Bruniquel
Bruniquel | |||||
![]() Une vue du village de Bruniquel. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Occitanie | ||||
Département | Tarn-et-Garonne | ||||
Arrondissement | Montauban | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Quercy Vert-Aveyron | ||||
Maire Mandat |
Christiane Soulie 2020-2026 |
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Code postal | 82800 | ||||
Code commune | 82026 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bruniquelais | ||||
Population municipale |
605 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 18 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 03′ 24″ nord, 1° 39′ 59″ est | ||||
Altitude | 130 m Min. 90 m Max. 382 m |
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Superficie | 33,2 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Tarn-Tescou-Quercy vert | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Tarn-et-Garonne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | Le site de la commune de Bruniquel | ||||
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Bruniquel est une commune française, située dans le département de Tarn-et-Garonne en région Occitanie. Bruniquel fait partie de la liste des plus beaux villages de France.
Ses habitants sont appelés les Bruniquelais et les Bruniquelaises.
GéographieModifier
LocalisationModifier
La commune de Bruniquel est située en Tarn-et-Garonne, entre les villes de Montauban, à l'ouest, et Carmaux et Albi, à l'est. Elle est limitrophe du département du Tarn.
Communes limitrophesModifier
Géologie et reliefModifier
À la limite du département du Tarn, les environs de Bruniquel sont très boisés, où se rejoignent trois régions naturelles : les collines et plaines du Bas-Quercy, plateau calcaire du causse et à l'est avec le massif de la forêt de Grésigne.
Bruniquel se situe en zone de sismicité 1 (sismicité très faible)[2].
HydrographieModifier
Bruniquel se situe sur un piton vertigineux surplombant le confluent de la Vère, qui vient de l'Albigeois, et de l'Aveyron au sortir des gorges du même nom, creusée dans le Causse de Limogne.
ToponymieModifier
Le toponyme Bruniquel voisine de Bourniquel « nom germanique signifiant domaine de Brunihild »[3], serait basé sur un nom germanique de femme, Brunehilde[4].
HistoireModifier
PréhistoireModifier
Grotte de BruniquelModifier
- La grotte de Bruniquel, explorée à partir de 1990 par la Société Spéléo-Archéologique de Caussade, a livré des indices de fréquentation du milieu souterrain profond[5]. À 350 mètres de l'entrée de la cavité, des structures anthropiques sont associées à un ossement d'ours daté de plus de 47 600 ans avant le présent. En 2016 des recherches démontrent que ces structures datent de −176 500 (à 2 000 ans près)[6]. Il s'agit de structures établies non pas par l'homo sapiens, qui n'était pas encore présent en Europe mais par l'Homme de Néandertal[7].
Autres sitesModifier
- Les Abris de Bruniquel : quatre abris sous roche de type magdalénien datés entre 17 500 et 12 500 ans avant le présent[8].
- La grotte de Mayrière supérieure, une grotte ornée ayant livré deux peintures de bison probablement antérieures au Magdalénien. Ces peintures ont été fortement abîmées en 1992 par un groupe d'éclaireuses éclaireurs de France ayant entrepris de nettoyer les parois de la cavité.
- La grotte de Mayrière inférieure, ou grotte de Paxolles, moins connue que la précédente et occupée seulement à l'âge du bronze. Elle a livré une épingle à tête enroulée[9].
- La dame de Bruniquel, le squelette le plus complet de l'époque magdalénienne, a été découverte par Victor Brun en mai 1864 à l'abri Lafaye[10],[11], l'un des quatre abris de Bruniquel situés au pied du château et collectivement inscrits au titre de monuments historiques depuis 1996[12].
- Les objets d'art mobilier magdaléniens des abris de Bruniquel ont été étudiés dès le XIXe siècle par le préhistorien Victor Brun[13]. Ces objets sont repartis dans différentes collections : musée d'Archéologie nationale de Saint-Germain-en-Laye, British Museum, muséum de Toulouse, muséum d'histoire naturelle Victor Brun à Montauban. Le British Museum conserve notamment la sculpture en ivoire de mammouth représentant des rennes nageant (en) qui provient de l'abri Montastruc.
Aiguille du Magdalénien.
HistoireModifier
Le château légendaire de la reine Brunehaut domine d'un côté la falaise de l'Aveyron, de l'autre le village étagé à flanc de colline. Le lieu avait été attribué à la reine en 587 jusqu'à son exécution en 613, ses cheveux attachés à la queue d'un cheval.
Le castrum est conquis, en 1176, par les comtes de Toulouse sur les Trencavel[14]. En 1211 le troubadour Guilhem de Tudèla, coauteur de la « Chanson de la croisade » s'y réfugie chez Baudouin de Toulouse (demi-frère du comte Raymond VI de Toulouse) qui livre Bruniquel aux Croisés et est pendu comme traître en 1214, à Montauban.
Après la croisade, le village connut un grand essor au Moyen Âge car il se trouve sur le chemin des pèlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle. La majorité des maisons ont été construites entre le XIVe et le XVIe siècle, essentiellement en pierre, mais il en existe également à colombage. La plupart des ruelles tortueuses ont conservé leurs pavements et c'est au sommet de la principale que l'on trouve les châteaux, quasiment suspendus au-dessus du vide. Un quartier nouveau se développe, en contrebas de la porte de beffroi, quartier bientôt protégé d'un rempart, en 1355, au niveau de la promenade du ravelin que domine l'église. Ces remparts sont détruits après la paix de Montpellier en 1622 entre Louis XIII et les protestants, ceux-ci ayant fait de la cité une place forte. Mais la communauté protestante reste importante : elle compte environ 850 personnes à la veille de la révocation de l'édit de Nantes (1685).
Bruniquel s'endort ensuite jusqu'au XIXe siècle où se développent les forges de Caussanus (I.M.H) qui trouvent leurs matières premières dans la Grésigne et le causse.
Mais ce sont les artistes qui vont faire revivre le village à travers ses paysages. En 1830, Bruniquel la quercynoise et Penne d'Albigeois, sa sœur languedocienne, attirent les romantiques et les premiers voyageurs. De 1915 à 1921, Marcel-Lenoir, peintre de l'école de Montparnasse, admiré de Picasso, vit tout près et une partie de son œuvre est exposée au château-musée de Montricoux. Les châteaux de Bruniquel ont été immortalisés au cinéma dans le film de Robert Enrico Le Vieux Fusil en 1975.
L'histoire retient aussi que dès les premiers jours de la Seconde Guerre mondiale, dans le cadre des plans d'évacuation des populations résidant près des frontières de l'Est et des vraisemblables zones de combats, les habitants de Salonnes dans la Moselle (Lorraine) furent acheminés jusqu'à Bruniquel. Après juin 1940 et l'armistice signifiant la fin des combats, parmi certains de ces réfugiés qui furent autorisés à retourner chez eux en Lorraine, quelques-uns choisirent de rester dans le Quercy.
De nos jours, Bruniquel vit essentiellement grâce au tourisme avec l'installation d'artistes et d'artisans - notamment le festival Offenbach organisé en août par la compagnie Brunehaut -, ainsi que grâce à la venue, à demeure, d'Européens du Nord, aux résidences secondaires de Toulousains et à la chasse en Grésigne.
Politique et administrationModifier
Communauté de communesModifier
La commune de Bruniquel fait partie de la communauté de communes Terrasses et Vallée de l'Aveyron
Liste des mairesModifier
Population et sociétéModifier
DémographieModifier
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[17].
En 2018, la commune comptait 605 habitants[Note 1], en diminution de 1,47 % par rapport à 2013 (Tarn-et-Garonne : +3,51 %, France hors Mayotte : +2,36 %).
selon la population municipale des années : | 1968[20] | 1975[20] | 1982[20] | 1990[20] | 1999[20] | 2006[21] | 2009[22] | 2013[23] |
Rang de la commune dans le département | 61 | 79 | 87 | 84 | 77 | 81 | 87 | 85 |
Nombre de communes du département | 195 | 195 | 195 | 195 | 195 | 195 | 195 | 195 |
EnseignementModifier
Manifestations culturelles et festivitésModifier
- Le Festival des châteaux de Bruniquel consacré à l'Opéra-bouffe et à Jacques Offenbach. Fin juillet/ début août.
ÉconomieModifier
L'économie du village est en grande partie basée sur son fort tourisme : Bruniquel est considéré comme un des plus beaux villages de France[24],[25],[26]. Le village abrite d'ailleurs un camping (2 étoiles)[27], et des établissements faisant chambres d'hôtes[28]. Elle repose aussi sur la viticulture (coteaux-du-quercy).
En 2009, Bruniquel accueillait 40 entreprises, dont 77,5 % dans le commerce, les transports ou services divers[27].
Dans la rue principale (rue Droite de la Peyre) et la rue Bombe-Cul se trouvent divers artisans d'art et artistes.
Culture locale et patrimoineModifier
Lieux et monumentsModifier
- La grotte de Bruniquel, découverte en 1992, a livré des traces d'activité humaine en milieu souterrain probablement très anciennes (env. - 176 500 ans).
- La grotte de Mayrière supérieure, ornée de deux figures de bison attribuées à une phase antérieure au Magdalénien.
- Les châteaux de Bruniquel, classés au titre des monuments historiques en 1840[29] ;
Deux églises principales s'élèvent sur le territoire de la commune. L'église Saint-Maffre[30], ancienne église priorale, est située à 2 km environ au sud-ouest du village. Le prieuré aurait été fondée à la fin du XIe siècle. De l'époque romane, l'église conserve son transept et son chevet, avec trois absides, le reste de l'édifice ayant été remanié à diverses reprises : la nef a finalement été reconstruite au début du XXe siècle. L'édifice est inscrit au titre des monuments historiques en 1947[31].
Dans le village s'élève l'église Notre-Dame-de-l'Assomption, construite à la fin du XIIIe siècle et mentionnée comme église neuve au début du XIVe siècle. Il s'agissait vraisemblablement d'un édifice rectangulaire à chevet plat, et flanquée de chapelles latérales, au moins au nord. L'édifice est abattu en 1622 pendant les Guerres de religion, puis reconstruit à partir de 1635. Par la suite, le chevet plat est transformé en une abside semi-circulaire. La façade occidentale est enfin reprise en 1814, avec l'édification de l'actuel clocher-mur. Il subsiste de l'édifice médiéval des éléments dans la chapelle latérale nord-est.
Bruniquel possède plusieurs maisons médiévales inscrites au titre des monuments historiques[32] :
- Maison Belaygue, à pans de bois, inscrite aux monuments historiques le 24 avril 1952[33] ;
- Maison dite « Le Parlement », inscrite au titre des monuments historiques en 1984[34] ;
- Ancienne maison dite des comtes de Fayrols, inscrite au titre des monuments historiques en 1986[35] ;
- Maison aux anneaux de fer, inscrite au titre des monuments historiques en 1990[36] ;
- Forges de Caussanus, inscrites au titre des monuments historiques en 1991[37] ;
Personnalités liées à la communeModifier
- Reine Brunehaut (547-613).
- Maison de Rochechouart.
- Baudouin de Toulouse (1165-1214), fils du comte de Toulouse Raymond V.
- Guillaume de Tudèle, poète occitan, auteur, au début du XIIIe siècle, de la 1re partie de la Chanson de la Croisade.
- Ossip Zadkine (1890-1967), sculpteur français d'origine russe, dont le mariage avec Valentine Prax a été célébré dans la commune[38].
- Jean Malrieu (1915-1976), écrivain français, poète des Cahiers du Sud.
- Sabinus Valière (1880-1964), homme politique français, député et résistant, mort le 23 mai 1964 à Bruniquel.
- Alain Carcenac (1945-2013), ancien reporter-photographe au quotidien Les Nouvelles calédoniennes[39] ; devenu ermite dans le Tarn, son squelette a été découvert par des spéléologues en prospection, dans une grotte près de Bruniquel le [40].
HéraldiqueModifier
Blason | De sinople au chevron cousu de gueules accompagné en pointe d'une tête de bélier d'argent accornée d'or. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
GalerieModifier
Les jardins des châteaux de Bruniquel
Voir aussiModifier
BibliographieModifier
- Comte d'Alauzier, « Un village fortifié, Bruniquel », Bulletin archéologique historique et artistique de la Société archéologique de Tarn-et-Garonne, t. 77, , p. 71-80 (lire en ligne)
- Pierre Malrieu, Bruniquel, cité médiévale en Quercy, Éditions Loubatières (collection Terres du Sud no 58), Portet-sur-Garonne, 1992 (ISBN 2-86266-172-4) ; p. 32
- Virginie Czerniak, Bruniquel. Peintures murales médiévales inédites dans une maison place de l'Horloge, p. 386-388, dans Bulletin monumental, 2016, tome 174-3 (ISBN 978-2-901837-64-0)
Articles connexesModifier
Liens externesModifier
Notes et référencesModifier
NotesModifier
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
RéférencesModifier
- Carte IGN sous Géoportail
- « Didacticiel de la règlementation parasismique > Département : 82 > Commune : BRUNIQUEL - Le Plan Séisme », sur planseisme.brgm.fr, BRGM
- Pierre-Henry Billy, Origine des noms de villes et des villages de France, Genève, Famot-Crémille, , 320 p., p. 55, 61
- Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy : Toponymie lotoise, Gourdon (Lot), Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127 p. (ISBN 2-9105-4016-2), p. 48
- Rouzaud, F., Soulier, M. et Lignereux, Y. (1995) - « La grotte de Bruniquel », Spelunca, n° 60, pp. 27-34.
- « Bruniquel : une grotte qui change notre vision de Néandertal », sur CNRS, (consulté le 26 mai 2016)
- Néandertal : le mystère de la grotte de Bruniquel, de Luc-Henri Fage, de Stéphane Millière, Arte, 22 novembre 2020 [présentation en ligne]
- Edmée Ladier, « Les abris de Bruniquel au Paléolithique : chasseurs, artisans, artistes » (version du 16 décembre 2018 sur l'Internet Archive), Société des amis du vieux Saint-Antonin, , p. 40-47
- Jean-François Alaux, « L'épingle à tête enroulée de la grotte Mayrière Inférieure, commune de Bruniquel (Tarn-et-Garonne) », Bulletin de la Société préhistorique française, 67e série, no 6, , p. 178-179 (lire en ligne)
- « Vacancéo, LA communauté voyage : forums, photos, avis et comparateurs de prix », sur Vacanceo
- « Le circuit des Rennes, une randonnée à découvrir »
- Notice no PA82000001, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Victor Brun, Fouilles paléontologiques de l'âge de pierre. Abris et cavernes de Bruniquel, pp. 329-353. Académie de Montauban
- Gilles Séraphin, Christian Remy, Élodie Cassan, Najac, du castrum au château neuf, dans Congrès Archéologique de France, 2009, 167e session, Monuments de l'Aveyron, 2009, Société Française d'Archéologie, Paris, 2011, (ISBN 978-2-901837-40-4), p. 227-246.
- https://www.annuaire-mairie.fr/ancien-maire-bruniquel.html
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le 10 janvier 2016).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le 8 janvier 2016).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le 8 janvier 2016).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le 8 janvier 2016).
- http://www.villagesdefrance.free.fr/page_bruniquel.htm
- Villages de Charme en France, Éditions Rivages (1997)
- « Bruniquel - Les plus beaux villages de France - Site officiel », sur www.les-plus-beaux-villages-de-france.org
- « Résultats de la recherche - Insee », sur www.statistiques-locales.insee.fr
- http://www.bruniquel.fr/hotes.html
- « Châteaux de Bruniquel », notice no PA00095714, base Mérimée, ministère français de la Culture
- M. d'Alauzier, Le Prieuré de Saint-Maffre à Bruniquel, p. 26-37, Bulletin archéologique historique et artistique de la Société archéologique de Tarn-et-Garonne, 1949, tome LXXVI (lire en ligne)
- « Église Saint-Maffre », notice no PA00095715, base Mérimée, ministère français de la Culture,« église paroissiale Saint-Maffre »
- « Pays Midi-Quercy : Bruniquel au Moyen Âge »
- « Maison Belaygue », notice no PA00095716, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Maison dite "Le Parlement" », notice no PA00095718, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Ancienne maison dite des comtes de Fayrols », notice no PA00095717, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Maison aux anneau de fer », notice no PA00095907, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Forges de Caussanus », notice no PA00095915, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Zadkine, Actes Sud, 1992, p. 109
- Le mystère de l’ermite photographe play boy.
- Penne. Le reporter était devenu ermite : son squelette retrouvé dans une grotte.