Saint-Lô Agglo

intercommunalité française de la Manche

Saint-Lô Agglo
Blason de Saint-Lô Agglo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Forme Communauté d'agglomération
Siège Saint-Lô
Communes 61
Président Fabrice Lemazurier (SE)
Date de création
Code SIREN 200066389
Démographie
Population 76 116 hab. (2019)
Densité 93 hab./km2
Géographie
Superficie 819,90 km2
Localisation
Localisation de Saint-Lô Agglo
Localisation de la communauté d'agglomération dans la Manche
Liens
Site web https://www.saint-lo-agglo.fr
Fiche Banatic Données en ligne
Fiche INSEE Dossier complet en ligne

Saint-Lô Agglo est une communauté d'agglomération française, située dans le département de Manche en région Normandie.

Elle est créée une première fois le par la fusion de la communauté de communes de Marigny, la communauté de communes du canton de Tessy-sur-Vire, la communauté de communes du canton de Torigni-sur-Vire, la communauté de communes de l'Elle, la communauté de communes de la région de Daye et la communauté d'agglomération Saint-Lô Agglomération.

Le , cette première communauté d'agglomération fusionne avec la communauté de communes de Canisy, l'intercommunalité ainsi créée conservant le nom de Saint-Lô Agglo[1].

Historique modifier

À l'origine de cette structure intercommunale se trouve le district urbain de l’agglomération saint-loise, créé par un arrêté préféctoral le . Ses compétences et son périmètre sont élargies, à plusieurs reprises ( : adhésion des communes de La Barre-de-Semilly, La Luzerne et Sainte-Suzanne-sur-Vire).

Ce district urbain s'est transformé, le en une communauté de communes, la communauté de communes de l'agglomération saint-loise. Celle-ci a été rejointe, le , par les communes de Pont-Hébert, La Meauffe et Rampan, qui avaient formé, de 1992 à 2005, la communauté de communes des bords de Vire.

La création d'une communauté d'agglomération est envisagée afin de renforcer les liens entre les communes de l'agglomération de Saint-Lô et les compétences de la communauté, et renforcer parallèlement les dotations de l’État, ce qui nécessitait que la structure intercommunale regroupe au moins 50 000 habitants. Des discussions sont alors donc menées avec la communauté de communes de Marigny et la communauté de communes du canton de Torigni-sur-Vire pour rejoindre la communauté saint-loise. Toutefois, une réforme législative abaisse à cette époque ce seuil à 30 000 habitants pour les communautés comprenant la commune chef-lieu du département, permettant la disparition de la communauté de communes de l'agglomération saint-loise pour donner naissance à la communauté d'agglomération Saint-Lô Agglomération le . Celle-ci regroupe 11 communes et un petit peu plus de 30 000 habitants[2],[3].

Conformément aux prescriptions de la loi de réforme des collectivités territoriales du , qui a prévu le renforcement et la simplification des intercommunalités et la constitution de structures intercommunales de grande taille[4], intervient le la fusion de :

formant un nouvel établissement public de coopération intercommunale qui prend le nom de Saint-Lô Agglo et intègre la commune auparavant isolée de Domjean, soit 73 communes et environ 70 000 habitants[5],[6].

Dans le cadre des prescriptions de la loi NOTRe, qui dispose que les intercommunalités devront regrouper au moins 15 000 habitants à partir du , contre 5 000, un nouveau schéma départemental de coopération intercommunale de la Manche est élaboré, prévoyant notamment la fusion de la communauté de communes de Canisy (qui regroupait moins de 8 000 habitants avec Saint-Lô Agglo, après avoir noté que « la communauté de communes de Canisy entretient depuis de nombreuses années des intérêts partagés avec les anciennes communautés de communes ayant fusionné au ter janvier 2014 pour former la communauté d'agglomération Saint-Lô Agglo » et que les deux intercommunalités « partagent le même bassin de vie et le même bassin d'emploi, elles appartiennent toutes deux notamment au syndicat de développement du Saint-Lois et font partie du même Pays » ces deux intercommunalités[7]. Le préfet entérine cette fusion par un arrêté du qui a pris effet le , créant une nouvelle communauté d'agglomération qui reprend le nom de Saint-Lô Agglo[8],[1].

Au , Saint-Lô Agglo regroupe soixante-quatre communes avec l'intégration de la CC de Canisy mais en comptant la création de communes nouvelles. En effet, à cette date, quatre communes nouvelles sont créées :

Au ,

Territoire communautaire modifier

Géographie modifier

Située dans le centre-est du département de la Manche, l'intercommunalité Saint-Lô Agglo regroupe 61 communes et s'étend sur 819,9 km2[9]. Elle est composées des trois communes de l'unité urbaine de Saint-Lô et des cinquante-et-une communes de l'aire urbaine de Saint-Lô.

Saint-Lô agglo regroupe les neuf communes des anciens cantons de Saint-Lô — Ouest et Est —, les quatorze de l'ancien canton de Saint-Clair-sur-l'Elle, dix de l'ancien canton de Saint-Jean-de-Daye, dix de l'ancien canton de Marigny, une de l'ancien canton de Saint-Sauveur-Lendelin, les treize de l'ancien canton de Tessy-sur-Vire et les quinze de l'ancien canton de Torigni-sur-Vire.

 
Carte de l'intercommunalité Saint-Lô Agglo au .

Établissements publics de coopération intercommunale limitrophes modifier

Composition modifier

En 2022, la communauté d'agglomération est composée des 61 communes suivantes[1] :

Liste des communes de l'intercommunalité
Nom Code
Insee
Gentilé Superficie
(km2)
Population
(dernière pop. légale)
Densité
(hab./km2)
Saint-Lô
(siège)
50502 Saint-Lois 23,19 19 373 (2021) 835
Agneaux 50002 Agnelais 6,5 4 255 (2021) 655
Airel 50004 Airellois 10,17 540 (2021) 53
Amigny 50006 Amignais 3,69 154 (2021) 42
La Barre-de-Semilly 50032 Barriens 7,74 1 034 (2021) 134
Baudre 50034 Baudrions 3,81 578 (2021) 152
Beaucoudray 50039 Beaucondriers 4,7 133 (2021) 28
Bérigny 50046 Bérignais 12,15 437 (2021) 36
Beuvrigny 50050 Beuvrignais 6,77 133 (2021) 20
Biéville 50054 Biévillais 5,56 193 (2021) 35
Bourgvallées 50546 Valléens 48,27 3 312 (2021) 69
Canisy 50095 Canisyais 18,15 1 734 (2021) 96
Carantilly 50098 Carantillais 10,7 619 (2021) 58
Cavigny 50106 Cavignais 6,78 268 (2021) 40
Cerisy-la-Forêt 50110 Cerisyais 23,81 1 025 (2021) 43
Condé-sur-Vire 50139 Condéens 36,36 4 106 (2021) 113
Couvains 50148 Couvinois 15,03 566 (2021) 38
Dangy 50159 Dangyais 9,93 672 (2021) 68
Le Dézert 50161 Dézertins 14,58 603 (2021) 41
Domjean 50164 Domjeanais 16,57 996 (2021) 60
Fourneaux 50192 Fourneausiens 3,34 131 (2021) 39
Gouvets 50214 Gouvions 11,01 286 (2021) 26
Graignes-Mesnil-Angot 50216 Graignais 18,35 798 (2021) 43
Lamberville 50261 Lambervillais 7,12 167 (2021) 23
Le Lorey 50279 Loréens 14,57 584 (2021) 40
La Luzerne 50283 Luzernais 1,94 75 (2021) 39
Marigny-Le-Lozon 50292 19,17 2 746 (2021) 143
La Meauffe 50297 Meauffois 10,22 1 002 (2021) 98
Le Mesnil-Amey 50302 2,81 287 (2021) 102
Le Mesnil-Eury 50310 Mesnileuryais 3,46 173 (2021) 50
Le Mesnil-Rouxelin 50321 Mesnil-Rouxelinais 4,74 480 (2021) 101
Le Mesnil-Véneron 50324 Mesnillots 2,86 109 (2021) 38
Montrabot 50351 Montrabotains 3,86 87 (2021) 23
Montreuil-sur-Lozon 50352 Montreuillais 6,45 340 (2021) 53
Moon-sur-Elle 50356 Moonais 9,84 785 (2021) 80
Moyon Villages 50363 32,94 1 437 (2021) 44
Le Perron 50398 Perronnais 4,66 198 (2021) 42
Pont-Hébert 50409 Pontois 29,84 1 907 (2021) 64
Quibou 50420 Quibois 17,15 846 (2021) 49
Rampan 50423 Rampanais 4,09 218 (2021) 53
Remilly Les Marais 50431 Rémillais 22,13 1 058 (2021) 48
Saint-Amand-Villages 50444 38,19 2 520 (2021) 66
Saint-André-de-l'Épine 50446 7,24 550 (2021) 76
Saint-Clair-sur-l'Elle 50455 Saint-Clairais 7,99 975 (2021) 122
Saint-Fromond 50468 Fromondais 15,52 753 (2021) 49
Saint-Georges-d'Elle 50473 Saint-Georgeois 8,96 381 (2021) 43
Saint-Georges-Montcocq 50475 Montcocquois 8,94 974 (2021) 109
Saint-Germain-d'Elle 50476 8,87 214 (2021) 24
Saint-Gilles 50483 Saint-Gillais 7,84 985 (2021) 126
Saint-Jean-d'Elle 50492 33,72 2 532 (2021) 75
Saint-Jean-de-Daye 50488 Dayots 4,24 633 (2021) 149
Saint-Jean-de-Savigny 50491 Savignais 7,58 431 (2021) 57
Saint-Louet-sur-Vire 50504 Louetais 7,33 208 (2021) 28
Saint-Martin-de-Bonfossé 50512 Saint-Martinais 12,68 533 (2021) 42
Saint-Pierre-de-Semilly 50538 Semillais 4,59 437 (2021) 95
Saint-Vigor-des-Monts 50563 Saint-Vigorais 15,74 283 (2021) 18
Sainte-Suzanne-sur-Vire 50556 Sainte-Suzannais 5,05 702 (2021) 139
Tessy-Bocage 50592 Tessyais 34,24 2 223 (2021) 65
Thèreval 50239 28,39 1 787 (2021) 63
Torigny-les-Villes 50601 Torivillois 39,23 4 439 (2021) 113
Villiers-Fossard 50641 Villariens 8,52 648 (2021) 76

Démographie modifier

Évolution démographique
1968 1975 1982 1990 1999 2009 2014 2020
64 47668 49171 12971 26770 93774 03976 36576 494
Les données présentées sont établies à périmètre géographique identique, dans la géographie en vigueur au .
(Sources : Insee[10])


Administration modifier

Siège modifier

Le siège de la communauté d'agglomération est situé à Saint-Lô[1].

Élus modifier

La communauté de communes est administrée par son conseil communautaire, composé pour la mandature 2020-2026 de 97 conseillers municipaux représentant chacune des communes membres et répartis en fonctioàn de leur population de la manière suivante[11] :
- 21 délégués pour Saint-Lô ;
- 4 délégués pour Agneaux, Condé-sur-Vire et Torigny-les-Villes ;
- 2 délégués pour Marigny-le-Lozon, Pont-Hébert, Saint-Amand-Villages, Saint-Jean-d'Elle et Tessy-Bocage
- 1 délégué et son suppléant pour les 51 autres communes


Au terme des élections municipales de 2020 dans la Manche, le conseil communautaire renouvelé élit le son nouveau président, Fabrice Lemazurier, maire de Marigny-le-Lozon[12], ainsi que ses 15 vice-présidents, qui sont en 2022[13] :

  1. Emmanuelle Lejeune, maire de Saint-Lô, chargée de l’enseignement supérieur et de la recherche ;
  2. Laurent Pien, maire de Condé-sur-Vire, chargée de l'urbanisme ;
  3. Marie-Pierre Fauvel, maire de Saint-Jean-d’Elle, chargée des relations aux territoires ;
  4. Mickaël Grandin, maire de de Torigny-les-Villes, chargé du développement économique ;
  5. Maryvonne Raimbeault, maire de de Saint-Clair-sur-l’Elle, chargée de l’enfance et de la jeunesse ;
  6. Loïc Renimel, maire de de La Barre-de-Semilly, chargée des finances et performance ;
  7. Jocelyne Richard, maire-adjointe de Tessy-Bocage, chargée de l’habitat et du foncier ;
  8. Jérôme Virlouvet, maire-adjoint de Saint-Lô, chargé des transports et de la mobilité ;
  9. Lydie Brotin, maire de Moon-sur-Elle, chargée de la transition écologique et numérique ;
  10. Alain Sevêque, maire d’Agneaux, chargé des ressources humaines ;
  11. Hervé Le Gendre, maire-adjoint de Saint-Lô, chargé des sports ;
  12. M. Claude Javalet, maire de Bourgvallées, chargé de la collecte et valorisation des déchets ;
  13. Florence Mazier, maire de de Le Dézert, chargée du commerce et des circuits de proximité ;
  14. Alexandre Henrye, conseiller municipal de Saint-Lô, chargé du tourisme et de la promotion du territoire ;
  15. Jean-Luc Lerouxel, maire de Saint-Gilles, chargé du cycle de l’eau.

Le bureau communautaire est composé du président, de 15 vice-présidents, d'un conseiller délégué et de 35 autres conseillers[14].

Liste des présidents modifier

Liste des présidents
Période Identité Étiquette Qualité
janvier 2014 avril 2014 François Digard UMP Maire de Saint-Lô (1995 → 2014)
Président de l'ex-Saint-Lô Agglomération (2011 → 2013)
avril 2014 juillet 2020[15] Gilles Quinquenel DVD Maire de l'ex-commune d'Hébécrevon (1995 → 2015)
Maire de la commune nouvelle d'Thèreval (2016 → )
juillet 2020[16],[12] En cours
(au 12 décembre 2022)
Fabrice Lemazurier DVD Maire de l'ex-commune de Marigny (2014 → 2015)
Maire de la commune nouvelle de Marigny-Le-Lozon (2016 → )

Compétences modifier

Dans le respect des dispositions de l'article L.5216-6 et L.5216-7 du CGCT, la communauté d'agglomération Saint-Lô Agglo est substituée à : la communauté d'agglomération Saint-Lô Agglomération, la communauté de communes de l'Elle, la communauté de communes de Marigny, la communauté de communes de la Région de Daye, la communauté de communes du canton de Tessy-sur-Vire, la communauté de communes du canton de Torigni-sur-Vire, la commune de Domjean, au sein des syndicats dont ces dernières sont membres (et pour les anciens périmètres considérés).

  • Syndicat mixte Manche Numérique
  • Syndicat départemental de l'Eau de la Manche (SDEAU)
  • Syndicat mixte du Point Fort
  • Syndicat de la Vire (Anciennement Syndicat de la Vire et du Saint-Lois)
  • Syndicat mixte du Parc naturel régional des Marais du Cotentin et du Bessin
  • Syndicat mixte de la Soulles
  • Syndicat du SAGE des bassins versants de la Sienne, Soulles et des bassins versants côtiers de la Côte Ouest du Cotentin
  • Syndicat mixte de distribution d'eau potable de Chapelle sur Vire
  • Syndicat mixte d'alimentation en eau potable des Bruyères
  • Syndicat mixte Eau de Caumont-l'Éventé
  • Syndicat mixte d'alimentation en eau potable de Saint-Sauveur-Lendelin

Régime fiscal et budget modifier

La communauté d'agglomération est un établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre.

Afin de financer l'exercice de ses compétences, l'intercommunalité perçoit, comme toutes les communautés d'agglomération, la fiscalité professionnelle unique[1] (FPU) – qui a succédé à la taxe professionnelle unique (TPU) – et assure une péréquation de ressources.

Elle ne reverse pas de dotation de solidarité communautaire[17] (DSC) à ses communes membres[1].

Projets et réalisations modifier

Conformément aux dispositions légales, une communauté d'agglomération a pour objet d'associer « au sein d'un espace de solidarité, en vue d'élaborer et conduire ensemble un projet commun de développement urbain et d'aménagement de leur territoire[18] ».

Notes et références modifier

Notes modifier

Références modifier

  1. a b c d e et f « CA Saint-Lô Agglo (N° SIREN : 200066389) », Fiche signalétique BANATIC, Ministère de l'intériueur - DGCL, (consulté le ).
  2. « CA Saint-Lô Agglomération (N° SIREN : 245000245) », Fiche signalétique BANATIC, Ministère de l'intérieur - DGCL, (consulté le ).
  3. Géraldine Lebourgeois, « Saint-Lô a les votes pour sa communauté d’agglomération : Les 20 et 22 décembre 2010, conseil communautaire et conseils municipaux ont dit oui à la transformation de la communauté de communes de l’agglomération saint-loise en communauté d’agglomération », La Gazette des communes,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Avec comme conséquences, dans un même périmètre géographique, et à compétences équivalentes, précise le maire de Sain-Lô et président de la communauté de communes de l’agglomération saint-loise, François Digard, une modification des statuts de la collectivité et surtout le bénéfice d’une dotation de l’Etat majoré de 900 000 euros ».
  4. « Coopération intercommunale : le schéma de la Manche arrêté », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  5. « Arrêté n° 13-26 du 9 avril 2013 créant la communaut é d'agglomération SAINT-LO AGGLO issue de la fusion de la communauté d'agglomération Saint-Lô agglomération, des communautés de communes de l'Elle, de Marigny, de la Région de Daye, du canton de Tessy-sur-Vire et du canton de Torigni-sur-Vire et de l'adhésion de la commune de Domjean », Rrcueil des actes administratifs de la préfecture de la Manche,‎ , p. 8-10 (ISSN 0996-7494, www.manche.pref.gouv.fr/content/download/14107/83512/file/AVRIL%202013.pdf [PDF], consulté le ).
  6. « Communauté d'agglomération SAINT-LO AGGLO (N° SIREN : 200043370) », Fiche signalétique BANATIC, Ministère de l'intérieur - DGCL, (consulté le ).
  7. « Arrêté portant établissement du schéma départemental de coopération intercommunale » [PDF], Préfecture de la Manche, (consulté le ), p. 13.
  8. « Arrêté n° 16-110-VL du 3 octobre 2016 créant la communauté d'agglomération Saint-Lô Agglo issue de la fusion de la communauté d'agglomération Saint-Lô Agglo, et de la communauté de communes de CANISY », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Manche, no spécial 85,‎ , p. 8-11 (ISSN 0996-7494, lire en ligne [PDF], consulté le ).
  9. « Chiffres-clés du territoire de l'intercommunalité. », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Population en historique depuis 1968 - CA Saint-Lô Agglo (200066389). », sur Insee, (consulté le ).
  11. « Arrêté n° 2019-49 du 29 octobre 2019 fixant la composition du conseil communautaire de la communauté d’agglomération SAINT LO AGGLO. » [PDF], sur Préfecture de la Manche, (consulté le ), p. 8-9.
  12. a et b « Fabrice Lemazurier est élu président de Saint-Lô Agglo : Les élus communautaires ont élu, ce vendredi 10 juillet au Pôle Agglo 21, leur nouveau président. C’est donc Fabrice Lemazurier (maire de Marigny), qui succède à Gilles Quinquenel à la tête de Saint-Lô Agglo. Emmanuelle Lejeune (maire de Saint-Lô) devient la première vice-présidente », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Fabrice Lemazurier, maire de Marigny, a été élu président de Saint-Lô Agglo avec 62 voix (30 à Laurent Pien, deux à Adèle Hommet-Lelièvre et une à Patrick Simon) ».
  13. « Trombinoscope des élus du Conseil communautaire Saint-Lô Agglo 2020-2026 » [PDF], Fonctionnement, sur saint-lo-agglo.fr, (consulté le ).
  14. Modèle:Lien we
  15. Cyrille Calmets et Christophe Leconte, « Saint-Lô Agglo. « Je ne me représenterai pas à la présidence » : Gilles Quinquenel, président de Saint-Lô Agglo, ne sera pas candidat à sa succession en 2020. Le maire de Thèreval invoque des raisons personnelles et prévoit un renouveau de l’assemblée communautaire », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  16. Lucie Thuillet, « Le maire de Marigny-le-Lozon, Fabrice Lemazurier, est candidat à la présidence de Saint-Lô Agglo : Il l'a annoncé ce vendredi 6 décembre. Fabrice Lemazurier est non seulement candidat à sa réélection à la mairie de Marigny-le-Lozon aux élections municipales de mars 2020 mais il est aussi candidat à la succession de Gilles Quinquenel à la tête de Saint-Lô Agglo », France Bleu Cotentin ,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Gilles Quinquenel a surpris tout le monde en annonçant le 23 septembre 2019, qu'il ne serait pas candidat à sa succession aux prochaines élections municipales et communautaires des 15 et 22 mars 2020. Il ne se représente pas à la présidence de l'agglomération où il avait été élu en 2014 face à François Brière le maire de Saint-Lô ».
  17. « DSC - dotation de solidarité communautaire », sur comersis.fr (consulté le ).
  18. Article L. 5216-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance.

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier