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Terrebonne
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Vue du Vieux-Terrebonne
Administration
Pays Drapeau du Canada Canada
Province Drapeau du Québec Québec
Région Lanaudière
Subdivision régionale Les Moulins
Statut municipal Ville
Maire
Mandat
Jean-Marc Robitaille
2009 - 2013
Fondateur Terrebonne 1810 (Heriot, George (1759-1839))
Constitution
Démographie
Gentilé Terrebonnien, Terrebonnienne
Population 106 322 hab.[1] (2011)
Densité 684 hab./km2
Géographie
Superficie 15 544 ha = 155,44 km2
Divers
Langue(s) Français
Fuseau horaire UTC−05:00
Indicatif 450
Code géographique 24 64008
Liens
Site web http://www.ville.terrebonne.qc.ca/

Terrebonne est une ville du Québec (Canada), de la banlieue nord de Montréal située dans la MRC Les Moulins dans Lanaudière[2]. Entre 1986 et 2011, sa population s'est accrue de 24 864 à 106 322[3] habitants (Notamment grâce à la fusion avec les villes de Lachenaie et de La Plaine le 22 août 2001).

Étymologie modifier

Ce nom provient du nom de la seigneurie de Terrebonne, dont l'existence a précédé celle de la ville. Il existe trois hypothèses pour expliquer son origine :

  1. La première, retenue par la Commission de toponymie du Québec, voudrait que le sieur Daulier Deslandes aurait donné ce nom à cause de la fertilité des terres à cet endroit[4]. Le problème avec cette hypothèse, c'est qu'André Daulier Deslandes n'a jamais mis les pieds en Amérique, alors il n'aurait pas pu savoir si la terre était fertile, d'autant plus que la seigneurie n'a pas du tout été colonisée à cette époque.
  2. Une deuxième, parfois mise de l'avant par les guides touristiques de l'île des Moulins, voudrait que cette appellation ait été choisie pour des fins « publicitaires », car les colons seraient attirés par un endroit dont le nom suggère que les terres pourraient y être fertiles. C'est similaire à cette idée qu'Erik le Rouge aurait nommé le Groenland (Pays vert) ainsi pour donner aux gens l'envie d'y aller.
  3. Une troisième a le mérite d'expliquer pourquoi dans son acte de concession, la seigneurie est orthographiée « Terbonne ». À cette époque, Jean-Baptiste Tavernier, un célèbre voyageur français avec qui Daulier a voyagé, a fini par devenir le baron d'Aubonne (aujourd'hui dans le canton de Vaud, mais à l'époque, pays sujet du canton de Berne, Confédération des XIII cantons). Cela sonne comme « eau bonne », bien qu'étymologiquement, cela vienne du nom de la rivière l'Aubonne, qui vient du celte albona, qui signifie « rivière blanche » (alba, blanche et ona, rivière)[5]. C'est sans doute pour imiter son ami Tavernier et sa baronnie à l'orthographe particulière que le nom de Terbonne aurait été choisi, tout en remplaçant l'« eau » par la « terre », pour en faire l'antithèse de la baronnie d'Aubonne[6],[7].

Histoire de la ville modifier

La ville actuelle de Terrebonne (qui date de 2001) est la fusion de trois anciennes villes : Terrebonne, Lachenaie et La Plaine. Elles forment actuellement les trois « secteurs » de la municipalité. L'histoire de chacune est résumée ci-dessous.

Terrebonne modifier

 
 

Avant la fusion de 2001, la ville de Terrebonne était déjà elle-même le résultat d'une fusion ayant eu lieu en 1985 entre la ville de Terrebonne (Vieux-Terrebonne) et la municipalité de paroisse de Saint-Louis-de-Terrebonne (secteur agricole comprenant la « Côte de Terrebonne » et allant jusqu'à Bois-des-Filion).

C'est en 1673 que la seigneurie de Terrebonne fut concédée pour la première fois à un notable français, André Daulier Deslandes, secrétaire général de la Compagnie des Indes Occidentales. Il ne vint jamais habiter ses terres. En 1720, c'est l'abbé Louis Lepage de Sainte-Claire qui en devient le seigneur. Joseph Masson acquit la seigneurie en 1832 et en développa l'activité commerciale et industrielle. Vingt ans après vient la construction du premier pont de Terrebonne, un pont en bois inauguré en 1834. Ce pont relie Terrebonne et l'île Jésus, passant au-dessus de la rivière des Mille Îles.

On retrouve deux entités sur le territoire : un pôle commercial, Terrebonne, et un pôle agricole, Saint-Louis de Terrebonne. En 1985, ces deux entités fusionnent.

L’histoire de la nouvelle ville de Terrebonne correspond à celle de la colonisation et de l’expansion des trois secteurs qui la composent : Lachenaie, La Plaine et Terrebonne, auparavant trois villes distinctes.

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Lachenaie modifier

 

Lachenaie est considérée comme l'ainée des trois villes, car la seigneurie dont elle est issue est née en 1670, un peu avant celle de Terrebonne. Jusqu'en 1670, la seigneurie de Lachenaie (ou La Chesnaye, qui se prononce de la même façon) était une partie de la seigneurie de Repentigny. Cette année-là, le sieur Charles Aubert, le plus grand négociant de la Nouvelle-France, obtint grâce à un accord avec la veuve du sieur de Repentigny d'entrer en possession de toute la partie de Repentigny à l'ouest de la rivière L'Assomption, car elle était trop âgée pour entreprendre la colonisation de son immense fief. Comme le tracé de la rivière L'Assomption au nord refermait Repentigny sur elle-même, le nouveau sieur de La Chesnaye hérita de fait de la plus grande partie du territoire, et non pas de la moitié, comme on l'avait cru. Les premiers colons arriveront en 1672.

L'histoire de Lachenaie est particulièrement mouvementée, car entre 1684 et 1701, elle est au cœur des affrontements entre Français et Iroquois, lors des Guerres franco-iroquoises. En 1684, dans un contexte de paix armée, le fort de Lachenaie est construit pour protéger les habitants. Lachenaie essuie trois attaques iroquoises, en 1687, en août 1689 et en novembre 1689, et au cours de cette dernière survient le Massacre de Lachenaie le . Ces attaques iroquoises auront fait que même après trente ans d’existence, tout sera à recommencer une fois la paix venue en 1701, alors même que Terrebonne ne fait que commencer à être colonisée.

En 1750, la succession du seigneur de Lachenaie décider de se partager la grande seigneurie. La moitié ouest revient aux filles, et s'appellera Lachenaie, tandis que la partie est revient aux garçons, et s'appellera L'Assomption. Jusqu'en 1854, la seigneurie de Lachenaie préfigurera les futures villes de Lachenaie, Mascouche, Saint-Roch-de-l'Achigan (en partie) et de Saint-Lin-Laurentides.

Après la Conquête, ce sont des seigneurs écossais qui prendront en main la seigneurie. Mais à cette époque, la paroisse de Saint-Charles-de-Lachenaie va perdre de l'importance au profit de la paroisse de Saint-Henri-de-Mascouche, qui a des moulins à eau (utiles pour le commerce) et qui devient le lieu d’accueil privilégié de la classe marchande anglo-écossaise ainsi que le siège du manoir seigneurial de Lachenaie. La paroisse de Lachenaie, elle, va rester essentiellement à vocation agricole. Néanmoins, les années 1830 verront le commencement d'un village autour de l'église (densification urbaine).

En 1854, la seigneurie est abolie et Lachenaie ne désignera plus que la municipalité qui correspond au territoire de la paroisse Saint-Charles-de-Lachenaie, ce qui sera d'ailleurs le nom de la ville jusqu'en 1972.

Au cours des années 1950, la ville de Terrebonne (Vieux-Terrebonne) fait face à une croissance urbaine telle que les municipalités de Saint-Charles-de-Lachenaie et de Saint-Louis-de-Terrebonne acceptent en 1957 de lui céder une partie de leur territoire. En 1964, les élus de Terrebonne pensent qu'ils arriveront à annexer une partie de Lachenaie au cours de l'année. En 1966, le dossier refait surface et cette fois, il est question d'annexer la partie de Lachenaie à l'ouest de la voie ferrée passant par la gare de Terrebonne, toutefois, Terrebonne revendique également le secteur où habite le maire de Lachenaie, et cela suffit à faire échouer les pourparlers. Ce sera fait en 1985.

En 1976, une embâcle dans la rivière des Mille Îles inonde le Vieux-Terrebonne, puis à cause de celle-ci, c'est au tour de la rivière Mascouche de sortir de son lit, et Lachenaie est inondée à son tour. La situation devient telle qu'on fait appel aux Forces armées pour secourir les sinistrés. Une autre inondation se produit en 1977. En 1978, on décide d'employer les grands moyens, et de détourner la rivière Mascouche pour la faire jeter au centre de Lachenaie. Des digues de protection sont aussi construites.

La Plaine modifier

 

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Transports modifier

Réseau routier modifier

 
L'autoroute 25 nord à la sortie 22, vers le boulevard des Seigneurs et la route 344.

L'autoroute 25 constitue la pierre angulaire du réseau routier terrebonnien, car elle relie la ville à Laval et Montréal. Les sorties 20 (boulevard des Milles-Îles), 21 (île Saint-Jean), 22 (route 344, boulevard des Seigneurs), 23 (route 337, Boul. Moody, La Plaine, 24 (route 125) et 25 (autoroute 640) relient la 25 à Terrebonne. L'autre autoroute de la ville est l'autoroute 640, desservant le nord de la ville. Les sorties 35 (boulevard des Seigneurs), 38 (route 337), 42 (autoroute 25), 44 (rang Charles-Aubert), 45 (mtée Dumais) et 51 vers Lachenaie relient la 640 à Terrebonne. Les autres routes provinciales de la ville sont les routes 125 (montée Masson, traverse le cœur même de Terrebonne, se poursuit vers le sud vers Laval et vers le nord vers Mascouche), la route 337 (Chemin Gascon, se continue vers le nord-ouest vers La Plaine) et la route 344 (Côte de Terrebonne et Chemin Saint-Charles, suit la rive nord de la rivière Terrebonne). Les autres artères de la ville sont les rues et chemins Hauteville, Comtois, sainte-Claire et Laurier [8].

Aéroport modifier

La ville de Terrebonne est desservie par l'aéroport de Mascouche, situé au nord-est de l'échangeur 25/640.

Démographie modifier

Évolution démographique
1986 1991 1996 2000
24 86430 21637 91446 512
Après fusion avec les villes de Lachenaie et La Plaine
2001 2006 2007 2008 2011
80 531[9]94 70398 403101 558[10]106 322

Attraits touristiques et sites d'intérêt modifier

L'Île-des-Moulins modifier

 
Le Moulin Neuf

L'Île-des-Moulins[11] est classée site historique d'intérêt national en 1973 par le gouvernement du Québec.

Le complexe préindustriel de l'Île-des-Moulins était l'un des plus importants au Québec au cours du XIXe siècle. Il en subsiste cinq bâtiments en pierre. Le curé Louis Lepage, quatrième seigneur de Terrebonne, fit bâtir sur l'île le premier moulin à farine en 1721 et un moulin à scie vers 1725. Au cours des décennies suivantes, vinrent s'ajouter un moulin à carder, un moulin à fouler, un moulin à scier la pierre et un second moulin à farine. Incendiés ou vétustes, certains furent reconstruits. Trois moulins subsistent actuellement.

L'île devint un centre de production important avec notamment, forge, boulangerie, manufacture d'étoffes, manufacture de clous, fours à sécher le grain et tonnellerie. Les moulins de l'île équipés de turbines étaient considérés les plus beaux et les plus productifs du pays.

Quelques autres dates :

  • 1673 : création de la seigneurie de Terrebonne,
  • 1803 : création de la boulangerie,
  • 1804 : construction du moulin à scie actuel,
  • 1846 : construction du moulin à farine actuel,
  • 1850 (vers) : construction du bureau seigneurial,
  • 1850 ; construction du moulin neuf,
  • 1967 : aménagement d'un parc de maisons mobiles sur l'île

Plusieurs espaces ont été aménagés : dès le passage sur l'île devant le bureau seigneurial, la zone muséale. En arrière, des zones récréatives avec un théâtre de verdure et diverses sculptures dont une remarquable par sa blancheur dans l'eau au nord de l'écluse des moulins.

On vient aussi à l'Île-des-Moulins pour y observer des oiseaux[12]. En effet, il est possible d'observer plus de 200 espèces d'oiseaux sur la Rivière des Mille Îles. Certains y sont rares comme le canard mandarin, l'harelde kakawi, la grande aigrette, l'arlequin plongeur ou encore le pluvier argenté.

Barrage du Moulin-Neuf modifier

 
Barrage du Moulin-neuf

Le barrage du Moulin-Neuf[11] de type déversoir, permet de réguler le cours de la Rivière des Mille Îles et de contrôler les glaces au printemps.

En 1721, dès l'installation du premier moulin à farine sur l'Île-des-Moulins, un premier barrage est construit à 150 m en amont de l'actuel barrage pour garder un niveau d'eau minimum dans la rivière et dans l'écluse des moulins. Il relie l'île des Moulins à l'île Saint-Jean en passant par l'île aux Moutons. Le barrage permettait le fonctionnement des moulins à carder et à fouler tous deux remplacés en 1850 par le moulin neuf. Un canal est alors aménagé pour diriger l'eau sous la voûte du moulin.
En 1872 les Masson font construire un barrage à peu près à l'emplacement de l'actuel barrage.
En 1890 le barrage est reconstruit en béton.
En 1972, inquiet du risque d'inondations dû à la faiblesse de l'écluse des moulins, le propriétaire du lieu dynamite le barrage du moulin neuf. L'ouvrage subit d'importants dommages. Dans le but de préserver l'environnement, la ville de Terrebonne entreprend les démarches pour acquérir l'île et la faire classer site historique. Ce sera chose faite en 1973.

En 1979, le Ministère des Richesses naturelles du Québec fit reconstruire le barrage du Moulin-Neuf. Une passerelle piétonnière y est ajoutée.

 
Rivière des Mille Îles à Terrebonne
De gauche à droite : île Saint-Jean, île aux moutons et île-des-Moulins

Vieux-Terrebonne modifier

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  • Le monument aux morts. Il est situé en bordure du boulevard des Braves, dans le petit Parc des Braves agrémenté d'un kiosque et de bancs permettant d'admirer l'Île-des-Moulins par-delà l'écluse des moulins.

Architecture sacrée modifier

 
Église Saint-Louis-de-France
  • Église Saint-Louis-de-France au Vieux-Terrebonne. La paroisse a été fondée en 1723 par Louis Lepage de Sainte-Claire, prêtre du diocèse de Québec, curé de la paroisse de l’île Jésus et seigneur de Terrebonne. Elle appartient au Diocèse de Saint-Jérôme. L'église paroissiale Saint-Louis-de-France (1878) possède un orgue Casavant (1946). L'actuelle église construite autour de 1878, est la troisième depuis la fondation.

En 1880, le « bon monsieur Piché », curé, a fait exhumer les corps inhumés dans le sous-sol de la vieille église pour les placer dans la crypte de la nouvelle.

  • l'ex-église anglicane St-Michael, située rue Saint-Louis dans le Vieux-Terrebonne. Convertie en édifice à bureaux.

Maison d'histoire de Terrebonne modifier

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Site du fort de Lachenaie modifier

En 1684, à l'époque de la Nouvelle-France, la rivalité commerciale avec les Anglais dans la région des Grands Lacs était plus forte que jamais et les relations avec les Iroquois allaient en se détériorant. La guerre avec les Iroquois était sur le point de recommencer. C'est dans ce contexte que fut construit le fort de Lachenaie, pour abriter les habitants de la seigneurie de Lachenaie, comme cela se fit à d'autres endroits dans la région de Montréal à la même époque. L'ouvrage défensif aura d'ailleurs été utile car les Iroquois auront fait plusieurs incursions, qui auront culminé avec le Massacre de Lachenaie. Les archives ne font plus mention du fort à partir de 1701 (Grande Paix de Montréal), alors on suppose qu'il a été détruit à cette époque.

De nos jours, le fort en tant que tel n'existe plus (il était en bois), mais le lieu où il se trouvait a peu été modifié par les constructions récentes et par l'activité humaine. En ce moment, c'est un champ de maïs faisant face à la pointe de l'île Jésus. Toutefois, le site pourrait être appelé à gagner en importance. Dans le plan stratégique de mise en valeur du patrimoine culturel de la Société d'histoire de la région de Terrebonne, il est prévu de demander à Parcs Canada d'en faire un « lieu historique national », et ensuite d'y créer un centre d'interprétation qui reconstituerait le fort de Lachenaie, et ainsi en faire le premier site historique du Québec dédié aux Guerres franco-iroquoises.

En 1996, la firme Arkéos a été mandatée pour réaliser une étude de potentiel archéologique et patrimonial sur le tracé du projet de prolongement du gazoduc Trans-Québec & Maritimes inc. entre Lachenaie et East Hereford. Un lieu voisin au fort de Lachenaie a été retenu, et un premier inventaire y fut fait, et révéla des fondations de pierre et des objets datant du XVIIIe siècle. L'endroit devint le site BkFj-8 (en Code Borden). En 1998, des fouilles archéologiques eurent lieu, et mirent au jour deux bases de cheminée, une base pour un poteau de soutènement, un support d'évier associé à un canal d'évacuation, ainsi qu'une fondation liée à un dallage. Ce sont là les indices de la présence d'une habitation en bois, peut-être la maison du meunier de Lachenaie.


Attraits artistiques et culturels modifier

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Plein-air et agrotourisme modifier

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Galerie modifier

Jumelage modifier

 
Les Jardins Vitré
  •   Vitré (France) depuis 1983.
    Depuis 1983, des échanges se font régulièrement entre des familles de Vitré et des familles de Terrebonne. Une portion de la rocade de Vitré se nomme « Avenue de Terrebonne ». À l’occasion du 25e anniversaire de ce jumelage, Terrebonne a nommé un de ses parcs « Les Jardins Vitré » et y a installé une plaque explicative.

Références modifier

  1. Terrebonne (ville), Profils des communautés, Statistiques Canada, consulté le
  2. Gouvernement du Québec, « Terrebonne », Répertoire des municipalités, sur Ministère des Affaires municipales, des Régions et de l'Occupation du territoire
  3. Statistique Canada : Terrebonne
  4. Fiche de Terrebonne sur le site de la Comission de toponymie du Québec
  5. KRAEGE, Charles et Gilbert KÜNZI. Rivières romandes : à la source de leurs noms, Saint-Gingolph, Éditions Cabédita, 1999, 133 p.
  6. MASSON, Henri. La Seigneurie de Terrebonne sous le Régime français, Montréal, publié à compte d'auteur, 1982, 205 p.
  7. MARTEL, Claude. « Les origines de Terrebonne - Paroisse fondée en 1723 », La Revue de Terrebonne, (Terrebonne), Cahier spécial 50 ans, pp. 21, 23
  8. MapArt 2008, p. 447
  9. La population a quasiment doublé lors de la fusion avec les villes de Lachenaie et La Plaine
  10. Données provisoires pour 2009
  11. a et b Panneau d'interprétation du circuit historique de l'Île-des-Moulins
  12. Panneau du Club d'ornithologie de la région des moulins

Bibliographie modifier

  • MapArt, Canada back road atlas / atlas des rangs et chemins, Oshawa, Ontario, MapArt Publishing, , 702 p. (ISBN 978-1-55368-614-9).

Liens externes modifier

Municipalités limitrophes modifier

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