Sillans-la-Cascade

commune française du département du Var

Sillans-la-Cascade
Sillans-la-Cascade
La cascade de 42 mètres.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Var
Arrondissement Draguignan
Intercommunalité Dracénie Provence Verdon agglomération
Maire
Mandat
Christophe Carrière
2020-2026
Code postal 83690
Code commune 83128
Démographie
Gentilé Sillanais
Population
municipale
773 hab. (2021 en augmentation de 4,32 % par rapport à 2015)
Densité 38 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 34′ 05″ nord, 6° 10′ 48″ est
Superficie 20,17 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Salernes
(banlieue)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Flayosc
Législatives Huitième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Sillans-la-Cascade
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Sillans-la-Cascade
Géolocalisation sur la carte : Var
Voir sur la carte topographique du Var
Sillans-la-Cascade
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Voir sur la carte administrative de Provence-Alpes-Côte d'Azur
Sillans-la-Cascade
Liens
Site web www.sillans-la-cascade.com

Sillans-la-Cascade est une commune française située dans le département du Var, en région française Provence-Alpes-Côte d’Azur.

Cette commune au bord de la Bresque, peuplée de 708 habitants, vit essentiellement du tourisme pour la cascade haute de 42 mètres.

Ses habitants sont appelés les Sillanais.

Le nom du village se prononce [sijɑ̃] (« siyan »), soit traditionnellement (selon l'étymologie) [silɛ̃ŋ] (≈ « sileing »).

Géographie modifier

Accès modifier

Situé en France, à 30 km de Draguignan et à 9 km d’Aups, le village de Sillans-la-Cascade s'étend sur une colline au-dessus de la rivière la Bresque.

Le village et ses abords sont inscrits à l’inventaire des sites protégés et dans le cadre de ZNIEFF (Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique)[1].

Voies de communications et transports modifier

Voies routières modifier

Les accès routiers sont :

  • entre Salernes et Barjols, les départementales 560[2] et 32 ;
  • entre Sillans et Cotignac la départementale 27 ;
  • entre Sillans-Fox-Amphoux et Tavernes, la départementale 32.

Transports en commun modifier

Communes limitrophes modifier

Communes limitrophes de Sillans la cascade
Fox-Amphoux Aups Salernes
Pontevès   Salernes
Cotignac Cotignac Entrecasteaux

Hydrographie et eaux souterraines modifier

Cours d'eau sur la commune ou à son aval[6] :

  • rivière la Bresque ;
  • ruisseau de Saint-Barnabé, des Rayères ;
  • vallons de garresse ; du défens ; de l'oure ; des rocas.

Sismicité modifier

La commune de Sillans-la-Cascade est en zone sismique de très faible risque Ia[7].

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté dès le XIe siècle sous la forme Silans[8], Cilias au XIIe siècle, Cilans, puis Sillans en 1477[9].

Frédéric Mistral écrit Silan en occitan provençal[10], il considérait le nom de Silan comme un nom romain Silanus[11], nom héréditaire de consuls probablement à cause de la ville de Silanus (Italie). En réalité, aucun toponymiste ne reprend cette explication, car il s'agit d'un type toponymique fréquent, basé sur un anthroponyme bien attesté en Gaule, à savoir le nom de personne gaulois ou gallo-roman Silius / Silus[8]. Ce nom de personne est basé sur le terme gaulois silo- « semence > descendance, postérité »[12].

La terminaison -ans (avec un s postiche) représente l'ancien suffixe -anum qui explique la plupart des toponymes terminés par -an dans le sud de la France (cf. italien -ano) marquant la propriété[8]. Généralement ailleurs, l'anthroponyme Sil(i)us est suivi du suffixe d'origine gauloise (i)acum, d'où les nombreux Scilly, Silly, Sillé de langue d'oïl et Silhac occitans, etc[8]. À l'est du Rhône, ce suffixe celtique a systématiquement fait place au suffixe latin -anum.

Le déterminant complémentaire -la-Cascade a été ajouté à l'époque moderne.

Histoire modifier

À part le mégalithe du quartier Saint-Laurent, aucun vestige lithique n’a été découvert à ce jour permettant de définir une occupation permanente du terroir à l’époque préhistorique.

L’occupation romaine est attestée en plaine par les nombreuses traces d’habitat mises au jour au Bastidon, à Saint-Barnabé et à la Mude. Le lieu est alors situé non loin de la voie romaine allant de Fréjus à Riez.

Au XIe siècle, Richaud, Franconus, Poncius Willelmus et Albertus donne à l’abbaye Saint-Victor de Marseille les terres qu’ils possèdent à Sillans, alors qualifiée de villa. En 1099, Bérenger, évêque de Fréjus[13], restitue à l’abbaye marseillaise l’église de Cillans qui lui appartenait avant les incursions sarrasines.

Le , Pétrus, évêque de Fréjus cède à Guillielmus, abbé de Saint-Victor, l’église Sainte-Marie de Cilans située à l’intérieur du castrum. La seigneurie de Sillans passe successivement des Baux aux Pontevès.

En 1237, le chapitre de Barjols échange à ces puissants seigneurs leur part sur la juridiction de Barjols contre des affars à Sillans et Esparron.

Vers 1536, la moitié de la seigneurie passe par alliance aux Blacas. En , les Albert-Châteauneuf acquièrent cette part de seigneurie et en , celle des Pontevès. Louise-Adélaïde Julie d’Albert l’apporte en 1776 dans la maison des Le Tonnelier par son mariage avec Louis-Charles-Joseph Le Tonnelier, comte de Breteuil-Chantecler.

Le , Antoine François Rollans, greffier au parlement de Provence, acquiert ce fief aux enchères pour la somme de 286 000 livres. Sa petite-fille, Marie-Antoinette-Delphine, l’apporte dans la maison des Castellane par son mariage avec le marquis Boniface Hippolite de Castellane.

En 1863, le domaine de Saint-Barnabé est démembré de Sillans en faveur de maître Boyer, notaire à Aups.

La ligne du train des Pignes[14] allant de Draguignan à Meyrargues[15], s’arrêtait à la rive gauche de la Bresque dans la gare Sillans-Aups. La gare a été ouverte le , bâtiment de 3e classe avec halle séparée, buvette, trois voies et un tiroir. L’embranchement à voie Decauville est ouvert en 1913 pour la Société anonyme des bauxites du Var, pour relier la gare à la nouvelle mine du domaine du marquis de Castellane, par un tracé longeant la voie principale côté Meyrargues[16]. La ligne a été fermée en 1950 et la gare de Sillans est devenue une école maternelle[17].

Blasonnement modifier

Les armoiries de Sillans-la-Cascade se blasonnent ainsi :

De gueules au pont en dos d’âne de deux arches d’or surmonté de trois étoiles du même[18].

Politique et administration modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires depuis 1945
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
2014 En cours Christophe Carrière    

Intercommunalité modifier

Un projet de périmètre de schéma de cohérence territoriale (SCOT) Var Ouest concernant Sillans, Salernes, Villecroze, Tourtour, Aups, Moissac, Régusse, Artignosc, Bauduen[20] avait été envisagé mais n'a pas eu de suite, faute d’aboutissement du projet de création de la communauté de communes du Haut-Var.

Le , Sillans-la-Cascade a rejoint la communauté d'agglomération dracénoise devenue Dracénie Provence Verdon agglomération qui regroupe vingt-trois communes du département du Var, dont Draguignan[21] de 110 019 habitants en 2019[22], créée le . Les 23 communes composant la communauté d'agglomération en 2019 sont (par ordre alphabétique) :

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[23]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[24].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 857 mm, avec 6,6 jours de précipitations en janvier et 2,7 jours en juillet[23]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Aups », sur la commune d'Aups à 8 km à vol d'oiseau[25], est de 13,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 784,1 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −10,4 °C, atteinte le [Note 1],[26],[27].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[28]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[29].

Urbanisme modifier

La commune dispose d'un plan local d'urbanisme[30],[31],[32].

Elle contribue à la mise au point du Schémas de cohérence territoriale (SCOT) de la Dracénie actuellement en cours d'étude[33],[34].

Typologie modifier

Sillans-la-Cascade est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[35],[36],[37]. Elle appartient à l'unité urbaine de Salernes, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[38] et 6 055 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[39],[40]. La commune est en outre hors attraction des villes[41],[42].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (82,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (83,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (68,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (13,9 %), zones agricoles hétérogènes (7,8 %), terres arables (6,8 %), zones urbanisées (3 %), cultures permanentes (0,1 %)[43]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Budget et fiscalité modifier

Les comptes 2009 à 2019 de la commune s'établissent comme suit[44],[45] :

Évolution financière en k€.
Postes 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017 2018 2019
Produits de fonctionnement 981  958  1 120  1 087  1 083  1 002  942  958  1 082  1 079  1 218 
Charges de fonctionnement 792  865  918  904  947  874  901  821  853  841  903 
Ressources d’investissement 363  248  270  621  682  130  152  165  343  175  686 
Emplois d'investissement 541  216  400  782  232  258  309  289  392  184  1 126 
Dette 333  313  293  434  507  473  442  531  376  340  304 
Source : Ministère de l'Économie et des Finances[46].
 
Mairie de Sillans-la-Cascade.

En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[47] :

  • total des produits de fonctionnement : 1 218 000 , soit 1 513  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 903 000 , soit 1 121  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 686 000 , soit 852  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 1 126 000 , soit 1 398  par habitant ;
  • endettement : 304 000 , soit 377  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 17,24 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 18,03 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 80,31 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2018 : médiane en 2018 du revenu disponible, par unité de consommation : 20 120 [48].

Économie modifier

Entreprises et commerces modifier

Agriculture modifier

  • Culture de céréales, de légumineuses et de graines oléagineuses[49].
  • Oliviers, fruits, Vignes.
  • Élevage, Gibier, Pisciculture.

Tourisme modifier

  • Hôtel Le Grand Chêne[50].
  • Auberge Restaurant Le Grand Chêne.

Commerces et services modifier

  • Commerces et services de proximité[51].

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[53].

En 2021, la commune comptait 773 habitants[Note 3], en augmentation de 4,32 % par rapport à 2015 (Var : +4,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
402417434440434410419416428
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
348361363312324280247288249
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
230222238173202192144161140
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
141173249343438414512680752
2021 - - - - - - - -
773--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[54] puis Insee à partir de 2006[55].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

  • École maternelle et primaire,
  • Établissements proches[56] :
    • Collèges à Barjols, Lorgues, Brignoles,
    • Lycées à Lorgues, Brignoles.

Santé modifier

  • Professionnels et établissements de santé proches :
    • Médecins à Salernes, Villecroze,
    • Dentistes à Salernes,
    • Kinésitherapeute à Salernes, ** Pharmacies à Salernes.
  • Hôpitaux à Sillans-la-Cascade : (ITEP) Institut Thérapeutique Éducatif et Pédagogique et (IME) Institut Médico-Educatif[57].
  • Une maison de Santé Pluriprofessionnelle est en cours de construction à Aups (distante de 8 km)[58], intégrant des paramédicaux et un lieu ressource "Social et solidaire". Elle devrait ouvrir début 2020.
  • L'hôpital le plus proche est le Centre hospitalier de la Dracénie et se trouve à Draguignan, à 29 km[59],[60]. Il dispose d'équipes médicales dans la plupart des disciplines[61] : pôles médico-technique ; santé mentale ; cancérologie ; gériatrie ; femme-mère-enfant ; médecine-urgences ; interventionnel.
  • Clinique vétérinaire[62]

Cultes modifier

Culte catholique Paroisse de Salernes, Diocèse de Fréjus-Toulon[63].

Sites remarquables modifier

 
Église Saint-Étienne.
 
Le château.

Patrimoine religieux :

Autres lieux et patrimoine naturel :

  • Villa antique[70].
  • Le château entièrement reconstruit au XVIIIe siècle par le marquis Boniface Hippolite de Castellane[71].
  • Fortifications de Sillans-la-Cascade[65].
Les remparts (restaurés depuis 2007)[72].
  • La cascade de Sillans (44 mètres).
  • Le bastidon, un centre événementiel[73] pouvant accueillir des mariages, des réceptions, des spectacles, des conférences, des événements festifs, etc.
  • Le vieux village[74].

Événements modifier

  • Expositions d’artistes au rez-de-chaussée du château
  • Mai : fête des voisins
  • Juin : « Solex cup » (course de VéloSoleX catégorie origine, sur circuit terre)
  • Août : festival jazz manouche, association Boulégu’un peu
  • Mai et août : marché aux puces sur le parking du château
  • Activités de la piscine (qui doit faire l'objet de travaux nécessaires à sa rénovation, modernisation et sa conformité réglementaire et être prise en charge de manière communautaire par un syndicat mixte avant de pouvoir rouvrir)[75].

Personnalités liées à la commune modifier

Le couple d'acteurs Gisèle Pascal - Raymond Pellegrin repose dans le cimetière de Sillans depuis 2007.

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Liste des ZNIEFF.
  2. Projet d'élargissement du pont de la Bresque ainsi que la D560.
  3. Réseau régional de transports en commun.
  4. Réseau Tedbus de la CAD.
  5. Services scolaires, Année 2017-2018.
  6. L'eau dans la commune.
  7. sismicité du Var sur le site de la préfecture.
  8. a b c et d Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 657.
  9. « Sillans-la-Cascade », sur Provence 7.
  10. Sillans-la-Cascade (Silan en provençal).
  11. Toponymie.
  12. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise, éditions Errance, Paris, 2003, p. 272.
  13. Bérenger (1091 - 5 juillet 1131).
  14. Chemins de fer de Provence.
  15. Sur les traces du train des Pignes Central Var.
  16. « Le siècle du Train des Pignes », « le train du littoral » et « le tram des vallées ».
  17. Présentation de l'école primaire de la Gare, école publique de Sillans la Cascade.
  18. Canton d'Aups : Sillans-la-Cascade, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau.
  19. Joseph Salvarelli, Les Administrateurs du département du Var (1790-1897). Notices biographiques (1897), pp.376-377 [1].
  20. Schéma de cohérence territoriale, État d’avancement dans le département du Var.
  21. Sillans-la-Cascade en Dracénie.
  22. Les Comptes des Groupements à Fiscalité Propre (GFP) : CA Dracénoise – Var.
  23. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  24. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  25. « Orthodromie entre Sillans-la-Cascade et Aups », sur fr.distance.to (consulté le ).
  26. « Station Météo-France « Aups », sur la commune d'Aups - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  27. « Station Météo-France « Aups », sur la commune d'Aups - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  28. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  29. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  30. Plan local d'urbanisme de la commune.
  31. Mise en compatibilité du plan local d’urbanisme (PLU).
  32. PLU, sur Géoportail de l'urbanisme.
  33. Document d'orientation de la coopération intercommunale dans le Var : L’extension mesurée de l’agglomération dracénoise, dans le respect de son bassin de vie. À leur demande, trois communes situées sur son flanc ouest rejoindront la Communauté d’agglomération : Saint-Antonin-du-Var, Salernes et Sillans-la-Cascade. Le nouvel ensemble correspondra ainsi davantage au « territoire vécu » par la population..
  34. Schéma de Cohérence Territoriale de la Dracénie.
  35. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  36. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  37. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  38. « Unité urbaine 2020 de Salernes », sur insee.fr (consulté le ).
  39. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  40. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  41. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  42. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  43. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  44. Les comptes des communes, Chiffres Clés - Fonctionnement - Investissement - Fiscalité - Autofinancement – Endettement : La Commune de Sillans-la-Cascade.
  45. Le budget de la Commune de Sillans-la-Cascade Sillans-la-Cascade.
  46. Les comptes individuels des communes et des groupements à fiscalité propre (années 2000 à 2019).
  47. Les comptes de la commune.
  48. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet.
  49. Agriculteurs/Producteurs.
  50. Hébergement, restauration.
  51. Commerces et services.
  52. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  53. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  54. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  55. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  56. Établissements d'enseignements.
  57. Association Régionale de Gestion des Instituts Médico-Sociaux Agricoles (ARGIMSA).
  58. Maison de Santé Pluriprofessionnelle à Aups.
  59. Centre hospitalier de la Dracénie.
  60. Professionnels et établissements de santé.
  61. « Département de l’Information Médicale »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur ch-dracenie.fr (consulté le ).
  62. Clinique vétérinaire.
  63. Paroisse : Salernes.
  64. La réutilisation du château.
  65. a et b Fortifications de Sillans-la-Cascade.
  66. La chapelle Saint-Laurent.
  67. Chapelle implantée sur des aménagements antiques.
  68. Monument aux morts.
  69. Sillans-la-Cascade Conflits commémorés 1914-18 et 1939-45.
  70. Villa antique, photos aériennes.
  71. Le village et le château.
  72. « Des jeunes bénévoles au chevet du château de Sillans-la-Cascade », article de Var matin concernant la réfection à l’été 2010 du mur d’enceinte du château, 21 août 2010.
  73. Le Bastidon désormais rénové et offrant une foule de possibilités d'utilisations.
  74. Villages de la Provence Verte : Sillans la Cascade.
  75. Quel devenir pour la piscine municipale ?.

Voir aussi modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier