, Savoneriœ au XIIe siècle, la paroisse de Savonnières au XIIIe siècle, Parochia de Sapponnerüs au XIVe siècle, Sapvonnières au XVIe et XVIIe siècles, avant de devenir Savennières puis Savennières en 1619[6], Savenière et Savennières aux XVIIIe et XIXe siècles[7].
HistoireModifier
Préhistoire et AntiquitéModifier
Une hache polie, et une autre percée, sont les seules preuves de l'occupation du territoire à l'époque préhistorique. Pour l'époque antique, des pierres gravées, peut-être des bornes milliaires, ont été retrouvées, ainsi qu'un reste de mosaïque dans le bourg et des sarcophages en pierre coquillère[6], datant plus probablement de l'époque mérovingienne. Une voie romaine qui reliait Angers à Nantes passait par le territoire de la commune, par La Ségourie. Dans l'église d’Épiré, le bénitier a été creusé dans un tronçon de colonne et chapiteau composite[6].
Moyen ÂgeModifier
Un vicus est attesté dès le VIe siècle, et jusqu'au XIe siècle vraisemblablement. Ravagé par les troupes bretonnes, puis normandes, le territoire de Savennières passe aux mains des comtes de Nantes et accueille la sépulture du comte Lambert II de Nantes, avant de repasser sous l'influence des comtes d'Anjou. Au XIIe siècle, afin de protéger la voie d'Angers à Nantes, le château de la Roche-aux-Moines est érigé.
En 1214 se déroula une bataille opposant les Plantagenêt aux troupes royales[8]. Après avoir débarqué avec ses alliés à La Rochelle, Jean sans Terre fit de Rochefort-sur-Loire sa base d'opérations et assiégea La Roche-aux-Moines (à Savennières), château de Guillaume des Roches[9]. Jean fut défait par les troupes royales du Prince Louis, fils de Philippe Auguste. Une illustre famille féodale a porté son nom : les de Savennières ou de Savonnières[réf. nécessaire].
Ancien Régime et RévolutionModifier
Au XVIIIe siècle, la paroisse dépend du doyenné de Candé et de l'élection d'Angers. Les habitants de la paroisse sont pauvres, nombre d'entre eux étant des journaliers aux faibles revenus travaillant dans les vignes[10].
Pendant la Révolution, le curé prête serment, mais le chapelain refuse et s'exile. Trois habitants sont victimes de la Terreur, ayant été condamné à mort par la commission militaire d'Angers[10].
Époque contemporaineModifier
Savennières devenue commune, devient chef-lieu de canton du canton de Savennières en 1795, avant que celui-ci disparaisse en 1801 (canton de Saint-Georges-sur-Loire)[7]. La commune d’Épiré y est rattachée en 1795[10].
La commune se composait jusqu'en 1851 de La Possonnière[10],[7] et de L'Alleud, mais celles-ci ont été distraites par une loi promulguée par l'Assemblée nationale sous le sceau de l’État par Louis-Napoléon Bonaparte.
La Première Guerre mondiale voit la mort de 17 habitants d’Épiré. Les deux guerres mondiales emporteront la vie de 59 habitants de Savennières[10].
L'électricité arrive dans la commune dès 1923, et l'eau courante à partir de 1938[10]. En 1937, le président de la République française, Albert Lebrun, s'arrête à Savennières lors d'une visite dans le vignoble à l'occasion de la cinquième fête nationale des vins de France[10].
Politique et administrationModifier
Administration municipaleModifier
IntercommunalitéModifier
La commune est intégrée à la communauté urbaine Angers Loire Métropole[13], elle-même membre du syndicat mixte pôle métropolitain Loire Angers[14].
Autres circonscriptionsModifier
Jusqu'en 2014, Savennières fait partie du canton de Saint-Georges-sur-Loire et de l'arrondissement d'Angers[15]. Ce canton compte alors dix communes. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du 26 février 2014. La commune est alors rattachée au canton d'Angers-3, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[16].
Population et sociétéModifier
Évolution démographiqueModifier
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[18].
En 2016, la commune comptait 1 338 habitants[Note 1], en diminution de 4,15 % par rapport à 2011 (Maine-et-Loire : +2,61 %, France hors Mayotte : +2,44 %).
Pyramide des âgesModifier
La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (19,5 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (21 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (50,4 % contre 48,4 % au niveau national et 48,6 % au niveau départemental).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 50,4 % d’hommes (0 à 14 ans = 23,9 %, 15 à 29 ans = 14,3 %, 30 à 44 ans = 25,8 %, 45 à 59 ans = 18,7 %, plus de 60 ans = 17,3 %) ;
- 49,6 % de femmes (0 à 14 ans = 22,2 %, 15 à 29 ans = 13,8 %, 30 à 44 ans = 26,1 %, 45 à 59 ans = 16 %, plus de 60 ans = 21,8 %).
Vie localeModifier
Services publics présents sur la commune : mairie, écoles maternelle et primaire, accueil péri-scolaire, maison de retraite, poste. D'autres services publics sont présents à Saint-Georges-sur-Loire ou sur l'agglomération angevine.
EnseignementModifier
Le collège se trouve sur la commune de Saint-Georges-sur-Loire, tandis que les lycées sont sur Angers.
Sports et équipements sportifsModifier
Les équipements sportifs se trouvent soit à Saint-Georges-sur-Loire, soit sur l'agglomération angevine.
Deux cercles de boule de fort sont présents sur la commune, la Concorde dans le bourg de Savennières et la Bonne tenue dans celui d'Épiré.[réf. nécessaire]
Manifestations culturelles et festivitésModifier
Plusieurs manifestations ont lieu au cours de l'année :
- fête du goût et du patrimoine (mois de mai),
- festival Littéraire Terres à Vins, terres à Livres (fin septembre)[23].
ÉconomieModifier
Tissu économiqueModifier
Sur 113 établissements présents sur la commune à fin 2010, 29 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 5 % du secteur de l'industrie, 6 % du secteur de la construction, 52 % de celui du commerce et des services et 7 % du secteur de l'administration et de la santé[24].
En 2008, sur les 101 établissements présents, 47 % relevaient du commerce et des services et 33 % de celui de l'agriculture[25].
AgricultureModifier
On comptait 32 exploitations agricoles en 2000[26]. Le nombre d'exploitations a diminué entre 1988 et 2000, passant de 51 à 32, mais la superficie cultivée a, elle, augmenté dans cette période, passant de 1 392 hectares (moyenne 27 hectares par exploitation) à 1 463 hectares (46 hectares par exploitation). Quatorze exploitations élevaient des bovins, le nombre de tête augmentant de 1 295 à 1 451 entre 1988 et 2000, et sept des volailles[26].
Vignoble
Après l'embouchure de la Maine vers la Loire, à Épiré commence le vignoble de Savennières. Le vignoble de Savennières est un vignoble du Val-de-Loire, situé sur les communes de Savennières, Bouchemaine, et La Possonnière.
Appellations sur le territoire
La commune possède au total trente-cinq appellations sur le territoire[27]:
- AOC - AOP Anjou blanc, Anjou gamay, Anjou gamay nouveau ou primeur, Anjou mousseux blanc, Anjou mousseux rosé, Anjou rouge, Anjou Villages ;
- AOC - AOP Cabernet d'Anjou, Cabernet d'Anjou nouveau ou primeur ;
- AOC - AOP Crémant de Loire blanc, Crémant de Loire rosé ;
- AOC - AOP Rosé d'Anjou, Rosé d'Anjou nouveau ou primeur, Rosé de Loire ;
- AOC - AOP Savennières, Savennières Coulée de Serrant, Savennières Coulée de Serrant demi-sec, Savennières Coulée de Serrant moelleux ou doux, Savennières demi-sec, Savennières moelleux ou doux, Savennières Roche aux Moines, Savennières Roche aux Moines demi-sec, Savennières Roche aux Moines moelleux ou doux ;
- AOC - AOP Maine-Anjou ;
- IGP Maine-et-Loire blanc, Maine-et-Loire rosé, Maine-et-Loire rouge ;
- IGP Bœuf du Maine, Cidre de Bretagne ou Cidre breton ;
- IGP Volailles de Cholet, Volailles de Loué, Volailles du Maine, Volailles d’Ancenis, Œufs de Loué.
Culture locale et patrimoineModifier
Lieux et monumentsModifier
Monuments historiques[28]
- Église Saint-Pierre-et-Saint-Romain de Savennières des Xe et XIIe siècles, classée monument historique en 1840[29].
- Logis de la Coulée de Serrant du XVe siècle, Monument historique inscrit par arrêté du 20/09/1968 (façades et toitures).
- Logis de la Cour, Monument historique inscrit par arrêté du 14/03/1986.
- Le Château des Vaults
- Manoir des Lauriers du XVIIIe siècle, Monument historique inscrit par arrêté du 28/08/1974.
- Moulin à vent de Plussin, Monument historique inscrit par arrêté du 12/12/1975.
- Moulin à vent du Fresne (ou de la Petite Roche), Monument historique inscrit par arrêté du 21/11/1975.
- Presbytère, rue de la Cure, Monument historique inscrit par arrêté du 24/09/1986 (cheminée avec décor de toiles peintes, salon, élévation, toiture, décor intérieur).
Sites classés[30]
- Ensemble formé par le château de Serrant et le château Chevigné, ainsi que les étangs de Chevigné et de la Brelaudière, site classé par arrêté du 25 mars 1977.
- Ruines de l'ancien château de Serrant, Site protégé classé par arrêté du 18 juin 1921.
- Site formé par la confluence et les coteaux angevins, Site protégé classé par arrêté du 23 février 2010.
- Zone de protection du patrimoine architectural urbain et paysager, ZPPAUP créée le 19 février 2010.
- Pierre Bécherelle et rochers voisins, Site protégé classé par arrêtés des 8 juillet 1912 et 13 juin 1921.
- Allée de cyprès, à mi-hauteur de la Roche aux Moines, Site protégé inscrit le 20 janvier 1939.
Autres lieux
- Parc du Fresne, dont un platane d'Orient plusieurs fois centenaire[31].
- Rives de la Guillemette (bras de la Loire).
- Sentiers de randonnée communaux.
Personnalités liées à la communeModifier
- Guillaume des Roches (1165 ou 1170-1222), occupant du château de la Roche-aux-Moines (Savennières).
- Mgr Henri Brincard (1939-2014), évêque du Puy en 1988, né à Savennières.
- Danièle Sallenave (1940- ), originaire de la commune, écrivain français, membre de l'Académie française[32].
Voir aussiModifier
Notes et référencesModifier
NotesModifier
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.
RéférencesModifier
- Lion1906, Distances orthodromiques à partir de Savennières (49), consulté le 28 juin 2012 — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).
- IGN, Répertoire Géographique des Communes (RCG 2010), consulté le 2 février 2012 — Données consultables sur WikiAnjou.
- EHESS, Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui (op. cit.), consulté le 28 juin 2012.
- Comité météorologique départemental, Climat de Maine-et-Loire, consulté le 24 mai 2011.
- IGN et BRGM, Géoportail Savennières (49), consulté le 28 juin 2012.
- Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire, Lachèse & Dolbeau, 1878, t. 3 p. 500 et suivantes — selon ses travaux faits au XIXe siècle sur les archives anciennes.
- EHESS, Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, Fiche de Savennières, consultée le 28 juin 2012 — Nom de la municipalité en 1793 (an II), selon le recensement réalisé sur l’ensemble du territoire français de l’époque, et en 1801, selon les « Arrêtés de réduction des justices de paix » (actes publiés au Bulletin des lois) constituant la première nomenclature officielle des circonscriptions administratives de la France contemporaine.
- Bataille citée dans plusieurs ouvrages, dont :
• Adrien Pascal, Histoire de l'Armée et de tous les Régiments, Volume 1, 1853
• Henri Chevallier, Histoire du Moyen Âge, 1859
• André Sarazin, Manoirs et gentilshommes d'Anjou, 1965
• Louis Le Gendre, Nouvelle Histoire de France, 2012 - Jacques Boussard, Le Comté d'Anjou sous Henri Plantagenêt et ses fils, 1938.
- Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire, 1874-1878, Édition révisée de 1996 par André Sarazin et Pascal Tellier, t. 4, p. 344 et suivantes.
- Ouest-France, Jacques Chambrier, réélu maire à l'unanimité, article du 30 mars 2014.
- Ouest-France, Jérémy Girault prend les rênes de la commune, article du 25 septembre 2018.
- Insee, Composition de l'EPCI d'Angers Loire Métropole (244900015), consulté le 15 novembre 2012.
- Préfecture de Maine-et-Loire, Arrêté DRCL no 879 du 13 décembre 2011, RAA spécial du 21 décembre 2011.
- Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Savennières, consultée le 15 février 2015.
- Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016.
- « Évolution et structure de la population à Savennières en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le 29 juin 2011)
- « Résultats du recensement de la population de Maine-et-Loire en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le 29 juin 2011)
- Festival de Savennières, Dossier de presse 2011, document du 14 mai 2012.
- Insee, Statistiques locales du territoire de Savennières (49), consultées le 26 mai 2013.
- Insee, Statistiques 2008 du territoire de Savennières, consultée le 29 juin 2011
- Insee, Chiffres clés de Savennières, consultée le 29 juin 2011.
- INAO, Fiche de Savennières, consultée le 30 juin 2011 — AOC Appellation d'origine contrôlée (FR), AOP Appellation d'origine protégée (CE), IGP Indication géographique protégée (CE).
- Ministère de la Culture, Monuments historiques et inventaire du patrimoine culturel, Base Mérimée consultée le 11 août 2011.
- Ministère de la Culture, Base Mérimée, Notice no PA00109346.
- DREAL Pays de la Loire, Données environnementales GéoSource, Liste des zonages recensés sur la commune de Savennières, consultée le 11 août 2011.
- Krapoo Arboricole, Platane du parc de Savennières, novembre 2009.
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