Saint-Loup-sur-Semouse

commune française du département de la Haute-Saône

Saint-Loup-sur-Semouse
Saint-Loup-sur-Semouse
Le grand pont sur la Semouse
Blason de Saint-Loup-sur-Semouse
Blason
Saint-Loup-sur-Semouse
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Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Haute-Saône
Arrondissement Lure
Intercommunalité Communauté de communes de la Haute Comté
Maire
Mandat
Thierry Bordot
2020-2026
Code postal 70800
Code commune 70467
Démographie
Gentilé Lupéens
Population
municipale
2 944 hab. (2021 en diminution de 9,58 % par rapport à 2015)
Densité 178 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 53′ 08″ nord, 6° 16′ 27″ est
Altitude Min. 231 m
Max. 315 m
Superficie 16,54 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Saint-Loup-sur-Semouse
(ville-centre)
Aire d'attraction Saint-Loup-sur-Semouse
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Saint-Loup-sur-Semouse
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Saint-Loup-sur-Semouse
Liens
Site web saint-loup.eu

Saint-Loup-sur-Semouse est une commune française située dans le département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté. Ses habitants sont appelés les Lupéens. Elle fait partie de la Communauté de communes de la Haute Comté.

C'est la neuvième ville la plus peuplée du département après Échenoz-la-Méline.

La ville est classée cité des meubles grâce à l'entreprise Parisot.

Géographie modifier

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte avec les communes environnantes

Localisation modifier

La ville de Saint-Loup-sur-Semouse est située dans le nord du département de la Haute-Saône, non loin de la limite sud du département des Vosges.

Elle est implantée dans une large plaine (à environ 250 m d'altitude), à la confluence de trois rivières : la Semouse, l'Augronne et la Combeauté. Ces rivières ont participé au développement de la ville au cours de son histoire.

Alors que l'Augronne rejoint la Semouse en amont du centre-ville, la Combeauté la rejoint quelques kilomètres en aval.

Elle est située à 11 km à l'ouest de Fougerolles, 12 km au nord-ouest de Luxeuil-les-Bains, 18 km au sud de Bains-les-Bains et Plombières-les-Bains (Vosges) et à 32 km de la préfecture départementale, Vesoul

Histoire modifier

Cette ville est divisée en 4 quartiers :

  • Le Vieux Château : il s'agit du quartier le plus moderne de Saint-Loup, ayant moins de 30 ans. Il est toujours en expansion.
  • Le Mont Pautet : établi sur la colline qui lui donnera son nom, ce quartier est caractérisé par sa mixité sociale : environ la moitié de la population est d'origine étrangère.
  • Le centre-ville : il s'agit du quartier le plus peuplé de Saint-Loup, on y trouve les principaux services (mairie, poste, et de nombreux commerces) ainsi que le château des Bouly, qui précède le parc public portant le même nom.
  • Le Chanois : c'est dans ce quartier sans histoire que vivent quelques Lupéens avec son école et sa richesse multiculturelles.

Plusieurs versions contradictoires sur l'histoire ancienne de Saint-Loup existent :

  1. Saint-Loup existait déjà sous l'Antiquité sous le nom de Grannum. Lorsque Attila envahit la Gaule en 451, il détruisit la ville. Saint Loup, évêque de Troyes, ayant arrêté les progrès d'Attila, il fut vénéré par les survivants de Grannum qui se mirent sous sa protection. De là date le nom de Saint-Loup donné à ce bourg.
  2. Saint-Loup ne fut pas la ville gallo-romaine de Grannum. Vers les IVe et Ve siècles, il n'y avait pas de « ville » : c'est une multitude de domaines qui s’éparpillaient entre Luxeuil et Corre. Au VIIe siècle, Colomban s’installe dans le désert de Luxeuil. Les moines commencent à défricher et une nouvelle population s’installe progressivement. Il n’y a aucune grande ville dans la Haute-Saône à cette époque. Au Moyen Âge, Saint Loup aurait été popularisé vraisemblablement à cause de son nom. À cette époque, les loups étaient considérés comme le diable en personne, le nom de la ville aurait donc un rapport avec l'animal qui habitait dans les forêts environnantes.

Au Moyen Âge, la terre de Saint-Loup est tiraillée entre Bourgogne et Lorraine. Au XIIIe siècle, Saint-Loup appartient à la Maison de Faucogney. En 1477 : Saint-Loup devient « Terres de surséance ».

À la Révolution de 1789, Saint-Loup a pour curé Jean-Joseph Claude Descharrières. Ce curé de choc, originaire du Val d'Ajol, est un ancien aumônier militaire. Il organise une milice pour défendre le bourg, mais il ne pourra empêcher le saccage du greffe et de son presbytère par les « sans-culottes » de Fougerolles et Corbenay venus détruire les titres de propriétés seigneuriaux.

Le nom de la ville a connu des variantes « officielles » ou « usuelles » : de Saint-Loup à Saint-Loup les Luxeuil (sur la carte de Cassini, en 1760), en passant par Saint-Loup-sur-Augronne (avec des variantes de Augronne : Eaugronne, Augrogne) ou encore : Saint-Loup en Vôge, le nom officiel de Saint-Loup-sur-Semouse serait fixé par une loi de 1801.

De 1860 à 1868, soit pendant huit années seulement, il semblerait qu'une Loge maçonnique du Grand Orient de France a existé dans la commune avec comme Vénérable un certain Renaud, constructeur de machines[1].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 979 mm, avec 13,4 jours de précipitations en janvier et 10 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Aillevillers », sur la commune d'Aillevillers-et-Lyaumont à 6 km à vol d'oiseau[4], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 175,0 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,6 °C, atteinte le ; la température minimale est de −23,5 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Saint-Loup-sur-Semouse est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Loup-sur-Semouse, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[12] et 3 639 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Loup-sur-Semouse, dont elle est la commune-centre[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 10 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (46,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (46,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (46,3 %), prairies (26,1 %), zones urbanisées (12,9 %), eaux continentales[Note 4] (6,9 %), terres arables (6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,2 %), cultures permanentes (0,5 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

La commune fait partie de l'arrondissement de Lure du département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté. Pour l'élection des députés, elle dépend de la première circonscription de la Haute-Saône.

Elle est le chef-lieu depuis 1801 du canton de Saint-Loup-sur-Semouse dont elle est désormais le bureau centralisateur. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, le territoire du canton s'est agrandi, passant de 13 à 23 communes[18].

Intercommunalité modifier

La commune était membre de la communauté de communes de la Haute Comté, créée le .

Dans le cadre des prescriptions du schéma départemental de coopération intercommunale approuvé en par le préfet de Haute-Saône, et qui prévoit notamment la fusion de la communauté de communes des belles sources, de la communauté de communes Saône et Coney et de la communauté de communes du val de Semouse[19], la commune est le siège de la communauté de communes de la Haute Comté, créée le .

Tendances politiques et résultats modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs[20],[21]
Période Identité Étiquette Qualité
1945 octobre 1947 Camille Grandhaye[24]   Cafetier-restaurateur
octobre 1947 mars 1959 Gabriel Arnoux    
mars 1959 octobre 1987 André Masson[25] Rad. puis
MRG
Instituteur retraité
Conseiller général de Saint-Loup-sur-Semouse (1964 → 1987)
Chevalier de l'Ordre national du Mérite, officier des Palmes Académiques
Décédé en fonction
décembre 1987 1992 Jean Gallaire PS Conseiller général de Saint-Loup-sur-Semouse (1987 → 1994)
Élu lors d'un scrutin municipal partiel
1992 mars 2001 Jean-Louis Mariey[26] PS Instituteur
Conseiller général de Saint-Loup-sur-Semouse (1994 → 2001)
Suppléant du député Jean-Paul Mariot (1997 → 2002)
mars 2001 avril 2004 Christiane Jansen RPR[27] puis
app. UMP
Décédée en fonction
mai 2004 mars 2008 André Rouiller UMP Retraité
mars 2008 janvier 2010[28] Michel Leroy app. PS Directeur d'école retraité
Décédé en fonction
janvier 2010[29] En cours
(au 23 mai 2020)
Thierry Bordot app. LREM Chargé d'études, premier adjoint du précédent
Réélu pour le mandat 2020-2026[30]
 
La mairie et le monument aux morts.

À la suite du décès d'André Masson, deux élections partielles (une cantonale et une municipale) sont organisées fin 1987 et voient dans les deux cas la victoire du socialiste Jean Gallaire et ce, dès le premier tour[31],[32].

En 2004, André Rouiller (UMP) succède à Christiane Jansen (UMP apparentée), décédée en fonction.

Puis, en , le maire apparenté socialiste élu deux ans plus tôt, Michel Leroy, décède et est remplacé par son premier adjoint Thierry Bordot. Réélu en 2014 et 2020, ce dernier est le maire actuel de la commune.

Jumelage modifier

Depuis le , la ville est jumelée avec Maulburg (Allemagne)[33].

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35].

En 2021, la commune comptait 2 944 habitants[Note 5], en diminution de 9,58 % par rapport à 2015 (Haute-Saône : −1,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 7601 8911 9791 9842 5792 5862 5632 6762 752
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 3102 5332 8002 7062 8222 8733 2643 6053 656
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 7093 6433 4562 7842 9202 9192 6432 6052 517
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
2 8643 4684 6924 9074 6774 2913 7473 3533 249
2021 - - - - - - - -
2 944--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Immigration modifier

Les données d'immigration sont à lire en sources[37].

Au XXIe siècle, l'immigration de populations des pays de l'Est européen est une donnée nouvelle[38].

Festivités modifier

  • Depuis 1928, se tient à Saint-Loup la Foire exposition de Saint-Loup-sur-Semouse[39].
  • Fête patronale :
  • Le slalom des Deux-Ponts, une course automobile, se tient chaque année.

Économie modifier

 
L'usine Parisot

Saint-Loup-sur-Semouse possède une vocation industrielle affirmée dès le XVIIe siècle par la présence de tanneries, clouteries et ateliers de tissage.

Le XIXe siècle accueille les artisans de la chaussure, du chapeau de paille et de la broderie.

Saint-Loup est le siège du groupe français de fabrication de meubles Parisot, fondé en 1936. Saint-Loup est dite Cité du meuble depuis qu'en 1860 s'est créée l'industrie de la chaise et du siège, sous le nom d'Usines réunies.

Un atelier de meubles d'art, ouvert en 1931, est lui aussi toujours en activité sous la direction du petit-fils du fondateur.

Culture et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

 
L'Église Saint-Sébastien
  • Le Château des Bouly (ou château de Malliard) est classé monument historique. Il fut construit en 1775 par Jean-Baptiste Bouly, maître de forge de la Baronnerie[40].
  • L'église de Saint-Loup fut inaugurée le . Elle recèle un autel en marbre du XVIe siècle, ainsi que des toiles et des statues des XVIIe et XVIIIe siècles.
  • La villa des Pervenches.
  • Le Grand Pont qui date du XVIIIe siècle.
  • Le Pont d'Avignon a d’abord été construit en bois en 1770 ; le pont de fer qui l’a remplacé date de 1824 et est en métal œuvré de la société Bourgeois Caland.
  • En 1822, un quai est construit avec des fascines. En 1824, ce quai provisoire est remplacé par un quai en pierre.
  • La source du Planey à Anjeux est, de par sa taille, unique dans la Haute-Saône : elle est de type résurgence ou source vauclusienne : c'est un bon but de promenade.

Personnalités liées à la ville modifier

 
Le colonel Deport.

Héraldique modifier

  Blason
Parti: au 1er de gueules à trois bâtons d’or, au 2e de sinople à deux gouges d’or passées en sautoir; le tout posé sur un pont de gueules maçonné de sable lui-posé sur une rivière d’azur et formant une champagne.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. « Revue mensuelle religieuse, politique, scientifique : complément de la publication "Le Diable au XIXe siècle" / [secrétaire de la rédaction : Léo Taxil] », sur Gallica, (consulté le )
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Saint-Loup-sur-Semouse et Aillevillers-et-Lyaumont », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Aillevillers », sur la commune d'Aillevillers-et-Lyaumont - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Aillevillers », sur la commune d'Aillevillers-et-Lyaumont - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Saint-Loup-sur-Semouse », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Loup-sur-Semouse », sur insee.fr (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. « Arrêté préfectoral du 23 décembre 2011, portant définition du schéma départemental de coopération intercommunale du département de la Haute-Saône » [PDF], Préfecture de la Haute-Saône (consulté le ), p. 5-6.
  20. « Les maires de Saint-Loup-sur-Semouse », sur francegenweb.org (consulté le ).
  21. Michel Leroy, « Les maires de Saint-Loup-sur-Semouse », Histoire de Saint-Loup-sur-Semouse, Mon cahier du conseil municipal de Saint-Loup-sur-Semouse, (consulté le ).
  22. Fiche généalogique de Jean-Baptiste DUCHON, sur geneanet.org
  23. Notice JACQUEY Albert, version mise en ligne le 23 avril 2010, dernière modification le 22 mars 2018
  24. Fiche généalogique d'Abel Camille Louis GRANDHAYE, sur geneanet.org
  25. « À la memoire d'André Masson », Bulletin municipal de la commune, 1987 [1]
  26. « Jean-Louis Mariey, ancien maire, n’est plus », L'Est Républicain,‎ (lire en ligne)
  27. « La liste de droite, conduite par Christiane Jansen (RPR), a fait campagne sur le thème de la sécurité, dans cette ville à fort pourcentage de population immigrée. » [2]
  28. « Décès du maire de Saint-Loup : Michel Leroy avait 61 ans », La Presse de Vesoul,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. « Thierry Bordot, nouveau maire de Saint-Loup : Il succède à Michel Leroy, décédé », La Presse de Vesoul,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. « Thierry Bordot, élu maire pour un troisième mandat », sur L'Est républicain, (consulté le ).
  31. « Une élection cantonale : Victoire du PS au premier tour », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  32. « Une élection municipale », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  33. « Charte du jumelage entre saint-loup/semouse et Maulburg », sur saint-loup.eu.
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. « Population de Saint Loup sur Semouse (code postal 70... », sur linternaute.com (consulté le ).
  38. lapressedevesoul.com, « Une famille kosovare arrêtée à Saint-Loup - La Presse de Vesoul », sur lapressedevesoul.com (consulté le ).
  39. « Historique | ».
  40. « Château des Bouly », notice no PA00102268, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier