Vialer

commune française du département des Pyrénées-Atlantiques

Vialer
Vialer
Centre du village de Vialer avec son église.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes des Luys en Béarn
Maire
Mandat
Marie-Christine Maillot
2020-2026
Code postal 64330
Code commune 64552
Démographie
Gentilé Vialerois
Population
municipale
160 hab. (2021 en diminution de 15,34 % par rapport à 2015)
Densité 22 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 30′ 11″ nord, 0° 10′ 19″ ouest
Altitude Min. 138 m
Max. 286 m
Superficie 7,29 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Pau
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Vialer

Vialer (en béarnais Lo Vialèr ou Lou Bialè) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie modifier

Localisation modifier

La commune de Vialer se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 37 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 34 km de Serres-Castet[3], bureau centralisateur du canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lembeye[1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Gayon (2,2 km), Saint-Jean-Poudge (2,8 km), Cadillon (3,1 km), Lalongue (3,1 km), Arricau-Bordes (3,2 km), Burosse-Mendousse (3,3 km), Lannecaube (3,8 km), Lespielle (4,0 km).

Sur le plan historique et culturel, Vialer fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

Hydrographie modifier

 
Réseaux hydrographique et routier de Vialer.

La commune est drainée par le Léez, le ruisseau de Larrigan, le ruisseau de Roudigou, le ruisseau du Gerp et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 12 km de longueur totale[7],[Carte 1].

Le Léez (56 km) prend sa source dans la commune de Gardères, s'écoule du sud vers le nord et longe le territoire communal dans sa partie est, constituant la limite communale avec Arricau-Bordes puis avec Cadillon. Il se jette dans l'Adour à Barcelonne-du-Gers, après avoir traversé 31 communes[8].

Climat modifier

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 098 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Mont-Disse à 6 km à vol d'oiseau[12], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 010,8 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[16],[17],[18].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Vialer est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[19],[20],[21].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[22],[23].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (82,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,1 %), zones agricoles hétérogènes (30,5 %), forêts (17,3 %)[24]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et hameaux modifier

  • Chaperot ;
  • Château ;
  • Cerisère ;
  • Coujet ;
  • Église ;
  • Gerp ;
  • Granges Soubirou ;
  • le Hameau ;
  • Lamarque ;
  • Lartigue ;
  • Laslanettes ;
  • Roudigou ;
  • Tisné.

Voies de communication et transports modifier

La commune est desservie par les routes départementales 104, 143 et 219.

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Vialer est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].

Risques naturels modifier

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment le Léez. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 2001, 2007, 2009 et 2011[27],[25].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Vialer.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[28]. 74 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 3]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[29].

Risque particulier modifier

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Vialer est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[30].

Toponymie modifier

Le toponyme Vialer apparaît sous les formes Lo Vieler de Tarnos (1385[31], censier de Béarn[32]), Vielaa (1402[31], censier de Béarn[32]), Lo Bialer, lo Vieler en Vic-Bilh, lo Vieller de Sanct-Johan-Podge, lo Vialer, le Vialler et Saint-Pierre du Vialer (respectivement 1542[31], 1544[31], 1546[31], 1554[31], 1675[31] et 1682[31], réformation de Béarn[33]).

Son nom béarnais est Lo Vialèr[34] ou Lou Bialè[35].

Histoire modifier

À l'origine, Vialer semble avoir fait partie de Saint-Jean-Poudge : Paul Raymond[31] note qu'en 1385, Vialer qui s'appelle le Vialer (hameau) de Tarnos, dépendait du bailliage de Lembeye et comptait treize feux. En 1546, Vialer est appelé Vialer de Saint-Jean-Poudge. Vialer est sans doute une des créations villageoises du XIVe siècle[36]

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs
Date d'élection Identité Qualité
Les données antérieures à 1995 ne sont pas encore connues.
1995 Jean-Baptiste Lafargue
2001 Jean-Baptiste Lafargue
2008 Jean-Baptiste Lafargue

Intercommunalité modifier

Vialer fait partie de six structures intercommunales[37] :

  • la communauté de communes du canton de Garlin ;
  • le SIVU de la voirie de la région de Garlin ;
  • le SIVU du Lées et affluents ;
  • le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat d'irrigation de la vallée des Lées ;
  • le syndicat intercommunal d'alimentation en eau potable Luy - Gabas - Lées.

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[39].

En 2021, la commune comptait 160 habitants[Note 6], en diminution de 15,34 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
311278285380415426471427489
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
466436400376389372358294309
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
305290297233228226226213200
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
198181163146149180194191190
2021 - - - - - - - -
160--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

La commune fait partie des zones d'appellation d'origine contrôlée (AOC) du madiran, du pacherenc-du-vic-bilh et du béarn et est incluse dans la concession du Vic-Bilh avec une exploitation pétrolière active.

Culture locale et patrimoine modifier

 
L'église, côté chevet.

Patrimoine civil modifier

Une demeure de notable, dite château de Loo[42] ou Trinquat, date du début du XIIe siècle puis fut remaniée au siècle suivant.

Vialer présente un ensemble de fermes et de maisons[43] datant des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles.

Le moulin dit de Lahourcade ou de Ladevèze[36],[44] est porté sur le cadastre de 1819, le bâtiment actuel porte une date de 1838.

Patrimoine religieux modifier

L'église Saint-Pierre[36],[45], mentionnée au XVIIe siècle date essentiellement du XVIIIe siècle. Son clocher-porche terminé entre 1754 et 1756 en est l'élément le plus remarquable. Elle recèle du mobilier[46], une estampe[47], des verrières[48], une dalle funéraire[49] et des objets[50] inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel.

Équipements modifier

Personnalités liées à la commune modifier

Au XIXe siècle, une dalle, placée sur la voie publique, depuis conservée au musée de Morlaas, mentionnait qu'Isaac de Soubiron, seigneur de Loo, mort en 1721, avait été conseiller au Parlement de Toulouse[36].

Le peintre Roger Laüt s'est établi à Vialer depuis les années 1990[51].

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Vialer » sur Géoportail (consulté le 11 août 2021)..
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a b et c « Métadonnées de la commune de Vialer », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Vialer et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Vialer et Serres-Castet », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Vialer », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  6. Carte IGN sous Géoportail
  7. « Fiche communale de Vialer », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  8. Sandre, « le Laas ».
  9. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  11. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  12. « Orthodromie entre Vialer et Mont-Disse », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Mont-Disse » (commune de Mont-Disse) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Mont-Disse » (commune de Mont-Disse) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  16. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Vialer », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « Liste des ZNIEFF de la commune de Vialer », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « Liste des espaces protégés sur la commune de Vialer », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  21. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pau », sur insee.fr (consulté le ).
  23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  25. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Vialer », sur Géorisques (consulté le ).
  26. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  27. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  28. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  29. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  30. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  31. a b c d e f g h et i Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
  32. a et b Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne). .
  33. Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
  34. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF] (consulté le ).
  35. Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
  36. a b c et d Ouvrage Collectif, Vic-Bilh, Morlaas, Montaneres, Pyrénées Atlantique, Inventaire Topographique, Paris, Imprimerie Nationale, , 720 p. (ISBN 2-11-080952-3), p. 610-612.
  37. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  42. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur le château de Loo
  43. [1][2][3][4][5][6][7][8][9][10] Ministère de la Culture, base Mérimée - Notices sur les fermes et maisons anciennes
  44. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur le moulin de Ladevèze
  45. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Pierre
  46. [11][12] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur le mobilier de l'église Saint-Pierre
  47. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur l'estampe de l'église Saint-Pierre
  48. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur les verrières de l'église Saint-Pierre
  49. Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur la dalle funéraire de l'église Saint-Pierre
  50. [13][14][15][16][17] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur les objets référencés de l'église Saint-Pierre
  51. Laure Laüt-Taccoen, « Roger Laüt », sur rogerlaut.com, a août 2014 (consulté le ).

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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