Gondecourt
Gondecourt | |||||
![]() | |||||
![]() Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | ![]() |
||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Lille | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Pévèle-Carembault | ||||
Maire Mandat |
Régis Bué 2020-2026 |
||||
Code postal | 59147 | ||||
Code commune | 59266 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Gondecourtois, Gondecourtoises | ||||
Population municipale |
4 045 hab. (2018 ![]() |
||||
Densité | 492 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 32′ 43″ nord, 2° 59′ 05″ est | ||||
Altitude | Min. 19 m Max. 31 m |
||||
Superficie | 8,22 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Gondecourt (ville-centre) |
||||
Aire d'attraction | Lille (partie française) (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Faches-Thumesnil | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Géolocalisation sur la carte : Nord
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
| |||||
Liens | |||||
Site web | http://gondecourt.fr | ||||
modifier ![]() |
Gondecourt est une commune française, située dans le département du Nord (59) en région Hauts-de-France.
Le nom jeté des habitants est Francs-Galants ou Frin-galants.
GéographieModifier
Située à 15 km au sud-ouest de Lille, dans le Carembault en Flandre romane. Sur trois routes départementales D62, D39 et D147 et sur le Canal à grand gabarit de la Haute-Deûle
Communes limitrophesModifier
UrbanismeModifier
TypologieModifier
Gondecourt est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Gondecourt, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[4] et 4 476 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[5],[6].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[7],[8].
HistoireModifier
ÉtymologieModifier
L'étymologie supposée du nom est « Gondon Curtis », c'est-à-dire : le domaine de Gondon (cortis, curtis même racine que cour, et par extension domaine entourant la cour de ferme)[9],[10],[11].
Moyen-ÂgeModifier
- Selon Théodore Leuridan, la tradition et l'étymologie concorderaient et laisseraient supposer l'origine de Gondecourt au VIIe siècle environ.
- Toujours selon Leuridan, la première trace écrite du nom de Gondecourt date de 1146 dans une charte de l'abbaye de Marchiennes.
- En 1174, il figure sous le nom Gondelcourt dans le Cartulaire de l'Abbaye du Mont Saint-Martin.
- En 1176, Gondecourt est mentionné dans un Titre de l'Abbaye de Loos.
- En 1177, une charte de l'Abbaye de Saint-Vaast d'Arras cite ce village sous le nom de « Gondelcort ».
- L'acte le plus important pour l'histoire du village est daté du : le pape Clément III prend sous la protection du Saint-Siège la Collégiale de Seclin et confirme toutes ses possessions, au nombre desquelles l'autel de Gondecourt avec d'autres revenus et terres labourables en son lieu altare de Gondecourt cum omnibus redditibus quoqs ibidem habetis et terra arabili.
On trouve bien d'autres actes :
- le , celui d'Innocent III au sujet de revenus du chapitre de Seclin.
- en 1242, un autre à l'occasion de l'achat par l'Abbaye de Flines d'une rente à Gondecourt (plus tard, cette abbaye possède une partie de la dîme du village).
- L'abbaye de Saint-Christophe de Phalempin a des biens à Gondecourt (13 cents de terre acquis en 1281 de Roger de Cockemplus).
- Un acte du du fonds de St Pierre de Lille mentionne une rente possédée par ce chapitre sur dix boniers de terres sis à Gondecourt pour l'obit de Jeanne de Croix et de Jean, son époux.
1308 : un des premiers textes en langue localeModifier
: des « Lettres de surente données par Denys du Moulin et Maroie, sa femme » donnent l'un des premiers textes désormais en langue locale au lieu du latin ainsi que certains noms ayant -ou ayant eu- cours à Gondecourt. Ce texte est ici sans aucune retouche car assez facile à saisir sans connaissance particulière pour les amateurs actuels :
- « Sacent tout cil ki sont et ki avenir sont ke Denis dou Molin li fevres, bourgeois de Lille, et Maroie, se femme, ont donnet à sourente par devant jugeurs a Jakemon de le Mote, de Gondecourt, I manage ki gist au mares a Gondecourt ki fu Gillotain le Pinkette les IIII cors et le moilon le vuit et le kierket tout ensi kil est plantes et hierbreghies dehuers et devers, kon tient de Saint Piat de Seclin des II prouvendes kon dist de Nostre Dame ; et ont Denis et Maroie se femme deseure dit manage devant dit raportet et werpit bien et a loy en tel maniere ke Jakesme de le Mote et ses hoirs doit payer tout le rente ke li manages devant dix doit doit as siegneurs. Et se doit rendre pour l'acroissement à Denis devant dit et a Maryen se femme et à leur hoyr quatre rasières de bleit tel ke de le disme de Gondecourt à le mesure de Lille livret à Lille le u Denis et Maroie se femme et leur hoyrs le vauront rechevoir si avant ke kars u karette pouroit courre, a paier au jour tout sains prochain ke nous attendons et ensi de tout sains en tout sains prochain ke nous attendons et ensi de tout sains en tout sains tant ke siecles dura. Et ne peut Jakemes devant dis ne ses hoirs desaukier le manage devant dit de nul arbre fruit portant li soit contes pour yretage, s'il ne le met en carpentage u il hosteche par se kereche. Et s'il estoit ensi ke Jakemes devant dis u ses hoirs ne paiassent l'acrissement au jour de tout sains ensi ke dit est et Denis devant dis, Maroie se femme, u leurs hoyrs s'en traissisent au siegneur, li sires les doit mettre à leur about. Apries tout ches coses faites li sires conjura jugeurs se chis accroissmens de rente estoit donnes bien et par loy en le manière ke deseure est dit et devisé, jugeur disent par jugement à le semonse dou siegneur ke li markiet et toute li convenenche deseure dite étoit bien faite et par loy saus tous drois. A chest markiet et a ches convenanches devant dites furent comme jugeur Saint Piat de Seclin, Jehan Housiaus, Rogiers de le Mote, Jehan de le Mote, Hellins li Fevres, Jehans de Laderière, Jehan de Maupaies et comme justiche ou liu des siegneurs sire Rogiers li Fèvres, capellains de Seclin. Et sacent tout ke Jakemes devant dis et ses hoirs doivent tenir IIc de tiere pau plus pau mains kon tient de Mikiel dou Mares parmi cheste convenenche le rente paiant au siegneur. Che fu fait l'an de grasce mil trois cens et siept el mois de march. » (référencé : dans les Mémoires de la Société d'Emulation de Roubaix 1906 article 74 page 71 série 4 tome 5, B.7, Chirographe original, parchemin.-Rouge-Livre, f° 130-, pièce 59, en accès libre sur Bibliothèque numérique gallica.bnf.fr).
Époque moderneModifier
Us et CoutumesModifier
À la fin du XVIe siècle, les « jeunes mariés », qu'ils en soient natifs ou non, recevaient, à la condition d'être installés depuis 10 ans dans le village, une part de marais, nommée Wardelle, qui se trouvait attribuée à un autre couple s'ils quittaient le village[10]. Cela fut supprimé vers la fin des années 1970 (84 maxi)[réf. nécessaire] contre une prime relativement substantielle, mais définitive. C'est aujourd'hui encore un lieu-dit du village, ce nom apparait sur le plan cadastral.
La ducasseModifier
L'Abbé Théodore Leridan n'a mis qu'une petite annotation manuelle sur l'un de ses ouvrages : "Le ; son origine remonte au Moyen-Age, où les festivités commençaient par trois danses sur le parvis de l'église. Les danses dont il est ici question avaient lieu, à Gondecourt, de temps immémorial, les jours de dédicace. Elles étaient annoncées par le sergent à l'issue de la messe paroissiale, de la part du chapitre de Seclin et du seigneur de Gondecourt. Elles s'ouvraient par les trois danses du seigneur: la première était faite par le seigneur et sa dame et le maïeur et la mairesse ; les deux autres étaient réservées aux gens du village. Quant aux étrangers, ils ne pouvaient prendre part qu'au suivantes. L'usage de ces danses ne fut délaissé que durant les mauvais jours de la révolution : il reprit ensuite, sans seigneur, puisque la révolution avait aboli toute seigneurie, et persévéra jusque vers 1840. L'Abbé donne à la suite pour références divers factums imprimés au sujet du sujet du procès entre le chapitre et les seigneurs de Gondecourt[12]. Cette tradition est devenue ensuite par corruption de langage la ducasse. Ce ne sera qu'à la fin des années cinquante qu'on lui ajoutera une ducasse d'hiver, le .
Révolte des gueuxModifier
En 1566, les habitants de Gondecourt se liguèrent avec ceux de Seclin pour se défendre de la Révolte des gueux[10] commencée à Bruxelles lors de la révolte d'une partie de la noblesse et du peuple contre les abus du pouvoir espagnol dans les Pays-Bas.
Seigneur de GondecourtModifier
Le 1er août 1664, est érigée en baronnie la terre et seigneurie d'Avelin et ses dépendances de La Madeleine, la mairie de Gondecout et la seigneurie du Plouich, par lettres données à Madrid au profit de Michel de Hangouart, chevalier, grand bailli de Wavrin, à cause des bons et loyaux services rendus par différents membres de sa famille, notamment Gérard Hangouart, tué à la bataille de Nancy en 1477 (mort du duc de Bourgogne Charles le Téméraire), Guillaume Hangouart, président du conseil provincial d'Artois, Walerand Hangouart aumônier de Charles V (Charles Quint) et prévôt du chapitre Saint-Pierre de Lille[13].
Époque contemporaineModifier
Productions locales du passéModifier
- Le marais est assaini pour l'agriculture bien avant la Révolution française grâce à un réseau de drainages et à des rus collecteurs appelés naviettes[10]. Le village est longé par la naviette de Phalempin dont les eaux partent ensuite dans la Deûle[14].
- La culture de la plante tinctoriale « wède » ou « guède » (voir Pastel des teinturiers) occupa jadis une place importante[10].
- On y produit du savon noir à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle[10]. Malterie jusque fin XXe siècle[10]. Rue nationale, une grand-porte porte encore l'inscription « Malterie ». Brasserie début XXe siècle rue Germain-Delebecque[10].
- Industries diverses dont injection de plastique[10] depuis milieu du XXe siècle.
- Quelques moulins à huile et à céréales ont été longtemps utilisés[10] ; en témoigne le nom d'un « sentier des moulins »[15] notamment au sud du village. Sous Louis XIV, les cartes de Cassini[16] en affichent quatre sur une petite hauteur, un peu au sud de l'ancienne gare, et sur la gauche de l'ancien chemin des Diligences qui allait de Lille à Paris, en passant par Carvin. Celui-ci existe toujours, n'étant plus qu'un petit chemin agricole qui se poursuit tout droit juste avant que la route ne bifurque à droite vers Carnin-Carvin et approximativement à l'endroit de l'ancien passage à niveau.
EnseignementModifier
Au XVIe siècle, l'historien italien Francesco Guicciardini cite Gondecourt à titre d'exemple de village dans lequel l'instruction publique est très ancienne. La plupart des villageois savent alors lire et écrire.
- Edmond Couvreur, descendant d'une famille d'instituteurs de père en fils, fonde un pensionnat à la fin du XIXe siècle. Cet établissement devient une école primaire de jeune fille jusqu'en 1940, puis un collège sous le nom de « Pensionnat Couvreur », enfin un peu avant 1962, un lycée sous l'appellation « Lycée Mixte d'État de Gondecourt » . C'est aujourd'hui le lycée Marguerite de Flandre, ce nouveau nom ayant été prix lors de la création du 1er nouvel établissement pendant la direction de Mme Gosset déjà en exercice en 1961-62 ; pendant cette longue période le précédant, le seul bâtiment en dur était toujours celui connu et utilisé temporairement pendant la seconde guerre mondiale comme hôpital militaire. Le nouveau lycée a été inauguré sous l'égide de M Jacques Duquesne. Le succès du nouvel établissement fut tel que la commune devra par la suite encore scinder les parties "Lycée" et "Collège" en créant cette fois pour le second un nouvel établissement pour le Collège.
- Collège Georges-Rémi dit Hergé, du nom de l'auteur de Les Aventures de Tintin, est en fonction depuis 1990, et fut inauguré officiellement par la veuve de Hergé en 1995. Le nom fut choisi sur proposition de Monsieur Crespel, professeur de français, par un vote de l'ensemble des élèves et parmi un choix de plusieurs noms célèbres de figures du Nord français et de Belgique.
Lieux et monumentsModifier
ÉgliseModifier
Une première église aurait été construite durant le XIIe siècle. Elle fait place à une seconde église bâtie au XVe siècle. Cette dernière a été détruite, trop endommagée par le temps. Une troisième église est construite par Charles Marteau architecte à Lille, inaugurée le . Après la récupération des 9 cloches par les Allemands lors de la Première Guerre mondiale et la destruction, toujours par les Allemands, en 1918 du clocher, l'église est reconstruite en 1924 sur les plans de 1843.
ChapellesModifier
Le village de Gondecourt compte trois chapelles :
- L'une, en briques, se trouve (N 50° 32' 52.04 ; E 2° 58' 39.76) à l'angle des rues de la Barre et du Maréchal-Leclerc, du début du XXe siècle.
- La seconde, en brique, aussi récente, se trouve (N 50° 32' 33.70 ; E 2° 58' 44.32) à l'angle de la D62 qui mène à Wavrin et de la D39 qui va de Seclin à Annoeulin. Cette route fut longtemps appelée par Route Nationale par les habitants du secteur.
- La troisième, la chapelle Dubron, du nom d'une famille locale qui l'a fondée pour y enterrer l'un de ses siens, tué là, à l'époque[réf. nécessaire], est plus ancienne. En moellons de calcaire, elle est à présent au milieu d'écoles.
(N 50° 32' 43.76 ; E 2° 59' 01.69).
SouterrainsModifier
La commune est truffée d'un réseau souterrain[17].
Ferme seigneurialeModifier
Non loin de l'église, d'un côté de la rue Faidherbe (anciennement rue du Grand-Jardin), se trouve toujours une ferme qui a longtemps gardé le nom de « Château ». Ses dépendances autour du bâtiment central occupent une surface d'un hectare, toujours ceint de murs. Elle fut la propriété d'une famille seigneuriale du village. Une inscription armoriée y est gravée sur une poutre au milieu du plafond d'une cave devant servir de cellier à vin comme le laisse supposer le vers ; on y lit sans la moindre difficulté ces trois lignes, suivis d'un célèbre vers d'Horace[18], date et âge d'un enfant, le tout en latin :
« FLORENTIUS DE LA BROYE, FILIUS ANTONII « Florent de la Broye, fils d'Antoine, CELLAE HUJUS PRIMUM LAPIDEM POSUIT posa la première pierre de ce cellier ANNO 1590, AETATIS SUAE 15 III JUNII » le à l'âge de 15 ans QUO SEMEL EST IMBUTA RECENS SERVABIT ODOREM L'amphore conservera longtemps l'odeur dont elle vient d'être imprégnée » TESTA DIU »
Florent est le second fils, après son aîné Jean, d'Antoine de la Broye de La Val, chevalier, seigneur de Valmaison, de Vieux-Sailly, du Bois et de Gondecourt[19], mourut en 1641 et fut inhumé dans l'église de Gondecourt, avec cette épitaphe :
- Ici repose le corps de messire Antoine de la Broye de la Val, chevalier, seigneur de Malmaison, Vieusailly, du Bois et de Gondecourt, etc., qui mourut le 28 du mois de septembre de l'an 1641. Priez Dieu pour son âme[20]
HéraldiqueModifier
Les armes de Gondecourt se blasonnent ainsi : "D'argent, à la croix de gueules chargée de cinq coquilles du champ."
|
Politique et administrationModifier
Population et sociétéModifier
DémographieModifier
Évolution démographiqueModifier
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[23].
En 2018, la commune comptait 4 045 habitants[Note 3], en augmentation de 3,24 % par rapport à 2013 (Nord : +0,41 %, France hors Mayotte : +2,36 %).
Pyramide des âgesModifier
Lieux et monumentsModifier
- L'église Saint-Martin
Personnalités liées à la communeModifier
- Jacques Duquesne, grand reporter, écrivain et fondateur du magazine Le Point, a vécu dans le village.[réf. nécessaire]
PhotosModifier
Pour approfondirModifier
BibliographieModifier
Articles connexesModifier
Liens externesModifier
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie
- Gondecourt sur le site de l'Institut géographique national
Notes et référencesModifier
NotesModifier
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
RéférencesModifier
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le 1er avril 2021).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le 1er avril 2021).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le 1er avril 2021).
- « Unité urbaine 2020 de Gondecourt », sur https://www.insee.fr/ (consulté le 1er avril 2021).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le 1er avril 2021).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le 1er avril 2021).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur insee.fr (consulté le 1er avril 2021).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le 1er avril 2021).
- Chan. Th. Leuridan, « Gondecourt, son histoire féodale et notes pour sa monographie », Bulletin de la Société d’Études de la Province de Cambrai, n° 19 (1914), p. 145 lire sur Google Livres.
- Marcel Dehorne dans son Histoire de Gondecourt, reprenant en partie des travaux de Leuridan
- Albert Dauzat, La vie rurale en France
- Chan. Th. Leuridan, « Gondecourt, son histoire féodale et notes pour sa monographie, in Bulletin de la Société d’Études de la Province de Cambrai, n° 19 (1914), p. 232 lire sur Google Livres.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 328, lire en ligne.
- « Géoportail - version simple/tablette », sur tab.geoportail.fr (consulté le 14 mai 2016).
- « Géoportail - version simple/tablette », sur tab.geoportail.fr (consulté le 14 mai 2016).
- http://cassini.seies.net/
- La Voix du Nord http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Seclin/actualite/Secteur_Seclin/2011/04/22/article_la-ville-de-gondecourt-est-elle-truffeed.shtml
- Horace, Épîtres, I, 2 : "Quo semel est imbuta recens servabit odorem / testa diu...'" : "L'amphore conservera longtemps l'odeur dont elle vient d'être imprégnée".
- Non le village en lui-même mais une seigneurie du même nom qui se trouvait sur le territoire même de la commune de Gondecourt, cette dernière n'appartenant pas à cette famille malgré ses nombreuses tentatives toujours rejetées par les trivunaux jusqu'à la révolution de 1789
- Chanoine Théodore Leuridan, épigraphie du Nord, tome IV, p 1190.
- https://reader.cafeyn.co/fr/1926580/21600302
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Évolution et structure de la population à Gondecourt en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le 28 juillet 2010).
- « Résultats du recensement de la population du Nord en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le 28 juillet 2010).