Wikipédia:Oracle/semaine 3 2020

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Références pour le changement du nom d'une commune de Haute-Savoie de Metz à Metz-Tessy en 1935 modifier

Bonjour Oracle :-)

Il est écrit dans l'article Metz-Tessy que le nom de la commune a été modifié de Metz en Metz-Tessy par décret de 10 janvier 1935.

Ce changement a été réalisé pour éviter la confusion avec Metz (re)devenue française en 1919.

La référence dans l'article cite bien le décret en question : http://www.sabaudia.org/2492-communes.htm?ville=Metz-Tessy&idtf=2492&Find=Recherche

Mais je n'arrive pas à trouver ce décret ni d'autres informations à ce sujet.

http://cassini.ehess.fr/cassini/fr/html/fiche.php?select_resultat=22345 note bien le changement de nom mais en précisant seulement l'année.

Et sur Legifrance https://www.legifrance.gouv.fr/, on ne trouve qu'un seul décret de cette date mais il n'a rien à voir.

Est-il possible de ne pas arriver à remonter à un décret pour ce changement de nom ou bien y a-t-il une erreur quelque part ?

Merci par avance de votre aide.

-- Daniel Dupont (discuter) 13 janvier 2020 à 21:15 (CET)[répondre]

Daniel Dupont
Pas d'erreur concernant ce changement de nom, bien enregistré au journal officiel.
Pur le coup, il ne faut pas chercher sur le journal officiel, mais à la BNF car le texte date d'avant 1947.
Donc le lien qui va bien, car le décret a été publié au JO le 22 janvier 1935. -- Fanchb29 (discuter) 13 janvier 2020 à 22:01 (CET)[répondre]
Fanchb29
Merci pour la référence et l'explication :-)
J'avais essayer de chercher dans le journal officiel mais je n'étais pas aller aussi loin (j'ai cherché jusqu'au 20 janvier, c'est ballot).
Du coup, je note qu'il y a une erreur dans ce décret puisqu'il est noté que le nom devient Metz-Tessey au lieu de Metz-Tessy. Pensez-vous qu'on peut éventuellement trouver un erratum (officiel) quelque part ?
-- Daniel Dupont (discuter) 13 janvier 2020 à 22:33 (CET)[répondre]
A priori, le changement (s'il a eu lieu) a été fait entre 1935 et 1945. Mais j'ai pas de date plus précise pour l'instant (si le décret a été publié...). -- Fanchb29 (discuter) 14 janvier 2020 à 01:55 (CET)[répondre]
J'ai trouvé l'erratum dans le journal officiel du 24 mars 1935. Tout est donc bien en ordre :-) -- Daniel Dupont (discuter) 16 janvier 2020 à 16:15 (CET)[répondre]

Le giton modifier

Bonjour

Le giton est un prostitué gay. Mais comment appelle-t-on le client ? Et le souteneur, s'il y en a un ?

Merci pour vos réponses

Max — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 92.184.124.5 (discuter), le 14 janvier 2020 à 07:34‎

Pour les gitons, voici quelques exemples issus de l'argot de la prostitution :
un giton (un gitton), un boy, un catau, un jésus, une gonzesse, un mouquet, un party-boy, une rivette (vivette, rivitte...), un tapin, une travailleuse,
Pour les clients, s'il s'agit spécifiquement d'un client des gitons, on peut utiliser homosexuel, pédéraste, sodomite, mais tout le vocabulaire des clients hétérosexuels s'applique :
un client, un clille, un payant, un couchant (un coucheur), Don Carlos, mayer, un miché, un poireau, une serviette,
Quant aux souteneurs, il n'y a pas de vocabulaire spécifique. Voici une petite liste pour le plaisir :
un souteneur, un Alphonse, un proxénète, une barbe (un barbill, un barbise, un barbillon...), une broche, un protecteur, casquette à pont, un chandelier, un maquereau (mac, macchoux, macrotin...), un costel, un dariolet, un dauphin, un dos (dossier, dos-vert, dos d'azur...), fish, un goujon, un homard, un hareng, lacromuche, prosper, un sauret,
source : https://www.languefrancaise.net/Usage/2 Bertrouf 14 janvier 2020 à 16:47 (CET)[répondre]

Politique sécuritaire extérieure de la République de Guinée modifier

Quels sont les enjeux sécuritaires de la République de Guinée dans ses relations avec le reste du monde. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 102.180.148.123 (discuter), le 14 janvier 2020 à 18:14‎

  Le sage Oracle ne fait pas les devoirs à la place des étudiants. Ariel (discuter) 16 janvier 2020 à 04:19 (CET). Bonne chance dans ta recherche…[répondre]

Legs aux animaux modifier

On entend parfois que des gens lèguent leurs biens à des animaux. Je n'ai pas de jugement là dessus, n'empêche qu'a un moment ces biens devront d'une manière ou d'une autre revenir à quelqu'un. Comment cela se passe ?

Merci pour votre réponse, Charlène

Peut être que l'animal aura une puce favorite à qui léguer ses biens (sourire). — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Dominique Guérin (discuter), le 16 janvier 2020 à 19:44‎.

Bonjour,
Alors pour les lègues aux animaux, cela fonctionne plutôt aux USA quand il s'agit d'un lègue à un seul animal en particulier, mais cela peut aussi fonctionner en France pour un groupe d'animaux (comme cela a été fait dans le cadre de la création d'un Fonds de dotation gérant l'Hôtel_Negresco suite au décès de sa dernière propriétaire l'année dernière. -- Fanchb29 (discuter) 16 janvier 2020 à 21:25 (CET)[répondre]

Circuit de secours de refroidissement et comment se "débarrasser" d'un cœur de centrale nucléaire en fusion. modifier

En terme de sûreté de fonctionnement, on doit tout envisager et d'autant plus quand ça s'est déjà produit. Si problème de refroidissement, circuit de secours. Si problème de circuit de secours, fusion du cœur: three miles island, tchernobile, fukuchima. Partant du principe que ça peu arriver, je propose que les futurs cœurs soient positionnés au dessus d'un puits d'une profondeur suffisante pour qu'en cas de fusion, leurs fixations fondent y compris s'il n'y a plus aucun personnel ou système opérationnel et que le cœur chute au fond du puits se recouvrant automatiquement (par la seule gravité) de plusieurs dizaines mètres de sable? Ne serait-ce pas "moins pire" que ce qui s'est déjà produit? Je propose également une alimentation des circuits de secours par gravité avec un réservoir suffisamment éloigné pour pouvoir y déverser de l'eau en restant loin des problèmes (cas d'un incendie massif par exemple suite à un méthanier piraté venu s'écraser dans le chenal d'une centrale en bord de mer. Car dans ce cas, il n'y aurait plus rien (matériel et personnel) d'opérationnel dans la centrale. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Dominique Guérin (discuter), le 16 janvier 2020 à 19:42.

Quelque chose comme ça ? -- HMa [discutez sans frapper] 17 janvier 2020 à 08:37 (CET)[répondre]
Bonjour. Non. Le problème en cas de fusion d'un cœur n'est pas tellement de l'enterrer, mais au contraire d’empêcher qu'il se répande dans la nature, donc de le confiner dans une enceinte d'où les produits volatils radioactifs ne peuvent pas s'échapper. Le récupérateur de corium a exactement cette fonction. En fait, si on veut éviter ce type de catastrophe, il faut passer au réacteur à sel fondu, intrinsèquement plus sûr parce que sans hautes pressions. Michelet-密是力 (discuter) 17 janvier 2020 à 10:33 (CET)[répondre]
Ben, pourquoi "Non" ? Le récupérateur de corium est bien ce que je suggérais… -- HMa [discutez sans frapper] 17 janvier 2020 à 10:35 (CET) [répondre]
Non à l'intervention initiale, c'est une mauvaise idée. Michelet-密是力 (discuter) 17 janvier 2020 à 21:12 (CET)[répondre]
Le souci dans votre propos   Dominique Guérin est que la descente du matériel en fusion dans un puits ne met pas pour autant fin à la fusion en cours d'une part, et d'autre part pose un problème matériel : la profondeur du puits, la solidité du puits, sa sûreté et qu'il n'y a pas propagation de la radioactivité notamment sur la nappe phréatique ou sur d'autres éléments sous-terrain...
A terme, le plus sûr serrait quand même de passer à une autre source d'énergie qui soit plus sûre niveau santé et environnement, source qui reste encore à découvrir... -- Fanchb29 (discuter) 17 janvier 2020 à 20:56 (CET)[répondre]
Il va aller où, ce cœur ? cf le syndrome chinois ? --Serged/ 20 janvier 2020 à 08:05 (CET)[répondre]
Le syndrome chinois est une fiction délirante et non-scientifique pour faire peur aux petits enfants. Si un corium s'enfonce dans le sol (ce qui reste a priori possible sans dispositif de protection), il se mélange et se dilue nécessairement en chemin, et très rapidement la dilution interdit toute réaction nucléaire entretenue. Il ne reste plus que la chaleur à évacuer, et ça, c'est nettement dans les cordes du manteau terrestre, pas de problème. Donc, au-delà de la problématique d'une contamination radioactive, c'est un non-problème. Le seul point problématique est la contamination en surface (nappes phréatiques, pollutions atmosphériques), le reste est du folklore. Michelet-密是力 (discuter) 20 janvier 2020 à 20:45 (CET)[répondre]
  Micheletb : juste un point : les RNR-Na fonctionnent à 1 bar et ça n'apporte aucune sûreté intrinsèque. Toute fuite sur un réacteur à sels fondus entraînerait une forte contamination du milieu extérieur (le "milieu extérieur" peut-être un circuit secondaire ou une zone de récupération des fuites). La sûreté intrinsèque des réacteurs à sels fondus est dans l'auto-régulation de la réactivité avec la dilatation du combustible lorsque la température monte. --Ptitmouk (discuter) 24 janvier 2020 à 09:38 (CET)[répondre]
Fonctionner à pression atmosphérique n'apporte effectivement pas de sûreté a priori, c'est l'inverse : un réacteur à eau pressurisée apporte a priori un gros risque de fonctionnement (fragilisation de la cuve, risque de fuite explosive, tout ça...). Michelet-密是力 (discuter) 24 janvier 2020 à 09:47 (CET)[répondre]