L'Éguille

commune française du département de la Charente-Maritime
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L'Éguille
L'Éguille
Le port ostréicole de L'Éguille.
Blason de L'Éguille
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente-Maritime
Arrondissement Rochefort
Intercommunalité CA Royan Atlantique
Maire
Mandat
Myriam Portier
2022-2026
Code postal 17600
Code commune 17151
Démographie
Gentilé Éguillais
Population
municipale
898 hab. (2021 en augmentation de 2,16 % par rapport à 2015en augmentation de 2,16 % par rapport à 2015)
Densité 164 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 42′ 28″ nord, 0° 58′ 34″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 11 m
Superficie 5,49 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Royan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saujon
Législatives 5e circonscription de la Charente-Maritime
Localisation
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L'Éguille
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L'Éguille
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L'Éguille
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L'Éguille
Liens
Site web https://www.leguille.fr/

L'Éguille [leɡij] — couramment désigné sous le nom de L'Éguille-sur-Seudre — est une commune française, située dans le département de la Charente-Maritime (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont appelés les Éguillais et les Éguillaises[1].

Géographie modifier

Description modifier

 
Position de L'Éguille en Charente-Maritime.

Située au confluent de la Seudre et du Liman, sur l'axe routier menant de Royan à Rochefort, L'Éguille est une commune semi-rurale et conchylicole appartenant au secteur Est de la Communauté d'agglomération Royan Atlantique.

Le village est construit sur un petit plateau calcaire crétacé. L'altitude de la commune varie de 0 m à 11 m. Les rives de la Seudre sont occupées par les marais et le plateau calcaire à vocation agricole. L'Éguille forme une petite presqu'île séparée au nord par la Seudre et au sud par le Liman.

La commune de L'Éguille est traversée par la RD733 qui lui donne un accès direct à Royan et à Rochefort. L'Éguille est séparée du Gua par la Seudre. En 1909, un pont tournant fut construit pour remplacer le bac qui effectuait la liaison entre Le Gua et L'Éguille. Le pont tournant fut détruit et remplacé en 1964 par un pont construit plus en amont et une route contournant le bourg.

Communes limitrophes modifier

La commune est séparée du Gua par la Seudre et de Mornac-sur-Seudre par le Liman.

Communes limitrophes de L'Éguille
Le Gua
Mornac-sur-Seudre   Saujon
Saint-Sulpice-de-Royan

Hydrographie modifier

L'Éguille est le point de confluence entre le fleuve côtier la Seudre et le Liman.

Urbanisme modifier

Typologie modifier

L'Éguille est une commune rurale[Note 1],[2]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[3],[4].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Royan, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[5],[6].

La commune, bordée par l'océan Atlantique, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[7]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[8],[9].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (51,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (54,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (32,5 %), zones humides côtières (30 %), zones agricoles hétérogènes (18,8 %), zones urbanisées (11,9 %), forêts (4,5 %), eaux continentales[Note 3] (2,3 %)[10]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement modifier

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 539, alors qu'il était de 514 en 2013 et de 494 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 76,2 % étaient des résidences principales, 16,5 % des résidences secondaires et 7,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 94,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 4,9 % des appartements[I 1].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à l'L'Éguille en 2018 en comparaison avec celle de la Charente-Maritime et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (16,5 %) inférieure à celle du département (22,1 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 81,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (80,9 % en 2013), contre 65,2 % pour la Charente-Maritime et 57,5 % pour la France entière[I 2].

Le logement à l'L'Éguille en 2018.
Typologie L'Éguille[I 1] Charente-Maritime[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 76,2 70,7 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 16,5 22,1 9,7
Logements vacants (en %) 7,3 7,1 8,2

Risques naturels et technologiques modifier

Le territoire de la commune de l'Éguille est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[11]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[12].

Risques naturels modifier

La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) du littoral charentais-maritime, regroupant 40 communes concernées par un risque de submersion marine de la zone côtière, un des 21 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne et confirmé en 2018 lors du second cycle de la Directive inondation, mais annulé en 2020[13]. Les submersions marines les plus marquantes des XXe et XXIe siècles antérieures à 2019 sont celles liées à la tempête du , à la tempête du , aux tempêtes Lothar et Martin des 26 et et à la tempête Xynthia des 27 et . D’une violence exceptionnelle, la tempête Xynthia a fortement endommagé le littoral de la Charente Maritime : douze personnes ont perdu la vie (essentiellement par noyade), des centaines de familles ont dû être relogées, et, sur un linéaire de l’ordre de 400 km de côte et de 225 km de défenses contre la mer, environ la moitié de ces ouvrages a subi des dommages plus ou moins importants. C’est environ 5 000 à 6 000 bâtiments qui ont été submergés et 40 000 ha de terres agricoles[14]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2010[15],[11].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de l'Éguille.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[16].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (54,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 507 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 507 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 57 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[17],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[18].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[11].

Risques technologiques modifier

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[19].

Toponymie modifier

Le nom de la commune viendrait du mot latin « Acus » qui signifie pointe, aiguille.

Histoire modifier

Des restes de fortifications datant de la civilisation de Peu-Richard[20] ont été découverts au lieu-dit les Flottes sur le point culminant de la commune[21]. L'Éguille fut mentionnée pour la première fois en 1219, à cette époque, l'économie était basée sur l'exploitation du sel. Le sel de Saintonge est réputé et en particulier le Blanc de Liman qui est récolté entre Mornac-sur-Seudre et L'Éguille[22]. L’Éguille, Acus et Agulhe dans les textes du Moyen Âge puis l’Aiguille, doit son nom à la pointe de calcaire crétacé sur laquelle elle est construite. Au XVIIe siècle, un château avec une façade encadrée de deux tours carrées, une cour et des communs furent construits. En 1710, L'Éguille est vendue au navigateur Michel Froger (1668-1728), père de Michel Joseph Froger de l'Éguille. Au XIXe siècle, les habitants abandonnent l'exploitation du sel au profit de l'ostréiculture.

 
L'ancien pont tournant métallique sur la Seudre.

Avec le développement du tourisme à Royan au XXe siècle, on bâtit un pont tournant métallique sur la Seudre pour relier Rochefort à Royan. Durant la Seconde Guerre mondiale, ce pont tournant revêt une grande importance lors de l'encerclement des forces allemandes dans la poche de Royan. En effet, durant les combats, il était pour les habitants de L'Éguille l'unique passage vers la zone libérée. Sa destruction isolant les habitants des troupes de la France libre ayant atteint la rive droite de la Seudre, les maquisards du groupe Phiphi reconstruiront une passerelle afin de permettre le passage des habitants[23]. Cette passerelle restera en service deux ans. En 1964, un nouveau pont sera construit plus en amont ainsi qu'une route contournant le bourg.

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Rattachements administratifs modifier

À la suite de la réforme administrative de 2014 ramenant le nombre de régions de France métropolitaine de 22 à 13, la commune appartient depuis le à la région Nouvelle-Aquitaine, dont la capitale est Bordeaux. De 1972 au , elle a appartenu à la région Poitou-Charentes, dont le chef-lieu était Poitiers.

La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Rochefort du département de la Charente-Maritime.

Elle faisait partie de 1802 à 1973 du canton de Royan, année où celui-ci est scindé et la commune rattachée au canton de Royan-Ouest[24]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux modifier

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Saujon

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de la Charente-Maritime.

Intercommunalité modifier

L'Éguille est membre fondateur de la communauté d'agglomération Royan Atlantique, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1995 comme communauté de communes du Pays royannais et transformée en communauté d'agglomération fin 2001 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1971 juin 1995 William Barrau[25],[26] DVD  
juin 1995 mars 2008 Jean Russo[26]    
mars 2008 mai 2020 Roger Guillaud[Note 4] DVD[27] Retraité Fonction publique
mai 2020[28] septembre 2022[29] Jonathan Malagnoux   Chef d'entreprise
Démissionnaire
octobre 2022[30] En cours
(au 16 décembre 2022)
Myriam Portier   Cheffe d'entreprise

Jumelage modifier

 
Indication du jumelage à l’entrée du bourg

L'Éguille est jumelée depuis 1985 avec la commune d’Aiguilhe (Haute-Loire)[31],[32].


Canton modifier

L'Éguille est une des neuf communes formant le canton de Saujon. Jusqu'au mois de , elle appartenait au canton de Royan-Ouest.

Intercommunalité modifier

L'Éguille est une des 33 communes de la communauté d'agglomération Royan Atlantique.

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

De par ses contraintes géographiques (marais, axe routier...), le développement démographique de la commune reste modéré comparé aux communes voisines de l'aire royannaise[33].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35].

En 2021, la commune comptait 898 habitants[Note 5], en augmentation de 2,16 % par rapport à 2015 (Charente-Maritime : +3,35 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
408485446585685717771805824
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
828834788787792803748719724
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
681649640584584611651628681
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
755767660670722758870889876
2021 - - - - - - - -
898--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28 %, soit en dessous de la moyenne départementale (29 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 32,9 % la même année, alors qu'il est de 34,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 423 hommes pour 455 femmes, soit un taux de 51,82 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (52,15 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
1,3 
9,1 
75-89 ans
11,2 
21,8 
60-74 ans
21,6 
23,6 
45-59 ans
23,4 
15,6 
30-44 ans
15,5 
12,5 
15-29 ans
11,8 
16,7 
0-14 ans
15,2 
Pyramide des âges du département de la Charente-Maritime en 2020 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,1 
90 ou +
2,6 
9,7 
75-89 ans
12,4 
21,9 
60-74 ans
23,1 
20,2 
45-59 ans
19,8 
16,2 
30-44 ans
15,7 
15,2 
15-29 ans
12,8 
15,6 
0-14 ans
13,7 

Cultes modifier

Le culte protestant est célébré au temple certains dimanches à 10 heures 30, en alternance avec d'autres temples du secteur paroissial (Arvert, Chaillevette, Étaules, La Tremblade, Marennes, Mornac, Nieulle sur Seudre, St Pierre d'Oléron)[39].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • L'église Saint-Martin :
    Les travaux de l'église Saint-Martin, conduits par l'architecte Pierre-Adolphe Viaud, débutent en 1845, après la démolition de l'ancienne église romane, jugée vétuste. Le nouvel édifice est de plan simple, comprenant une nef avec voûte de plâtre, terminée par une abside semi-circulaire un peu plus étroite. Les vitraux qui éclairent l'église sont l'œuvre d'un maître-verrier auvergnat nommé Baratte. La façade est couronnée par un fronton triangulaire, où est insérée une horloge. Le clocher, surmonté d'une flèche en ardoise, surmonte l'ensemble. Après s'être effondré au cours de la tempête de 1999, il a finalement été restauré quelques mois plus tard.
  • Le temple de l'Église Protestante Unie[40] de L’Éguille a été construit en 1820. Son porche est daté de 1819, il est inscrit « Temple de Dieu fait en 1819 à l'usage du culte réformé ».
  • Le rond-point représentant deux mains ouvrant une huître est dû à Jean-Luc Plé (2003)[41].

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

  Blason
D’argent au chevron de gueules accompagné en chef de deux merlettes affrontées de sable et en pointe de trois bisses ondoyantes de sinople posées en pal et mal ordonnées.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Premier maire adjoint de Jean Russo lors du mandat précédent[26]
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

Autres sources modifier

  1. Les gentilés de Charente-Maritime
  2. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  4. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  7. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  8. « La loi littoral », sur collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  11. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de l'Éguille », sur Géorisques (consulté le ).
  12. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  13. « Un approfondissement des connaissances sur ces priorités : la cartographie des risques sur les TRI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  14. « cartographie des risques d'inondations du TRI du littoral charentais-maritime », sur webissimo.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  16. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  17. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de l'Éguille », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  20. La civilisation de Peu-Richard (IIIe millénaire) est caractérisée par une céramique décorée de cannelures horizontales et ocelées et par des « camps » entourés de doubles fossés. Elle doit son nom au hameau de Peu-Richard, situé à Thénac, commune voisine de Barzan
  21. Archeologia, mars/av. 1970, p 86, 87.
  22. G. Binot, Histoire de Royan et de la presqu’île d’Arvert, p 25 - Paris, 1984
  23. Philippe PAPON, Mémoires d'un Maquisard, Le Groupe Phiphi, Référence, Éditions Sud-Ouest, 2014, p. 144
  24. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. « Listes des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République », Journal officiel de la République française,‎ , p. 5737.
  26. a b et c Paul Ghézi, « Il était une fois… trois maires », Sud Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ) .
  27. https://www.lemonde.fr/aquitaine-limousin-poitou-charentes/charente-maritime,17/l-eguille,17151/
  28. Paul Ghézi, « L’Éguille (17) : Jonathan Malagnoux succède à Roger Guillaud : Après 25 années à la tête du conseil municipal de L'Éguille, Roger Guillaud a transmis le flambeau à Jonathan Malagnoux, 33 ans », Sud Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Il est d'ailleurs à souligner que le nouveau maire, élu à l'unanimité, a tenu à ce que son prédécesseur garde en souvenir son écharpe ».
  29. Ronan Chérel, « Charente-Maritime : le maire de L’Éguille-sur-Seudre a démissionné : Jonathan Malagnoux a informé la semaine dernière le conseil municipal et la sous-préfecture de sa décision. Il reste néanmoins simple conseiller municipal, pour l’heure », Sud Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. Paul Ghézi, « Charente-Maritime : Myriam Portier élue maire de l’Éguille-sur-Seudre : Le précédent maire Jonathan Malagnoux avait démissionné. L’élection a eu lieu en conseil municipal extraordinaire, mardi 4 octobre », Sud Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. « La commune - Jumelage - Site officiel de la mairie d'Aiguilhe, en Haute-Loire (43) »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur aiguilhe.fr (consulté le ).
  32. « Quand les « Aiguilles » se rencontrent », sur SudOuest.fr (consulté le ).
  33. « Scot Royan Atlantique, État initial de l'environnement, p 110 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?)
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de l'Éguille (17151) », (consulté le ).
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente-Maritime (17) », (consulté le ).
  39. Cultes en presqu'île d'Arvert
  40. « Église Protestante Unie ».
  41. Paul Ghézi, « La sculpture du rond-point vandalisée », sudouest,‎ (ISSN 1760-6454, lire en ligne, consulté le )