Warvillers

commune française du département de la Somme

Warvillers
Warvillers
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité CC Terre de Picardie
Maire
Mandat
Jean de Lamarlière
2020-2026
Code postal 80170
Code commune 80823
Démographie
Population
municipale
125 hab. (2021 en diminution de 14,97 % par rapport à 2015)
Densité 30 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 46′ 50″ nord, 2° 41′ 16″ est
Altitude Min. 92 m
Max. 99 m
Superficie 4,18 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Moreuil
Législatives 5e circonscription de la Somme
Localisation
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Warvillers

Warvillers est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Géographie modifier

Localisation modifier

Village picard rural du Santerre, situé à 35 km d'Amiens par la route, 4 km de Rosières (7 min) et 19 km de Montdidier (24 min).

Communes limitrophes modifier

Hameaux et écarts modifier

En 1899, la commune comprend un écart, le Moulin, qui n'est alors qu'une ferme de 5 habitants[1].

Géologie et relief modifier

Le sol communal est de formation tertiaire. Sous la couche végétale de 20 cm d'épaisseur en moyenne, se trouvent la couche d'argile du limon des plateaux et la marne calcaire[1].

Le territoire est absolument plat, d'une altitude moyenne relevée chemin de Rouvroy d'environ 96 m[1].

Hydrographie modifier

Les puits sont alimentés, à la fin du XIXe siècle, par une nappe phréatique située à environ 20 m de profondeur. La commune n'a ni étangs ni cours d'eau[1].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 717 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouvroy-en-Santerre à 2 km à vol d'oiseau[4], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 635,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Statistiques 1991-2020 et records ROUVROY-EN-SANTERRE (80) - alt : 95m, lat : 49°45'54"N, lon : 2°41'53"E
Records établis sur la période du 01-09-1993 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,4 1,7 3,1 4,4 8 10,6 12,3 12,3 9,8 7,5 4,1 2 6,4
Température moyenne (°C) 3,8 4,6 7,2 9,8 13,3 16,2 18,3 18,4 15,1 11,5 7,1 4,4 10,8
Température maximale moyenne (°C) 6,2 7,5 11,2 15,2 18,5 21,8 24,3 24,4 20,5 15,6 10,1 6,7 15,2
Record de froid (°C)
date du record
−17,5
07.01.09
−11,6
12.02.12
−12,5
13.03.13
−4,8
08.04.03
−2,3
05.05.1996
2,2
05.06.12
2,8
03.07.11
3,7
02.08.15
−0,9
25.09.03
−6,1
24.10.03
−9,2
24.11.1998
−14,4
18.12.10
−17,5
2009
Record de chaleur (°C)
date du record
14,9
09.01.15
18
24.02.21
24,4
31.03.21
27,2
15.04.07
30,2
27.05.05
35,3
18.06.22
41,6
25.07.19
39,1
12.08.03
34,2
09.09.23
28,1
01.10.11
19,9
06.11.18
16,2
07.12.00
41,6
2019
Précipitations (mm) 45,6 43 44,1 39,4 61,3 55,3 63,8 62,4 45,1 58,1 52,4 65,3 635,8
Source : « Fiche 80682001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Voies de communication et transports modifier

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Warvillers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (93,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (93,8 %), zones urbanisées (6,2 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports modifier

Réseau routier modifier

Le village est desservi par l'ancienne route nationale 329 (actuelle RD 329 - route Montdidier - Albert).

Toponymie modifier

Wavillers et Wavilla sont relevés en 1214 dans un registre de Philippe-Auguste. Marguerite de Warviller est citée en 1226 selon M. Cocheris[14].

Wavilla, Warviller, signifierait demeure, habitation de la sentinelle, du poste de guerre. Warvillers aurait été un poste avancé d'observation pour le château de Beaufort[1].

Histoire modifier

L'existence d'une église est attestée dès 1150[1].

Le lieu fut qualifié de cité à partir du XIIIe siècle. 1214 est la date la plus ancienne où le nom de « Wavillers » apparaît[15]. Il s'agissait d'une seigneurie relevant alors de la châtellenie de Beaufort (aujourd'hui Beaufort-en-Santerre).

Le premier seigneur connu, Fulcon de Warvillers, est homme-lige de Philippe-Auguste[1].

Aux XVIe et XVIIe siècles, la seigneurie est aux mains de la famille Louvel[1].

Le village traversa la période agitée (jusqu'au XVIIe siècle) que connut la Picardie (guerre de Cent Ans, guerre de Trente Ans) et fut notamment ravagé autant par les armées de Condé que par celles de Turenne lors du siège de Roye en 1653[1].

Pendant la Terreur, en 1793, Marie Louvel, marquis de Warvillers, est emprisonné à Amiens avec sa famille. Il est libéré grâce aux habitants du village[1].

Pendant la guerre franco-allemande de 1870, le comte de Louvel-Lupel se distingue comme capitaine des gardes mobiles dans l'Yonne[1]. Ses descendants possèdent toujours le château à la fin du XIXe siècle[1].

Le village se trouvait dans la zone des combats de la Première Guerre mondiale[16] et a été presque totalement détruit en 1918. Il a été décoré de la croix de guerre 1914-1918 le [17]. Il ne comporte toutefois aucun monument aux morts, car même si les familles ont été touchées, aucun habitant du village n'a été compté comme « mort pour la France ».

Le village, totalement tourné vers l'agriculture, a longtemps vu la famille de Lupel animer sa vie : notamment au XIXe siècle, le transept construit dans l'église lui est dédié (chapelle côté droit). Résidant au château jusque dans les années 1950, son retrait (avec la vente du château) marque l'avènement des familles de grandes exploitations agricoles jusqu'à ce jour.

Politique et administration modifier

Rattachement administratifs et électoraux modifier

La commune se trouvait de 1793 à 2016 dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Par arrêté préfectoral du , la commune en est détachée le pour intégrer l'arrondissement de Péronne[18]. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de la Somme.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Rosières-en-Santerre[19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Moreuil.

Intercommunalité modifier

La commune faisait partie de la communauté de communes du Santerre créée le .

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département[20].

Le projet préfectoral prévoit la « fusion des communautés de communes de Haute Picardie et du Santerre », le nouvel ensemble de 17 954 habitants regroupant 46 communes[21],[22],[23]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en janvier 2016[24], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion le [25].

Cette procédure aboutit à la création au de la communauté de communes Terre de Picardie, dont la commune est désormais membre[26].

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs[27]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1935 1971 Paul Fournet    
1971 1995 Bernard de Lamarliere    
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2008 Monique Dubois    
mars 2008[28] 2014 Xavier Decherf    
2014[29] En cours
(au 1er juin 2020)
Jean Geneau de Lamarlière   Exploitant agricole
Réélu pour le mandat 2020-2026[30]

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].

En 2021, la commune comptait 125 habitants[Note 2], en diminution de 14,97 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
298291335300309328315297275
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
274269266256258242239214215
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
188201192116141134131124108
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1051031087286104118121135
2015 2020 2021 - - - - - -
147126125------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Le vieillissement et l'émigration vers les cités (lieux d'emploi) provoquent une baisse de population (1975 - 1990 : problème de la désertification des campagnes) jusqu'à l'explosion du phénomène de « rurbanisation » - ici lié à la proximité d'Amiens et aux facilités de circulation - qui ont provoqué une immigration importante de population citadine en quête d'habitat moins onéreux qu'en ville. À compter de 1999, ce phénomène va enclencher la réouverture et la rénovation de l'habitat existant, mais également la construction de maisons neuves, comme dans la plupart des communes de la région, la population retrouvant son niveau le plus élevé depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale.

Enseignement modifier

Les communes de Bouchoir, Le Quesnel, Warvillers, Beaufort et Folies se sont organisées en regroupement pédagogique intercommunal (RPI) pour la gestion de l'enseignement primaire local[34].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • L'église Saint-Martin est reconstruite au XVIIIe siècle. Son transept a été ajouté au XIXe siècle[35],[36]. La chapelle intérieure, dédiée à la famille de Lupel, a été restaurée après la Première Guerre mondiale. Elle a gardé son appareillage de pierre et de brique. Le transept est en brique, le clocher est couvert d'ardoise.
  • Le château de Warvillers date de 1696. Il est de petite taille et comporte un étage de huit fenêtres et trois chiens-assis sur toit. Le corps principal est constitué de brique et pierre. Deux dépendances s'ajoutent à la construction principale (fronton sur entrée en demi-lune, sculptures). Le mur d'enceinte a été élevé en pierre avec parement de briques. Une butte se trouve à côté du château et pourrait correspondre à une ancienne motte castrale (butte artificielle sur laquelle se trouvait une tour de défense - souvent en bois) ce qui serait logique, compte tenu de l'appartenance du village à la châtellenie de Beaufort, située à 4 km de là, en léger creux par rapport à Warvillers.
  • La rumeur chez les anciens fait état d'un souterrain reliant Warvillers à Beaufort. Son existence aurait été relevée par des affaissements de terrain dans des jardins mettant au jour un ouvrage maçonné (couloir) dont l'axe était justement celui des deux villages.
  • La chapelle de Warvillers se trouve sur la RD 329, route de Folies. De type gothique, datant de 1872, elle est dédiée à Notre-Dame de Lourdes. Sur le pignon, une ancre marine, une croix et un cœur sont gravés dans un trilobe[37].
  • Le cimetière canadien de Warvillers est de petite taille. En ce lieu sont regroupés les corps de soldats disparus le même jour et au même endroit, à la suite de l'explosion d'un dépôt de munitions (à proximité de Warvillers)[38],[39].

Personnalités liées à la commune modifier

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a b c d e f g h i j k et l Notice géographique et historique réalisée par l'institutrice de Warvillers, Mme Malfilâtre, Archives départementales de la Somme, Amiens, 1897-1899, lire en ligne.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Warvillers et Rouvroy-en-Santerre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Rouvroy-en-Santerre » (commune de Rouvroy-en-Santerre) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Rouvroy-en-Santerre » (commune de Rouvroy-en-Santerre) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  14. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique du département de la Somme, tome 2 : de Machaux à Zoudainville, accompagné d'un appendice sur les noms de bois du département de la Somme, 1867-1878, Archives départementales de la Somme, Amiens, p. 418, vue 212/267. Lire en ligne sur le site des Archives.
  15. La Somme, les 783 communes, D.Delattre, D. Delattre éditeur, 1995.
  16. Section photographique de l'armée, « Photo : Warvillers (près). Canon de 155 long camouflé », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  17. Journal officiel du 7 novembre 1920, p. 17721.
  18. « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements de la Somme - Recueil n°200 des actes administratifs du 27 décembre 2016 des Hauts-de-France », sur http://www.prefectures-regions.gouv.fr/hauts-de-france/, (consulté le ).
  19. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Vincent Fouquet, « Vers un mariage de la communauté de communes de Haute-Picardie avec celle de Rosières ? : Le conseil communautaire, qui s’est déroulé jeudi soir à Soyécourt, a été l’occasion d’annoncer la volonté de l’intercommunalité de fusionner avec celle de Rosières-en-Santerre », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  21. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  22. Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  23. « Un mariage entre Chaulnes et Rosières-en-Santerre est prévu pour 2017 : L’annonce a été faite jeudi 1er octobre à Rosières-en-Santerre : les communautés de communes de Haute Picardie (CCHP) et du Santerre (CCS) souhaitent fusionner. Voici leurs arguments », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
  24. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
  25. « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes de haute Picardie avec la communauté de communes du Santerre », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031,‎ , p. 78-79 (lire en ligne [PDF]).
  26. « CC Terre de Picardie (N° SIREN : 200070928) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, (consulté le ).
  27. « Les maires de Warvillers », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
  28. [xls] « Liste des maires de la Somme », sur http://www.somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
  29. « L’édile de Warvillers le rappelle: « Un maire n’a pas tous les pouvoirs » : Nouveau maire de Warvillers depuis 2014, Jean de Lamarlière se confie sur son mandat », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. « Un deuxième mandat de maire pour Jean de Lamarlière à Warvillers », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Jean de Lamarlière, candidat à sa succession, a été élu à l’unanimité comme maire ».
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Gaël Rivallain, Anne Kanaan, « Une ultime classe sauvée : L'académie est revenue mardi sur la suppression à Bouchoir, de nouveaux postes sont prévus à Abbeville. », Courrier picard,‎ , p. 11.
  35. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Eglise de Warvillers (Canton de Rosières), d'après nature, 31 mai 1875. », Documents numérisés, fonds Macqueron,, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  36. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Fonts baptismaux et armoiries dans l'église de Warvillers (Canton de Rosières), d'après nature, 31 mai 1875. », Documents numérisés, fonds Macqueron,, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  37. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 249 (ASIN B000WR15W8).
  38. cwgc.org, WARVILLERS CHURCHYARD EXTENSION
  39. (en) inmemories.com by Pierre Vandervelden