Courcelles-sous-Moyencourt

commune française du département de la Somme

Courcelles-sous-Moyencourt
Courcelles-sous-Moyencourt
La mairie
Blason de Courcelles-sous-Moyencourt
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Amiens
Intercommunalité CC Somme Sud-Ouest
Maire
Mandat
Jean-Pierre Chopin
2020-2026
Code postal 80290
Code commune 80218
Démographie
Population
municipale
152 hab. (2021 en augmentation de 19,69 % par rapport à 2015)
Densité 22 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 48′ 51″ nord, 2° 02′ 43″ est
Altitude Min. 97 m
Max. 162 m
Superficie 6,78 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Poix-de-Picardie
Législatives 4e circonscription de la Somme
Localisation
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Courcelles-sous-Moyencourt
Liens
Site web https://courcellessousmoyencourt.fr/

Courcelles-sous-Moyencourt est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Géographie modifier

Localisation modifier

Communes limitrophes modifier

Description modifier

 
Ambiance du village : l'église dans le lointain.

Courcelles-sous-Moyencourt se trouve, par la route, à une quinzaine de kilomètres au sud-ouest d'Amiens.

Le territoire communal est traversé de manière parallèle par l'autoroute A29 et la départementale 1029.

En 2019, la localité est desservie par les lignes de bus du réseau Trans'80, chaque jour de la semaine, sauf le dimanche et les jours fériés[1].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 734 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Oisemont à 25 km à vol d'oiseau[4], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 801,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Courcelles-sous-Moyencourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76,6 %), forêts (14 %), zones agricoles hétérogènes (9,4 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement modifier

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 68, alors qu'il était de 59 en 2013 et de 57 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 86,4 % étaient des résidences principales, 6 % des résidences secondaires et 7,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 100 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Courcelles-sous-Moyencourt en 2018 en comparaison avec celle de la Somme et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (6 %) inférieure à celle du département (8,3 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 77,2 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (76,9 % en 2013), contre 60,3 % pour la Somme et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Courcelles-sous-Moyencourt en 2018.
Typologie Courcelles-sous-Moyencourt[I 1] Somme[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 86,4 83,3 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 6 8,3 9,7
Logements vacants (en %) 7,5 8,4 8,2

Toponymie modifier

Le lieu a été désigné : Goulecueles en 1166; Golecheules en 1184; Courcetlae en 1234; Courcheles-desous-Moiencourt en 1281, Colcellae et Corcel en 1300; CourceIles-Iez-Poix en 1609[14].

Courcelle est un nom commun en moyen français (Renaissance) qui désigne une « petite cour » ou « un petit jardin[15] ». Ce nom est issu du mot gallo-roman et gallo-italien (Moyen Âge) corticella qui signifie « petit domaine » et qui est formé de cōrtem (forme médiévale du mot latin cohors) avec le suffixe diminutif -icella. Cohors désigne en latin une « cour » ou un « enclos[16] ».

Histoire modifier

La voie romaine de Rouen à Amiens, après avoir dépassé Poix-de-Picardie, passait à Courcelles, où elle est citée dès 1234[14].

Des traces de constructions étaient assez importantes, à la fin du XVe siècle, au lieu-dit Tassarville, pour que l'imagination populaire y vit une ancienne « ville ». A cette époque un chemin reliait Tassarville à Courcelles[14].

La paroisse disposait de son propre droit coutumier, rédigé en 1507, et dérivé de celui du bailliage d'Amiens. La seigneurie relevait de Famechon et comprenait, en 1495, 23 masures et 280 journaux de terre. Des fiefs s'étant réunis au domaine, elle comprenait en 1725, 267 journaux de domaine non fieffés, exploités directement par le seigneur, plus 81 masures amasées ou non et 416 journaux fieffés. Le seigneur avait toute justice[14].

Le château du village a été construit dans la première moitié du XVIIIe siècle par Pierre Langlois de Septenville, administrateur des Postes.

Circonscriptions d'Ancien Régime

Le village relevait en 1749 en partie de la prévôté royale de Beauvaisis à Grandvilliers et de celle foraine et du présidial de Clermont, du bailliage d'Amiens, de l'élection d'Amiens, intendance de Picardie, grenier à sel d'Amiens[14],

La paroisse Saint Jean-Baptiste dépendait du doyenné de Poix, archidiaconé et diocèse d'Amiens[14]

Le curé était nommé par l'évêque d'Amiens. La dîme était perçue en 1788 pour trente et un quarante-cinquièmes par le curé, neuf quarante-cinquièmes par le prieur de Conty, cinq quarante-cinquièmes au prieur de Notre-Dame de Poix[14].

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de la Somme.

Elle fait partie depuis 1801 du canton de Poix-de-Picardie[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, où la commune reste intégrée, est modifié et agrandi.

Intercommunalité modifier

La commune était membre de la communauté de communes du Sud-Ouest Amiénois (CCSOA), créée en 2004.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.

Ce projet prévoit la « fusion des communautés de communes du Sud-Ouest Amiénois, du Contynois et de la région d’Oisemont », le nouvel ensemble de 37 412 habitants regroupant 120 communes[18],[19]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en janvier 2016[20], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion[21].

La communauté de communes Somme Sud-Ouest (CC2SO), dont est désormais membre la commune, est ainsi créée au [22].

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs[23]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 avril 2014 Jean de Franssu    
avril 2014[24] En cours
(au 28 mai 2020)
Jean-Pierre Chopin[25]   Écrivain, philosophe, essayiste, dramaturge et critique d'art
Réélu pour le mandat 2020-2026[26]

Distinctions et labels modifier

La commune a été distinguée en 2018 par le prix du fleurissement remarquable, le prix du village picard et le prix de la biodiversité[27], puis a obtenu en 2019 le label Villages fleuris avec une « première fleur ». Elle obtient en décembre 2022 une « deuxième fleur » au Concours des villes et villages fleuris[28],[29],[30].

Équipements et services publics modifier

Enseignement modifier

Quevauvillers, Fresnoy-au-Val et Courcelles-sous-Moyencourt sont associées au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI)[31].

La compétence scolaire est prise en charge par la communauté de communes au niveau de la scolarité primaire.

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].

En 2021, la commune comptait 152 habitants[Note 3], en augmentation de 19,69 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
364361349324349335325327292
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
282281242246228225217199199
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
191153147121124146132117131
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
115118103119133141136135125
2017 2021 - - - - - - -
139152-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Sous l'Ancien Régime, le village comptait en 1379 17 hostises ou masures ; en 1698, 400 habitants ; en 1709, 87 feux ; en 1724, 81 feux et 255 habitants ; en 1760, 93 feux et enfin en 1772, 80 feux et 267 habitants[14].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

 
La mare fleurie, devant l'entrée du château.

La structure du village, situé dans un paysage vallonné et boisé, est inhabituelle, avec sa place en carrousel, sa mare et la majorité de ses rues en impasses qui limitent la circulation[27].

On peut signaler[27] :

  • L'église de la Nativité-de-saint-Jean-Baptiste, du XVIe siècle[38], inscrit aux monuments historiques[39]. Les fenêtres sont du XIXe siècle; réalisées sur le modèle de celle du chevet, dont les remplages paraissent anciens[14].

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

  Blason
Tiercé en pairle renversé : au 1er d'azur à trois fleurs de lys d'or, au 2e de gueules à l'agneau passant contourné d'argent, au 3e d'argent à trois merlettes de gueules mal ordonnées.
Détails
Adopté par la municipalité. Les De Gomer portaient sept merlettes. Les fleurs de lis sont issues des armes de la Picardie[41].

Voir aussi modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie modifier

  • G. Beaurain (pour le chapitre consacré au canton de Poix), Société des antiquaires de Picardie, Dictionnaire historique et archéologique de la Picardie, t. III : Arrondissement d'Amiens : cantons d'Oisemont, Picquigny, Poix et Villers-Bocage, Amiens, Yvert & Tellier, , 721 p. (lire en ligne), p. 385-393, lire en ligne sur Gallica, réimpression : Éditions Culture et Civilisation, Bruxelles, 1979

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

Autres sources modifier

  1. « Trans80, Hauts-de-France »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur trans80.hautsdefrance.fr.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Courcelles-sous-Moyencourt et Oisemont », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Oisemont_sapc » (commune d'Oisemont) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Oisemont_sapc » (commune d'Oisemont) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a b c d e f g h et i Dictionnaire historique et archéologique de la Picardie, op. cit. en bibliographie.
  15. Page du mot « Courcelle » du site du CNRTL, cnrtl.fr.
  16. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, réédition Guénégaud, 1978, p. 210 sous « Corcelles ».
  17. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  19. Benoît Delespierre, « Intercommunalité : La carte qui fait peur aux élus locaux », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  20. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
  21. « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes du sud- ouest Amiénois, de la communauté de communes du Contynois et de la communauté de communes de la région d'Oisemont », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031,‎ , p. 93-95 (lire en ligne [PDF]).
  22. « Arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Somme Sud-Ouest issue de la fusion de la communauté de communes du Continois, de la communauté de communes de la Région de Oisement et de la communauté de communes du Sud Ouest Amiénois à compter du  » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
  23. « Les maires de Courcelles-sous-Moyencourt », sur francegenweb.org (consulté le ).
  24. Le Courrier picard, édition d'Abbeville, 11 avril 2014, p. 19.
  25. Monique Biéri, « Un maire sur les traces de Montaigne… : Jean-Pierre Chopin, le maire de Courcelles-sous-Moyencourt, vient de publier un septième ouvrage chez L’Harmattan », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. Pierre-Emmanuel Reger, « Près de Poix-de-Picardie, Jean-Pierre Chopin est réélu maire : Jean-Pierre Chopin a été réélu mardi 26 mai 2020 maire de Courcelles-sous-Moyencourt, près de Poix-de-Picardie (Somme) », Le Réveil,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. a b et c Matthias Schweisguth, « Trois prix de fleurissement - La beauté du village pour donner du bonheur », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3528,‎ , p. 25.
  28. Mathieu Marin, « Courcelles-sous-Moyencourt. La municipalité en course pour obtenir la deuxième fleur du label Villages fleuris : La municipalité de Courcelles-sous-Moyencourt relance les animations. Le maire, Jean-Pierre Chopin, souhaite également obtenir la 2e fleur du label Villages fleuris cet été », Le Réveil,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. Stéphane Dargent, « Courcelles-sous-Moyencourt : une fleur en hiver », Le Courrier picard, 3 décembre 2022.
  30. « La fierté de tout un village : une deuxième fleur en trois ans - Courcelles-sous-Moyencourt : le village vient d'obtenir sa deuxième fleur au label des villes et villages fleuris. Une grande fierté pour le maire qui passe en revue les aménagements entrepris pour y parvenir », Le Bonhomme picard, 21 décembre 2022, p. 20.
  31. « La kermesse », JOURNAL D’INFORMATIONS MUNICIPAL, no 5,‎ , p. 18
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. « Le Château », notice no PA00116126, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. « Cartes postales anciennes : A) Courcelles-sous-Moyencourt - Le Château B) Courcelles - Château - Groupe Le Piqueur (Bronze de Jacquemart). L. Caron, phot.-édit., Amiens C) Courcelles-sous-Moyencourt (Somme) - Le Château », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  37. « Jardin d'agrément et jardin botanique du château de Courcelles-sous-Moyencourt », notice no IA80000422, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Église de Courcelles-sous-Moyencourt, canton de Poix, d'après nature, 2 juin 1868 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  39. a et b Arrêté portant inscription de l'église (p.3) et de la croix monumentale (p.6)
  40. « Balade commentée dans la commune ce vendredi soir » (Au programme de la visite, le château, l'église, la croix et la halle), Courrier picard,‎ , p. 16.
  41. « Le blason dans l'Armorial de France » (consulté le ).