Amplepuis

commune française du département du Rhône

Amplepuis
Amplepuis
Vue d'Amplepuis depuis le parvis de la gare.
Blason de Amplepuis
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Rhône
Arrondissement Villefranche-sur-Saône
Intercommunalité Communauté d'agglomération de l'Ouest Rhodanien
Maire
Mandat
René Pontet
2020-2026
Code postal 69550
Code commune 69006
Démographie
Gentilé Amplepuisiens
Population
municipale
4 840 hab. (2021 en diminution de 4,57 % par rapport à 2015)
Densité 126 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 58′ 24″ nord, 4° 19′ 52″ est
Altitude Min. 336 m
Max. 868 m
Superficie 38,44 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Amplepuis
(ville isolée)
Aire d'attraction Amplepuis
(commune-centre)
Élections
Départementales Thizy-les-Bourgs
Localisation
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Liens
Site web amplepuis.fr

Amplepuis est une commune française située dans le département du Rhône, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie modifier

Situation modifier

À 60 km de Lyon, 47 km de Villefranche-sur-Saône et 30 km de Roanne, Amplepuis s'accroche sur le versant océanique des monts du Beaujolais, au nord-ouest du département du Rhône. Ses 3 844 hectares s'étagent de 410 à 810 m d'altitude.

Ses rivières, dont la plus connue le Rhins, descendent par la Loire vers l'océan Atlantique et son climat est souvent inversé par rapport au reste du département.

Communes limitrophes modifier

  Saint-Victor-sur-Rhins (Loire) Saint-Jean-la-Bussière Ronno  
Régny (Loire)
Lay (Loire)
N Valsonne
O    Amplepuis    E
S
Fourneaux (Loire) Machézal (Loire) Les Sauvages

Voies de communication et transports modifier

La présence d'une gare SNCF, dont la fréquentation actuelle est estimée à 550 voyageurs par jour, permet d'avoir des liaisons rapides et régulières avec Lyon, Tarare, L'Arbresle et Roanne.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 872 mm, avec 10,9 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Fourneaux », sur la commune de Fourneaux à 6 km à vol d'oiseau[3], est de 11,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 900,1 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Amplepuis est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Amplepuis, une unité urbaine monocommunale[10] de 4 976 habitants en 2017, constituant une ville isolée[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amplepuis, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 3 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (68,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (44,7 %), forêts (24,7 %), zones agricoles hétérogènes (20,6 %), zones urbanisées (6,3 %), terres arables (2,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,7 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Puis du latin puteus, « trou, fosse », « gouffre, fosse très profonde », « puits d’eau vive » ou même « puits de mine ». Son sens s’est ensuite étendu au « trou creusé pour atteindre une nappe d’eau souterraine ».

Héraldique modifier

  Blason
D'or au lion de sable, armé et lampassé de gueules, chargé d'un lambel de cinq pendants de même ; à la bordure engrêlée d'azur. * Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (gueules sur sable).
Détails
.
.

Histoire modifier

 
Vue générale au début du XXe siècle.

La première mention du village remonte au XIe siècle, quand l'église est donnée à l'abbaye de Savigny. Elle est incendiée par les Tard-Venus en 1364. Au XIVe siècle, Amplepuis est le siège d'une châtellenie appartenant aux seigneurs de Beaujeu. Pendant les guerres de religion, Amplepuis subit des dommages.

Son histoire est surtout liée à celle de l'industrie textile qui, déjà aux XVIe et XVIIe siècles, avait fait de la région une des premières contrées de France pour le tissage du chanvre puis du coton, avec un important marché aux tissus.

La ville est la patrie de Barthélemy Thimonnier (1793-1857), inventeur de la machine à coudre, qui y mourut.

Politique et administration modifier

Tendances politiques et résultats modifier

Administration territoriale modifier

La commune est chef-lieu de canton, avant d'être rattachée au canton de Thizy-les-Bourgs en 2015.

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1790 1792 François Cortay    
1792 1792 Jean-Marie Goutard    
1792 1798 Claude-Marie Sargnon    
1798 1800 Claude Mournant    
1800 1813 Jean-Louis Pezant    
1813 1830 Jean de Pomey    
1830 1847 Jean-Marie Sargnon    
1847 1852 Jean de Pomey    
1852 1852 Claude-Marie Raffin    
1852 1862 Hippolyte de Pomey    
1862 1865 Claude Laurent    
1865 1870 Auguste Villy    
1870 1871 Jean Volle    
1871 1878 Auguste Villy    
1878 1881 Claude Jal    
1881 1887 Auguste Froget    
1887 1890 Jean-Marie Darcy    
1890 1905 Jean Villy    
1905 1908 Henri Flessel    
1908 1936 Claude-Marie Bourbon URD Conseiller général du canton d'Amplepuis (1911 → 1937)
1936 1944 Léopold Raffin    
1944 1947 Etienne Ramadier    
1947 1956 Joseph Vignon    
1956 1959 Etienne Ramadier    
1959 1971 Henri Vignon    
1971 1975 Robert Biolay   Décédé en fonction
1975 Alain Auplat UDF-Rad. Suppléant du député Alain Mayoud (1988-1993)
Maurice Depaix PS Conseiller de tribunal administratif
Député de la 8e circonscription du Rhône (1995 → 1997)
Conseiller général du canton d'Amplepuis (1988 → 2001)
Alain Auplat DVD Maire honoraire
Didier Fournel MoDem Pharmacien
En cours
(au 19 janvier 2021)
René Pontet[16] DVD Retraité agricole
Vice-président de la CA de l'Ouest Rhodanien
Réélu pour le mandat 2020-2026[17]
Les données manquantes sont à compléter.

François Cortay fait partie des personnalités guillotinées à Lyon lors de la période révolutionnaire pour son appartenance au mouvement des Girondins.

Intercommunalité modifier

La commune fait partie de la communauté d'agglomération de l'Ouest Rhodanien.

Population et société modifier

Démographie modifier

La population d’Amplepuis rajeunit pour un indice de vieillissement de 1 personne de 65 ou plus pour 93,2 habitants de moins de 20 ans.


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[19].

En 2021, la commune comptait 4 840 habitants[Note 3], en diminution de 4,57 % par rapport à 2015 (Rhône : +3,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
3 4703 4463 7824 4584 8734 8814 9074 9454 963
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
4 9525 3116 6406 4446 9157 1187 2747 1136 960
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
7 0977 0006 6445 6935 6695 8165 4725 2905 432
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
5 3895 3445 3405 0554 8394 9485 0555 0855 032
2018 2021 - - - - - - -
4 9294 840-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

Des écoles maternelles et primaires, des collèges publics et privés assurent la scolarisation des enfants d'Amplepuis jusqu'à la fin de la classe de troisième. On trouve ainsi les écoles publiques maternelle La Marelle et élémentaire Le Petit Prince, ainsi que l'école primaire privée Saint-Charles. Les collèges Eugénie-de-Pomey, public, et Saint-Viateur, privé, complètent le tout. L'ensemble regroupe environ 1 300 élèves.

Manifestations culturelles et festivités modifier

Chaque année, une manifestation organisé par le comité des fêtes permet à des passionnés de peinture, sculpture, patchwork, couture ou tricot par exemple, d'exposer pendant une journée lors de la fête de l'été.

L'association des commerçants et artisans d'Amplepuis (UCAA) qui fait partie de la fédération « J'aime mes boutiques » organise des petits-déjeuners durant lesquels les commerçants offrent des croissants et du café aux passants dans la rue. Elle est membre, avec Bouthy à Thizy-les-Bourgs et Procom à Cours, de la fédération « J'aime mes Boutiques ». Cette fédération a organisé en 2014 et 2015 le « Salon du chic et du bon gout », comptant une trentaine d'exposants et quatre défilés de mode, en présence de Miss Beaujolais, durant lequel les commerçants de proximité ont ainsi pu dévoiler leurs nouvelles collection au public. En 2014, la salle Chaboud à Thizy a accueilli plus de 900 visiteurs. En 2015 à la salle Bagatelle à Amplepuis, le salon a attiré plus de 1200 visiteurs.

Santé modifier

On trouve à Amplepuis un hôpital de 120 lits et une maison de retraite de 20 places.

Sports modifier

La commune est dotée de différents équipements sportifs dont une piscine d'été. Il y a des clubs de football, danse, pétanque, basket, handball, rugby et tennis de table.

Équipements modifier

La commune dispose d'un centre social, une maison des jeunes et de la culture (MJC), ainsi qu'une « maison du département », où sont regroupés les services relevant du conseil départemental du Rhône.

Médias modifier

En 2014, la commune de Amplepuis a été récompensée par le label « Ville Internet @@ »[22] pour la cinquième année consécutive[23]. Elle dispose également d'une station de radio, Radio Val de Reins (RVR), créée en 1981 http://www.rvrradio.fr/

Cadre de vie modifier

Espaces verts et fleurissement modifier

En 2014, la commune obtient le niveau « une fleur » au concours des villes et villages fleuris[24].

Environnement modifier

La commune comprend de nombreux sites naturels comme les paysages vallonnés et boisés du Val de Reins, les rives du Reins, du Ranconnet et de la Viderie. Elle compte 56 hectares de forêts, avec la forêt départementale du Thivard, les bois Saint-Jean, Fourrier, de la Fay et des Gouttes.

La commune est située à proximité du lac des Sapins.

Économie modifier

Aujourd'hui, la petite mécanique se développe et atteint plus de 10 % des emplois. L'industrie et l'artisanat proposent des activités diversifiées. Le bâtiment et les travaux publics ont une importance remarquée. La population agricole représente environ 6 % des actifs. La production est essentiellement laitière mais l'élevage d'ovins et de bovins est aussi très présent. Les services et les commerces représentent près de 30 % des actifs de la commune. Le rayonnement d'Amplepuis s'étend sur l'ensemble de sa zone périphérique tant sur le département du Rhône que sur celui de la Loire. Le marché hebdomadaire du mardi matin reste un lieu très fréquenté et révélateur du pôle d'attraction que constitue Amplepuis.

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Vestiges préhistoriques et antiques modifier

  • Tumulus. Enceinte du Terrail (période de la Tène).

Architecture civile modifier

  • Le musée Barthélemy Thimonnier : Labellisé Musée de France, il possède la première collection publique de machines à coudre en France, ainsi qu’une importante collection de cycles : du métier à coudre de Barthélemy Thimonnier de 1830 à l’ordinateur de couture des années 2000, du vélocipède à la roue pleine du vélo… Le musée accueille également un lieu consacré aux activités du groupe de recherches archéologiques et historiques qui présente l’histoire d’Amplepuis de la préhistoire à l’époque moderne. Le musée organise également des expositions temporaires et de nombreuses animations (Nuit des Musées, Journées Européennes du Patrimoine, conférences...) en lien avec ses collections et le patrimoine local.
  • Le quartier Déchelette d'Amplepuis est situé à la sortie de la commune en direction de Roanne. Il est baptisé du nom du fondateur d'une usine de tissage mécanique en 1872. Les ouvriers et ouvrières de toute la région y convergeaient, attirés par une activité textile alors prolifique en emplois. Pour les fixer, Eugène Dechelette fit construire de longs bâtiments de logement, puis une chapelle et une école mixte (libre). Cet ensemble était regroupé autour de l'usine et de la maison de maître. Une coopérative y vit aussi le jour, et de ce fait, le quartier Déchelette ne manquait plus que d'une mairie et d'un cimetière pour en faire un village à part entière. En 1920 l'ensemble industriel faisait vivre 570 métiers. On tissa d'abord la cotonnade classique, puis la toile Vichy, puis le zéphir, la moirette, la toile de soie tramée, etc. L'usine fut d'abord mue par la force hydraulique, puis vint la vapeur et enfin l'électricité. Adeptes des théories sociales d'Albert de Mun, les Déchelette ont laissé l'empreinte d'un développement industriel bien éloigné de la Net Économie.
  • Le château de Rochefort, datant des XIVe et XVIIe siècles, est la résidence de la famille de La Brosse. Il comprend le pavillon d'entrée (inscrit aux monuments historiques), quatre tours quadrangulaires, un portail Louis XIII à mâchicoulis, des douves et une allée de frênes.
  • Le château de la Goutte présente une tour du XIIIe siècle dite de l'« An mil ».
  • Le château du Crêt, datant de 1894 et de style néo-gothique, est le chef-d'œuvre de l'architecte Charles Roux-Meulien.
  • L'ancien château de Montchervet est aujourd'hui une ferme, mais a conservé ses tours.
  • La maison de Barthélemy Thimonnier sur la façade de laquelle est fixée une plaque commémorative.
  • Le moulin à huile de Rébé est situé sur le cours du Reins.
  • Le pont Mondet des XIIIe et XIVe siècles possède trois arches en plein cintre et est surmonté d'une croix de mission sur socle au centre.

Architecture sacrée modifier

 
La chapelle de Saint-Roch au début du XXe siècle.
 
La chaire à prêcher.
  • L'église paroissiale Saint-Pothin datant de 1825 de style gréco-romain, est bâtie sur les vestiges de l'église du XIe siècle. Elle possède une chaire de 1845 en bois sculpté, des boiseries datées de 1825, ainsi que des orgues de Merklin.
  • L'ancienne chapelle de style classique, située place de l'Hôtel-de-Ville, abrite un musée.
  • La chapelle Saint-Fortunat, à auvent et clocher en bois, date de 1601.
  • La chapelle Notre-Dame-de-Grâces, située près du cimetière, abrite un ex-voto daté de 1871.
  • L'église au hameau de Saint-Claude-Huissel.

Personnalités liées à la commune modifier

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

  • Paul de Varax, Histoire d'Amplepuis, depuis l'époque gauloise jusqu'en 1789, Lyon, Impr. de Mougin-Rusand, (BNF 34109437)
  • Gabriel Fouillant et Germain Patay, Histoire d'Amplepuis (abrégée et illustrée) : [manuscrit dactylographié], , 55 p. (BNF 41065685)

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Amplepuis et Fourneaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Fourneaux », sur la commune de Fourneaux - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Fourneaux », sur la commune de Fourneaux - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 d'Amplepuis », sur insee.fr (consulté le ).
  11. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amplepuis », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. « René Pontet est élu maire », Le Progrès,‎ (lire en ligne, consulté le )
  17. Annie Girard, « Amplepuis. René Pontet, élu maire pour un second mandat », Le Progrès,‎ (lire en ligne)
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  22. « Les Villes Internet 2014 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site officiel de l’association « Ville Internet » (consulté le ).
  23. Palmarès 2010 des Villes Internet sur le site officiel de l'association. Consulté le 19/12/2009.
  24. « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).