Wikipédia

Discussion:Lacet (chaussure)

Dernier commentaire : il y a 3 ans par 6PO dans le sujet Vers l'industrie du lacet
En savoir plus sur cette page
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons
informations sur cette boîte

Cet article est indexé par le projet Mode.

Les projets ont pour but d’enrichir le contenu de Wikipédia en aidant à la coordination du travail des contributeurs. Vous pouvez modifier directement cet article ou visiter les pages de projets pour prendre conseil ou consulter la liste des tâches et des objectifs.

Évaluation de l’article « Lacet (chaussure) »
AvancementImportancepour le projet
Bon débutMoyenneMode (discussion • critères • liste • stats • hist. • comité • stats vues)
Cet article ne comporte pas de liste de tâches suggérées. Vous pouvez saisir une liste de tâches à accomplir (par exemple sous forme d'une liste à puces), puis sauvegarder. Vous pouvez aussi consulter la page d'aide.

Image modifier

 
Nœud pour les lacets de chaussure


« Lacet (ficelle) » plutôt que « Lacet (chaussure) » modifier

Dernier commentaire : il y a 8 ans10 commentaires8 participants à la discussion

Bonjour,
le titre de cet article est très restrictif : il laisse penser que seul le laçage des chaussures est envisagé. Cela laisse à penser que l'usage comme ficelle et pour tous les autres vêtements est méconnu — pourtant il en est question ! —. Or dans les années 1830 — il n'y a pas si longtemps — on lit « C'est un objet de mercerie d'une assez grande consommation. Les femmes font usage de lacets de soie pour serrer leurs corsets, ou autres pièces de leurs vêtements. Les lacets de fils de lin, de chanvre, de coton, sont employés au même usage, mais on s'en sert également, en place de ficelle, pour des ligatures[1] » (reconduit en 1839).
Changer le titre de l'article serait logique. On retrouve comme définition d'une ficelle : « Ensemble de fils retordus ou câblés de longueur continue servant à lier, retenir, etc. » . Les lacets de chaussure et les différents laçages (données identique pour tous les vêtements) restent en place mais l'article est moins restrictif.
Quel est votre avis ?
--Cordialement. 6PO (discuter) 3 mars 2016 à 18:29 (CET)Répondre

  1. ↑ Louis-Benjamin Francoeur, Molard jeune, Anselme Payen, Louis Sébastien Le Normand, Henri-Edmond Robiquet et al., Dictionnaire technologique ou nouveau dictionnaire universel des arts et métiers, et de l'économie industrielle et commerciale, vol. 6 : Guêt-Lyre, Bruxelles, Lacrosse et Cie, , 476 p. (lire en ligne), « LAC », p. 272 col. 1.
Bonjour - Le titre actuel me paraît correspondre au contenu, celui-ci traitant bien du laçage des chaussures. Il s'en suivrait qu'il faut créer lacet (ficelle) pour tout autre usage vestimentaire autre que de lacet de chaussure, sans mélanger les contenus. TigH (discuter) 3 mars 2016 à 18:48 (CET)Répondre
Indépendamment de la question des chaussures, qualifier les lacets de ficelles est tout à fait impropre. Cordon conviendrait mieux (cf. d'ailleurs le TLF). Hadrianus (d) 3 mars 2016 à 20:00 (CET)Répondre
Bonjour - Le titre actuel me paraît aussi correspondre au contenu d l'article. --HenriDavel (discuter) 3 mars 2016 à 20:06 (CET)Répondre
+1, d'autant plus qu'il existe déjà une page d'homonymie au nom de lacet. Philgin (discuter) 3 mars 2016 à 23:24 (CET)Répondre
Bizarre d'ailleurs cette page d'homonymie, qui ignore le sens premier du mot lacet, celui d'un nœud coulant (largement utilisé autrefois pour le braconnage). Il y a certes Lacet étrangleur mais c'est un sens (et un objet) dérivé. — Ariel (discuter) 4 mars 2016 à 13:24 (CET)Répondre
Plus maintenant, j'ai ajouté un RI qui mentionne ce sens premier (ainsi que l'étymologie, vite fait). — Ariel (discuter) 4 mars 2016 à 19:59 (CET)Répondre

┌─────────────────────────────────────────────────┘
 Un lacet est ce qui permet de lacer, n'importe quoi, chaussures, corsets mais, par exemple, on en trouve également sur des sacs a dos pour adapter le volume du sac et bien tenir le contenu. Ficelle est restrictif au niveau de la fabrication, je verrait plutôt lacet (attache) ou laçage. A coté du choix du nom, il faut savoir s'il faut renommer cet article ou créer un plus vaste dont cet article est un article détaillé, dans le second cas, renommer quand même l'article lacet de chaussure. --CQui (discuter) 4 mars 2016 à 10:02 (CET)Répondre

Assez d'accord avec la première remarque. Pour moi, un lacet ne diffère pas qu'il soit sur une chaussure ou ailleurs. Mais un renommage suppose au moins une modification du RI.φ... 4 mars 2016 à 11:23 (CET)Répondre
Personne n'a dit le contraire, je crois. Ce n'est pas parce que le lacet sert toujours de la même façon qu'un article dit détaillé ne doit pas être existé. Si on avait demandé une scission d'un contenu plus diversifié, la conversation aurait eu un autre enjeu, mais ce n'est pas du tout le cas avec un contenu très homogène qu'il ne sert à rien de troubler à moins que quelqu'un s'engage à ajouter au moins autant de contenu sur les autres usages qu'il en existe. TigH (discuter) 4 mars 2016 à 18:29 (CET)Répondre

Section « Installation d'un lacet » modifier

Dernier commentaire : il y a 8 ans2 commentaires2 participants à la discussion

J'joute que la section Installation d'un lacet me semble assez discuatable... φ... 4 mars 2016 à 11:23 (CET)Répondre

  Phiérithros, cette section fait l'objet d'un bandeau d'avertissement : elle est modifiée.--Cordialement. 6PO (discuter) 4 mars 2016 à 17:02 (CET)Répondre

Lacet (cordon) modifier

Dernier commentaire : il y a 8 ans3 commentaires3 participants à la discussion

Bonjour TigH, Hadrianus, HenriDavel, Philgin, Ariel Provost, Cqui et Phiérithros  ,
la discussion « Lacet (ficelle) » plutôt que « Lacet (chaussure) » fait bien apparaitre que « Lacet (ficelle) » est un titre pour le moins malheureux !
Il y a cependant bien la place de traiter « Lacet (cordon) » avec comme article(s) détaillé(s) Lacet étrangleur et peut être à terme Lacet de chaussure (eh oui, le lien est bleu car il s'agit du titre de « Lacet (chaussure) » avant une redirection !).
En RI : « Un lacet est un cordon dont les extrémités sont jointes pour se resserrer. ». Ceci permet d’inclure dans l’article le lacet de chaussure (ressert deux éléments de la chaussure), les lacets à visée vestimentaire (corset, sweet-shirt, etc.), etc. Les lacets qui servent de ceinture (jogging…). Les lacets qui referment les sacs (à dos, de courses, etc.). Le lacet étrangleur. Et beaucoup d’autres que je n’ai pas à l’esprit immédiatement. Le plan pourrait envisager : Histoire ; les matières du lacet ; les diverses extrémités ; les modes d’attache…
Quel est votre avis ?--Cordialement. 6PO (discuter) 8 mars 2016 à 14:03 (CET)Répondre

Bonjour
A nouveau, pour moi, c'est une affaire de volume d'informations potentiel, pas de "place" théorique. Concrètement pour avancer, tu (ou tout autre) pourrais faire une page appelée Brouillon, parce que provisoire. S'il y a alors effectivement de la matière, c'est à ce moment que cela pourra être transféré dans un article (existant ou à créer lacet (cordon)...), on verrait alors lequel, mais en l'état ça reste vague et surtout hypothétique. TigH (discuter) 8 mars 2016 à 16:14 (CET)Répondre
Noter en passant que l'article Virages en lacets devrait avoir son titre au singulier (Virage en lacet, voire Lacet (route). Voir la PdD. — Ariel (discuter) 8 mars 2016 à 16:45 (CET)Répondre

Vers l'industrie du lacet modifier

Dernier commentaire : il y a 3 ans1 commentaire1 participant à la discussion

Bonjour
voici le copier-coller déplacé ici d'un travail réalisé initialement pour un autre article.
--Cordialement. 6PO (discuter) 16 novembre 2020 à 00:11 (CET)Répondre

Vers l'industrie du lacet

Vers l'industrie du lacet
Richard-Chambovet évolue au début de la révolution industrielle dont il est l'un des acteurs. Son parcours témoigne de la primauté de l’Europe. Ainsi que l’indique l'historien Jean-Charles Asselain, « la Chine des Song (960-1279) est indéniablement plus riche que l'Europe de son temps. […] Jamais pourtant il n'en résulte un processus cumulatif comparable à celui de la révolution industrielle, et l'élan était déjà largement retombé lorsque la Chine, au XVe siècle, se ferme aux relations avec le monde extérieur[1]. »

Production artisanale

 
Chaussure Areni-1.

Au cours de fouilles archéologiques menées dans la grotte de Fontanet en Ariège, il est retrouvé dans une calcite meuble, à côté d'empreintes humaines avec des traces d'orteils, une marque qui en est dépourvue comme une plante de pied munie d'une sorte de semelle. L'ensemble remonte à 12 000 ans, c'est-à-dire à l'époque magdalénienne. Il n'existe aucune documentation quant au mode de fixation mais une attache va certainement de pair avec la protection[2]. La première observation de lacet résulte de l'examen de la chaussure de la grotte d'Areni-1 située en Arménie. Ce lacet vieux de 5 500 ans est donc trouvé au Proche-Orient ancien et apparaît comme une lanière probablement réalisée avec la peau d'un animal[3]. Les archéologues stipulent alors « [qu']il existe d'énormes similitudes entre la technique et le style de fabrication des chaussures en cuir monobloc à travers l'Europe et celle rapportée ici de la grotte Areni-1, ce qui suggère que des chaussures de ce type ont été portées pendant des millénaires dans une vaste région géographique diversifiée sur le plan environnemental[N 1] ». Ils émettent aussi l'hypothèse que des modèles identiques soient antérieurs. Ainsi il est présumé une fabrication très répandue tant dans le temps que géographiquement[3]. Ce laçage est présent, comme le décrit et le dessine Lucas dans les années 1950, sur les pampooties, chaussures portées par habitants des îles d'Aran (archipel de l'Irlande)[4].

Production régionale

 
Métier à lacets chinois reproduit par Isidore Hedde.

Ultérieurement, après tressage, le fil ou la soie deviennent les éléments essentiels de la composition des lacets. Le premier fragment d'étoffe en soie, datant de , est trouvé en Chine[5]. Ce savoir-faire des Chinois est importé par les Phéniciens et les Arabes dans l'Asie-Mineure, en Barbarie, en Espagne, en Italie, etc. Ainsi Isidore Hedde se déplace dans l'« Empire céleste » de 1843 à 1846 puis affirme que « les Chinois fabriquaient des lacets, cordonnets, galons, ganses, padoux, etc. bien longtemps avant les Européens[6]. »

En France, le Livre des métiers d'Étienne Boileau, datant du règne de Saint Louis en 1268, donne la première mention d’un métier organisé autour de la fabrication de lacets. Il s'agit de la corporation des « Laceurs de fil et de soie »[7]. À cette époque, « comme la matière était très coûteuse il y avait des parfileuses qui retiraient le fil des vieilles étoffes et le filaient à nouveau[8]. » La France est l'une des dernières nations à profiter des connaissances chinoises[9], et cette industrie ne se développe qu'à partir de Louis XI au XVe siècle[10]. Ainsi en 1540, Clément Marot décrit dans son Dialogue nouveau fort joyeux la toilette d'une Parisienne : « Elle vous avoit un corset / D'un fin bleu, lacé d'un lasset / Jaulne qu'elle avoit faict exprès[11] ». Plus tard Jacques Savary des Brûlons, dans son Dictionnaire universel de commerce du milieu du XVIIIe siècle, précise que le lacet « se fabrique sur un boisseau[N 2] avec des fuseaux par les maîtres passementiers-boutonniers, ou sur le métier avec la navette par les tissutiers-rubaniers[13]. » Ces moyens induisent un résultat limité.

Production industrielle

 
Métier à lacets de Perrault conservé au musée des Arts et Métiers en 1933.

Ce n'est qu'au début de la révolution industrielle que Richard, et donc l'Europe, réalise des métiers à lacets en développant un brevet de l'Anglais Thomas Walford de 1748, aux indications cependant incomplètes[14]. En 1750, probablement en s'inspirant du brevet anglais, un métier à tresses est développé en Allemagne par Bockmühl, à Barmen dans la vallée de la Wupper[15]. Après perfectionnements, la navette s'arrête lorsqu'un fil casse ; ce métier est mû par la force hydraulique[16],[17]. Toutefois, le rendement de ce type de machines est insuffisant du fait de leur conception[18]. En 1783, François-Michel Perrault importe en France un modèle en fer d'Elberfeld — distant d'environ 5 km de Barmen — toujours du duché de Berg. Puis son fils, Jean-Éléonor, dépose au bureau de Jean-François de Tolozan une réalisation améliorée en bois pour laquelle il obtient un privilège en 1784[19],[N 5]. Il s'agit très probablement du métier qui attire l'attention de Charles-François Richard. D'une part, les caractéristiques du métier observé au Conservatoire des arts et métiers et ceux construits par Jean-Éléonor Perrault font du constructeur également son inventeur. D'autre part, l'analogie des prix avec ceux qui sont demandés plus tard à Richard-Chambovet pour la construction de métiers en font un seul personnage. Cependant, la famille Richard ne précise jamais ce lien. Une inimitié connue s'était développée entre la famille et Perrault fils[24]. En 1942, ce métier est toujours référencé dans la dernière série de catalogues du Conservatoire, ce qui témoigne de son importance[25]. Ainsi Charles-François Richard « créa une industrie inconnue jusqu'alors en important le métier à fuseaux actionnés mécaniquement et en augmentant progressivement son outillage et sa fabrication[26]. »

Bibliographie

  • Louis-Joseph Gras, Histoire de la rubanerie et des industries de la soie à Saint-Étienne et dans la région stéphanoise : suivie d'un historique de la fabrique de lacets de Saint-Chamond ; étude sur le régime économique et la situation générale depuis les origines jusqu'à nos jours, Saint-Étienne, Société de l’imprimerie Théolier, , VIII-886 p., 25 cm (OCLC 3640516, lire en ligne).  

Notes

  1. ↑ Le texte d'origine est le suivant : « Enormous similarities exist between the manufacturing technique and style of one-piece leather-hide shoes across Europe and the one reported here from Areni-1 Cave, suggesting that shoes of this type were worn for millennia across a large and environmentally diverse geographic region[3]. »
  2. ↑ Jacques Savary des Brûlons donne la définition suivante du boisseau : « C'est aussi une espèce d'instrument de bois, long et mince, en forme de cylindre, creux en dedans que les passementiers-boutonniers mettent sur leurs genoux, pour fabriquer à la main, avec des fuseaux, des lacets, ganses, cordons ronds, et autres semblables ouvrages de leur métier[12]. »
  3. ↑ Le prénom de Perrault est déduit de la « Notice sur l'arrondissement de Lisieux » de 1837 qui le classe parmi les marchands-filateurs — c'est-à-dire parmi les « fileurs de coton » différenciés des « fabricants de lacets en coton » — au Mesnil-Guillaume[21] et de l'article « Les moulins de l'Orbiquet », qui indique l'autorisation d’installation d'une filature mécanique de coton en 1813, toujours au Mesnil-Guillaume, accordée à un dénommé Jean-Éléonor Perrault[22].
  4. ↑ Le , des lettres patentes sont accordées à Perrault pour son métier en bois construit après amélioration d'un modèle allemand en fer. Son dépôt officiel à l'hôtel de Mortagne a lieu en 1785 avant de rejoindre le Conservatoire des arts et métiers[23]
  5. ↑ Louis-Joseph Gras pense que Perrault a son activité plutôt à Laigle (Orne) qu'à Lisieux (Calvados)[20]. Les deux lieux sont exacts selon Jean-Éléonor[N 3],[N 4].

Références

  1. ↑ Jean-Charles Asselain, « Révolution industrielle », sur www.universalis.fr, Boulogne-Billancourt, Encyclopædia Universalis France (consulté le ), Le débat sur les origines de la révolution industrielle.  
  2. ↑ Jean Clottes, « Midi-Pyrénées » (lecture seulement en mode texte), Gallia Préhistoire, Paris, Centre national de la recherche scientifique, vol. 16, no 2,‎ , p. 488 (e-ISSN 2109-9642, lire en ligne, consulté le ).
  3. ↑ a b et c (en) Ron Pinhasi, Boris Gasparian, Gregory Areshian, Diana Zardaryan, Alexia Smith, Guy Bar-Oz et Thomas Higham, « First Direct Evidence of Chalcolithic Footwear from the Near Eastern Highlands » [« Première preuve directe de chaussure chalcolithique dans le Proche-Orient ancien »], sur journals.plos.org, PLOS One, Public Library of Science, (ISSN 1932-6203, DOI 10.1371/journal.pone.0010984, consulté le ), p. 5(6): e10984.
  4. ↑ (en) A. T. Lucas, « Footwear in Ireland » [« Chaussures en Irlande »], Journal of the County Louth Archaeological Society, Dundalk, County Louth Archaeological and History Society, vol. 13, no 4,‎ , p. 374-376 (DOI 10.2307/27728900, JSTOR 10.2307/27728900).  
  5. ↑ Nicolas Constans, « La soie a été inventée en Chine », Les dossiers de la recherche, Paris, Société d'éditions scientifiques, no 44 « Idées reçues en science et en technologie »,‎ , p. 30 (ISSN 1772-3809).
  6. ↑ Isidore Hedde, Études séritechniques sur Vaucanson, Paris, E. Lacroix, , 120 p., in-8° (lire en ligne), chap. XVI (« Machine à faire des lacets »), p. 79.
  7. ↑ Étienne Boileau, Les Établissements des Métiers de Paris (à partir d'un document de substitution, original daté de 1268), Paris, René de Lespinasse et François Bonnardot, , IV et 172 feuillets - (182 vues), parchemin, 345 × 245 mm (lire en ligne), Ci commencent li establissement des mestiers de Paris, « Laceurs de fil et de soie », p. LX (vue 68).
  8. ↑ Émile Levasseur, Histoire des classes ouvrières et de l'industrie en France avant 1789, vol. 1, Paris, Arthur Rousseau, , 2e éd., LXXXVIII-715, 988, 2 vol. ; in-8 (lire en ligne), L'émancipation de la bourgeoisie aux douzième et treizième siècles ; les Capétiens directs, chap. X (« Arts, industrie et commerce »), p. 415.
  9. ↑ Isidore Hedde, Études séritechniques sur Vaucanson, op. cit., (lire en ligne), chap. VI (« Métier à fabriquer les étoffes en toutes largeurs »), p. 31.
  10. ↑ Gras 1906, chap. I, p. 2-3.
  11. ↑ Clément Marot et Charles d'Héricault (éd. scientifique et annotation), Œuvres de Clément Marot : annotées, revues sur les éditions originales et précédées de la vie de Clément Marot, Paris, Éditions Garnier Frères, coll. « Chefs d'oeuvre de la littérature française » (no 17), , CXIX-422 p., in-8 (lire en ligne), Œuvres de Marot, « Dialogue nouveau fort joyeux », p. 311.
  12. ↑ Jacques Savary des Brûlons et Philémon-Louis Savary (éd. scientifique et continuateur), Dictionnaire universel de commerce : contenant tout ce qui concerne le commerce qui se fait dans les quatre parties du monde, […], vol. 1 : A-B, Paris, s.n., , XXVIIII-1040 p., 3 vol. ; in-fol (lire en ligne), « Boi », p. 1021.
  13. ↑ Jacques Savary des Brûlons et Philémon-Louis Savary (éd. scientifique et continuateur), Dictionnaire universel de commerce, op. cit., vol. 3 : L-Z, 684 p. (lire en ligne), « Lac », p. 3.
  14. ↑ Gras 1906, chap. XXVII 2e, p. 685-688.
  15. ↑ Gras 1906, chap. XXVII 2e, p. 686.
  16. ↑ (de) Stadtbaurat Schülke, « Einfluss des Untergrundes und der Bodenbeschaffenheit auf die Gewerbthätigkeitdes Bergischen Landes : Klöppelei oder Flechterei von Schnüren, Litzen, Spitzen » [« Influence du sous-sol et de la nature du sol sur l'activité commerciale du pays de Bergisches : Dentelle au fuseau ou tressage de cordons, torons, lacets et similaires »], Festschriftfür die XXXIV Hauptversammlung Vereins Deutscher Ingenieure, Bergisclien Bezirks-Verein, vol. 34,‎ , p. 31 (OCLC 873434202, lire en ligne, consulté le ).
  17. ↑ (de) Adolf Werth, « Geschichtlicher Ueberblick besonders über die Entwickelung der Industrie : Zur Geschichte der Schwesterstädte Elberfeldund Barmen » [« Aperçu historique, en particulier sur le développement de l'industrie : Sur l'histoire des villes sœurs Elberfeld et Barmen »], Festschriftfür die XXXIV Hauptversammlung Vereins Deutscher Ingenieure, Bergisclien Bezirks-Verein, vol. 34,‎ , p. 46 (OCLC 873434202, lire en ligne, consulté le ).
  18. ↑ Isidore Hedde, Études séritechniques sur Vaucanson, op. cit., (lire en ligne), chap. XVI (« Machine à faire des lacets »), p. 78.
  19. ↑ Gras 1906, chap. XXVII 2e, p. 689.
  20. ↑ Gras 1906, chap. XXVII 3e, p. 706.
  21. ↑ Jean-Éléonor Perrault, Éléonor Perrier et Guillotin fils, « Notice sur l'arrondissement de Lisieux : Industrie », Annuaire des cinq départements de l'ancienne Normandie, Caen, Association normande « 1838 - 4e année »,‎ , p. 104, 113 (ISSN 0755-2475, lire en ligne, consulté le ).
  22. ↑ Phillipe Dupré, « Les moulins de l'Orbiquet » (intervention à l'auditorium des Archives le ), Les Cahiers des Archives départementales du Calvados, Caen, Archives départementales du Calvados, no 7 « Au fil des moulins »,‎ , p. 5 col. 2 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  23. ↑ Charles Ballot (préf. Henri Hauser), L’introduction du machinisme dans l’industrie française : publié d'après les notes et manuscrits de l'auteur par Claude Gérel, Genève, Slatkine reprints, , XVII-575 p., 1 vol. ; 23cm (BNF 37250691, lire en ligne), chap. V (« Machinisme appliqué au tissage »), p. 260.
  24. ↑ Gras 1906, chap. XXVII 3e, p. 705-706.
  25. ↑ Conservatoire national des arts et métiers, Catalogue du musée : Section T, Industries textiles, teintures et apprêts, , 221 p., 22 cm (lire en ligne), Industries textiles diverses, « Tresses et lacets T77 », p. 176, 179.
  26. ↑ Gras 1906, chap. XXVII 3e, p. 684.
 
Ajouter un sujet
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Discussion:Lacet_(chaussure)&oldid=177701841 ».
Revenir à la page « Lacet (chaussure) ».