Castillon (près de Lembeye)

commune française du département des Pyrénées-Atlantiques (canton de Lembeye)

Castillon
Castillon (près de Lembeye)
Entrée dans le village.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes du Nord Est Béarn
Maire
Mandat
Robert Gaye
2020-2026
Code postal 64350
Code commune 64182
Démographie
Gentilé Castillonnais
Population
municipale
74 hab. (2021 en augmentation de 8,82 % par rapport à 2015)
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 28′ 52″ nord, 0° 07′ 37″ ouest
Altitude Min. 154 m
Max. 307 m
Superficie 4,72 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Pau
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Castillon
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Castillon
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Castillon

Castillon, ou de façon non officielle Castillon-de-Lembeye (en béarnais Castilhon ou Castilhoû), est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie modifier

Localisation modifier

La commune de Castillon (canton de Lembeye) se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 35 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 32 km de Serres-Castet[3], bureau centralisateur du canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lembeye[1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Lespielle (1,5 km), Arricau-Bordes (1,6 km), Escurès (1,7 km), Séméacq-Blachon (2,5 km), Corbère-Abères (3,3 km), Gayon (3,4 km), Lembeye (3,7 km), Vialer (4,4 km).

Sur le plan historique et culturel, Castillon (canton de Lembeye) fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

Communes limitrophes de Castillon (canton de Lembeye)[6]
Arricau-Bordes Séméacq-Blachon
Gayon   Corbère-Abères
Lespielle Escurès

Hydrographie modifier

La commune est drainée par le Léez, le Lisau, le ruisseau de l'Engalinette, le ruisseau de Sourvayet, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 6 km de longueur totale[7],[Carte 1].

Le Léez (56 km) prend sa source dans la commune de Gardères, s'écoule du sud vers le nord et longe le territoire communal dans sa partie nord-ouest, constituant la limite communale avec Gayon. Il se jette dans l'Adour à Barcelonne-du-Gers, après avoir traversé 31 communes[8].

Le Lisau (13,3 km) prend sa source dans la commune d'Escurès et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Larcis à Aubous, après avoir traversé 7 communes[9].

Climat modifier

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[11].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[10]

  • Moyenne annuelle de température : 13,1 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,5 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,3 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 14 °C
  • Cumuls annuels de précipitation : 1 093 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,3 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lembeye », sur la commune de Lembeye, mise en service en 1972[15] et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[16],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de précipitations de 1 059,8 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 26 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[19], à 13,4 °C pour 1981-2010[20], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[21].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Espaces protégés modifier

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[22],[23]. Un espace protégé est présent sur la commune : le « coteau de Lembeye », un terrain acquis (ou assimilé) par un conservatoire d'espaces naturels,, d'une superficie de 97,5 ha[24].

Réseau Natura 2000 modifier

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : les « coteaux de Castetpugon, de Cadillon et de Lembeye »[26], d'une superficie de 220 ha, présentant des pelouses calcaires riches en orchidées et autres plantes rares régionalement, globalement bien conservées[27],[Carte 2].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique modifier

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 7] est recensée sur la commune[28],[Carte 3] : les « pelouses à orchidées de Burosse-Mendousse, Castetpugon, Cadillon et Castillon » (86,99 ha), couvrant 6 communes du département[29] et une ZNIEFF de type 2[Note 8],[28],[Carte 4] : les « coteaux calcaires du Béarn » (461,36 ha), couvrant 20 communes du département[30].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Castillon (canton de Lembeye) est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9],[31],[32],[33].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 10]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[34],[35].

Occupation des sols modifier

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (69,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (34,3 %), forêts (30,4 %), terres arables (28,3 %), prairies (7 %)[36].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 5].

Lieux-dits et hameaux modifier

  • l'Église ;
  • Lisoo.

Voies de communication et transports modifier

Elle est desservie par les routes départementales 13 et 298.

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Castillon (canton de Lembeye) est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[37]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[38].

Risques naturels modifier

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment le Léez et le Lisau. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 2009[39],[37].


Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[40]. 61,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 6]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 11],[41].

Risque technologique modifier

La commune est en outre située en aval de barrages de classe A[Note 12]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[43].

Toponymie modifier

Le toponyme Castillon apparaît sous les formes Castelhoo (1385[44], censier de Béarn[45]) et Castelhon (1439[44], contrats de Carresse[46]).

Son nom béarnais est Castilhon[47] ou Castilhoû[48].

Les Bordes de Castillon étaient un fief, sur la commune de Castillon, relevant de la vicomté de Béarn. Ce toponyme apparaît sous la forme les Granges de Castillon en 1763[44] (règlement des États de Béarn[49]).

Histoire modifier

Paul Raymond[44] note qu'en 1385, Castillon comptait vingt-deux feux et dépendait du bailliage de Lembeye. Le fief de la commune était vassal de la vicomté de Béarn.

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1995 En cours Robert Gaye    
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité modifier

Castillon fait partie de cinq structures intercommunales[50] :

  • la communauté de communes du canton de Lembeye en Vic-Bilh ;
  • le SIVU de la voirie du canton de Lembeye ;
  • le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat d'irrigation de la vallée des Lées ;
  • le syndicat intercommunal d'alimentation en eau potable (SIAEP) du Vic-Bilh Montanérès.

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[52].

En 2021, la commune comptait 74 habitants[Note 13], en augmentation de 8,82 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
182180169201222209194209218
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
208192157163164164148130116
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
1361331031079492859189
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
787768625771785963
2019 2021 - - - - - - -
6974-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[53] puis Insee à partir de 2006[54].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

La commune fait partie des zones d'appellation d'origine contrôlée (AOC) du madiran, du pacherenc-du-vic-bilh et du béarn.

Culture locale et patrimoine modifier

 
Quelques maisons du village.

Patrimoine civil modifier

Les vestiges d'un ensemble fortifié[55], utilisé durant la préhistoire puis au XIe ou XIIe siècle, témoignent du passé ancien du village.

Le château[56] de Castillon date de la fin du XVIIe siècle.

Patrimoine religieux modifier

L'église Saint-Pierre date partiellement du XIVe siècle.

Équipements modifier

Personnalités liées à la commune modifier

Pour approfondir modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
  4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  6. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[25].
  7. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  8. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  9. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  10. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  11. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  12. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[42].
  13. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Castillon (canton de Lembeye) » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Castillon (canton de Lembeye) », sur geoportail.gouv.fr.
  3. « ZNIEFF de type I sur la commune de Castillon (canton de Lembeye) », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. « ZNIEFF de type II sur la commune de Castillon (canton de Lembeye) », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  5. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  6. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a b et c « Métadonnées de la commune de Castillon (canton de Lembeye) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Castillon (canton de Lembeye) et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Castillon (canton de Lembeye) et Serres-Castet », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Castillon (canton de Lembeye) », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  6. Carte IGN sous Géoportail
  7. « Fiche communale de Castillon (canton de Lembeye) », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  8. Sandre, « le Laas ».
  9. Sandre, « le Lisau ».
  10. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  11. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  12. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  13. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  14. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
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  18. « Orthodromie entre Castillon (canton de Lembeye) et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
  19. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1971-2000 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
  20. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
  21. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1991-2020 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
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  25. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  26. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Castillon (canton de Lembeye) », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  28. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Castillon (canton de Lembeye) », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  54. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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