Bains
Bains [bɛ̃s] est une commune française située dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Bains | |||||
L'église Sainte-Foy. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Haute-Loire | ||||
Arrondissement | Le Puy-en-Velay | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Puy-en-Velay | ||||
Maire Mandat |
Gérard Fouillit 2020-2026 |
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Code postal | 43370 | ||||
Code commune | 43018 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
1 382 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 37 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 00′ 37″ nord, 3° 46′ 33″ est | ||||
Altitude | Min. 878 m Max. 1 332 m |
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Superficie | 37,56 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Le Puy-en-Velay (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Velay volcanique | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Loire
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Géographie
modifierLocalisation
modifierLa commune de Bains se trouve dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].
La commune, traversée par le 45e parallèle nord, est de ce fait située à égale distance du pôle Nord et de l'équateur terrestre (environ 5 000 km).
Elle se situe à 11 km par la route[Note 1] du Puy-en-Velay[1], préfecture du département, et à 12 km de Cussac-sur-Loire[2], bureau centralisateur du canton du Velay volcanique dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[3] : Saint-Christophe-sur-Dolaison (3,8 km), Vergezac (4,6 km), Sanssac-l'Église (4,7 km), Séneujols (5,5 km), Ceyssac (5,7 km), Chaspuzac (6,8 km), Saint-Jean-Lachalm (7,3 km), Saint-Vidal (7,5 km).
Géologie et relief
modifierLa commune se trouve dans le massif du Devès, la Vesseyre culmine à 1 279 m d'altitude au sein de son territoire.
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 7,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 737 mm, avec 7,5 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Le Puy-Loudes », sur la commune de Chaspuzac à 7 km à vol d'oiseau[6], est de 9,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 682,4 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Bains est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Puy-en-Velay, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 59 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (81,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (42,4 %), zones agricoles hétérogènes (32,5 %), forêts (17,3 %), terres arables (5,9 %), zones urbanisées (1,9 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
-
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
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Carte orthophotographique de la commune.
Habitat et logement
modifierEn 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 729, alors qu'il était de 687 en 2013 et de 607 en 2008[I 2].
Parmi ces logements, 78,6 % étaient des résidences principales, 9,5 % des résidences secondaires et 11,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 90,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 9,4 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Bains en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (9,5 %) inférieure à celle du département (16,1 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 78,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (79,3 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Bains[I 2] | Haute-Loire[I 5] | France entière[I 6] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 78,6 | 71,5 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 9,5 | 16,1 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 11,9 | 12,4 | 8,2 |
Toponymie
modifierHistoire
modifierUne voie antique nommée la Bolène traverse le territoire de la commune. Venant de Lyon, elle arrive du nord par Saint-Paulien et contourne Montbonnet en empruntant en partie les routes départementales. La voie pavée poursuit ensuite son chemin en ligne droite au pied du mont Devès en direction du Bouchet-Saint-Nicolas[14].
Sur la hauteur de Montbonnet se trouvait une tour d'un âge indéterminé, peut-être à l'origine en bois, qui fut rasée en 1632[15]. S'y trouve toujours la chapelle Saint-Roch, datant à l'origine du Xe siècle.
L'église Sainte-Foy fut bâtie au XIIe siècle, ainsi que le château-fort dont il est fait mention en 1227, année où le seigneur du lieu, Pons de Bains, chevalier issu de la famille De Saunier[16], reconnaît la suzeraineté de l'évêque du Puy[17].
En 1580, pour se venger d'un certain juge Bertrand[18] qui avait fait emprisonner un de leurs amis, Louis, Antoine et Pons de La Tour de Bains, accompagnés du seigneur de Talode[19], violent son épouse, qui en mourut quelque temps après. En représailles le château est arasé. Reconstruit plus simplement, il passe à la famille Monteyremard en 1648, puis en 1692 est vendu à Antoine de Bellidentis de Landes, et reste dans sa famille jusqu'à la Révolution[20].
Pèlerinage de Compostelle
modifierSur la via Podiensis du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle.
On vient de Saint-Christophe-sur-Dolaison, la prochaine commune est Saint-Privat-d'Allier.
Le passage à Bains de nombreux pèlerins ne peut être contesté et l'itinéraire proposé au-delà demeure très plausible, surtout si l'on considère que le village de Fay est mentionné en 1236 dans le cartulaire des Templiers. Cet ordre ayant pris une part importante dans la protection des pèlerins, nous sommes vraisemblablement en présence d'un ancien mais authentique chemin de Saint-Jacques.
Politique et administration
modifierDécoupage territorial
modifierLa commune de Bains est membre de la communauté d'agglomération du Puy-en-Velay[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Le Puy-en-Velay. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[21].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement du Puy-en-Velay, au département de la Haute-Loire, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton du Velay volcanique pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la deuxième circonscription de la Haute-Loire pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[22].
Élections municipales et communautaires
modifierÉlections de 2020
modifierLe conseil municipal de Bains, commune de plus de 1 000 habitants, est élu au scrutin proportionnel de liste à deux tours (sans aucune modification possible de la liste)[23], pour un mandat de six ans renouvelable[24]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 15[25]. Les quinze conseillers municipaux sont élus au premier tour avec un taux de participation de 31,86 %, issus de la seule liste candidate, conduite par Gérard Fouillit[26]. Gérard Fouillit est élu nouveau maire de la commune le [27].
Le siège attribué à la commune au sein du conseil communautaire de la communauté d'agglomération du Puy-en-Velay est alloué également à la liste de Gérard Fouillit[26].
Liste des maires
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[33].
En 2021, la commune comptait 1 382 habitants[Note 4], en évolution de +4,07 % par rapport à 2015 (Haute-Loire : +0,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
modifierLa population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26 % la même année, alors qu'il est de 31,1 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 705 hommes pour 659 femmes, soit un taux de 51,69 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (49,13 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
modifierRevenus
modifierEn 2018, la commune compte 563 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 1 341 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 030 €[I 9] (20 800 € dans le département[I 10]).
Emploi
modifierDivision | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 11] | 2,7 % | 6,1 % | 5 % |
Département[I 12] | 6,3 % | 7,7 % | 7,7 % |
France entière[I 13] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 860 personnes, parmi lesquelles on compte 80,2 % d'actifs (75,1 % ayant un emploi et 5 % de chômeurs) et 19,8 % d'inactifs[Note 6],[I 11]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction du Puy-en-Velay, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 14]. Elle compte 328 emplois en 2018, contre 305 en 2013 et 331 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 652, soit un indicateur de concentration d'emploi de 50,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 62,4 %[I 15].
Sur ces 652 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 165 travaillent dans la commune, soit 25 % des habitants[I 16]. Pour se rendre au travail, 84,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,3 % les transports en commun, 8,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 17].
Activités hors agriculture
modifier84 établissements[Note 7] sont implantés à Bains au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 8],[I 18].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 84 | ||
Industrie manufacturière, industries extractives et autres |
3 | 3,6 % | (14,2 %) |
Construction | 17 | 20,2 % | (13,9 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration |
30 | 35,7 % | (28,8 %) |
Activités financières et d'assurance | 2 | 2,4 % | (4,4 %) |
Activités immobilières | 2 | 2,4 % | (3,9 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien |
8 | 9,5 % | (11,6 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale |
15 | 17,9 % | (13,3 %) |
Autres activités de services | 7 | 8,3 % | (8 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 35,7 % du nombre total d'établissements de la commune (30 sur les 84 entreprises implantées à Bains), contre 28,8 % au niveau départemental[I 19].
Agriculture
modifierLa commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Velay Basaltique »[36]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 9] sur la commune est la production de bovins, orientation lait[37].
1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Exploitations | 83 | 67 | 52 |
Superficie agricole utilisée (ha) | 2 771 | 2610 | 2567 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 83 en 1988 à 67 en 2000 puis à 52 en 2010[38], soit une baisse de 37 % en 22 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 43 % de ses exploitations[39]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 2 771 ha en 1988 à 2 567 ha en 2010. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 33 à 49 ha[38].
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifierVestiges du château, croix de fer forgé près de l'église, et de vieilles maisons.
Le lieu-dit Chantoin est une ancienne possession de l'ordre du Temple (templiers)[40] puis à partir du XIVe siècle on y trouve trois fermes de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem qui faisaient partie de la commanderie de Devesset au sein du grand prieuré d'Auvergne[41].
Église Sainte-Foy
modifierL’église paroissiale des XIIe et XIIIe siècles présente un portail surmonté d'un arc à voussure polylobée.
À remarquer à l'extérieur, un enfeu latéral côté sud, traces d'un titre seigneurial, et les voussures du portail d'entrée.
À l'intérieur, une cuve baptismale et une pietà.
Cette église primitivement dédiée à saint Martial, passa vers 1105 sous le vocable de Sainte-Foy, dépendant ainsi de Conques jusqu'en 1613.
Chapelle Saint-Roch de Montbonnet
modifierL'oratoire primitif fut construit par la famille de Montlaur dont les armoiries sont sur la clé de voûte de la chapelle. Saint Bonnet en devint le premier patron. On y honora aussi sainte Bonnette d'Alvier, leurs statues figurent dans la chapelle.
Cette chapelle du Xe siècle fut remaniée à plusieurs périodes. L'édifice fut dédié à saint Roch, lors de l'extension du culte de ce saint, devenu patron des pèlerins. Le chœur, voûté d’ogive, possède un chevet plat avec en clé les armes des Montlaur[42].
Un cimetière, un puits et un logement d'accueil, aujourd'hui disparus, jouxtaient cette chapelle érigée en bordure même de la voie suivie par les Jacquets.
Une légende s'attache à cette chapelle : les habitants de Bains, jaloux de la vénération de saint Roch à Montbonnet, voulurent ramener la statue chez eux ; ils la mirent sur un char tiré par un bœuf et un âne. En chemin les animaux refusèrent d'avancer et posèrent « pesamment » leurs sabots sur une pierre qui en garda l'empreinte.
La légende prétend aussi que les cailloux déposés sur cette pierre disparaissent la nuit suivante.
Autres monuments
modifier- Croix de Bains, derrière l'église Sainte-Foy, inscrite monument historique en 1930
- Croix de Ramourouscoule, au lieu dit « Ramourouscoule », inscrite monument historique en 1930
- Maison d'assemblée d'Augeac, inscrite monument historique en 1990
Personnalités liées à la commune
modifierHéraldique
modifierBlason | Parti : au 1er de gueules à une statue de saint Roch d'argent surmontée de trois quintefeuilles d'or mal ordonnées, au 2d coupé : au I d'azur à l'église du lieu d'or, au II d'or à un mouton arrêté de sable, le museau, les oreilles et les pattes d'argent[43]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Bernard Galland, « Chapelle Saint-Roch de Montbonnet », Cahiers de la Haute-Loire, Le Puy-en-Velay,
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Références
modifierSite de l'Insee
modifier- Insee, « Métadonnées de la commune de Bains ».
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Bains » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Bains - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Bains - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bains (43018) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Haute-Loire (43) », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Bains » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Bains » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Bains » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre à Bains » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre dans la France entière Haute-Loire » (consulté le ).
Autres sources
modifier- Stephan Georg, « Distance entre Bains et Le Puy-en-Velay », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Bains et Cussac-sur-Loire », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Bains », sur villorama.com (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Bains et Chaspuzac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Le Puy-Loudes », sur la commune de Chaspuzac - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Le Puy-Loudes », sur la commune de Chaspuzac - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Le Puy-en-Velay », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- voir carte IGN Monistrol-d'Allier 2736 O. La voie Bolène est bien nommée ainsi en direction du Bouchet-Saint-Nicolas.
- Site internet voie-bolene.info
- Du latin Salinarius, celui qui extrait ou vend du sel. L'origine de cette famille ne semble pas auvergnate. Source : site internet www.geneanet.org.
- Site internet grofouillis.canalblog.com __"Château de Bains".
- Le pouvoir royal en Velay était représenté par deux agents : le Bailli, qui présidait les audiences; le juge, qui statuait et prononçait les sentences. Ils étaient entourés d'aides appelés « lieutenants ». Les appels étaient portés devant le sénéchal de Beaucaire et le Parlement de Paris. La ville du Puy et ses faubourgs bénéficiaient d'une administration spéciale. L'évêque était certaines fois secondé par un juge pour les fiefs qu'il possédait. Enfin, chaque seigneur était généralement secondé par un baile, un juge, un receveur et des châtelains.
- Bourg rattaché aujourd'hui à la commune de Saint-Christophe-sur-Dolaison.
- Site internet grofouillis.canalblog.com
- « communauté d'agglomération du Puy-en-Velay - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
- « Découpage électoral de la Haute-Loire (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
- Loi no 2013-403 du 17 mai 2013 relative à l'élection des conseillers départementaux, des conseillers municipaux et des conseillers communautaires, et modifiant le calendrier électoral, article 51 et son décret d'application no 2013-938 du 18 octobre 2013.
- « Election des conseillers municipaux et du maire »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur le site de la DGCL (consulté le ).
- Article L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales
- « Résultats du 1er tour pour Bains », sur le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- « Répertoire national des élus - version du 3 septembre 2020 », sur data.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des maires »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) [PDF], sur le site de la préfecture de la Haute-Loire, (consulté le ).
- « Gérard Fouillit élu maire de Bains », sur leprogres.fr, .
- « Liste des maires »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) [PDF], Préfecture de la Haute-Loire, (consulté le ).
- « Marie-Françoise Favier, première femme maire de la commune », sur leveil.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Bains - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Bains », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de la Haute-Loire » (consulté le ).
- Alain Demurger, Les Templiers, une chevalerie chrétienne au Moyen Âge, Paris, Seuil, coll. « Points Histoire », (1re éd. 2005), 664 p., poche (ISBN 978-2-7578-1122-1).
- Léopold Niepce, Le Grand-Prieuré d'Auvergne : Ordre des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem, Lyon, Librairie Générale Henri Geors, , XI-352 p. (OCLC 422251418, présentation en ligne), p. 230 Pour la description du membre de Chantoin, cf. p. 278 mais il y eut une erreur de pagination car ce n'est pas un membre de Sainte-Anne..
- Bernard Galland, « Chapelle Saint-Roch de Montbonnet », Cahiers de la Haute-Loire, Le Puy-en-Velay,
- « 43018 Bains (Haute-Loire) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).