* Comte François Jacques Léo de Molen de Saint-Poncy, né à Blesle le 13 mars 1825, Préfet de La Haute-Loire (1870), publiciste, auteur d'une importante "Histoire de Marguerite de Valois, reine de France et de Navarre" (1887). Il a aussi publié "Les fruits de la Révolution" (1893)et une "Notice historique sur Blesle et l'abbaye de Saint-Pierre de Blesle" (1869). Voir le "Dictionnaire Biographique de la Haute-Loire" de Gaston Joubert (2004). (490)
La comédienne Catherine Hays (Catherine Shell) qui s'est faite connaitre dans la fameuse série de science-fiction Cosmos 1999 (Space 1999) avec son personnage de Maya en 1976 tient à Bonneval des chambres d'hôte. (216)
* Saint Julien de Brioude, Romain converti au christianisme, martyr en 304. (83)
* Gil Besseyre né à Brioude le 12 septembre 1967, ancien coureur cycliste qui a remporté le Tour d'Auvergne en 1992, reconverti dans la course à pied en montagne, sélectionné en équipe de France. (202)
* Jean-Louis Figureau, né en 1946, installé à Brioude en 1970. Pilote motocycliste et précurseur en France dans le domaine de la course d'enduro. (article manquant)
La pape Clément VI, dont le tombeau se trouve dans le chœur de l'abbatiale. (81)
Le cardinal Louis-René de Rohan-Guéméné, exilé par Louis XVI de juin à octobre 1786. Il habita dans la demeure accolée à l'abbatiale et au cloître. (156)
*Jacques André Portefaix n'est peut-être pas habitant de Chanaleilles mais de l'une de ces communes Le Villeret qui a l'âge d'environs 12 ans a combattu la Bête du Gévaudan le 12 janvier 1765 a la Coutasseyre avec l'aide de ces amis quatre gaçons (Joseph Panafieu,Jean Pic,Jacques Couston et Jean Veyrier) et de deux filles (Madeleine Chausse et Jeanne Gueffier) (368)
Les André de l'Arc sont les seigneurs ancestraux de cette terre. Il existe un ciboire ayant appartenu à Antoine André de l'Arc, chanoine à Freycenet. (154)
Le lit en bois où avait dormi St Jean-François Regis (1597-1640) a été le seul meuble rescapé d'un incendie au château de cette famille. ce fut l'une des preuves apportée à son procès en Canonisation. (209)
Il existe dans la chapelle la Tombe de Charles André de l'Arc et de son épouse, Isabeau. Elle est remarquable de par sa taille car cet homme était un géant pour l'époque de 2 mètres. (188)
Le village est partiellement construit avec les pierres du château détruit. (77)
Le titre nobiliaire des André de l'Arc est Comtal. leur blason s'énonce " Azur à la croix de St André bardé à dextre et à senestre d'une étoile et en tête d'un Arc à la flèche encochée soutenu d'un croissant, le tout de même". Cette famille a des descendants en vie. (289)
* Le marquis de Lafayette : à son retour d'Amérique il achète la ville et devient ainsi Marquis de Langeac. Jusqu'en 2007, ce retour était célébré chaque année fin juillet à Langeac, qui revêtait alors les décors de l'époque et rejouait la remise des clés de la ville. (317)
* Ulysse Rouchon (16 juin 1878 à Loudes - 5 janvier 1960 au Puy-en-Velay) : Fils de François Rouchon, instituteur de Loudes et de Marie-Joséphine Bérard. Clerc de notaire, publiciste puis journaliste à la Tribune de Saint-Étienne. Il devient membre de la Société Académique de la Haute-Loire le 5 avril 1900. Il en devient secrétaire le 5 mars 1903 puis sécrétaire perpétuelle le 12 mai 1932. Le 21 mars 1909, il est nommé Délégué cantonal de Loudes. Le 21 juin 1905, il devient conservateur puis directeur des musées du Puy-en-Velay, conservateur des Antiquités et objets d'art de la Haute-Loire. Il sera ensuite Chevalier du Mérite Agricole et Chevalier du Mérite Touristique. Il est nommé le 26 décembre 1923 Directeur du Musée Gallo-Romain de Saint-Paulien et en 1935 Conservateur de la bibliothèque municipale du Puy-en-Velay. Le 5 août 1938, il est fait officier de l'ordre National de la Légion d'honneur. Le 12 avril 1943, il devient Correspondant de la Commission des Monuments Historiques. Le 21 septembre 1943, il est Délégué régional du Musée National des Arts et Traditions Populaires. Il était l'ami du romancier Jules Romains. L'école municipale a été renommée « Groupe Scolaire Ulysse Rouchon » sur proposition de monsieur Gontran Eyraud. Bibliographie : "Le musée Crozatier du Puy-en-Velay" (1926), "Pons de Polignac" (1939), "Recherches sur les argentiers du Puy et du Velay du XIIIe et du XIX" (1943), "Contes et légendes de Haute-Loire" (1947), "La vie bruyante de Jules Vallès", "La mission du cardinal Melchior de Polignac à Rome", "Le Velay gallo-romain et sa capitale Ruessio", "L'appel des ombres", "La vie paysanne dans la Haute-Loire" (1933-1977)... (1974)
Il ne s'agit pas d'une personnalité marquante. Toutefois, il est intéressant de savoir qu'un des enfants de Mas de Tence, Jean Marie Graillon, a émigré au Québec (Canada) où il fonda une famille, après avoir épousé une Parisienne. (239)
* Le pasteur Jean Chassanion (1531-1598), né à Monistrol et mort à Genève, est l'auteur d'œuvres apologétiques inspirées des écrits de Calvin et d'une Histoire des Albigeois. (206)
* Pierre Vaneau (1653-1694). Sculpteur né à Montpellier, il s'installe dans la cité et y réalise La Mort de Saint-Joseph, rétable en bois doré de la Chapelle des Ursulines. (267)
* L'historien érudit Augustin Simon Irailh, auteur de Querelles littéraires, est brièvement chanoine au chapitre de la Collégiale Saint-Marcellin. (158)
* Marie-Joseph de Galard de Terraube (1774-1802) est le dernier seigneur de Monistrol. Homme de cour, fidèle à Louis XVI, il refuse la Constitution civile du clergé et se réfugie dans la cité avant d'émigrer. (218)
* Les poètes monistroliens Hippolyte de Chabron (1806-1883) et Eugène David (1876-1956), auteur des Fleurs vellaves et stéphanoises, soulignent la beauté discrète d'une cité classique devenue industrielle. En revanche, le chansonnier Rémi Doutre (XIXe siècle) ne fait que peu de références à sa ville de naissance. (333)
* Marc Bouchacourt (XIXe siècle) témoigne de la vie monistrolienne à la Belle Époque. Il croque la ville et ses habitants dans ses tableaux et dessins. (159)
* L'homme politique Édouard Néron (1867-1945), est membre d'une longue lignée de notables monistroliens, bienfaiteurs de la ville, la famille Néron-Bancel. Maire à la Belle Époque, il parvient à devenir député puis sénateur de la Haute-Loire sous l'étiquette de la Fédération républicaine. (402)
Saint Pierre de Chavanon : né à Langeac vers 1003, Pierre de Chavanon s'orienta tout jeune vers le sacerdoce. Il se retira dans la solitude à Pébrac, où l'évêque de Clermont l'engagea à fonder, vers 1062, un monastère de chanoines réguliers qui connut un grand rayonnement. Il mourut un 8 septembre vers 1080. (325)
La princesse de Polignac est encore en vie, mais à part son titre de noblesse, elle n'a rien fait de très spécial, si ce n'est s'occuper de son village (Polignac du même nom que la commune)en essayant de construire, dernièrement un restaurant qui a ensuite été racheté. (277)
Pierre Andrès : artiste contemporain auteur de "machines singulières" (81)
Joseph Gourgaud : historien local et romancier. Auteur de "Pont-Salomon : les hommes de la faux" ; "La Vallée des forges" (prix du Roman d'Auvergne 1999) ; "Le Chant des Martinets" ; "Les usines Massenet"... (248)
PERSONNALITES HISTORIQUES : (27)
Et d'une manière moins certaine : Louis Mandrin, qui aurait utilisé les lieux dans le cadre de la contrebande de sel (lié à une des origines étymologiques du lieu : Pont-Salomon = le pont (lieu de rencontre - de contact - d'échange...) des sauniers ... Légende ou fond de vérité? A vous de juger ! (310)
Remarque : les premières mentions du lieu-dit sont orthographiées de la façon suivante : "Pont Salamon" ou "Le Pont Sallamon" (Augustin Chassaing (1830-1892) - Dictionnaire topographique de la Haute-Loire) (240)
(A noter en revanche que le nom de la commune ne doit rien au monarque biblique, et encore moins au majestueux viaduc qui enjambe la vallée et qui date de la fin du XXe siècle !). (181)
Il mourut de faim et de froid en 1650 (bibliographie provenant de l'Académie Française). (94)
*Jeanne La Verdette : c'est au portail de la Verdette que se déroula, le 10 mars1588, le fait d'armes le plus connu et le plus légendaire de l'histoire de Pradelles. Au cœur des guerres de religion, une troupe protestante, tentant de s'emparer de la cité qui commandait le passage entre la vallée du Rhône et la ville du Puy-en-Velay, fut repoussée après un combat acharné au terme duquel le capitaine des assaillants eut son casque « encloté » par une pierre lancée par Jeanne La Verdette. Néanmoins, Jacques de Chambaud survécut et eut encore l'occasion de se distinguer au service d'Henri IV, avant de mourir de congestion en 1600. (709)
Grand cuisinier Régis Marcon dont la spécialité est la cuisine à base de produits régionaux tel que les champignons ou la lentille verte du Puy-en-Velay. Vainqueur du Bocuse d'or en 1995. (235)
* Saint Jean-François Régis: (né 1597 - décédé 1640) - est un jésuite français, missionnaire des campagnes et en particulier de l'Ardèche. Il est canonisé en 1737. Il est fêté le 16 juin. Saint Jean-François Régis est le patron des Jésuites de la province de France. Le deuxième cimetière de Saint Germain Laprade porte son nom en son hommage, il fut terminé en 1997. (article manquant)
Deux hommes de Saint-Pal de Mons se sont illustrés au cours des siècles : (76)
François Peyrard, né à Vial en 1759, mathématicien, administrateur de polytechnique, il publia de nombreux ouvrages, en particulier la traduction des oeuvres d'Archimède. Il est décédé en 1822. (201)
Gabriel Tyr, né en 1817. Il se consacre à la peinture religieuse et à la gravure. La plupart de ses oeuvres sont exposées au musée Crozatier du Puy-en Velay. (162)
*Pierre Julien (20 juin 1731 à Saint-Paulien - 17 décembre 1804 à Paris) : Grand sculpteur. Le roi Louis XVI l'appela à sa cour et lui passa commande de sculptures de grands hommes de France. L'école de Saint-Paulien s'appelle école Pierre Julien. (269)
*La famille Du Peloux est titrée nobiliairement de comte de Saint Romain Lachalm. Elle venait à l origine du Vivarais et Saint Romain Lachalm fut apporté en dote par Aymarde de Curnieu fille d une famille forézienne. (220)
*Jean II marié en 1418. (25)
*André, son deuxieme fils, co seigneur de St Romain, marié en 1450 à Catherine d'Allier de la Fressange. (107)
*Gabriel, marié en 1492 à Antoinette de Tremolles. (52)
*Aymard, marié en 1527 à Anne de Saint Quentin. (49)
*Jean, marié en 1553 à Françoise de Fay de la Tour-Maubourg. (63)
*Nicolas, marié en 1603, restaura le vieux chateau et fit batir la tour octogonale. (84)
*Antoine, marié en 1634 à Catherine de la Chassaigne. (55)
*Annet, marié en 1634 à Catherine de Clavieres. (49)
*Joseph-Gabriel, marié en 1711 à Francoise de Fillères. (58)
*Louis, page de la Reine Mere en 1753. (38)
*Joseph Gabriel, marié en 1804. (32)
*James, marié en 1834. (23)
*Joseph, marié en 1864. (24)
*Jacques, marié en 1889. (25)
*Paul, ancien maire de St Romain. (33)
*Gaetan. (8)
*Géraud, ancien Maire. (23)
*Nicolas du Peloux, comte de Saint Romain. (42)
* (1)
La famille se divisa en deux, la branche d'Annonay devait cependant s'éteindre au XVIIe siècle. (97)
Arriva alors la Révolution, pendant laquelle le comte Charles du Peloux et son frère furent condamnés à mort en raison de leur noblesse. Ils furent finalement graciés grâce à de nombreux témoignages affirmant qu'ils étaient attachés au principes républicains (ils étaient en effet lafayettistes). Charles fut ensuite élu maire et son frère cadet Louis juge de paix . Sur 22 mandats de maire, 11 furent détenus par des Peloux, ce qui montre leur attachement à cette terre. (487)
* Émile Barlet (1934-1995) maire de 1971 à 1983 (49)
* Gaston Roussel (1920- ) maire de 1983 à 2001 (47)
* le Père André Eyraud, curé de la paroisse de 1944 à 1994, à l'origine de la construction de l'école Notre Dame, sous la tutelle du diocèse et des religieuses de la congrégation de Saint Charles (203)
* Louis-Marcel Gauthier (1903-1938) : Enfant de Vergongheon, il fit partie de l'équipage « Croix du Sud » qui était l'un des trois avions à avoir traversé l'Atlantique-Sud, soit 19 767 km en 127h57. Le record du monde de distance en hydravion était battu. Louis-Marcel Gauthier fut décoré de la légion d'honneur. Une rue porte son nom à Vergongheon. (389)
*Jean Pomel (1881-1966) : Maire de 1935 à 1965 (interrompu entre 1941 et 1945 par l'Occupation allemande et le régime de Vichy), il fut à l'origine d'un grand nombre d'améliorations dans la commune (construction d'école et de HLM, distribution de l'eau du Cézallier, réfection du réseau électrique,...). La rue reliant Vergongheon à Arvant porte son nom. (399)
*Pierre de Vieille-Brioude, grand-maître de l'ordre des Hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem de 1240 à 1244<ref>Sources : Alain Romeuf, "Les Vieille-brioude - Xe-XIIIe siècles" dans Cahiers de la Haute-Loire, 2001. Site</ref> (292)
Jacques Barrot : ancien maire, plusieurs fois ministre (emploi, affaires sociales) et actuel commissaire européen reponsable pour justice, liberté et sécurité précédemment chargé des transports. (211)