Boyaval

commune française du département du Pas-de-Calais

Boyaval est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Boyavalois.

Boyaval
Boyaval
La rue de Pernes.
Blason de Boyaval
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité Communauté de communes du Ternois
Maire
Mandat
Marc Vambergue
2020-2026
Code postal 62134
Code commune 62171
Démographie
Gentilé Boyavalois
Population
municipale
129 hab. (2021 en évolution de −3,73 % par rapport à 2015)
Densité 24 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 28′ 30″ nord, 2° 18′ 18″ est
Altitude Min. 80 m
Max. 172 m
Superficie 5,38 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Pol-sur-Ternoise
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Boyaval
Géolocalisation sur la carte : France
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Boyaval
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
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Boyaval
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Boyaval

La commune fait partie de la communauté de communes du Ternois qui regroupe 103 communes et compte 37 469 habitants en 2021.

Géographie

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Localisation

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Carte interactive (cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes :

Communes limitrophes de Boyaval
Fiefs
Heuchin   Sains-lès-Pernes
Eps Hestrus

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 5,38 km2 ; son altitude varie de 80 à 172 m[1].

Hydrographie

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Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].

Il est drainé par trois petits cours d'eau :

  • la rivière d'Eps, d'une longueur de 5 km, qui prend sa source dans la commune et se jette dans la Ternoise au niveau de la commune d'Anvin[3] ;
  • le ruisseau le grand ruyot, d'une longueur de 1,77 km, qui prend sa source dans la commune de Fiefs et termine sa course au niveau de la commune[4] ;
  • le Vieil Eps, d'une longueur de 0,77 km, qui prend sa source dans la commune d'Eps et se jette dans la rivière d'Eps[5].
 
Réseau hydrographique de Boyaval[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 944 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Fiefs à 4 km à vol d'oiseau[8], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 070,6 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Statistiques 1991-2020 et records FIEFS (62) - alt : 186m, lat : 50°30'16"N, lon : 2°19'34"E
Records établis sur la période du 01-10-1952 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,1 1,2 2,8 4,7 7,8 10,7 12,8 12,9 10,4 7,6 4,3 1,8 6,5
Température moyenne (°C) 3,5 4 6,6 9,4 12,7 15,5 17,7 17,8 14,9 11,1 7 4,2 10,4
Température maximale moyenne (°C) 6 6,9 10,3 14,2 17,6 20,4 22,7 22,7 19,3 14,7 9,7 6,6 14,3
Record de froid (°C)
date du record
−18,5
09.01.1985
−17,5
23.02.1956
−13,9
07.03.1971
−6
25.04.1955
−5
02.05.1960
−3,2
02.06.1962
3,2
04.07.1964
4
29.08.1964
0,2
30.09.1954
−6
29.10.1997
−11
30.11.1978
−12,9
29.12.1996
−18,5
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
15,2
01.01.22
19,8
28.02.1960
25,1
31.03.21
27
29.04.1955
34
25.05.1953
35,5
30.06.1957
40,6
25.07.19
37
10.08.03
33,6
09.09.23
30,8
01.10.1959
19,5
06.11.1955
17
01.12.00
40,6
2019
Précipitations (mm) 103,9 86,5 76,4 64,4 76,4 74,4 80,7 85,1 83,3 100,9 112,8 125,8 1 070,6
Source : « Fiche 62333001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Paysages

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La commune s'inscrit dans les « paysages du Ternois » tels qu’ils sont définis dans l’atlas de paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 2],[12].

Ces paysages, qui concernent 138 communes avec trois pôles d’attraction que sont Hesdin à l'ouest, Saint-Pol-sur-Ternoise à l’est et, dans une moindre mesure, Frévent en lisière sud, sont délimités par deux cours d’eau : la Canche au Sud et la Ternoise au Nord. Ces paysages sont composés de plateaux, de vallées et de bocages. Les plateaux du Ternois montrent une structure tabulaire assez plane et une altitude assez régulière avec des points culminants entre 150 à 160 m.

Le territoire d’une vingtaine de kilomètres du Nord au Sud et d’Est en Ouest, est traversé par la D 939 reliant Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin, par la D 912 entre Saint-Pol-sur-Ternoise et Frévent et par la ligne ferroviaire de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples dans la vallée de la Canche. La position excentrée, en l’absence de grands axes autoroutiers ou ferrés structurants, a permis au Ternois de conserver un caractère rural et une certaine qualité de paysage.

Au niveau de l’occupation des sols, les surfaces cultivées sont omniprésentes sur les plateaux, avec majoritairement la culture de la betterave et de la pomme de terre, et représentent près de 72 % de la surface totale de ces paysages du Ternois, les espaces artificialisés, cantonnés dans les fonds de vallée, représentent 13 % et les surfaces boisées, présentes dans les deux principales vallées de la Ternoise et de la Canche, ne représentent que 6 %[13].

Milieux naturels et biodiversité

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Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 3] : le coteau de Vieil-Eps à Boyaval. Cette ZNIEFF présente un relief saillant et domine la vallée de l’Eps, couvert de pelouses-ourlets et de bois mésophiles[14].

et une ZNIEFF de type 2[Note 4] : la vallée de la Ternoise et ses versants de Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin et le vallon de Bergueneuse. La Ternoise, avec ses 25 km de vallée étroite, a des versants occupés par des bois, des pelouses, des prairies et des lisières arbustives, et son plateau limoneux est utilisé pour la culture. Le versant droit de la Ternoise est entaillé par de nombreuses vallées sèches drainant les collines crayeuses de l’Artois[15].

Urbanisme

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Une entrée de la commune.

Typologie

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Au , Boyaval est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[16]. Elle est située hors unité urbaine[17] et hors attraction des villes[18],[19].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (87 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (57,6 %), prairies (14,9 %), zones agricoles hétérogènes (14,6 %), forêts (7,9 %), zones urbanisées (5,1 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

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Voies de communication

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La commune est desservie par les routes départementales D 70 et D 71[21].

Transport ferroviaire

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La commune se trouve à 6 km de la gare d'Anvin, située sur la ligne de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples, desservie par des trains TER Hauts-de-France[22].

Toponymie

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Le nom de la localité est attesté sous les formes Boelval (1159), Boiaval (1299), Boiauvals (XIVe siècle), Bayaval (1430), Boiaval (1545), Boiava (1662), Boyaval (1789)[23], Boyaval depuis 1793 et 1801[1].

Histoire

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Première Guerre mondiale

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Pendant la Première Guerre mondiale, lors de l'été 1915, ou encore en octobre 1915, des troupes ont séjourné sur Boyaval en cantonnement de repos après de durs combats sur le front de l'Artois. L'état-major séjourne au château de Boyaval[24],[25]

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités

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La commune faisait partie de la petite communauté de communes du pays d'Heuchin créée fin 1993.

Dans le cadre de la réforme des collectivités territoriales françaises, par la loi de réforme des collectivités territoriales du 16 décembre 2010[26] (dite loi RCT) destinée à permettre notamment l'intégration de la totalité des communes dans un EPCI à fiscalité propre, la suppression des enclaves et discontinuités territoriales et les modalités de rationalisation des périmètres des établissements publics de coopération intercommunale et des syndicats mixtes existants, cette intercommunalité fusionne avec sa voisine, la communauté de communes du Pays d'Heuchin, formant le la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois.

Un nouveau mouvement de regroupement intercommunal intervient dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[27]. À l'initiative des intercommunalités concernées[28], la Commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) adopte le 26 février 2016 le principe de la fusion de :
- la communauté de communes de l'Auxillois, regroupant 16 communes dont une de la Somme et 5 217 habitants[29] ;
- la communauté de communes de la région de Frévent, regroupant 12 communes et 6 567 habitants ;
- de la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois, regroupant 58 communes et 19 585 habitants
- de la communauté de communes du Pernois, regroupant 18 communes et 7 114 habitants. Le schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI), intégrant notamment cette évolution, est approuvé par un arrêté préfectoral du [30],[31].

La communauté de communes du Ternois, qui résulte de cette fusion et dont la commune fait désormais partie, est créée par un arrêté préfectoral qui a pris effet le [32].

Circonscriptions administratives

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La commune faisait partie depuis 1793 du canton d'Heuchin[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Saint-Pol-sur-Ternoise.

Circonscriptions électorales

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Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la sixième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2008 Jules Bourgois    
mars 2008 En cours
(au 3 février 2022)
Marc Vambergue   Agriculteur
Réélu pour le mandat 2014-2020[33],[34],[35]
Réélu pour le mandat 2020-2026[36],[37]

Équipements et services publics

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Justice, sécurité, secours et défense

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La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants d'Arras[38].

Population et société

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Démographie

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Les habitants de la commune sont appelés les Boyavalois[39].

Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[41].

En 2021, la commune comptait 129 habitants[Note 5], en évolution de −3,73 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
208214222225218214220207223
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
230246235253248240254233213
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
207208205186175172178180170
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
158152135124110118129132132
2018 2021 - - - - - - -
132129-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[42].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 43,2 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,4 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 68 hommes pour 64 femmes, soit un taux de 51,52 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,5 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[43]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,0 
7,4 
75-89 ans
14,1 
11,8 
60-74 ans
7,8 
17,6 
45-59 ans
23,4 
14,7 
30-44 ans
17,2 
20,6 
15-29 ans
21,9 
27,9 
0-14 ans
15,6 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2021 en pourcentage[44]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,6 
75-89 ans
8,9 
16,7 
60-74 ans
18,1 
20,2 
45-59 ans
19,2 
18,9 
30-44 ans
18,1 
18,2 
15-29 ans
16,2 
19,9 
0-14 ans
17,9 

Économie

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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L'église Saint-André.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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  Blason
De gueules à la fasce d'argent chargée de trois roses de gueules[46].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - rivière d'Eps (E5400670 ) » (consulté le )
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - ruisseau le grand ruyot (E5401840) » (consulté le )
  5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Vieil Eps (E5401330) » (consulté le )
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Boyaval et Fiefs », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Fiefs » (commune de Fiefs) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Fiefs » (commune de Fiefs) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  12. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  13. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du Ternois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  14. « ZNIEFF 310030038 - Coteau de Vieil-Eps à Boyaval », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « ZNIEFF 310007268 - La vallée de la Ternoise et ses versants de Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin et le vallon de Bergueneuse », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  17. Insee, « Métadonnées de la commune de Boyaval ».
  18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  22. « Distance entre la commune et la gare d'Anvin », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  23. Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Imprimerie nationale de Paris, , 499 p. (lire en ligne sur Gallica).
  24. « Visionneuse - Mémoire des Hommes », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Visionneuse - Mémoire des Hommes », sur www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le )
  26. n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales sur Légifrance, et notamment son article 35.
  27. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  28. « Vertes collines du Saint-Polois: la fusion avec ses voisines est déjà sur de bons rails : C’est l’actualité du moment : dans la plupart des communautés de communes, les élus s’arrachent les cheveux pour se mettre dans les clous de la loi NOTRe (elle les oblige à fusionner pour créer des intercommunalités de plus de 15 000 habitants). Mais dans le Ternois, les Vertes collines du Saint-Polois et ses trois voisins (Pernois, Auxilois, Région de Frévent) font office de très bon élève et en sont déjà à discuter des modalités de l’« après-fusion », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
  29. Le populations mentionnées dans les actes concernant les intercommunalités sont des populations totales, au sens de l'INSEE, c'est-à-dire regroupant la population municipale, c'est-à-dire les personnes ayant leur résidence habituelle sur le territoire de la commune à laquelle s'ajoute la population comptée à part, qui regroupe principalement les personnes vivant dans certaines collectivités (internats, casernes, hôpitaux, couvents, prisons…).
    Dans les tableaux de population mentionnés dans les articles de wikipédia ne sont habituellement mentionnés que les populations municipales, ce qui explique l'écart entre les chiffres mentionnés dans le SDCI et ceux des tableaux démographiques
  30. « Arrêté préfectoral du 30 mars 2017 portant schéma départemental de coopération intercommunale du Pas-de-Calais »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF], SDCI, Préfecture du Pas-de-Calais (consulté le ).
  31. « Dix-neuf atouts pour la carte intercommunale », L'actualité de L'Institution, Conseil départemental du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  32. « Arrêté interpréfectoral du 30 août 2016 portant création d'une communauté de communes issue de la fusion des communautés de communes de l'Auxilois, de la région de Frévent, du Pernois et des Vertes Collines du Saint-Polois », Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Somme, nos 2016-069,‎ , p. 37-39 (lire en ligne).
  33. « Boyaval: satisfait de son mandat, le maire a quand même quelques regrets : Marc Wambergue se représentera en 2014 au poste de maire, « j’espère qu’on voudra encore de moi », dit-il en souriant. Élu depuis 1983, en tant que conseiller, il a gravi peu à peu les échelons pour devenir maire en 2008. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. « Protection contre les incendies, fermeture d'une classe : les défis ne manquent pas : Les élus ne devraient pas s'ennuyer pendant cette mandature », L'Abeille de la Ternoise, no 8462,‎ , p. 20.
  35. Aline Chartrel, « Boyaval – « Pour montrer l’exemple, c’est le maire qui offrira le repas des aînés » : LES PROJETS DES MAIRES. À peine neuf mois qu’il a été réélu (avec 98 % des suffrages exprimés !) et déjà, Marc Wambergue multiplie les projets pour sa commune de 134 habitants. Et rien d’anodin au menu : lutte contre les érosions, urbanisme, défense incendie et restrictions des dépenses alimenteront le mandat du maire. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  36. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  37. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
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  42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  43. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Boyaval (62171) », (consulté le ).
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