Gayon

commune française du département des Pyrénées-Atlantiques

Gayon (en béarnais Gaion ou Gayoû) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Gayon
Mairie du village béarnais de Gayon(64)
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes du Nord Est Béarn
Maire
Mandat
Pierre Peilhet
2020-2026
Code postal 64350
Code commune 64236
Démographie
Population
municipale
54 hab. (2021 en diminution de 3,57 % par rapport à 2015)
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 29′ 00″ nord, 0° 10′ 07″ ouest
Altitude Min. 148 m
Max. 298 m
Superficie 3,95 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Pau
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Gayon
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Gayon
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Gayon

Le gentilé est Gayonais[1].

Géographie modifier

Localisation modifier

La commune de Gayon se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

Elle se situe à 33 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, et à 30 km de Serres-Castet[4], bureau centralisateur du canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lembeye[2].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Lalongue (1,8 km), Vialer (2,2 km), Lespielle (2,3 km), Arricau-Bordes (3,1 km), Castillon (3,4 km), Lannecaube (3,5 km), Escurès (4,2 km), Simacourbe (4,4 km).

Sur le plan historique et culturel, Gayon fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].

Communes limitrophes de Gayon[7]
Vialer Arricau-Bordes
Lalongue   Castillon
Lespielle

Hydrographie modifier

 
Réseaux hydrographique et routier de Gayon.

La commune est drainée par le Léez, le ruisseau de Larrigan, le ruisseau de Tachoires et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 6 km de longueur totale[8],[Carte 1].

Le Léez (56 km) prend sa source dans la commune de Gardères, s'écoule du sud vers le nord et longe le territoire communal dans sa partie est, constituant la limite communale avec Castillon et Arricau-Bordes. Il se jette dans l'Adour à Barcelonne-du-Gers, après avoir traversé 31 communes[9].

Climat modifier

Historiquement, la commune est dans une zone de transition entre les climats océaniques aquitain et montagnard[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Aquitaine, Gascogne » et « Pyrénées atlantiques »0[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 102 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Mont-Disse à 8 km à vol d'oiseau[13], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 010,8 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Espaces protégés modifier

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[17],[18]. Un espace protégé est présent sur la commune : le « coteau de Garlin », un terrain acquis (ou assimilé) par un conservatoire d'espaces naturels,, d'une superficie de 20,6 ha[19].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Gayon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[20],[21],[22].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[23],[24].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,1 %), zones agricoles hétérogènes (25,5 %), forêts (11,7 %), cultures permanentes (11,5 %), prairies (6,3 %)[25]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et hameaux modifier

  • Boupélhère
  • Chaperot
  • Lauga
  • Le Moulin
  • Soubiraa.

Voies de communication et transports modifier

Elle est desservie par les routes départementales 143 et 228.

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Gayon est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[26]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[27].

Risques naturels modifier

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à  débordement lent de cours d'eau, notamment le Léez. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 2007 et 2009[28],[26].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Gayon.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[29]. 72,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 3]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[30].

Toponymie modifier

Le toponyme Gayon apparaît sous les formes Caioo (1383[31], contrats de Luntz[32]), Gayoo (1385[31], censier de Béarn[33]) et Saint-Jean-Baptiste de Gayon (1772[31], terrier de Gayon[34]).

Son nom béarnais est Gaion[35] ou Gayoû[36].

Histoire modifier

Paul Raymond[31] note qu'en 1385, Gayon comptait vingt-deux feux et dépendait du bailliage de Lembeye.

Politique et administration modifier

Liste des maires de Gayon
Période Identité Étiquette Qualité
été 1900 été 1935 Étienne Latisnière   Inventeur constructeur de machines agricoles
? 9 Mai 1945 Félix Trieulet   Agriculteur
10 Mai 1945 29 Octobre 1947 Germain Lortet   Constructeur de machines agricoles
30 Octobre 1947 23 Mars 1959 Jean Rey   Chauffeur de car et restaurateur
24 Mars 1959 20 Mars 1971 Gabriel Argel   Agriculteur
21 Mars 1971 16 Mars 2001 Louis Lacoustille DVD Instituteur
17 Mars 2001 En cours
(au 1 octobre 2023)
Pierre Peilhet   Agriculteur
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité modifier

Gayon fait partie de quatre structures intercommunales[37] :

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[39].

En 2021, la commune comptait 54 habitants[Note 6], en diminution de 3,57 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
263229371225281299306290295
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
246227205206214186197175159
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
17317517713513713012811698
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
94115114957792696257
2018 2021 - - - - - - -
5554-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

La commune fait partie des zones d'appellation d'origine contrôlée (AOC) du madiran, du pacherenc-du-vic-bilh et du béarn.

Culture locale et patrimoine modifier

Patrimoine civil modifier

Un ensemble fortifié[42], dit de la Motte, et datant du XIe siècle témoigne du passé ancien du village, c'est le premier siège de la seigneurie, transféré ensuite au château[43]. Ce dernier date partiellement des XIIIe et XIVe siècle[44].

La base du moulin, au lieu-dit du même nom, date du XIIIe siècle.

La commune présente un ensemble de maisons et de fermes[45] des XVIIe et XVIIIe siècles.

Patrimoine religieux modifier

 
Eglise du village de Gayon

L'église a été établie dans la basse-cour castrale au pied de l'ensemble fortifié[44]. L'église Saint-Jean-Baptiste[46] fut complètement transformée au début du XXe siècle. Elle recèle des objets[47] et des verrières[48] inscrits à l'inventaire générale du patrimoine culturel.

Équipements modifier

Personnalités liées à la commune modifier

Lors de l'inauguration du monument aux morts, vers juillet 1950, le conseiller général du canton de Lembeye, Maurice Delom Sorbé a déclaré rendre hommage aux enfants de la commune en disant : « Et les fils sont tombés dont les pères étaient morts »[réf. nécessaire].

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Gayon » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Gentilé sur habitants.fr
  2. a b et c « Métadonnées de la commune de Gayon », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Gayon et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Gayon et Serres-Castet », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Communes les plus proches de Gayon », sur villorama.com (consulté le ).
  6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, , 637 p. (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  7. Carte IGN sous Géoportail
  8. « Fiche communale de Gayon », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  9. Sandre, « le Léez ».
  10. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  12. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  13. « Orthodromie entre Gayon et Mont-Disse », sur fr.distance.to (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Mont-Disse » (commune de Mont-Disse) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  15. « Station Météo-France « Mont-Disse » (commune de Mont-Disse) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  16. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  17. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
  18. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « le « Coteau de Garlin » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  22. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pau », sur insee.fr (consulté le ).
  24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  26. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Gayon », sur Géorisques (consulté le ).
  27. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  28. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  29. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  30. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  31. a b c et d Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
  32. Contrats retenus par Luntz, notaire de Béarn - Manuscrit du XIVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  33. Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne). .
  34. Manuscrit du XVIIIe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  35. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF] (consulté le ).
  36. Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
  37. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  42. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'ensemble fortifié
  43. Ministère de la Culture, - base Mérimée - Notice sur le château de Gayon
  44. a et b Ouvrage Collectif, Vic-Bilh, Morlaas, Montaneres, Pyrénées Atlantique, Inventaire Topographique, Paris, Imprimerie Nationale, , 720 p. (ISBN 2-11-080952-3), p. 380-383.
  45. [1][2][3][4] Ministère de la Culture, base Mérimée - Notices sur les bâtisses anciennes de Gayon
  46. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Jean-Baptiste
  47. [5][6][7] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur les objets référencés de l'église Saint-Jean-Baptiste
  48. [8][9] Ministère de la Culture, base Palissy - Notices sur les verrières de l'église Saint-Jean-Baptiste

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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