Roquecourbe

commune française du département du Tarn

Roquecourbe
Roquecourbe
Mairie de Roquecourbe.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Tarn
Arrondissement Castres
Intercommunalité Communauté de communes Sidobre Vals et Plateaux
Maire
Mandat
Michel Petit
2020-2026
Code postal 81210
Code commune 81227
Démographie
Gentilé Roquecourbains, Roquecourbaines
Population
municipale
2 183 hab. (2021 en diminution de 2,37 % par rapport à 2015)
Densité 131 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 39′ 55″ nord, 2° 17′ 30″ est
Altitude Min. 202 m
Max. 409 m
Superficie 16,7 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Castres
(banlieue)
Aire d'attraction Castres
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Castres-2
Législatives Première circonscription
Localisation
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Roquecourbe
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Roquecourbe
Liens
Site web www.roquecourbe.fr

Roquecourbe est une commune française située dans le centre du département du Tarn, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Sidobre, un territoire granitique couverts de forêts, à l'est de Castres.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Agout, le ruisseau de Poumarol et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional du Haut-Languedoc, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (Les « vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou ») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Roquecourbe est une commune rurale qui compte 2 183 habitants en 2021. Elle est dans l'agglomération de Castres et fait partie de l'aire d'attraction de Castres. Ses habitants sont appelés les Roquecourbains ou Roquecourbaines.

Mairie

Géographie modifier

Localisation modifier

Commune de l'aire urbaine de Castres située dans son unité urbaine, à 8,5 kilomètres au nord-est de la ville de Castres[1] sur les bords de l'Agout dans le Sidobre, Roquecourbe est un village faisant partie du parc naturel régional du Haut-Languedoc.

Communes limitrophes modifier

Roquecourbe est limitrophe de six autres communes. Les communes limitrophes sont Burlats, Castres, Lacrouzette, Montredon-Labessonnié, Saint-Germier et Saint-Jean-de-Vals.

Voies de communication et transports modifier

La desserte de la commune est assurée par des lignes régulières du réseau régional liO : les lignes 763 et 766 les relient à la gare de Castres et à Lacaune ; la ligne 764 la relie à gare de Castres et à Montredon-Labessonnié[3].

Hydrographie modifier

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[4]. Elle est drainée par l'Agout, le ruisseau de Poumarol, un bras de l'Agout, le ruisseau de Madorre, le ruisseau du Puget et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 24 km de longueur totale[5],[Carte 1].

L'Agout, d'une longueur totale de 194,4 km, prend sa source dans la commune de Cambon-et-Salvergues et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Tarn à Saint-Sulpice-la-Pointe, après avoir traversé 35 communes[6].

 
Réseaux hydrographique et routier de Roquecourbe.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 903 mm, avec 10,6 jours de précipitations en janvier et 5,7 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Laguiole à 511 km à vol d'oiseau[9], est de 8,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 441,2 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Espaces protégés modifier

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[13],[14].

La commune fait partie du parc naturel régional du Haut-Languedoc, créé en 1973 et d'une superficie de 307 184 ha, qui s'étend sur 118 communes et deux départements[15]. Implanté de part et d’autre de la ligne de partage des eaux entre Océan Atlantique et mer Méditerranée, ce territoire est un véritable balcon dominant les plaines viticoles du Languedoc et les étendues céréalières du Lauragais[16],

Réseau Natura 2000 modifier

 
Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : Les « vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou »[18], d'une superficie de 17 144 ha, s'étendant sur 136 communes dont 41 dans l'Aveyron, 8 en Haute-Garonne, 50 dans le Tarn et 37 dans le Tarn-et-Garonne. Elles présentent une très grande diversité d'habitats et d'espèces dans ce vaste réseau de cours d'eau et de gorges. La présence de la Loutre d'Europe et de la moule perlière d'eau douce est également d'un intérêt majeur[19].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique modifier

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 2] est recensée sur la commune[20] : la « vallée de l'Agout entre Burlats et Roquecourbe, vallée du Lignon et plateau du Verdier » (1 448 ha), couvrant 3 communes du département[21] et une ZNIEFF de type 2[Note 3],[20] : la « vallée de l'Agoût de Brassac à Burlats et vallée du Gijou » (15 868 ha), couvrant 17 communes du département[22].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Roquecourbe est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[23],[I 1],[24]. Elle appartient à l'unité urbaine de Castres, une agglomération intra-départementale regroupant 8 communes[I 2] et 56 755 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[I 3],[I 4].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Castres dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 55 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 5],[I 6].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (71,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (55,1 %), forêts (25 %), prairies (7,5 %), terres arables (6,7 %), zones urbanisées (5,6 %)[25]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Roquecourbe est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[26]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[27].

Risques naturels modifier

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Agout. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[28]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1995, 1996, 1999, 2009, 2015, 2016, 2017 et 2020[29],[26].

Roquecourbe est exposée au risque de feu de forêt. En 2022, il n'existe pas de Plan de Prévention des Risques incendie de forêt (PPRif). Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 6],[30].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Roquecourbe.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[31]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 86,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (76,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 075 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 921 sont en aléa moyen ou fort, soit 86 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[32],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[33].

Risques technologiques modifier

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[34].

La commune est en outre située en aval d'un barrage de classe A[Note 7]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[36].

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous la forme Rupecurva en 1271[37].

Roquecourbe, doit son nom à un rocher (rupe) dominant un méandre (curva) de l'Agout.

Histoire modifier

Les fouilles Sainte-Juliane modifier

Juliane est la forme occitane du prénom féminin Julienne, et fait référence à Julienne de Nicomédie, sainte du IVe siècle.

Les Celtes tiraient les sources de leur savoir des Pays du Nord. Cette montagne sacrée, à la fois lieu de culte et lieu funéraire, fut occupée successivement par les Celtes (Ve au IIe siècle av. J.-C.), les Visigoths (vers le Ve siècle apr. J.-C.) et les cathares ou Albigeois (XIIIe siècle).

C'est sur ce plateau perché à 315 m d'altitude, formé par la roche dont la sinuosité a donné le nom à la ville (Roquecourbe), à l'endroit appelé de nos jours Sainte-Juliane, que s'élevèrent les premières maisons de Roquecourbe. Une église paroissiale fut bâtie sur ce monticule élevé et dédié à sainte Juliane qui semble être Julienne de Nicomédie, vierge et martyre du IIIe siècle dont on célèbre la fête le . Sainte-Juliane a été détruite à l'époque de la croisade contre les Albigeois vers 1210 sous le règne des Montfort installés à Roquecourbe, dans le but d'exterminer ce nid d'hérétiques, les cathares. Cette église a été reconstruite puisqu'en 1231 elle appartenait à l'évêque d'Albi et lors des premières années de la Réforme, elle a servi de temple aux protestants, avant que ceux-ci ne possèdent un autre lieu de culte.

En 1950, un sarcophage est découvert lors du labourage du champ, les fouilles commencent en 1953 et finissent en 1976.

Le site est accessible, le chemin pour y arriver est balisé en jaune, vous pourrez admirer les cuves, gradins, sarcophages, les vestiges de l'église...

Le village modifier

La présence de la rivière (l'Agout) fut primordiale pour l'implantation du village.

Fin du XIIe siècle, Roger II de Trencavel, époux d'Adelaïde de Burlats possède la seigneurie de Roquecourbe. À sa mort (assassiné lors de la prise de Carcassonne par Simon de Montfort), la seigneurie est récupéré par la famille Montfort en la personne de Guy, son frère. Surnommé le bourreau des Albigeois, il aurait demandé la destruction du lieu de culte de Sainte Julianne en 1210. À sa mort, son fils Philippe Ier fera construire le château, les deux rives étant reliées les habitants s'installèrent sur la rive droite de l'Agout.

 
Vue de Roquecourbe, gravure par Tassin, 1634.

En 1433, Jacques II d'Armagnac, né au château de Jacques II d'Armagnac, est plus connu sous le nom du Duc de Nemours. Il sera condamné à mort et décapité sous les ordres de Louis XI pour conspiration. En 1476, Boffile le Juge, le grand chambellan du Roi, occupe le château, il y demeurera jusqu'à sa mort en 1502. Durant les guerres de religion, le château est en partie détruit et en 1621 une partie des ruines serviront à la construction du quartier de la Rue des Barris. Au XVe siècle, Roquecourbe était ceinturé de remparts, on y pénétrait par 3 portes précédées de pont-levis. Ces 3 portes, étaient fermées à clef à la nuit, par les Consuls du village.

Fin du XIIe siècle, Roger II de Trencavel, époux d'Adélaide de Burlats, possède la seigneurie de Roquecourbe. Il est assassiné lors de la prise de Carcassonne par Simon de Montfort.

Le village va peu à peu prospérer notamment grâce au développement, à partir du XIXe siècle de l’industrie textile. Les années 1990 et 2000 voient le déclin inéluctable de cette industrie qui était jusqu’alors l’activité essentielle de la cité.

Héraldique modifier

  Blason
D'azur au rocher recourbé d'argent mouvant de la pointe, surmonté de trois fleurs de lys d'or mal ordonnées.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration modifier

Élection présidentielle de 2002 modifier

Au premier tour, les résultats sont les suivants : Jacques Chirac avec 19,80 %, Jean-Marie Le Pen avec 19,33 %, Lionel Jospin avec 14,32 %, Jean Saint-Josse avec 7,82 %, Arlette Laguiller avec 7,51 %, avec Olivier Besancenot avec 5,32 %, François Bayrou avec 4,07 % et Jean-Pierre Chevènement avec 4,07 %. Les autres candidats à l'élection n'ont pas dépassé les 4 %. Le taux de participation est de 80,96 %.

Au second tour, Jacques Chirac a 78,84 % des voix et Jean-Marie Le Pen a 21,16 %. Le taux de participation est de 87,08 %.

Élection présidentielle de 2007 modifier

Au premier tour, Nicolas Sarkozy est en tête avec 24,09 %, suivi de François Bayrou avec 23,96 % (seulement deux voix les séparent). Ségolène Royal a 23,06 %, suivi de Jean-Marie Le Pen avec 14,22 %. Au niveau des "petits" candidats, Olivier Besancenot a 4,61 %, Philippe de Villiers a 2,63 %. Les autres candidats ne dépassent pas la barre des 2 % (c'est-à-dire un peu moins de 30 votes). Le taux de participation dépasse les 90 %, exactement, il est à 90,08 %

Au second tour, Nicolas Sarkozy a 50,92 % des voix et Ségolène Royal a 49,08 %. Le taux de participation est de 88,73 %.

Élection présidentielle de 2012 modifier

Au premier tour, François Hollande est arrivé en tête avec 27,11 %, suivi de Marine Le Pen avec 24,10 %, Nicolas Sarkozy avec 22,80 %, de Jean-Luc Mélenchon avec 10,65 % et de François Bayrou avec 10,25 %. Les autres candidats ne dépassent pas les 2 %. 3 % sont des votes blancs ou nuls. La participation au premier tour est de 88,96 %.

Au second tour, François Hollande a 52,80 % des voix et Nicolas Sarkozy a 47,20 %. Les votes blancs et nuls s'élèvent à 8,98 %. Le taux de participation est de 88,51 %.

Au fil des élections présidentielles, la tendance des électeurs de Roquecourbe correspond à la tendance nationale, au premier comme au second tour, à quelques exceptions près.

Élection présidentielle de 2017 modifier

Primaire de la droite modifier

Roquecourbe a un bureau de vote lors de la primaire de la droite, à l'automne 2016.

Primaire de la gauche modifier

Les sympathisants de gauche sont allés voter à Castres. Roquecourbe ne disposait pas de bureau de vote.

Parrainage du maire de Roquecourbe modifier

Le maire de Roquecourbe (divers droite), en 2012 comme en 2017, a parrainé à l'élection présidentielle, le candidat Nicolas Dupont-Aignan.

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1959 mars 1989 Fernand Laur MRP puis
DVD
Industriel
Conseiller général du canton de Roquecourbe (1955 → 1979)
mars 1989 juin 1995 Pierre Servat   Magistrat
juin 1995 mars 2008 Monique Cros DVD Chef d'entreprise
mars 2008 mai 2020 Pierre Modéran DVD Enseignant
mai 2020 En cours Michel Petit   Ancien chef d'entreprise dans l'industrie textile
4e vice-président de la CC Sidobre Vals et Plateaux (2020 → )

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[39]. En 2021, la commune comptait 2 183 habitants[Note 8], en diminution de 2,37 % par rapport à 2015 (Tarn : +1,82 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 4331 4191 4481 5191 7171 8842 0531 8601 997
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 8781 7931 8461 8611 8452 0071 8411 7511 633
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 5621 6241 6801 4851 5161 4601 5051 3201 560
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 7882 0122 2712 2132 2662 2092 2332 3052 200
2021 - - - - - - - -
2 183--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

Revenus modifier

En 2018, la commune compte 1 006 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 2 212 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 740 [I 7] (20 400  dans le département[I 8]). 34 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 10] (42,8 % dans le département).

Emploi modifier

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 9] 11,5 % 10,2 % 9,4 %
Département[I 10] 8,2 % 9,9 % 10 %
France entière[I 11] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 295 personnes, parmi lesquelles on compte 74,5 % d'actifs (65 % ayant un emploi et 9,4 % de chômeurs) et 25,5 % d'inactifs[Note 11],[I 9]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Castres, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 12]. Elle compte 339 emplois en 2018, contre 426 en 2013 et 439 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 845, soit un indicateur de concentration d'emploi de 40,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 51,8 %[I 13].

Sur ces 845 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 183 travaillent dans la commune, soit 22 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 90,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,8 % les transports en commun, 5,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 2,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].

Activités hors agriculture modifier

Secteurs d'activités modifier

118 établissements[Note 12] sont implantés à Roquecourbe au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13],[I 16].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 118
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
22 18,6 % (13 %)
Construction 18 15,3 % (12,5 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
33 28 % (26,7 %)
Activités financières et d'assurance 4 3,4 % (3,3 %)
Activités immobilières 1 0,8 % (4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
9 7,6 % (13,8 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
17 14,4 % (15,5 %)
Autres activités de services 14 11,9 % (9 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 28 % du nombre total d'établissements de la commune (33 sur les 118 entreprises implantées à Roquecourbe), contre 26,7 % au niveau départemental[I 17].

Entreprises et commerces modifier

Les deux entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[42] :

  • Pianos Bonnet, réparation d'autres biens personnels et domestiques (18 k€)
  • Compagnie Molinier Laur, fabrication d'autres articles à mailles (15 k€)

Les acteurs économiques du village :

  • Un bar
  • Un restaurant
  • Deux boulangers
  • Un kiosque à pizza
  • Trois salons de coiffure
  • Une épicerie
  • Une boucherie
  • Un taxi
  • Une couturière
  • Un salon d'esthéticienne
  • Un bureau de tabac
  • Un garage
  • Un carrossier
  • Une station essence
  • Deux banques
  • Une fleuriste
  • Des maçons, des plaquistes, des électriciens, des plombiers...
 
Église Saint-François de Roquecourbe

Agriculture modifier

La commune est dans la « plaine de l'Albigeois et du Castrais », une petite région agricole occupant le centre du département du Tarn[43]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 53 20 13 16
SAU[Note 15] (ha) 844 842 753 777

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 53 lors du recensement agricole de 1988[Note 16] à 20 en 2000 puis à 13 en 2010[45] et enfin à 16 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 70 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 58 % de ses exploitations[46],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 844 ha en 1988 à 777 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 16 à 49 ha[45].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Centre-ville modifier

Il est composé de la place de la mairie et de couverts, de ruelles aux maisons à pans de bous et encorbellement. Une intéressante scène de chasse est représentée sur une poutre en bois de l'une des maisons de la place. Elle représente un cerf poursuivi par des chiens, qui serait venu se réfugier dans les fossés qui entouraient le village. La fontaine d'eau ferrugineuse est située sur les allées de Siloë, avant la montée au rocher de la « Coqueluche » qui permet une vue globale. La pêche est pratiquée sur le parcours de Couade et de nuit au cœur du village.

Sainte-Juliane modifier

Ce site est à l'origine du village de Roquecourbe. Il comprend gradins et cuves, sarcophages et ruines d'église témoignent du passage successif des Celtes, des Cathares et des différentes religions chrétiennes. Prendre au départ de Roquecourbe la direction de Lacrouzette, puis aux dernières maisons, suivre à pied, pendant 800 mètres, le chemin sur la gauche (accès balisé).

Proche de Roquecourbe modifier

à 7 km, Burlats et la pavillon d’Adélaïde ;

à 7,5 km, Lacrouzette et le début du massif granitique du Sidobre ;

à 9,5 km, Castres, sous-préfecture du Tarn avec son Évêché et sa cathédrale Saint Benoît ;

à 38 km, Albi, préfecture du Tarn, avec la cathédrale Sainte-Cécile classée à l'UNESCO.

Vie pratique modifier

Logement modifier

  • Chambres d'hôtes dans le village
  • Camping Municipal

Santé modifier

  • Médecins
  • Infirmières
  • Kinés
  • Pharmacie
  • Orthophoniste
  • Maison de santé

Service public modifier

  • La mairie.
  • Le Trésor public.
  • La gendarmerie.

Enseignement modifier

  • Une crèche « ma bulle »
  • Une maternelle publique
  • Une école publique (Alice Marc-Manöel)
  • Une école privée (Saint-François)

Culture modifier

Activités sportives modifier

  • Les clubs sportifs (football, basketball, tennis, volleyball, judo, boxe...).

Personnalités liées à la commune modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[17].
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
  7. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[35].
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  9. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  10. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
  11. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  12. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  13. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  14. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  15. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  16. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[44].
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Roquecourbe » sur Géoportail (consulté le 10 décembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Notes de type "Carte"

Références modifier

Site de l'Insee modifier

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Unité urbaine 2020 de Castres » (consulté le ).
  3. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
  4. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
  5. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Castres » (consulté le ).
  6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Roquecourbe » (consulté le ).
  8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
  9. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Roquecourbe » (consulté le ).
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  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  13. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Roquecourbe » (consulté le ).
  14. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  15. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  16. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Roquecourbe » (consulté le ).
  17. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Tarn » (consulté le ).

Autres sources modifier

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  2. Carte IGN sous Géoportail
  3. « Documents - Site web de la région Occitanie » (consulté le ).
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  5. « Fiche communale de Roquecourbe », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  6. Sandre, « l'Agout »
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
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  38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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  44. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  45. a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Roquecourbe - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  46. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Tarn » (consulté le ).
  47. https://patrimoineroquecou.wixsite.com/roquecourbe/jean-louis-alibert

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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