Castelnau-de-Montmiral

commune française du département du Tarn

Castelnau-de-Montmiral (en occitan Castèlnòu de Montmiralh) est une commune française située dans le nord-ouest du département du Tarn, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Gaillacois, un pays qui doit sa notoriété à la qualité de ses vins.

Castelnau-de-Montmiral
Castelnau-de-Montmiral
Blason de Castelnau-de-Montmiral
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Tarn
Arrondissement Albi
Intercommunalité Gaillac Graulhet Agglomération
Maire
Mandat
Paul Salvador
2020-2026
Code postal 81140
Code commune 81064
Démographie
Gentilé Montmiralais, Montmiralaise
Population
municipale
1 050 hab. (2021 en évolution de +0,57 % par rapport à 2015)
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 57′ 59″ nord, 1° 49′ 18″ est
Altitude Min. 153 m
Max. 485 m
Superficie 88,81 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Gaillac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vignobles et Bastides
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Liens
Site web site officiel

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Vère, le Tescou, le Ruisseau de Rô, le Ruisseau du Rô Oriental et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (la « forêt de la Grésigne » et la « forêt de Grésigne et environs »), un espace protégé (le « Montoulieu ») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Castelnau-de-Montmiral est une commune rurale qui compte 1 050 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 3 116 habitants en 1846. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Gaillac. Ses habitants sont appelés les Montmiralais ou Montmiralaises.

Géographie

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Commune située entre Albi et Montauban.

La commune est traversée d'est en ouest par la Vère. Au nord de cette rivière s'étend la forêt de Grésigne, une des plus vastes forêts de chênes de France et même d'Europe. Le sud de la Vère est en partie occupé par un plateau calcaire (causse). Le village est d'ailleurs construit sur un piton calcaire qui surplombe la vallée de la Vère.

Communes limitrophes

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Castelnau-de-Montmiral est limitrophe de onze autres communes. Les communes limitrophes sont Broze, Cahuzac-sur-Vère, Gaillac, Larroque, Lisle-sur-Tarn, Penne, Puycelsi, Saint-Beauzile, Sainte-Cécile-du-Cayrou, Vaour et Le Verdier.

Géologie et relief

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La superficie de la commune (8 881 hectares) en fait une des plus grandes du département ; son altitude varie de 153 à 486 mètres[2].

Voies de communication et transports

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Accès avec la route départementale D964 (ex : Route nationale 664)

Hydrographie

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La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par la Vère (affluent de l'Aveyron), le Tescou, le ruisseau de Rô, le ruisseau du Rô Oriental, l'Audoulou, le Merdaoussou, le Rieutort, l'Infernou, Riou Nègre, le ruisseau de Bauzens, le ruisseau de Belayrol, le ruisseau de Beudes, le ruisseau de Boussières, le ruisseau de Combe Escure,, qui constituent un réseau hydrographique de 111 km de longueur totale[4],[Carte 1].

La Vère, d'une longueur totale de 53,2 km, prend sa source dans la commune du Le Garric et s'écoule d'ouest en est. Elle traverse la commune et se jette dans l'Aveyron à Bruniquel, après avoir traversé 15 communes[5].

Le Tescou, d'une longueur totale de 48,8 km, prend sa source dans la commune et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Tarn à Montauban, après avoir traversé 13 communes[6].

Le ruisseau de Rô, d'une longueur totale de 13,6 km, prend sa source dans la commune et s'écoule vers le sud. Il se jette dans le Tarn à Puycelsi[7].

Le ruisseau du Rô Oriental, d'une longueur totale de 10,9 km, prend sa source dans la commune et s'écoule vers le sud. Il se jette dans la Vère sur le territoire communal[8].

 
Réseaux hydrographique et routier de Castelnau-de-Montmiral.

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 820 mm, avec 10,5 jours de précipitations en janvier et 5,6 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Puycelsi », sur la commune de Puycelsi à 9 km à vol d'oiseau[11], est de 13,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 740,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,9 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −11,7 °C, atteinte le [Note 1],[12],[13].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[14]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Milieux naturels et biodiversité

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Espaces protégés

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La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[16],[17].

Un espace protégé est présent sur la commune : le « Montoulieu », une réserve biologique dirigée, d'une superficie de 43,10 ha[18].

Réseau Natura 2000

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Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[20] :

et un au titre de la directive oiseaux[20] :

  • la « forêt de Grésigne et environs », d'une superficie de 27 701 ha, un site où onze espèces de l'annexe 1 se reproduisent régulièrement sur le site, parmi lesquelles sept espèces de rapaces (dont le Faucon pèlerin et le Hibou grand-duc)[22].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[23] : la « forêt de Grésigne » (4 019 ha), couvrant 7 communes du département[24], et la « forêt de Sivens » (1 409 ha), couvrant 3 communes du département[25] et deux ZNIEFF de type 2[Note 4],[23] :

  • la « forêt de Grésigne et environs » (18 733 ha), couvrant 21 communes dont 17 dans le Tarn et quatre dans le Tarn-et-Garonne[26] ;
  • la « forêt de Sivens et coteaux boisés alentours [sic] » (5 385 ha), couvrant 5 communes du département[27].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Castelnau-de-Montmiral est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle est située hors unité urbaine[I 2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Gaillac, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[I 2]. Cette aire, qui regroupe 14 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3],[I 4].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (57 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (56,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (56,1 %), terres arables (22,8 %), zones agricoles hétérogènes (14 %), prairies (3,4 %), cultures permanentes (2,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,9 %)[28]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Castelnau-de-Montmiral est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[29]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[30].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Vère, le Tescou, le ruisseau du Rô Oriental et le ruisseau de Rô. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[31]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992 et 2003[32],[29].

Castelnau-de-Montmiral est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire. En 2022, il n'existe pas de Plan de Prévention des Risques incendie de forêt (PPRif). Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 6],[33].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Castelnau-de-Montmiral.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[34]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 78,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (76,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 663 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 402 sont en aléa moyen ou fort, soit 61 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[35],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[36].

Risques technologiques

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Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[37].

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Castelnau-de-Montmiral est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[38].

Toponymie

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Il s'agit d'une formation toponymique médiévale composée de :

  • castel nau (> nòu) « château neuf » en occitan (cf. Castelnau, Neufchâtel, etc.)
  • Mont miral (Monte miraill 1259), toponyme en Mont- au sens de « colline, élévation de terrain, hauteur », appellatif toponymique issu du bas latin MONTE (du latin classique montem, accusatif de mons). Le second élément -miral représente l'ancien occitan miralh « miroir » → « point de vue, poste d'observation » équivalent de l'ancien français mirail cf. Montmirail[39]. Il s'agit d'un dérivé de mire, suivi du suffixe à valeur superlative -alh cf. Montgradail (Aude, Montegardall 1215).

Remarque : les formes anciennes du type Mons Mirabilis sont des latinisations fantaisistes de clercs médiévaux. L'adjectif mīrābilis signifie en latin « admirable, merveilleux », d'où « miraculeux (lieu des miracles) » et dont le substantif en latin populaire, *mirabĭlia, (altération du latin classique mīrābĭlia) a donné meravilha en occitan et merveille en français par évolution phonétique régulière et pas autre chose.

Histoire

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Tout autour de la forêt de Grésigne s'élèvent des dolmens de l'âge du bronze et des oppidums/oppida (places fortes) de l'âge du fer.

La bastide albigeoise est fondée en 1222 par Raymond VII, comte de Toulouse, qui a donné à la bastide les mêmes franchises qu'à Cordes et Gaillac.

Le diminutif de Montmiral a été communément utilisé dans les actes officiels, y compris au XIXe siècle dans l'état civil de la commune. Ce diminutif est encore utilisé aujourd'hui par ses habitants.

La bastide est réunie au domaine royal en 1271. Elle est administrée par un délégué du sénéchal de Toulouse jusqu'en 1322. Philippe V le Long l'a alors donnée à Arnaud de Trians, vicomte de Tallard.

Pendant la guerre de Cent Ans, les Anglais, conduits par le prince Noir, envahissent l'Albigeois en 1345. Ceux-ci se retireront sans oser attaquer la ville...

En 1352, les habitants rendent hommage à Louis de Trians. Par un acte de 1365, il confirme les coutumes de la communauté. Il a maintenu ses vassaux dans leurs prérogatives, avec le consentement de sa mère, Constance de Narbonne, en considération des dommages de la guerre et des contributions qu'ils ont payé pour la rançon du roi.

À la fin du XIVe siècle, la bastide fait partie des domaines de Bernard VII d'Armagnac. Castelnau est alors gardé par des capitaines du parti des Armagnacs qui désolaient les terres autour et dont se plaignent les consuls de Gaillac, de Puycelsy et de Penne. En l'absence du comte d'Armagnac, Bonne de Berry écrit à ses bonnes gens pour bien garder la ville. En 1470, Louis XI met sous séquestre les domaines du comte d'Armagnac. Georges II de La Trémoille, sire de Craon, gouverneur de Tours, conseiller et premier chambellan de Louis XI, obtient du roi la seigneurie de Castelnau-de-Montmiral, Villeneuve et Milhavet. Après 1479, Louis Ier d'Amboise, évêque d'Albi, obtient du roi l'autorisation de faire l'acquisition de la seigneurie. Charles Ier d'Armagnac est rétabli dans ses domaines en 1484. Il s'établit à Castelnau où il meurt en 1497. La seigneurie rentre alors dans le domaine de la Couronne[40].

Pendant les guerres de religion, Castelnau-de-Montmiral n'adhère jamais au protestantisme et accueille les catholiques de Gaillac, qui ont été chassés de la ville par les protestants majoritaires. En janvier 1587, une attaque du capitaine protestant Bruniquel est repoussée. Selon la légende, une femme revenant de puiser l'eau à la fontaine du Théron aurait donné l'alerte, contraignant les assaillants à une retraite précipitée.

Louis XIII revenant du siège de Saint-Antonin est passé à Castelnau-de-Montmiral le 24 juin 1622, logé dans la maison de Tonnac.

C'est également le lieu d'habitation de la célèbre famille Privat[Laquelle ?].[réf. nécessaire]

Politique et administration

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Administration municipale

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Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 500 habitants et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de quinze[41],[42].

Rattachements administratifs et électoraux

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Commune faisant partie de l'arrondissement d'Albi du canton de Castelnau-de-Montmiral jusqu'à sa suppression en 2015, date depuis laquelle elle appartient au canton de Vignobles et Bastides. Enfin, elle est rattachée à la deuxième circonscription du Tarn. La commune faisait partie de la communauté de communes Tarn et Dadou devenue Gaillac Graulhet Agglomération.

Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 En cours Paul Salvador DVD[43] Conseiller général du canton de Castelnau-de-Montmiral (1992 → 2015),
puis départemental du canton de Vignobles et Bastides (2015 → ).
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[45].

En 2021, la commune comptait 1 050 habitants[Note 7], en évolution de +0,57 % par rapport à 2015 (Tarn : +1,82 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 4522 5232 7162 7583 1043 1083 0863 1163 066
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 0193 0212 9012 5692 5072 5322 5592 5632 058
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 7711 7771 6821 5221 5081 5021 4191 3151 284
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 2381 2151 0379589108959409521 029
2018 2021 - - - - - - -
1 0271 050-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[46] puis Insee à partir de 2006[47].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[48] 1975[48] 1982[48] 1990[48] 1999[48] 2006[49] 2009[50] 2013[51]
Rang de la commune dans le département 44 52 52 64 68 71 73 69
Nombre de communes du département 326 324 324 324 324 323 323 323

Économie

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Revenus

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En 2018, la commune compte 449 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 1 061 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 840 [I 5] (20 400  dans le département[I 6]).

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 7] 4,4 % 7,8 % 7,6 %
Département[I 8] 8,2 % 9,9 % 10 %
France entière[I 9] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 578 personnes, parmi lesquelles on compte 77 % d'actifs (69,4 % ayant un emploi et 7,6 % de chômeurs) et 23 % d'inactifs[Note 9],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Gaillac, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 10]. Elle compte 271 emplois en 2018, contre 311 en 2013 et 313 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 416, soit un indicateur de concentration d'emploi de 65 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 54,6 %[I 11].

Sur ces 416 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 170 travaillent dans la commune, soit 41 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 78,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,6 % les transports en commun, 4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 14,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].

Activités hors agriculture

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Secteurs d'activités

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109 établissements[Note 10] sont implantés à Castelnau-de-Montmiral au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[I 14].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 109
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
11 10,1 % (13 %)
Construction 15 13,8 % (12,5 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
33 30,3 % (26,7 %)
Information et communication 2 1,8 % (2,1 %)
Activités immobilières 3 2,8 % (4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
17 15,6 % (13,8 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
16 14,7 % (15,5 %)
Autres activités de services 12 11 % (9 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 30,3 % du nombre total d'établissements de la commune (33 sur les 109 entreprises implantées à Castelnau-de-Montmiral), contre 26,7 % au niveau départemental[I 15].

Entreprises et commerces

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Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[52] :

  • CJKL Forest, analyses, essais et inspections techniques (807 k€)
  • Venturi SARL Societe D'exploitation, exploitation forestière (658 k€)
  • SARL GSM 81, location de logements (68 k€)
  • Colo & Co, hébergement touristique et autre hébergement de courte durée (46 k€)
  • Soc M G Transports, transports routiers de fret de proximité (4 k€)

Agriculture

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La commune est dans le Gaillacois, une petite région agricole au sous-sol argilo-graveleux et/ou calcaire dédiée à la viticulture depuis plus de 2000 ans, située dans le centre-ouest du département du Tarn[53]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 102 66 55 51
SAU[Note 13] (ha) 3 094 3 122 3 280 3 458

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 102 lors du recensement agricole de 1988[Note 14] à 66 en 2000 puis à 55 en 2010[55] et enfin à 51 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 50 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 58 % de ses exploitations[56],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 3094 ha en 1988 à 3458 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 30 à 68 ha[55].

Vie locale

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Animations

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Tous les ans, fin juillet, "les Musicales de Montmiral" proposent un festival de musique pendant trois jours.

Concerts sur la place des arcades avec buvettes, restaurations et grillades assurées par le Dégourdy's Club de GAILLAC.

« Sartre préférait les pierres aux arbres ; mes plans tenaient compte de ses goûts. Tantôt marchant, tantôt prenant des cars nous visitâmes des villes et des villages, des abbayes, des châteaux. Un soir, un petit autobus cahotant et bondé nous amena à Castelnau de Montmiral ; il pleuvait ; en descendant sur la place entourée d’arcades, Sartre me dit abruptement qu’il en avait assez d’être fou. »

Gastronomie

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  • Les reponchons (mot occitan qui peut se traduire par tamier ou herbe aux femmes battues en français ; prononcer repountchous) poussent dans les sous-bois et les fossés. On les ramasse en avril. Ils ressemblent à du lierre (fine liane grimpante) ou à des asperges sauvages. Amers, ils se consomment coupés en rondelles et cuits à la poêle seuls ou en préparation.
  • Les radis au foie : cuire des rouelles de radis et des dés de foie de veau à la poêle, puis déglacer au vinaigre.
  • Les oreillettes.
  • La fouace avec laquelle on fête les Rois à l'Épiphanie.
  • La croustade : tourte aux pommes, poires ou pruneaux.
  • La confiture de citre. La citre est une pastèque qui ne se consomme pas crue mais sous forme de confiture ou de fruits confits. La culture de ce fruit était répandue dans le sud de la France mais est devenue rare de nos jours.
  • Le boudin Galabar (issu de l"occitan goula, « tête ») fait partie des boudins noirs. Il peut être séché pour prolonger sa conservation. Il se mange cru ou cuisiné (frit ou poêlé).
  • Pâté de foie de porc.

Activités sportives

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Chasse, randonnée pédestre, pétanque, complexe sportif (gymnase),

Lieu de passage de la 11e étape du Tour de France 2019.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Croix reliquaire, début XIVe siècle.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Son blasonnement est : De gueules au château donjonné d'argent, ouvert et maçonné de sable, senestré d'un monde croisé d'or, le tout surmonté d'un miroir du même, ouvert aussi de sable, au chef cousu d'azur chargé de trois fleurs de lys aussi d'or.

Voir aussi

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[19].
  3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  8. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  10. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  11. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  12. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  13. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  14. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[54].
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Castelnau-de-Montmiral » sur Géoportail (consulté le 10 décembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Notes de type "Carte"

Références

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Site de l'Insee

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  2. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Castelnau-de-Montmiral ».
  3. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Gaillac », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Castelnau-de-Montmiral » (consulté le ).
  6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
  7. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Castelnau-de-Montmiral » (consulté le ).
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  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Castelnau-de-Montmiral » (consulté le ).
  15. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Tarn » (consulté le ).

Autres sources

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  2. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
  3. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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  5. Sandre, « la Vère (affluent de l'Aveyron) »
  6. Sandre, « le Tescou »
  7. Sandre, « le ruisseau de Rô »
  8. Sandre, « le ruisseau du Rô Oriental »
  9. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  11. « Orthodromie entre Castelnau-de-Montmiral et Puycelsi », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Puycelsi », sur la commune de Puycelsi - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  13. « Station Météo-France « Puycelsi », sur la commune de Puycelsi - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
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  19. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
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  41. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  42. https://elections.interieur.gouv.fr/municipales-2020/031/031120.html
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  47. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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  52. « Entreprises à Castelnau-de-Montmiral », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
  53. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  54. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  55. a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Castelnau-de-Montmiral - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  56. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Tarn » (consulté le ).

Liens externes

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