Saugues
Saugues | |||||
Saugues, pays de la bête du Gévaudan. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Haute-Loire | ||||
Arrondissement | Brioude | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Rives du Haut Allier | ||||
Maire Mandat |
Joël Plantin 2020-2026 |
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Code postal | 43170 | ||||
Code commune | 43234 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
1 701 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 22 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 57′ 39″ nord, 3° 32′ 53″ est | ||||
Altitude | Min. 661 m Max. 1 483 m |
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Superficie | 78,8 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Gorges de l'Allier-Gévaudan | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Géolocalisation sur la carte : Haute-Loire
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | http://saugues.fr/ | ||||
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Saugues (Saug en occitan[1]) est une commune française située dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
GéographieModifier
LocalisationModifier
La commune est située dans le sud-ouest du département de la Haute-Loire. Elle est limitrophe de la Lozère et proche du Cantal.
Le bourg est situé à 45 km à l'ouest du Puy-en-Velay.
Communes limitrophesModifier
Géologie et reliefModifier
La commune est dans les monts de la Margeride.
HydrographieModifier
La Seuge traverse le canton de Chanaleilles à Prades, où elle se jette dans l'Allier.
ClimatModifier
Saugues bénéficie d'un climat froid et tempéré, à tendance montagneuse du fait de son altitude (963 mètres).
Les précipitations sont relativement importantes, y compris lors des mois les plus secs. Les précipitations moyennes annuelles s'élèvent à 723 mm. Le brouillard se lève en moyenne 7 jours par an.
Les précipitations moyennes mensuelles les plus faibles sont enregistrées au mois de février avec 38 mm. Le mois ayant le plus fort taux de précipitations est le mois de mai, avec 86 mm de moyenne.
La température moyenne annuelle est de 8,3 °C.
Le mois de juillet est le plus chaud de l'année, avec une température moyenne de 16,9 °C. À l'inverse, janvier est, avec 0,8 °C de moyenne, le mois le plus froid.
L'amplitude moyenne annuelle des précipitations entre le mois le plus sec et le mois le plus humide est de 48 mm. Celle des températures est de 16,1 °C.
ToponymieModifier
La ville de Saugues se nomme Saug en occitan[3]. La ville tient d'ailleurs une place importante à la langue occitane[4] et des visites bilingues français-occitan ont été mises en place[5].
HistoireModifier
Ancienne place forte du Gévaudan, elle s'est développée dès le XIIe siècle sous l'autorité des évêques de Mende et des seigneurs de Mercœur. Odilon de Mercœur, évêque de Mende (1247-1274) fait bâtir le château d'Esplantas, dont il reste le donjon daté de 1252 ; le logis polygonal qui l'entoure en partie, remanié aux XVIe et XVIIIe siècles ; une enceinte[6]. Le bourg est ceint d'une puissante muraille, dont il ne reste aujourd'hui rien.
Au début de la ville est envahie par surprise par les "routiers" de Perin Boias. Elle est alors encerclée par l'armée d'Arnoul d'Audrehem, composée de nombreux seigneurs dont le vicomte de Polignac accouru avec plus de mille de ses vassaux; Guillaume de Chalencon[7]; Eustache de Langeac; Henri de Trastamare[8]. Les défenses de la ville sont trop puissantes, et après des pourparlers les routiers se retirent le 28, emportant avec eux un riche butin[9].
En 1589-1580, le château d'Esplantas est commandé par Pierre de la Rodde, dit le cadet de Séneujols [10], qui assassinera Antoine de Saint-Vidal le .
C'est dans les montagnes des alentours et près de Saugues que sévit, à la veille de la Révolution, la fameuse bête du Gévaudan, de sinistre mémoire.
Le centre historique du bourg est dévasté par un incendie en 1788.
La flamme postale de la cité représentait dans les années 1980 le dessin de la bête de Gévaudan et était intitulée Porte du Gévaudan.
Le pèlerinage de CompostelleModifier
La ville est située sur la via Podiensis du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle.
On vient de Monistrol-d'Allier, la commune suivante est Chanaleilles, la dômerie du Sauvage et la chapelle Saint-Roch.
Saugues était le point de rencontre des pèlerins venant d’Auvergne. En effet, au chemin venant de Brioude, qui permettait d'éviter le Puy en remontant la vallée de l'Allier par Langeac, Chanteuges et la forêt de Pourcheresse, se raccordaient des voies secondaires drainant les pèlerins du Cantal ou du Puy-de-Dôme.
La confrérie des PénitentsModifier
Historique de la Confrérie[11] :
C'est le , à l'initiative de cinq honorables habitants de Saugues : Antoine de Langlade, seigneur de Courère, Jacques de Langlade, seigneur de La Valette, tous deux chanoines de la collégiale Saint-Médard, ainsi que de Jacques de Langlade, Benoît Paparic et Antoine Pichot que fut fondée à Saugues, avec l'autorisation de l'évêque de Mende, une confrérie de Pénitents Blancs.
Elle devait être affiliée à l'archiconfrérie de Notre-Dame de Gonfalon de Rome par une bulle du de la même année.
Lors de la grande peste de 1721, qui sévit avec violence dans le Gévaudan, les pénitents avaient fait le vœu de se rendre en procession le lundi de Pentecôte au pèlerinage de Notre-Dame d'Estours.
La confrérie comporte aujourd'hui une cinquantaine de pénitents, issus de toutes les professions.
HéraldiqueModifier
Le blasonnement de Saugues est : D'azur, à la lettre capitale S d’argent, cernée de deux rameaux montant d’une même branche de sinople, surmontée d’un soleil d’or. Origine moderne
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Le blasonnement de Saugues sous l'Ancien Régime devait être celui de Mercœur : de gueules à trois fasces de vair.
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Politique et administrationModifier
Liste des mairesModifier
DémographieModifier
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[12]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[13].
En 2018, la commune comptait 1 701 habitants[Note 1], en diminution de 5,55 % par rapport à 2013 (Haute-Loire : +0,6 %, France hors Mayotte : +2,36 %).
CultureModifier
Le festival celte en GévaudanModifier
Depuis 2007, chaque mois d'août a lieu un festival celtique qui accueille pendant plusieurs jours environ 10 000 personnes.
Les précédentes éditions ont accueilli, entre autres, Tri Yann (2007, 2015), Dan Ar Braz (2008), Manau (2009, 2013), Carlos Nunez (2009, 2016), Soldat Louis (2010, 2014), Alan Stivell (2011, 2019), Nolwenn Leroy (2011), Celtic Legends (2011), Capercaillie (2012), Matmatah (2017), Kyo (2018)[16].
Huit ans après son premier passage, Alan Stivell sera à nouveau l'invité du festival à l'occasion de l'édition 2019[Note 2] : le samedi , en tête d'affiche avec le groupe Celtica Pipes Rocks![17].
Caserne des pompiersModifier
Saugues est pourvu d'un centre de secours d'environ 27 pompiers volontaires et d'une dizaine de véhicules. Le centre de secours de Saugues enregistre environ 250 interventions par an, soit une tous les deux jours. Les interventions sont à 80 % sanitaires et à 18 % de la lutte incendie. Le chef du centre est le lieutenant Olivier Pignol, succédant au capitaine Jean-Claude Combeuil en .
Établissements scolairesModifier
Saugues est dotée d'un collège public et d'un collège privé (école de La Présentation). Ces deux établissements disposent de plusieurs clubs : théâtre, poésie, associations sportives, etc.
Un lycée forestier également Centre de Formation Professionnelle Forestière y est établi.
Structures sportivesModifier
Un nouveau gymnase, construit depuis 2009, propose plusieurs possibilités de sport à pratiquer puisque de nombreux clubs ont vu le jour : handball, badminton, judo, musculation, etc.
On trouve également des terrains sportifs pour le football et le rugby ainsi que pour l'athlétisme.
Associations sportivesModifier
Le club de football de Saugues (AS Saugues) compte deux équipes senior évoluant en District 3 et district 4, des équipes jeunes dans chaque catégorie en groupement avec Langeac et Siaugues (GL2S) ainsi qu'une équipe féminine en élite meilleur niveau départemental.
Quant au club de rugby, l'Oval Club Gévaudan (OCG), il possède une école de rugby, des équipes de cadets, juniors et séniors, mais aussi une équipe féminine de rugby à 7.
Saugues a aussi un club de Handball (HBC Saugues) créé en 1989. Le club possède deux équipes seniors, une féminine et une masculine, ainsi que des équipes jeunes allant du baby-hand à -18.
ThéâtreModifier
Un festival de théâtre amateur se déroule en juillet-août.
Lieux et monumentsModifier
Essentiellement du XVIe siècle, c’est un édifice gothique marqué par des modifications au XIXe siècle. Il est surmonté d'un clocher octogonal sur porche.
La collégiale abrite un prestigieux mobilier, son trésor comprend une Vierge en majesté du XIIe siècle, une pietà du XVe siècle, trois croix processionnelles Renaissance richement ciselées, dues aux orfèvres du Puy.
On y voit encore la châsse de saint Bénilde (1805 - 1862, canonisé en 1967), membre des Frères des Écoles chrétiennes.
- La tour dite "des Anglais".[19]
Riche en vieilles maisons, Saugues, dont la spécialité était le tournage des "esclops", (les sabots de bois) est dominée par la tour dite "des Anglais", un donjon carré du XIIIe siècle.
La tour devrait son nom au siège subi en 1362 pour en déloger des routiers partisans des Anglais (un chevalier anglais, mort en 1380, repose dans une tombe gothique du cimetière). Elle est ornée des fresques d'un artiste de Saugues, Lucien Gires. Elle abrite aujourd'hui des expositions estivales.
Une étude d'histoire architecturale, avec analyse archéologique du bâti, a été publiée par Christian Corvisier[20].
- La tombe présumée du général britannique Mac Haren, tué au siège de Châteauneuf-de-Randon en 1380, située dans le cimetière et classée Monument historique en 1910.
- La chapelle des Pénitents.
Elle est le siège d'une confrérie fondée en 1652, semblable à celle du Puy. Le Jeudi Saint, les membres de cette confrérie parcourent la ville en procession, dans un geste de foi et de pénitence, en cagoule blanche et munis d’une lanterne, excepté ceux qui, en rouge et pieds nus, portent croix et "colonne aux outrages".
- Le Musée de la Bête du Gévaudan.
Il retrace l'histoire de la Bête du Gévaudan qui ravagea entre 1764 et 1767 la région de Saugues et ses alentours. À travers 24 scènes, il reconstitue l'atmosphère de l'époque, pendant laquelle la terreur et l'horreur régnaient dans les anciennes provinces du Gévaudan et d'Auvergne.
- Le diorama Saint Bénilde
Il est installé dans la maison où se trouvait l'école dirigée par le Frère Bénilde, rue du Prieuré. Les 13 scènes, son et lumière, présentent la vie du Frère Bénilde et Saugues au XIXe siècle.
Il est ouvert au public tous les jours pendant les mois de juillet et août ; sur rendez-vous le reste de l'année.
- Le village médiéval déserté de Montchauvet[21].
Le village de Montchauvet date du Xe au XIVe-XVe siècle. La famille De Montchauvet en est issue : elle est connue par Guillaume de Montchauvet qui fut bailli de Saugues pour le seigneur de Mercœur au XIVe siècle. Le village médiéval déserté de Montchauvet a été redécouvert en 1965 et sondé de 1965 à 1994. Les collections et le centre de documentation présentant les objets de la vie quotidienne du village médiéval occupent la Maison du Docteur Jean-Claude Simon. Le site archéologique se visite sur demande.
- Le château d'Ombret inscrit MH[22]
- Le Mont Mouchet et les combats près de Saugues
Le pays de Saugues a été le théâtre de la Résistance intérieure française en Margeride pendant la Seconde Guerre mondiale. Un musée de la Résistance se visite au Mont-Mouchet.
Le , trois colonnes allemandes, soit 8 000 hommes environ, convergent vers le Mont-Mouchet avec des blindés, Monistrol d'Allier et Saugues. Elles tentent, sans y parvenir, de prendre au piège les maquisards des réduits du Mont-Mouchet et de Saugues. Pendant toute la journée du ont lieu de violents combats. Au village de la Vachellerie (proche de Saugues), une centaine de véhicules est arrêtée par la section des gendarmes, des sections des 33e et 34e compagnies, renforcées par des éléments de la 12e compagnie. La bataille fait rage toute la journée, et il faut attendre le soir une contre-attaque de deux sections de la 31e compagnie, qui prend l'ennemi de flanc pour le rejeter sur la rive droite de l'Allier. Plusieurs véhicules ennemis sont détruits, dont un blindé.
L'attaque allemande reprend, le vers 9 heures, sur les mêmes axes que la veille. C'est une grosse division qui s'élance, avec des chars, de l'artillerie, de l'aviation. Les combats sont acharnés. L'artillerie écrase les compagnies engagées, et, en fin de soirée, la maison forestière, P.C. de l'état-major. Une escadrille de bombardiers légers survole et mitraille en permanence les positions des F.F.I. et lâche même des bombes sur la sortie est de la petite ville de Saugues, détruisant plusieurs maisons. Partout, à Clavières, à Pinols, à Saugues, les maquisards se battent avec courage, mais ne réussissent pas à empêcher la pénétration des blindés ennemis. Les munitions s'épuisent, et les unités de réserve apportent le ravitaillement nécessaire. Les compagnies ont l'ordre de tenir jusqu'à la nuit. Celles du Mont-Mouchet se replient en direction du « réduit de la Truyère ». Celles de Saugues, 31e et 32e compagnies, se replient vers les forêts de la région de Berbezit (La Chaise-Dieu), et vers la région de la forêt de Mercoire (Haute-Lozère) pour les 33e, 34e, 35e compagnies et la compagnie de passage.
À la suite de ces évènements, le Dr Gerbier, maire de Saugues, et le curé ont dû négocier avec les troupes allemandes pour empêcher des représailles. Un monument à la Vachellerie et la statue de la Vierge rappellent cette période.
- Bergougnoux
Petit village typique de la région par son architecture et l'atmosphère qui y règne.
Personnalités liées à la communeModifier
- Saint Noël Chabanel (1613-1649), missionnaire jésuite assassiné au Canada, né à Saugues.
- Joachim Barrande (1799-1883), géologue et paléontologue, né à Saugues.
- Jean-Pierre Despeisse (1772-1809), capitaine au 69e régiment d'infanterie, chevalier de la Légion d'honneur, né à Saugues, mort à Orense (Gallice). Il participe aux campagnes d'Italie, d'Égypte et de Syrie, d'Allemagne, d'Espagne [23].
- Saint Bénilde (1805-1862), enseignant à Saugues de 1841 à sa mort.
- Abbé François Fabre (1854-1932), prêtre et historien, né et décédé à Saugues.
- Pierre Nauton (frère Navit-Pierre) (1912-1970), frères des écoles chrétiennes, ethnologue, linguiste, maître de recherches au CNRS (1957), auteur de l’Atlas linguistique et ethnographique du Massif Central[24].
- Emma Roussel (1899-1952), institutrice et poétesse, née et décédée à Saugues.
- Louis Amargier (1902-), poète dont La chanson du Gévaudan fut couronné par le Prix Caroline Jouffroy-Renault de Académie française en 1952
- Robert Sabatier (1923-2012), écrivain né à Paris. Saugues est le village décrit dans Les Noisettes sauvages.
- Lucien Gires (1937-2002), artiste peintre, sculpteur qui créa le Musée de la Bête du Gévaudan[25].
- Joseph Fabre (frère Adrien) (décédé en 2003), enseignant des frères des écoles chrétiennes, co-inventeur et responsable des sondeurs du village médiéval déserté de Montchauvet de 1965 à 1991.[réf. nécessaire]
- Joël Vernet (1954-), écrivain, dont la famille est originaire de Saugues, auteur d'une œuvre poétique importante.
JumelagesModifier
Saugues est jumelée avec la commune belge, Modave, depuis 1992. Le comité de jumelage s’occupe d’entretenir les relations entre les deux communes, par le biais du comité de jumelage saugain et organise des activités qui servent à financer, en partie, le voyage des enfants de Saugues à Modave.
Voir aussiModifier
BibliographieModifier
- Bernard Lonjon, Louis Amargier et Robert Sabatier, une amitié saugaine : in Cahiers de la Haute-Loire 2017, Le Puy-en-Velay, Cahiers de la Haute-Loire, [26]
- Jean Roux, Morphologie verbale dans le parler occitan de Saugues : in Cahiers de la Haute-Loire 2017, Le Puy-en-Velay, Cahiers de la Haute-Loire, [27]
- Louis Simonnet, docteur en archéologie, Les puits funéraires gallo-romains en Velay et à Saugues (1ère partie) : in Cahiers de la Haute-Loire 1975, Le Puy-en-Velay, Cahiers de la Haute-Loire, (lire en ligne)
- Louis Simonnet, Les puits funéraires gallo-romains en Velay et à Saugues (Gévaudan - 2ème partie) : in Cahiers de la Haute-Loire 1976, Le Puy-en-Velay, Cahiers de la Haute-Loire, (lire en ligne)
- J. Duplessy, Trésor découvert dans le canton de Saugues, monnaies d’or du XVIe siècle et du XVIIe siècle : in Cahiers de la Haute-Loire 1977, Le Puy-en-Velay, Cahiers de la Haute-Loire, (lire en ligne)
- Didier Catarina, « Une exception judiciaire en Languedoc : les prévôtés de Saugues et du Malzieu à la fin du XVIIIe siècle », Cahiers de la Haute-Loire, Le Puy-en-Velay,
- René Ponot, La société Sauguaine dans la seconde moitié du XVIIIe siècle : in Cahiers de la Haute-Loire 1972, Le Puy-en-Velay, Cahiers de la Haute-Loire, (lire en ligne)
- Camille Fabre, « Jérôme Labretoigne, marchand à Saugues dans la première moitié du XIXe siècle », Cahiers de la Haute-Loire, Le Puy-en-Velay,
Articles connexesModifier
Liens externesModifier
Notes et référencesModifier
NotesModifier
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- ... qui aura lieu du jeudi 8 au samedi 10 août.
RéférencesModifier
- (oc + fr) Lucien Gires, Escotatz brave monde ! : chansons et récits de Saugues en occitan, Saugues, Eront de Saug,
- Carte IGN sous Géoportail
- Jean Roux L'auvergnat de poche éditions Assimil, collection « Assimil de poche », Chennevières-sur-Marne 2002.
- « Le Gévaudan », sur https://festivalengevaudan.com/ ; site officiel du Festival celte en Gévaudan, : « La langue régionale était l’Occitan, qui malheureusement se perd de génération en génération. »
- « Le bourg se visite en français et en occitan », La Montagne, Clermont-Ferrand, Groupe Centre France, (ISSN 0767-4007, lire en ligne)
- https://auvergne-centrefrance.com __"Château d'Esplantas (Haute-Loire)".
- L'histoire connaît trois homonymes de ce nom, dont un évêque du Puy.
- Réfugié en France après sa défaite à la bataille de Najera, accompagné par de nombreux partisans, il fut utilisé comme mercenaire par les États du Languedoc contre dix mille florins par mois.
- Livre "Les grandes Compagnies en Velay - 1358-1392", de Jacques Monicat, année 1928, pages 21 et 22.
- Cahiers de la Haute-Loire, revue d'études locales, octobre 2015, page 4.
- Extrait du site de Mr Roger Combe
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Festival celte en Gévaudan > Les éditions précédentes (2007–2018)
- Festival celte en Gévaudan > Les artistes 2019
- « La collégiale Saint-Médard », notice no PA00092891, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « La Tour dite "des Anglais" », notice no PA00092890, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Les Cahiers de la Haute-Loire 2008
- « Le village médiéval déserté de Montchauvet », notice no PA00092932, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Château d'Ombret », notice no PA00092888, base Mérimée, ministère français de la Culture
- base Léonore des Archives nationales
- Université Blaise-Pascal Centres d'études régionales, Vocabulaire rural, grammaire abrégée, littérature orale de la région de Saugues d'après Pierre Nauton, Clermont-Ferrand, Auvernha Tara d'Oc (ISSN 0335-850X)
- Le pays de Gevaudan et Lucien Girès, vidéo sur ina.fr
- correspondance familière entre Louis Amargier et Robert Sabatier, tous deux poètes originaires de Saugues mais émigrés à Paris.
- dans le prolongement du travail sur le parler occitan de Saugues étudié par le linguiste Pierre Nauton (1912-1970) avec la mise en évidence la limite linguistique que représente la Margeride