Agneaux

commune française du département de la Manche

Agneaux
Agneaux
L'église Saint-Jean-Baptiste.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Saint-Lô
Intercommunalité Saint-Lô Agglo
Maire
Mandat
Alain Sévêque
2020-2026
Code postal 50180
Code commune 50002
Démographie
Gentilé Agnelais
Population
municipale
4 255 hab. (2021 en augmentation de 5,43 % par rapport à 2015)
Densité 655 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 07′ 00″ nord, 1° 06′ 40″ ouest
Altitude Min. 7 m
Max. 86 m
Superficie 6,50 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Saint-Lô
(banlieue)
Aire d'attraction Saint-Lô
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Lô-1
Législatives Première circonscription
Localisation
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Agneaux
Liens
Site web www.agneaux.fr

Agneaux (prononcé [aɲo:]) est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 4 255 habitants[Note 1].

Géographie modifier

Agneaux est une commune résidentielle dont la partie urbaine constitue l'ouest de l'agglomération saint-loise, composée d'un habitat essentiellement pavillonnaire, le long de la route Saint-Lô-Coutances, au centre du pays saint-lois. Son bourg est à 1,6 km à l'ouest du centre-ville de Saint-Lô, à 9 km au nord-est de Canisy et à 12 km à l'est de Marigny[1].

Le territoire est traversé par la route nationale 174 dont un échangeur est dans la commune. S'y raccordent la route départementale no 972 (ancienne route nationale 172) reliant Saint-Lô à l'est à Coutances à l'ouest, et la D 900e3, annexe de la D 900 qui permet de rejoindre Hébécrevon au nord-ouest. De cette D 900 part la D 149 qui rejoint La Chapelle-en-Juger à l'ouest. L'accès à l'A84 est à Guilberville (échangeur 40) à 24 km au sud-est.

Agneaux est dans le bassin de la Vire qui délimite le territoire au nord et au sud-est. Trois courts affluents parcourent le territoire communal dont l'un marque la limite nord-est et un autre la limite sud.

Le point culminant (86 m) se situe en limite ouest, près du lieu-dit le Compart. Le point le plus bas (6 / 7 m) correspond à la sortie de la Vire du territoire, au nord-ouest. La commune est urbaine sur une grande partie est et bocagère pour le reste du territoire.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[4]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Bocage normand, bien arrosé, voire très arrosé sur les reliefs les plus exposés au flux d’ouest, et frais en raison de l’altitude[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 886 mm, avec 14 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Condé-sur-Vire à 9 km à vol d'oiseau[6], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 956,7 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Agneaux est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[10],[11],[12].

Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Lô, une agglomération intra-départementale regroupant quatre communes[13] et 24 601 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Lô dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 63 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (49,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (60 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (45,4 %), zones urbanisées (34,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (11,3 %), forêts (4,9 %), zones agricoles hétérogènes (3,9 %), terres arables (0,1 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Attestations anciennes modifier

  • Agnels 1056/1066 [19].
  • Herbertus de Agnes 1056/1066 [20].
  • Agnels ~1135 [21].
  • de Agnellis XIIe siècle s., ~1180[21].
  • de Agneax c.1210[21].
  • Philippus de Agnellis 1218[22].
  • ecclesi[a] Sancti Johannis de Agnellis ; dominus de Agnellis 1332[23].
  • Sanctus Johannes de Agnellis 1351/1352 [24].
  • Aigneaux 1612/1636 [25], 1677[26], 1713[27].
  • Agneaux 1753/1785 [28], 1854[29], 1903[30].

Étymologie modifier

Toponyme médiéval issu de l'ancien français agnel « agneau », et évoquant probablement un élevage de moutons. L'absence d'article suggère une fixation précoce (avant l'an mil). Les attestations ne sont pas suffisamment anciennes pour pouvoir affirmer que ce nom date de la période gallo-romaine (il reposerait alors sur le gallo-roman AGNELLOS), hypothèse que l'on ne peut cependant pas exclure a priori[31].

Remarque sur les graphies anciennes

  • Dans la graphie Agneax (~1210), le -x final correspond à un ancien signe abréviatif utilisé dans les manuscrits médiévaux pour noter la terminaison latine -us. Il faut donc lire °Agneaus, première trace écrite pour ce nom de la vocalisation de [l] devant consonne (évolution Agnels > °Agneaus), qui se manifeste en ancien français à partir du XIe siècle.
  • La graphie Aigneaux, que l'on rencontre aux XVIIe et XVIIIe siècles, correspond à une ancienne notation de n mouillé [n'], que nous écrivons aujourd'hui -gn- et prononçons [ɲ]. Ce son, initialement articulé comme le début du mot anglais new, a été longtemps transcrit -ign- (parfois même -igni-), d'où les anciennes graphies campaigne "campagne", Mortaigne "Mortagne", montaigne "montagne", etc. Tombées peu à peu en désuétude, elles ont été parfois mal lues, et engendré des prononciations fautives, telles que celles du nom de Michel de Montaigne, ou du mot araignée, maintenant passées dans l'usage. Tout ceci pour expliquer que l'ancienne graphie Aigneaux doit être lue a-igneaux [an'o] ou [aɲo], et non ai-gneaux.

Gentilé modifier

Le gentilé est Agnelais.

Histoire modifier

À l'occasion de la construction de la déviation de Saint-Lô, de nombreuses fouilles archéologiques préventives ont eu lieu. Elles ont bien mis en évidence la longue histoire d'Agneaux depuis la Préhistoire[32].

Les vestiges les plus importants concernent l'âge du bronze, avec l'installation d'une vaste nécropole et avec la découverte de plusieurs dépôts d'objets en bronze[33], puis l'époque médiévale[34].

Un Herbert Ier d'Aigneaux aurait été l'un des compagnons de Guillaume le Conquérant (liste de Falaise). Un Foulque d'Aigneaux accompagna le duc de Normandie Robert Courteheuse à la première croisade (1095-1099)[35].

Julienne ou Jeanne Couillard (XVIe siècle), née à Agneaux, défendit en 1574, avec d'autres femmes, l'entrée de Saint-Lô aux troupes catholiques de Matignon qui tua 300 défenseurs, mais laissa la vie sauve à Julienne Couillard[35].

Comme Saint-Lô, la ville fut détruite en [36].

Politique et administration modifier

Tendances politiques et résultats modifier

Administration municipale modifier

 
L'hôtel de ville.
Liste des maires successifs[37]
Période Identité Étiquette Qualité
1790   Pierre Mauger de Varennes   Garde du corps du roi et capitaine de cavalerie
1792 1800 Nicolas Lerouxel[35]    
1800 décembre 1813
(décès)
Claude Lecardonnel
(1737-1813)
  Ancien juge
décembre 1813 juillet 1816
(décès)
Luc Le Bas
(1762-1816)
  Médecin
juillet 1816 octobre 1830 Nicolas Denier d'Aprigny   Ancien lieutenant de la Garde du roi
octobre 1830 décembre 1831 Jean-Baptiste Douchin
(1765-1841)
  Rentier
décembre 1831 1843 Michel Putot
(1784-1856)
   
1843 mai 1872 Louis Desquesnes
(1793-1872)
   
mai 1872 mars 1892 Louis Yver
(1819-1894)
  Propriétaire du château de la Pallière
mars 1892 mai 1892
(décès)
Eugène Leboucher
(1842-1892)
   
mai 1892 juillet 1914 Prosper Marie
(1833-1916)
   
juillet 1914 décembre 1919 Victor Leroy
(1833-1939)
  Adjoint au maire (1912 → 1914)
décembre 1919 mars 1920 Louis Alibert
(1874-1928)
  Médecin
mars 1920 avril 1925 Louis Leclerc
(1873-1934)
   
mai 1925 juin 1927
(démission)
Alberich Leconte
(1861-1934)
   
juin 1927 mars 1928
(décès)
Louis Alibert
(1874-1928)
  Médecin
mai 1928 mai 1935 Louis Ledanois    
mai 1935 mars 1971 Pierre Lemonnier de Gouville
(1895-1971)
RPF Agriculteur, résistant
mars 1971 mars 2000
(démission)
Edmond Piédagnel
(1925-2012)
UDR
puis RPR
Entrepreneur de menuiserie, maire honoraire
Conseiller général de Saint-Lô-Ouest (1992 → 2004)
Vice-président du district de Saint-Lô
Suppléant du député Jean-Marie Daillet (1981 → 1986)
Président de l'Association des maires de la Manche
(1989 → 2000)
avril 2000[38] mars 2014 Alain Métral
(1940-2018)
DVD Retraité
mars 2014[39] En cours Alain Sévêque[40] DVD Retraité de la fonction publique
10e vice-président de Saint-Lô Agglo (2020 → )

Le conseil municipal est composé de vingt-sept membres dont le maire et six adjoints[40].

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[42].

En 2021, la commune comptait 4 255 habitants[Note 4], en augmentation de 5,43 % par rapport à 2015 (Manche : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Agneaux a compté jusqu'à 4 476 habitants en 1999.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
908892953920896933934951990
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0181 038799786820875907912819
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
8328071 0541 1011 0931 0241 1781 2501 787
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 7072 3082 8193 7164 1734 4764 1634 0954 020
2015 2020 2021 - - - - - -
4 0364 2454 255------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puis Insee à partir de 2006[44].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

 
L'Institut Saint-Lô d'Agneaux.
Cycle Établissement public Établissement privé
Écoles Groupe scolaire Marie-Ravenel L'Institut
Collèges   L'Institut
Lycée   L'Institut
Supérieur   L'institut
Institut d'administration des entreprises.

Économie modifier

La commune dispose d'une antenne de la chambre de commerce et d'industrie de Centre et Sud-Manche.

  • Entreprise Serrurerie et métallerie saint-loise (SMSL) : constructions métalliques et charpentes de 1945 à 2012. L'entreprise a déposé le bilan et fermé ses portes.
  • Chaudronnerie A.C.D.N., aujourd'hui C.T.I. (76 p.)[45] (groupe M ou Monteiro), depuis 2021.

Lieux et monuments modifier

 
Le château de Sainte-Marie.
 
La chapelle Sainte-Marie.

La commune est également concernée par le périmètre de protection de plusieurs monuments saint-lois : les remparts de Saint-Lô (inscrit MH), le château de la Vaucelle (inscrit MH) et le manoir du Bosdel (inscrit MH).

Activité et manifestations modifier

Sports modifier

L'Agneaux football club fait évoluer une équipe de football en ligue de Basse-Normandie et deux autres en divisions de district[51].

Jumelages modifier

Personnalités liées à la commune modifier

Voir aussi modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie modifier

  • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 6.
  • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 44.

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Population municipale 2021.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
  2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  6. « Orthodromie entre Agneaux et Condé-sur-Vire », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Conde Sur Vire_sapc » (commune de Condé-sur-Vire) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Conde Sur Vire_sapc » (commune de Condé-sur-Vire) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Unité urbaine 2020 de Saint-Lo », sur insee.fr (consulté le ).
  14. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. Marie Fauroux, Recueil des actes des ducs de Normandie (911-1066), Mémoire de la Société des Antiquaires de Normandie XXXVI, Caen, 1961, p. 406, § 214.
  20. ibid., p. 408, § 214.
  21. a b et c François de Beaurepaire, Les Noms de communes et anciennes paroisses de la Manche, Picard, Paris, 1986, p. 65.
  22. Léopold Delisle, Recueil de jugements de l’Échiquier de Normandie au XIIIe siècle, Paris, 1864, p. 62, § 242.
  23. Pouillé du Diocèse de Coutances, 1332, in Auguste Longnon, Pouillés de la Province de Rouen, Recueil des Historiens de France, Paris, 1903, p. 353B, 353C
  24. Compte du Diocèse de Coutances, pour l’année 1351 ou 1352, in Auguste Longnon, Pouillés de la Province de Rouen, Recueil des Historiens de France, Paris, 1903, p. 369B
  25. Jean Bigot sieur de Sommesnil, État des paroisses des élections de Normandie, 1612/1636 [BN, ms. fr. 4620]
  26. Roles par généralités et élections des paroisses de France et de leur imposition aux tailles, 1677 [BN, cinq cents Colbert, ms. 261 f° 229 à 275].
  27. Dénombrement des généralités de 1713 [BN, ms. fr. 11385, f° 1 à 132].
  28. Carte de Cassini.
  29. V. Lavasseur, Atlas National Illustré des 86 départements et des possessions de la France, A. Combette éditeur, Paris, 1854.
  30. Auguste Longnon, Pouillés de la Province de Rouen, Recueil des Historiens de France, Paris, 1903
  31. Un toponyme normand de formation identique est Aigneaux dans le Calvados, nom de plusieurs localités dont la plus importante est un hameau situé au Désert.
  32. Dominique Cliquet D., François Fichet de Clairfontaine et Cyril Marcigny (dir.), 2000 – 5000 ans d’histoire aux portes de Saint-Lô, Archéologie préventive et aménagement du territoire, catalogue de l’exposition de Saint-Lô (Manche), Archives départementales de la Manche, Conseil général de la Manche, Saint-Lô, 64 p.
  33. Cyril Marcigny et Antoine Verney, 2005 – « La nécropole d’Agneaux et ses dépôts (Manche) », in. La Normandie à l’aube de l’histoire, les découvertes archéologiques de l’âge du Bronze 2300-800 av. J.-C., Cyril Marcigny et al. (dir.), Somogy éditions d’art, Paris, 2005, p. 118-119.
  34. Vincent Carpentier, Emmanuel Ghesquière et Cyril Marcigny, 2003 – « L’établissement rural du Haut Moyen Âge d’Agneaux « Bellevue » (Manche) », Revue archéologique de l’Ouest, no 20, p. 171-190.
  35. a b c d et e Gautier 2014, p. 44.
  36. Delattre, 2002, p. 6.
  37. « Maires », sur agneaux-web.net (consulté le ).
  38. « Plus de trente ans de vie politique pour Alain Métral », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  39. « Élu samedi, Alain Sévêque, le nouveau maire des Agnelais », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  40. a et b Réélection 2020 : « Municipales à Agneaux. Alain Sévêque réélu pour un second mandat », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  41. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  42. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  43. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  44. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  45. https://www.lesechos.fr/pme-regions/normandie/le-demantelement-de-manoir-industries-aiguise-lappetit-des-chaudronniers-1318419
  46. « Château Sainte-Marie », notice no PA00110316, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  47. Notice no PA00110316.
  48. Une chape rose visible à l'église d'Agneaux.
  49. « Chape (ornement rose) », notice no PM50001555.
  50. [PDF] « Site de la Direction régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement de Basse-Normandie - Fiche 50044 : Falaise d'Agneaux » (consulté le ).
  51. « Site officiel de la Ligue Basse-Normandie – Agneaux FC » (consulté le ).