Erquinghem-Lys

commune française du département du Nord

Erquinghem-Lys
Erquinghem-Lys
La mairie.
Blason de Erquinghem-Lys
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Lille
Intercommunalité Métropole européenne de Lille
Maire
Mandat
Alain Bezirard
2020-2026
Code postal 59193
Code commune 59202
Démographie
Gentilé Erquinghemmois, Erquinghemmoises
Population
municipale
5 356 hab. (2021 en augmentation de 7,01 % par rapport à 2015)
Densité 599 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 40′ 34″ nord, 2° 50′ 54″ est
Altitude Min. 12 m
Max. 20 m
Superficie 8,94 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Armentières (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Lille (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Armentières
Législatives Onzième circonscription
Localisation
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Erquinghem-Lys
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Liens
Site web ville-erquinghem-lys.fr

Erquinghem-Lys [ɛʁkɛ̃ɡɛm lis] (Erkegem an de Leie en Flamand Occidentale) est une commune française, située dans le département du Nord en région Hauts-de-France.

Géographie modifier

Situation modifier

La commune se situe sur la Becque du Biez à 15,9 km au nord-ouest de Lille (23 km par la route), localisée aux confins du pays des Weppes, en Flandre romane.

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Environnement modifier

La commune est drainée et irriguée par la Lys canalisée et par des éléments de bras-mort (ancien méandre) laissés par le recalibrage de ce cours d'eau lorsqu'il a été mis au gabarit Freycinet (en 1967). Les restes de l'ancienne boucle d'Erquinghem-Lys de la Lyls-rivière sont encore considérés comme écologiquement intéressants : Selon un diagnostic écologique piloté par VNF si la diversité floristique des berges du bras mort d'Erquinghem-Lys est faible (situation aggravée par des berges artificiellement conservées comme trop abruptes, et en partie liée à une strate arborescente dense qui (le castor ayant depuis longtemps disparu) freine le développement des espèces hélophytiques basses, selon la même étude l'intérieur de la boucle est faunistiquement très intéressant, grâce à son caractère de zone humide encore inondable, située dans le lit majeur de La Lys. Là sur de 70 hectares, 46 ha ont une vocation agricole extensive (prairies de fauche sur 32 ha, prairies pâturées pour 14 ha) et plus intensive sur 23 ha de cultures[1]. Cette richesse a justifié un classement en ZNIEFF[2] et en Zone Humide d'intérêt Environnemental Particulier dans le SDAGE (Schéma Directeur d'Aménagement et de Gestion des Eaux) du bassin versant de la Lys. C'est en quelque sorte une relique du système alluvial de la basse vallée de la Lys[1]. Ce milieu autrefois riche en saumons, truites de mer, lamproies et anguilles venus de l'Escaut, abrite encore quelques espèces protégées en région (ex : phragmite des joncs, le râle d'eau ou agrion joli)[1].
La qualité de l'eau de la Lys est encore médiocre, de même que celle des sédiments, mais la situation tend à s'améliorer, au moins pour certains paramètres.
Une frayère à brochet y a été reconstituée au début des années 2010 sur près de 14 000 m² (incluant près de 9 000 m² inondable)[1], caractérisée par 50 à 70 cm de fond lors des crues, aux berges en pente douces et dotés d'îlots [3].

Communes limitrophes modifier

 
Une entrée de la commune.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Nord-est du bassin Parisien » et « Côtes de la Manche orientale »[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 699 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lesquin à 21 km à vol d'oiseau[6], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 740,0 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Erquinghem-Lys est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Armentières (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 10 communes[13] et 78 804 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[16],[17].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (85,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (67,5 %), zones urbanisées (17 %), zones agricoles hétérogènes (11,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,5 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports modifier

La commune est desservie, en 2023, par la ligne 80 et la ligne de transport à la demande 22R du réseau Ilévia ainsi que par les lignes 910 et 911 du réseau interurbain Arc-en-Ciel 1[19].

Toponymie modifier

L'origine du nom de la ville provient de l'anthroponyme germanique Ercan, du suffix collectif -ing désignant l'entourage de cet homme, de heim désignant l'habitation et le foyer. Cela peut se traduire littéralement par "habitation des hommes d'Ercan"[20].

Histoire modifier

Vers la fin du IXe siècle, les Vikings remontent la Lys et attaquent la ville. En 1214, Ferrand de Flandre se retourne contre Philippe II Auguste qui fait raser le château d'Erquinghem-Lys. En 1647, Luis de Benavides Carrillo établit ses quartiers à Erquinghem lors du siège d'Armentières. Le village devient français en 1668[20].

Avant la Révolution française, Erquinghem est le siège d'au moins une seigneurie[21] et de fiefs donnant à leur propriétaire le titre de seigneur[22].

Au XVIe siècle, Guillaume Petitpas, fils de Jean, seigneur des Oursins à Verlinghem, de Duretête à Annappes, bourgeois de Lille et de Marie de Bailleul, dame de la Gacherie et de La Moussonnerie, devient bourgeois de Lille le . Il meurt le . Il a considérablement augmenté ses biens : il achète le fief de Carnin à Gondecourt le , la Pontenerie à Roubaix le , la Tannerie à Wattrelos en 1533, la Mousserie à Roubaix, Warcoing, Gamans à Lesquin le , le Quesnoy à Wasquehal en 1549, Champagne à Deulémont le , le Petit Erin à Erquinghem-Lys en 1551, la Haye en 1554. Il se marie en 1523 avec Jeanne Segon, fille de Noël, et de Louise du Croquet. Son épouse meurt le . Elle est enterrée à côté de son mari, dans la chapelle Sainte-Anne de l'église Sainte-Catherine de Lille[22].

Désiré-François-Dominique Déliot (1738-1799), écuyer, est le seigneur de la Croix et d'Erquinghem, et probablement le dernier seigneur de la commune, la Révolution ayant aboli les seigneuries et autres titres de noblesse. Il est le fils d'Hippolyte-Joseph-Ignace Déliot, écuyer, seigneur des Roblets, bourgeois de Lille, et de Marie-Joseph-Colette Petitpas, dame de Carnin. Il nait en août 1738 (baptisé le 5 août), nommé enseigne au régiment de Dauphin infanterie le , passe lieutenant le , grand bailli d'Halluin de 1784 à 1788, grand bailli des États de la Flandre wallonne, créé comte de la Croix en 1781. Il meurt le , à l'âge de 61 ans, ou en 1790[23]. Il épouse à Lille le Marie-Joséphine-Séraphine du Chambge de Liessart (1752-1811), fille de Charles-Eubert du Chambge de Liessart, chevalier, seigneur de Liessart, de Douay en Roncq, conseiller du roi en ses conseils, premier président du bureau des finances et domaines de la généralité de Lille, dit le président Liessart, et de Marie- Emmanuelle-Josèphe-Thérèse Turpin. Marie Joséphine nait à Lille en mars 1752 et y meurt le [24], quelques années après être rentrée d'émigration[23]. Un de leurs enfants est mort dans son château d'Erquinghem sans laisser d'enfants, le titre de comte de Déliot de la Croix a été repris par son frère aîné[23].

Pendant la Révolution, il ne fut pas facile de faire adopter par la population le nouveau calendrier républicain, sans qu'il soit très évident de connaitre la ou les raisons de cette résistance : difficulté de changer les habitudes ou résistance plus ou moins ouverte au nouveau pouvoir. La Flandre intérieure très catholique n'appréciait pas notamment les mesures prises contre la religion. Le président du comité révolutionnaire d'Erquinghem-Lys se plaint en thermidor an II (mi juillet-mi août 1794) que les esprits sont troublés par le remplacement du dimanche par le décadi. Celui-ci est censé être férié à la place du dimanche, mais certains travaillent le jour du décadi et ne travaillent pas le jour du dimanche[25].

Le 15 janvier 1871 le ballon monté Vaucanson s'envole de la gare d'Orléans à Paris alors assiégé par les Prussiens et termine sa course à Erquinghem-Lys après avoir parcouru 240 kilomètres[26].

Durant la Première Guerre Mondiale, les soldats britanniques et les réfugiés de Bois-Grenier partagent la vie des habitants. Lors de l'Offensive du Printemps 1918, les obus allemands rasent la ville[20].

Héraldique modifier

Les armes de Erquinghem-Lys se blasonnent ainsi :"D'or au lion de sable, à la bande componée d'argent et de gueules brochant sur le tout".

Politique et administration modifier

Liste des maires modifier

Maire de 1802 à 1807 : L. Lemettre[27],[28].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1878 1884 Auguste-Célestin Morel    
         
1919 1927 Georges Vanspranche    
1927 1940 Jules Émile Dewilde    
Les données manquantes sont à compléter.
mai 1945 octobre 1947 Charles Braem[29]
(1881-1961)
  Ouvrier tisseur, syndicaliste
octobre 1947 mars 1971 Albert Leroy    
mars 1971 1975
(démission)
Gilbert Aubin    
1975 mars 2001 Luc Vandorpe[30]   Médecin
mars 2001 En cours Alain Bézirard DVD Restaurateur
15e vice-président de la MEL

Instances judiciaires et administratives modifier

La commune relève du tribunal d'instance de Lille, du tribunal de grande instance de Lille, de la cour d'appel de Douai, du tribunal pour enfants de Lille, du tribunal de commerce de Tourcoing, du tribunal administratif de Lille et de la cour administrative d'appel de Douai.

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32].

En 2021, la commune comptait 5 356 habitants[Note 3], en augmentation de 7,01 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 1632 3032 3452 0732 0532 0102 0592 0492 194
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 6221 8231 8271 8532 0582 2242 3312 3852 418
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 6242 7872 9272 1662 6902 9082 7252 5852 892
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
3 2573 4563 6583 9494 3554 4954 5074 5094 734
2017 2021 - - - - - - -
5 1585 356-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,9 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 2 527 hommes pour 2 766 femmes, soit un taux de 52,26 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90 ou +
1,1 
4,9 
75-89 ans
6,6 
13,6 
60-74 ans
15,2 
19,9 
45-59 ans
19,3 
21,3 
30-44 ans
20,3 
16,7 
15-29 ans
18,1 
23,4 
0-14 ans
19,5 
Pyramide des âges du département du Nord en 2020 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,1 
75-89 ans
14,6 
60-74 ans
16 
19,2 
45-59 ans
18,6 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,6 
15-29 ans
19,1 
20,5 
0-14 ans
18,2 

Lieux et monuments modifier

  • La motte féodale du Château, inscrite à l'inventaire des monuments historiques en 1980[37]. Le château, construit au XIIIe siècle, est visible sur plusieurs cartes et plans. Complètement détruit en 1814, il est remplacé par une habitation de plaisance, elle-même détruite en 1867. Les anciennes pierres du château ont servie à construire une chapelle qui ne résiste pas à la Première Guerre Mondiale[20].
  • L'église Saint-martin est reconstruite en 1923. La presse locale la qualifie de « véritable joyau d'art, reconstruit en style gothique ». La flèche s'élance jusqu'à plus de 47 mètres. Au dessus du porche se trouvent les blasons de tous les seigneurs d'Erquinghem. Elle héberge des fonts baptismaux datant de 1567, créés à la suite des saccages des calvinistes[20].
  • L'ancienne usine de blanchiment Mahieu, rue des Frères Mahieu, inscrite à l'inventaire des monuments historiques en 2000[38].
  • Le musée d'histoire locale retraçant les différents événements historiques s'étant produits à Erquinghem-Lys.
  • Le monument aux morts anglais (dans le cimetière).

Personnalités liées à la commune modifier

Pour approfondir modifier

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Galerie modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a b c et d Agence de l'eau Artois-Picardie [ http://www.eau-artois-picardie.fr/sites/default/files/restauration_zh_lys_canalisee_a_erquinghem_lys.pdf Restauration d'une zone humide sur un bras mort de la Lys canalisée à Erquinghem-Lys], Avril 2013, PDF, 12p
  2. ZNIEFF n°154 « Prairies inondables d'Erquinghem- Lys »
  3. La voix du nord, article "La zone humide d'Erquinghem-Lys fait le bonheur des brochets et des " (www.lavoixdunord.fr) article du 30 avr. 2013
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Erquinghem-Lys et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Lille-Lesquin » (commune de Lesquin) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Lille-Lesquin » (commune de Lesquin) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Unité urbaine 2020 d'Armentières (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
  14. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Lille (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. « Plan du réseau Ilévia 2022-2023 » [PDF], sur ilevia.fr, (consulté le ).
  20. a b c d et e Le patrimoine des communes du Nord, Flohic, (ISBN 978-2-84234-119-0, lire en ligne), p. 102-104
  21. Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises », tome 1, dans Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, tome 12, 1906-1909, p. 40, lire en ligne.
  22. a et b Paul (1874-19 ) Auteur du texte Denis Du Péage, Recueil de généalogies lilloises. Tome 2 / par Paul Denis Du Péage,..., 1906-1909 (lire en ligne), p. 561-563.
  23. a b et c Éléonore Paul Constant Baron DU CHAMBGE DE LIESSART, Notes historiques relatives aux offices et aux officiers du Bureau des finances de la généralité de Lille, L. Leleu, (lire en ligne), p. 53-55.
  24. Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises », tome 1, dans Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, tome 12, 1906-1909, p. 40-41, lire en ligne.
  25. Christian Bonnet, « La résistance à la Déchristianisation de l’An II en Flandre française », dans Église, vie religieuse et Révolution dans la France du Nord, Publications de l’Institut de recherches historiques du Septentrion, coll. « Histoire et littérature du Septentrion (IRHiS) », (ISBN 978-2-905637-88-8, lire en ligne), p. 89–99.
  26. Ballon N° 62 : « Le Vaucanson »
  27. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 273, lire en ligne.
  28. « Annuaire statistique du département du Nord. Pour … (0000AnNord_0... », sur Mnesys (consulté le ), p. 128-129..
  29. Notice BRAEM Ferdinand, Charles par Yves Le Maner, version mise en ligne le 20 octobre 2008, dernière modification le 20 octobre 2008
  30. A apporté son parrainage à la candidature de Raymond Barre pour l'élection présidentielle de 1988 [1]
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Erquinghem-Lys (59202) », (consulté le ).
  36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
  37. Notice no PA00107515, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. Notice no PA59000059, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture et Notice no IA00062810, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.