La Roque-Esclapon
La Roque-Esclapon est une commune française située dans le département du Var en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
La Roque-Esclapon | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Var | ||||
Arrondissement | Draguignan | ||||
Intercommunalité | Dracénie Provence Verdon agglomération ex Communauté d'agglomération dracénoise | ||||
Maire Mandat |
Nathalie Perez Leroux 2020-2026 |
||||
Code postal | 83840 | ||||
Code commune | 83109 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Roquois(e) | ||||
Population municipale |
245 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 9,1 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 43′ 26″ nord, 6° 37′ 50″ est | ||||
Altitude | Min. 904 m Max. 1 700 m |
||||
Superficie | 26,98 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Flayosc | ||||
Législatives | Huitième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Var
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
| |||||
Liens | |||||
Site web | https://laroque-esclapon.fr | ||||
modifier |
Géographie
modifierLocalisation
modifierLa Roque-Esclapon est située à équidistance de Draguignan (44 km) et de Grasse.
Communes proches : La Bastide (2 km), Bargème (7 km), La Martre et Mons (8 km).
Géologie et relief
modifierSa forêt est en grande partie située dans le camp de Canjuers.
La Roque-Esclapon est le deuxième village le plus haut du Var.
Les montagnes entourant le village sont principalement : le Brouis[1], la montagne de Lachens, plus haut sommet du Var appelé le « toit du Var » et Malaye[2].
Cavités :
- Le Trou des Lys (trou du billet de mille)[3] se situe dans la Forêt Domaniale d'Esclapon, au lieu-dit « Verdillon » ;
- l'Aven du Villar n°4 (Aven du hibou) est situé dans la forêt domaniale, près de sa limite sud avec le camp de Canjuers[4].
Sismicité
modifierIl existe trois zones de sismicité dans le Var :
- Zone 0 : Risque négligeable. C'est le cas de bon nombre de communes du littoral varois, ainsi que d'une partie des communes du centre Var. Malgré tout, ces communes ne sont pas à l'abri d'un effet tsunami, lié à un séisme en mer ;
- Zone Ia : Risque très faible. Concerne essentiellement les communes comprises dans une bande allant de la montagne Sainte-Victoire au massif de l'Esterel ;
- Zone Ib : Risque faible. Ce risque, le plus élevé du département mais qui n'est pas le plus haut de l'évaluation nationale, concerne 21 communes du nord du département.
La commune de La Roque-Esclapon est en zone sismique de faible risque Ib[5].
Hydrographie et eaux souterraines
modifierCours d'eau sur la commune ou à son aval[6] :
- rivière la Bruyère[7] ;
- vallons des varuins, de grapereau, de ribargiers, de l'araignée, de l'ourtiguet, des termines.
La Roque-Esclapon dispose d'une station d'épuration d'une capacité de 1 400 équivalent-habitants[8].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Var, Alpes-Maritimes, caractérisée par une pluviométrie abondante en automne et en hiver (250 à 300 mm en automne), un très bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 75 %), un hiver doux (8 °C) et peu de brouillards[10].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 041 mm, avec 6,2 jours de précipitations en janvier et 4,3 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Comps-sur-Artuby », sur la commune de Comps-sur-Artuby à 10 km à vol d'oiseau[11], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 010,2 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 37,2 °C, atteinte le ; la température minimale est de −12,6 °C, atteinte le [Note 1],[12],[13].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[14]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].
Voies de communications et transports
modifierVoies routières
modifier- Accès par la D 955 depuis Draguignan[16], puis D 21 à Comps-sur-Artuby, lui permettant de relier la D4085/D6085 (ex-N85) au Logis-du-Pin via le Col de Clavel. De la D21 se sépare la D625 desservant la commune et la reliant au village voisin de La Bastide.
Transports en commun
modifierCommune desservie par le réseau régional Zou ! (ex Varlib)[17], mais il n'y a qu'une ligne scolaire qui dessert la commune et la relie à ses villages voisins, ainsi qu'à Castellane, la ligne régulière la plus proche étant la ligne 51 Nice-Digne, pouvant être empruntée à l'arrêt de bus du Logis-du-Pin, à 8 km du village. Les bus des Transports en Dracénie relient par contre la commune à Draguignan, au moyen de bus à la demande. La communauté d'agglomération du Pays de Grasse dispose quant à elle de transports à la demande desservant le secteur du Logis-du-Pin, permettant ainsi de rallier Grasse à partir de ce lieu-dit, en plus de la ligne express régulière [18],[19].
Ligne SNCF
modifier- Gare de Grasse (53 km).
Transports aériens
modifierLes aéroports les plus proches sont :
- l'aéroport de Cannes - Mandelieu (66 km) ;
- l'aéroport de Nice-Côte d'Azur (79 km).
Histoire
modifierLes hospitaliers possédaient le Droit d'albergue en 1252 sur le château de l'ancien village[20] ; le comte de Provence en avait sur celui qui se trouvait à 5 km au nord-est et qui fut détruit durant les guerres de Religion[21].
En 1342, la communauté de La Roque-Esclapon est rattachée à la viguerie de Castellane (actuel département des Alpes-de-Haute-Provence) par le comte de Provence[22]. Fief des Villeneuve jusqu'au XVIIIe siècle, qui passe ensuite à l'ordre de Malte.
Le nom de la commune « La Roque », en 1793, deviendra « La Roque-Esclapon » en 1801[23].
Toponymie
modifierLe nom de la commune évolue au fil du temps :
- en 1178 : « Rocca de Sclapone » ;
- vers 1200 : « Rocha » ;
- au XIIIe siècle : « Sclaponum » ;
- en 1351 : « Rocha Sclapon ».
En provençal, (oc) « Roucasteroun ». La Roque Esclapon veut dire « la roche éclatée ».
La Roque-Esclapon s'écrit La Ròca Esclapon en provençal selon la norme classique et La Roco-Esclapoun selon la norme mistralienne[24].
Blasonnement
modifierLes armoiries de La Roque-Esclapon se blasonnent ainsi[25] : |
Politique et administration
modifierIntercommunalité
modifierAprès avoir été rattachée à la communauté de communes Artuby Verdon, La Roque-Esclapon a rejoint la communauté d'agglomération dracénoise[28] aujourd'hui « Dracénie Provence Verdon agglomération » qui regroupe vingt-trois communes du département du Var, dont Draguignan[29], de 110 014 habitants en 2017[30], créée le . Les 23 communes composant la communauté d'agglomération en 2017 sont (par ordre alphabétique) :
- Communes fondatrices
- Draguignan ; Châteaudouble ; Figanières ; La Motte ; Les Arcs ; Lorgues ; Taradeau ; Trans-en-Provence ;
- Communes ayant adhéré ultérieurement
- Ampus ; Bargemon ; Bargème ; Callas ; Claviers ; Comps-sur-Artuby ; Flayosc ; La Bastide ; La Roque-Esclapon ; Le Muy ; Montferrat ; Saint-Antonin-du-Var ; Salernes ; Sillans-la-Cascade ; Vidauban.
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , La Roque-Esclapon est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[31]. Elle est située hors unité urbaine[32] et hors attraction des villes[33],[34].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (87,2 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (84,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (53,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (24,5 %), zones agricoles hétérogènes (12,8 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (8,8 %)[35]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Budget et fiscalité 2019
modifierEn 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[36] :
- total des produits de fonctionnement : 564 000 €, soit 2 028 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 400 000 €, soit 1 429 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 190 000 €, soit 684 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 191 000 €, soit 686 € par habitant ;
- endettement : 120 000 €, soit 432 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 9,15 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 5,09 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 43,30 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2018 : médiane en 2018 du revenu disponible, par unité de consommation : 21 500 €[37].
Économie
modifierEntreprises et commerces
modifierAgriculture
modifier- Groupement pastoral d'Auveine, agriculteurs[réf. souhaitée].
Tourisme
modifier- Camping Notre Dame[38].
- Gîtes ruraux, chambres d'hôtes[39].
- Restaurants Auberge de La Bruyère, Le Coq en Pâte.
Commerces
modifier- Commerces de proximité[40] ainsi qu'à La Bastide, La Martre.
Population et société
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[42].
En 2021, la commune comptait 245 habitants[Note 2], en évolution de −13,73 % par rapport à 2015 (Var : +4,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
modifierÉtablissements d'enseignements[45] :
- Écoles maternelles à Séranon, Seillans,
- Écoles primaires à La Bastide, Mons, Séranon,
- Collèges à Fayence, Castellane[46].
- Lycées proches à Grasse[47].
Santé
modifierProfessionnels et établissements de santé[48] :
- Médecins à Seillans, Valderoure,
- Pharmacies à Seillans, Fayence,
- Hôpitaux à Castellane (27 km), Faïence (34 km).
- Le Centre hospitalier de la Dracénie se trouve à Draguignan, à 44 km[49],[50]. Il dispose d'équipes médicales dans la plupart des disciplines[51] : pôles médico-technique ; santé mentale ; cancérologie ; gériatrie ; femme-mère-enfant ; médecine-urgences ; interventionnel.
Cultes
modifier- Culte catholique paroisse Sainte-Marguerite de La Roque-Esclapon, Diocèse de Fréjus-Toulon[52].
Lieux et monuments
modifier- L'église Sainte-Marguerite[53] reconstruite en 1860 sur l'emplacement de l'église primitive, et sa cloche de 1633[54].
- Chapelle Notre-Dame[55], petite chapelle romane transformée en salle polyvalente[56].
- Chapelle Saint-Claude, Ancienne chapelle des Pénitents-Blancs[57].
- Chapelle Alexis[58] citée en 1128.
- Chapelle votive Saint-Roch[59].
- Chapelle de Moutet.
- Château et vestiges d’Esclapon[60].
- Monument aux morts[61],[62].
Personnalités liées à la commune
modifier- Famille de Villeneuve
- Gaffino Emile, Michel Raspail (1905 - ?), Résistant[63].
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- La Roque-Esclapon au sein de la Dracénie Provence Verdon agglomération
- Qui connaît la tragédie d’Esclapon ? : le vieux village et la chapelle St Alexis citée en 1128
- Le patrimoine de La Roque-Esclapon sur Provence 7
- La Roque Esclapon Historique sur Provence web
- Castrum d'esclapon
- Bourg castral d'Esclapon
- Le haut-Var d'antan : La Roque-Esclapon
- Domaine du Temple de La Roque-Esclapon
- Artuby Verdon : La route de l'histoire et des légendes : La Roque-Esclapon
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)Roque-Esclapon (La), p. 987
- Fêtes religieuses de l'ancien diocèse de Fréjus, Les bravades "C'est ainsi qu'en 1751, à La Roque-Esclapon, on lit dans la visite pastorale de Marlin du Bellay que, pour la Saint-Claude, après la messe finie, on ne célèbre cette fête lue par des danses et des immodesties auprès de la chapelle", p. 21 Paul-Albert Février.
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
- Cavités souterraines naturelles
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- La Roque-Esclapon sur le site de l'Institut géographique national
- Élections municipales 2008 : résultats
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement des communes
- Système d’information géographique du Var (SIG Var) : La Roque-Esclapon
Notes et références
modifierNotes
modifier- Les records sont établis sur la période du au .
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- La Montagne de Brouis
- La Roque Esclapon : Son nom veut dire "La roche éclatée". Le nom de la commune veut dire "La roche éclatée"
- Cavités du Var : Le Trou des Lys
- l'Aven du Villar
- sismicité du Var sur le site de la préfecture
- L'eau dans la commune
- La Bruyère, Code Sandre : X2420500
- Description de la station d'épuration
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre La Roque-Esclapon et Comps-sur-Artuby », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Comps-sur-Artuby », sur la commune de Comps-sur-Artuby - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Comps-sur-Artuby », sur la commune de Comps-sur-Artuby - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- Accès par la D 955 depuis Draguignan
- Nouveau réseau des transports en Dracénie. Transports en commun de Draguignan Tedbus. Réseau régional Zou ! (ex Varlib
- « Réseau urbain - Sillages - Grasse » (consulté le ).
- « Accueil », sur TEDBUS (consulté le ).
- « Découvrir », La Roque Esclapon, sur sites.google.com (consulté le ).
- Qui connaît la tragédie d’Esclapon ?
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Histoire de la Sous-Préfecture de Castellane », Préfecture des Alpes de Haute-Provence, consulté le 22 juin 2012
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Cassini », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Histoire de la commune
- Verdon 2 : La Roque-Esclapon, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
- Association Vélo Loisir Provence. Remise du Label national "Accueil vélo"
- Découvrez le Luberon et le Verdon à vélo
- Rattachement de la commune à la CAD
- La Roque-Esclapon en Dracénie
- Les Comptes des Groupements à Fiscalité Propre (GFP) : CA Dracénoise – Var
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de La Roque-Esclapon ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- Camping Notre Dame
- Hébergements, commerces
- Commerces et services de proximité
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Établissements d'enseignements
- Établissements d'enseignements près de La Roque-Esclapon
- Lycées proches à Grasse
- Professionnels et établissements de santé
- Centre hospitalier de la Dracénie
- Professionnels et établissements de santé
- « Département de l’Information Médicale », sur ch-dracenie.fr (consulté le ).
- paroisse Sainte-Marguerite de La Roque-Esclapon : Histoire
- La Roque-Esclapon : église Sainte-Marguerite
- Notice no PM83000460, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de l'église Sainte-Marguerite
- Les églises et édifices religieux recensés par l'Observatoire du patrimoine religieux à Roque-Esclapon
- Chapelle Notre-Dame
- Pénitents en Provence
- Chapelle Saint Alexis
- Monuments chrétiens de La Roque-Esclapon
- Qui connaît la tragédie d’Esclapon ? : Ruine Escalpon, Reportage Yves Frébourg et Robert Pons
- Conflits commémorés : guerre 1914-1918
- La Roque-Esclapon
- Gaffino Emile, Résistance Var - Décembre 2004 - Page 6