Campbon

commune française du département de la Loire-Atlantique

Campbon
Campbon
La chapelle Saint-Victor.
Blason de Campbon
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Saint-Nazaire
Intercommunalité Communauté de communes Estuaire et Sillon
Maire
Mandat
Jean-Louis Thauvin
2020-2026
Code postal 44750
Code commune 44025
Démographie
Gentilé Campbonais
Population
municipale
4 005 hab. (2021 en augmentation de 0,78 % par rapport à 2015)
Densité 80 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 24′ 46″ nord, 1° 58′ 03″ ouest
Altitude Min. 3 m
Max. 80 m
Superficie 49,82 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nantes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Blain
Législatives Huitième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Campbon
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Campbon
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
Voir sur la carte topographique de la Loire-Atlantique
Campbon
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Voir sur la carte administrative des Pays de la Loire
Campbon
Liens
Site web http://www.campbon.fr/

Campbon est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.

Géographie modifier

Campbon se situe à 36 km au nord-est de Saint-Nazaire, 46 km au nord-ouest de Nantes et 72 km au sud-est de Vannes.

Les communes limitrophes sont La Chapelle-Launay, Savenay, Bouvron, Quilly, Sainte-Anne-sur-Brivet, Pontchâteau et Prinquiau. Elles sont situées de la manière suivante :

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 791 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 5,9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Nazaire-Montoir », sur la commune de Montoir-de-Bretagne à 16 km à vol d'oiseau[3], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 792,0 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Campbon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nantes, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[10],[11].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (92,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (33,7 %), prairies (29,3 %), terres arables (28 %), zones urbanisées (5,2 %), forêts (2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,6 %), mines, décharges et chantiers (0,6 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous la forme Cambidonno au VIe siècle[13].

Le p de Campbon n’est apparu qu’au XVIe siècle et de façon intermittente. Pour se conformer à l’étymologie, il conviendrait de revenir à l’ancienne graphie Cambon, toponyme d’origine gauloise: cambo-dunum signifie « fort du méandre »[14]. Campbon est en effet située dans un léger méandre. Homonymie avec Kempten, Chambezon et Champéon. Normalement en gallo, le groupe /cam/ aurait dû passer à /cham/ comme dans les deux toponymes précédents, mais il y a eu influence du breton sur la consonne initiale.

Kambon en breton[15].

Campbon possède un nom en gallo, la langue d'oïl locale, écrit Caunbon selon l'écriture ELG[16], ou Canbon ou Caunbon selon l'écriture MOGA. En gallo, le nom de la commune se prononce [kɑ̃bɔ̃] ou [kɑ̃ːbɔ̃][17].

Histoire modifier

Préhistoire modifier

De nombreuses traces d'occupation ont été retrouvées sur la commune, biface du paléolithique, outillage du mésolithique et du néolithique, haches de pierre et autres objets du néolithique,

Antiquité modifier

Dans l'Antiquité, le nord de l'estuaire était constitué par un vaste golfe maritime, parsemé d'îles et fermé par la presqu'île de Guérande, dont la Brière forme aujourd'hui un vestige. C'est aussi l'époque, où les Celtes s'y installent. Peuples gaulois des Namnètes sur la rive nord. Un statère picton a été retrouvé à la Gouérie.

Une villa gallo-romaine a été identifiée à l'Aubinais. Des monnaies du IIIe siècle ont été également trouvées à Bessac et à l'Aubinais.

Evangélisation modifier

 
Hilaire de Poitiers, évangélisateur de la région.

Au IVe siècle, saint Hilaire, évêque de Poitiers, arrive dans la région pour l'évangéliser[18]. Entre 430 et 448 saint Germain d'Auxerre accomplit la deuxième évangélisation[18].

La paroisse est dédiée à saint Victor qui y naquit au VIe siècle

Immigration bretonne modifier

De 579 à 593, raids des Bretons de Waroch sur le Nantais.

À la fin du VIe siècle, une population « entièrement bretonne de langue et de mœurs » s'établit dans « le pays de Guérande, et généralement toute cette partie de l'évêché de Nantes comprise entre la Vilaine, la Loire et une ligne allant de Savenay à La Roche-Bernard par Pont-Château »[19].

Des cercueils mérovingiens, découverts près du calvaire, montrent une certaine importance du bourg.

En 850, la région est conquise par le breton Nominoë. Celui-ci envahit notamment les villes de Nantes et Rennes[20]. L'année suivante, après la bataille de Jengland, la marche de Bretagne avec Nantes et Savenay est intégrée à la Bretagne par le traité d'Angers.

La période de domination scandinave (919-937) modifier

L'oratoire de l'ermitage fut détruit par les invasions normandes en 878[21], en même temps que l'église paroissiale.

De 919 à 939 la région est administrée par les Vikings. Avec l’aide d’une troupe de Bretons exilés et d’Anglais[22], Alain Barbetorte reprend la région de 937 à 939[23]

Moyen Âge modifier

En 980 Guérech, comte de Nantes, fait rebâtir l'église.

La châtellenie de Campbon, avait juridiction sur les diverses seigneuries de Campbon y compris Coislin, simple hébergement médiéval à cette époque, mais aussi sur la Chapelle-Launay, Quilly et Guenrouët. La châtellenie de Campbon est un démembrement de la Baronnie de Pontchâteau. Le siège de cette châtellenie était un château féodal[24].

Au XIVe siècle, la châtellenie est un arrière-fief des Clisson. Plus tard, elle passe aux Rohan puis à Arthur de Montauban. Coislin, est un arrière fief de la baronnie de Pontchâteau, dans la mouvance directe de la châtellenie de Campbon. En 1565, René du Cambout, seigneur de Coislin acquièrent la châtellenie, ultérieurement érigée en marquisat en 1634 puis en duché de Coislin en 1663, donc une importante possession féodale dans l'ouest du comté de Nantes.

Terres et juridictions citées dans les enquêtes de la réformation des feux : Bastine, Bessac, bocquehan, Le bois de la Lande, La Bosse-Marion, La Bramblaye, Cambon, Le Chastellier, Coislin, La Girelais, Le Guignot, La Hirtais, Laureat, La Morandais, La Pirotais, Le Séric, Trevecar et la Villehouin.

Les Cent-Jours modifier

Pendant les Cent-Jours, le marquis de Coislin, chef local de l'insurrection royaliste, a son quartier général à Pontchâteau. Rayonnant avec sa troupe, il a quelques engagements à Campbon et à Guérande contre des détachements ralliés à Napoléon.

Période contemporaine modifier

En 1845, fut ouvert le cours normal de Campbon, où les religieuses de Saint-Gildas, formèrent des élèves-maîtresses jusqu'en 1883[25].

Politique et administration modifier

De 1789 à 1799, les agents municipaux (maires) sont élus au suffrage direct pour 2 ans et rééligibles, par les citoyens actifs de la commune, contribuables payant une contribution au moins égale à 3 journées de travail dans la commune. Sont éligibles ceux qui paient un impôt au moins équivalent à dix journées de travail.

De 1799 à 1848, la constitution du 22 frimaire [[an VIII|an VIII]] () revient sur l’élection du maire, les maires sont nommés par le préfet pour les communes de moins de 5 000 habitants. La Restauration instaure la nomination des maires et des conseillers municipaux. Après 1831, les maires sont nommés (par le roi pour les communes de plus de 3 000 habitants, par le préfet pour les plus petites), mais les conseillers municipaux sont élus pour six ans.

Du à 1851, les maires sont élus par le conseil municipal pour les communes de moins de 6 000 habitants.

De 1851 à 1871, les maires sont nommés par le préfet, pour les communes de moins de 3 000 habitants et pour 5 ans à partir de 1855.

Depuis 1871, les maires sont élus par le conseil municipal à la suite de son élection au suffrage universel.

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
février 1961 1968
(décès)
Narcisse Tremblay   Directeur de la laiterie coopérative de Campbon,
ancien premier adjoint
octobre 1968 mars 1977 Jean Olivier   Notaire, ancien premier adjoint
Maire par intérim
mars 1977 mars 1989 Jean Le Moullec    
mars 1989 mars 2001 Marie-Annick Lavazais   Ancienne institutrice
mars 2001 août 2001
(décès)
Jean Glotin   Artisan ébéniste
août 2001 mars 2008 François Allain PS Responsable de zones coopératives
mars 2008 mars 2014 Jean-Pierre Maisonneuve DVG Retraité
mars 2014 En cours Jean-Louis Thauvin DVG Chef d'entreprise

Population et société modifier

Démographie modifier

Selon le classement établi par l'Insee, Campbon fait partie de l'aire urbaine de Nantes, de la zone d'emploi de Saint-Nazaire et du bassin de vie de Savenay. Elle n'est intégrée dans aucune unité urbaine[26]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 96 % des habitants résidaient dans des zones « peu denses » et 4 % dans des zones « très peu denses »[27].

Évolution démographique modifier

En 1875, la commune est partiellement démembrée pour permettre la création de Sainte-Anne-sur-Brivet.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].

En 2021, la commune comptait 4 005 habitants[Note 3], en augmentation de 0,78 % par rapport à 2015 (Loire-Atlantique : +6,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
3 4793 4393 7424 0244 9304 1113 8484 3634 415
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
4 3804 5604 6294 8863 4963 6723 7283 7943 625
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 5253 4523 2522 8182 7762 6082 5312 7742 640
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
2 6502 5692 6662 7472 9182 8993 2483 3793 764
2014 2019 2021 - - - - - -
3 9413 9594 005------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,2 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 963 hommes pour 2 016 femmes, soit un taux de 50,67 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,42 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
1,6 
5,9 
75-89 ans
9,3 
15,2 
60-74 ans
13,7 
21,0 
45-59 ans
18,8 
19,5 
30-44 ans
20,8 
14,6 
15-29 ans
13,8 
23,0 
0-14 ans
21,9 
Pyramide des âges du département de la Loire-Atlantique en 2020 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,7 
5,9 
75-89 ans
8,5 
15 
60-74 ans
16,3 
19,5 
45-59 ans
18,9 
20,1 
30-44 ans
19,3 
19,2 
15-29 ans
17,5 
19,8 
0-14 ans
17,8 

Economie modifier

Culture locale et patrimoine modifier

 
La Tour d'Enfer.

Lieux et monuments modifier

  • Château de Campbon, XIe siècle, dont les remparts sont inscrits Monument historique. Le château de Campbon s'élevait dans le bourg de ce nom ; il était en ruines dès 1681, toutefois il en reste encore une tour appelée la tour d'Enfer.
  • Château de Coislin.
  • L'église Saint-Martin-et-Saint-Victor de Campbon est détruite par la foudre en 1888, puis reconstruite.
  • Chapelle Sainte-Barbe.
  • Chapelle Saint-Michel.
  • Chapelle de Bessac.
  • Chapelle Saint-Victor, dont le tombeau fut pillé sous la Révolution.
  • Chapelle de La Ducheraie XIXe siècle.
  • Domaine de la Ducherais : centre des pep 44 et poney club[34].
  • Manoir de Bâtine.
  • Moulin de la Bicane.
  • Moulin des Rôtis[35], appartenait jusqu'à la fin du XVIIIe siècle à la Maison du Cambout de Coislin, qui demeurait au château de Carheil en Plessé. En 1767 Charles de Cambout de Coislin l'afferma avec celui de Quilly à Guillaume Briand, à sa femme et leur fils Jan Briand[36]En avril 1789, le marquis afferma le moulin pour 9 ans à Alexis Briand, et celui de Quilly à son fils Pierre, mineur émancipé par son mariage, pour le premier la somme de 440 livres avec leurs droits de moutures des vassaux et sujets suivant la coutume. Saisis comme biens d'émigré, c'est son meunier qui en fit l'acquisition pour la somme de 7 920 francs. De retour sous l'empire, le marquis racheta le moulin pour la somme de 6 000 francs. A sa mort le moulin passa à sa fille Adélaïde, épouse du comte Hyacinthe du Botdéru, qyi fut en 1815 une amazone de la Chouannerie[37].
  • La Fouas.

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

  Blasonnement :
De gueules à trois fasces échiquetées d'argent et d'azur ; à la bordure d'argent chargée de sept mouchetures d'hermine posées 3, 2 et 2.
Commentaires : Sceau de 1405. Armes de la famille du Cambout (duché de Coislin en 1663), brisées d'une bordure chargée de mouchetures dont le nombre rappelle les anciennes frairies de la paroisse. Les mouchetures d'hermine évoquent le blasonnement d'hermine plain de la Bretagne, rappelant l'appartenance passée de la ville au duché de Bretagne. (  Attention : le blason dessiné ici représente une simple bordure d'hermine, et pas la bordure d'argent chargée de sept mouchetures d'hermine posées 3, 2 et 2). Blason conçu par le Conseil municipal (délibération municipale du ), enregistré le .

Voir aussi modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie modifier

  • Henri Quilgars, Géographie historique du pays de Guérande du VIe au Xe siècle, Saint-Brieuc, R. Prud'homme, , 60 p.  
  • Léonce Auzias, L'Aquitaine carolingienne : 778-987, Paris, H. Didier, (présentation en ligne).  

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Campbon et Montoir-de-Bretagne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Saint-Nazaire-Montoir », sur la commune de Montoir-de-Bretagne - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Saint-Nazaire-Montoir », sur la commune de Montoir-de-Bretagne - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. Hervé Abalain, Noms de lieux bretons, Editions Jean-paul Gisserot (ISBN 2877474828, lire en ligne), p. 61.
  14. Xavier Delamarre, DLG
  15. Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
  16. « Villes bretonnes, noms gallo », Geobreizh (consulté le ).
  17. « ChubEndret — Motier d non d'endret », Chubri (consulté le ).
  18. a et b Quilgars 1911, p. 47.
  19. Quilgars 1911, p. 16.
  20. Auzias 1937, p. 269.
  21. Notes historiques sur la Paroisse de Campbon pa Dubois de la Pallière, Revue historique de l'Ouest, Volume 6, publiée par Gaston Louis Michel Marie baron de Carné, p134.
  22. Chronique de Flodoard AD 936 Les Bretons revenant des régions d’outre mer, du service du roi Adelstan, regagnèrent leur pays.
  23. Chronique de Flodoard AD 937 : « Les Bretons revinrent après de longs voyages dans leur pays dévasté [...] ils eurent de fréquents combats avec les Normands [...] il restèrent vainqueurs et reprirent le pays dévasté ».
  24. Vestiges : tour circulaire datée du XIe siècle et une partie des remparts. Ces vestiges sont inscrits à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques.
  25. Le Diocèse de Nantes, Yves Durand, Éditions Beauchesne, 1er janvier 1985 - 310 pages.
  26. « Commune de Campbon (44025) », Insee (consulté le ).
  27. « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Campbon (44025) », (consulté le ).
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Loire-Atlantique (44) », (consulté le ).
  34. Site du centre de la Ducherais.
  35. (dit aussi du Routil dans A.D.L-A., 4E 426)
  36. Archives départementales de Loire-Atlantique 4E 394
  37. Christine Auray, Michel Auray, et Jacques Puzenat, Une dynastie de meuniers, dans : Coislin, chronique d'un pays, n°14,mars 2022, p.89.