Vallorcine

commune française du département de la Haute-Savoie
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Vallorcine
Vallorcine
Vallorcine, vue des champs.
Image illustrative de l’article Vallorcine
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Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Haute-Savoie
Arrondissement Bonneville
Intercommunalité Communauté de communes de la vallée de Chamonix-Mont-Blanc
Maire
Mandat
Jérémy Vallas
2020-2026
Code postal 74660
Code commune 74290
Démographie
Population
municipale
409 hab. (2021 en augmentation de 3,81 % par rapport à 2015)
Densité 9,2 hab./km2
Population
agglomération
60 234 hab.
Géographie
Coordonnées 46° 02′ 07″ nord, 6° 56′ 02″ est
Altitude Min. 1 120 m
Max. 3 098 m
Superficie 44,57 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Chamonix-Mont-Blanc
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Mont-Blanc
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Vallorcine
Liens
Site web vallorcine.fr

Vallorcine est une commune française située dans le département de la Haute-Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Ses habitants sont appelés les Vallorcins.

Géographie modifier

Situation modifier

Vallorcine est un petit village de montagne haut savoyard, implanté à la frontière franco-suisse, à 15 km au nord-est du centre-ville de Chamonix. Il bénéficie à la fois de l'attraction touristique du site du Mont Blanc (troisième site naturel le plus visité au monde), de sa situation frontalière et de l'attrait des lacs de barrage d'Émosson et du Vieux-Émosson

Localisation modifier

La commune de Vallorcine englobe toute la haute vallée de l'Eau Noire jusqu'à la frontière avec le canton suisse du Valais. Elle est située au nord du col des Montets qui la sépare de la vallée de Chamonix. Quoique situé au-delà de la ligne de partage des eaux Arve-Eau Noire, le village est en France.

  Finhaut (Suisse, Valais) Trient (Suisse, Valais)  
Sixt-Fer-à-Cheval N
O    Vallorcine    E
S
Passy Chamonix-Mont-Blanc

Hydrographie modifier

Le territoire communal de Vallorcine est drainé par l'Eau Noire, affluent du Trient qui rejoint le Rhône dans le canton suisse du Valais à Martigny. L'hydrographie naturelle a toutefois été modifiée par un ensemble de barrages (Émosson, Vieux-Émosson, et de réservoirs (Les Esserts) qui alimentent deux grosses centrales hydroélectriques, l'une en France, Châtelard-Vallorcine, à 1120m, la seconde, La Bathiaz, à 540 m sur la commune de Martigny.

Climat modifier

Le climat y est de type montagnard[1]. Les températures moyennes mensuelles y varient de - 9.5° en janvier à 10.4° en juillet; le total annuel des précipitations est de 1580 mm, soit un peu moins qu'à Chamonix (1878 mm), davantage exposée aux précipitations d'Ouest. La commune est toutefois caractérisée par une humidité marquée, avec des précipitations neigeuses abondantes en décembre et janvier, et des pluies nombreuses de mai à août. La fin de l'été et le début de l’automne, en septembre et octobre, sont relativement plus secs. L'orientation de la vallée de l'Eau Noire réduisent l'ensoleillement du village en décembre et janvier.

Voies de communication et transports modifier

 
La sortie Nord du village, au fond les aiguilles de Praz.

Voies routières modifier

Vallorcine est traversée par l'ancienne route nationale 506, actuellement déclassée en départementale 1506. Cette route relie la commune à Chamonix-Mont-Blanc via le col des Montets d'un côté, et à la frontière suisse de l'autre. Côté suisse, le poste de douane se trouve au lieu-dit le Châtelard-Frontière, sur les communes de Vallorcine et de Finhaut. La route se poursuit de l'autre côté de la frontière vers Martigny via le col de la Forclaz.

Pistes cyclables modifier

Il existe une piste de VTT sous la télécabine de Vallorcine.

Transport ferroviaire modifier

La ligne Saint-Gervais - Vallorcine dessert deux gares SNCF sur la commune : Le Buet et Vallorcine. La ligne se prolonge vers la Suisse, via le chemin de fer Martigny-Châtelard. En hiver, la ligne 18 de Chamonix Bus relie les deux gares en assurant une desserte de la commune.

Urbanisme modifier

Morphologie urbaine modifier

Comme la plupart des petits villages savoyards, Vallorcine est formée de plusieurs hameaux qui s'étalent le long du cours du torrent : la Poya, le Buet, le Couteray, le Lay, les Mayens, le Mermy, les Montets, le Chanté, le Nant, la Courzille, les Biolles, le Morzay, les Lierres, le Plan Envers (ou Plan d'Envers), le Plan Droit, le Crot, le Sizeray, les Plans, la Villaz, le Mollard et Barberine (Barbarena en francoprovençal). Ce dernier marque la limite avec le village du Châtelard situé sur la commune Finhaut en Valais. Au total, Vallorcine s’étend sur cinq kilomètres. Son altitude varie entre 1 100 et 1 300 mètres.

Logement modifier

Le parc de logement est composé de 60 % de logements individuels et 40 % de collectifs, il s'agit majoritairement de résidences secondaires (58 % en 1999). Ces logements sont répartis en une douzaine de hameaux présentant une image contrastée, près de 40 % des constructions datent d'avant 1949.

Projets d'aménagements modifier

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Vallorcine est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chamonix-Mont-Blanc, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 4 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[5],[6].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (94,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (55,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (26,6 %), forêts (12 %), prairies (2,6 %), zones agricoles hétérogènes (1,5 %), zones urbanisées (1,4 %)[7].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Toponymie modifier

 
Vue des hauteurs de Vallorcine vers le Sud, au loin, le Mont Blanc.

Le nom de Vallorcine provient de la présence passée d'ours dans cette partie de la vallée (du latin vallis ursina, vallée des Ours).

Traditionnellement, la commune est partagée en deux communautés linguistiques : le francoprovençal (langue romane) et le parler alémanique (langue germanique) utilisé par les Walsers de Vallorcine[8].

En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Valorsnà, selon la graphie de Conflans[9].

En parler walser (alémanique), mais aussi en allemand, la commune est nommée Bärental.

Histoire modifier

Vallorcine a été colonisée au XIIIe siècle par des Walsers, germanophones venus du Haut-Valais.

Pendant des décennies, les Vallorcins vont principalement vivre de l'activité agro-pastorale (quelques cultures et potagers en fond de vallée, élevage avec utilisation des alpages en été) ainsi que du travail de la vigne à Martigny, dans la vallée du Rhône au climat plus chaud et ensoleillé, où plusieurs familles sont propriétaires de lopins de vigne). Les forêts des versants fournissent le gros des matériaux de construction : épicés pour les charpentes, mélèzes pour les toitures (ancelles) et le mobilier.

Enclavée, Vallorcine est principalement reliée au monde extérieur par le chemin muletier venant de Martigny, longeant les gorges de Trient et remontant ensuite le col de la Forclaz.

En septembre 1792, la Savoie est envahie par les armées révolutionnaires et rattachée à la France (jusqu'en 1814). Après le court épisode des cent Jours, elle redevient une province du Royaume de Piémont-Sardaigne jusqu'en 1860.

Les premiers touristes arrivent avec la naissance de l'alpinisme. Quelques savants genevois (Bourrit et de Saussure) s'intéressent au mont Buet, dont le sommet est plus facilement accessible que celui du mont Blanc.

Le premier hôtel n'est construit qu'en 1852 à Barberine.,

Lors des débats sur l'avenir du duché de Savoie, en 1860, la population est sensible à l'idée d'une union de la partie nord du duché à la Suisse. Une pétition circule dans cette partie du pays (Chablais, Faucigny, Nord du Genevois) et réunit plus de 13 600 signatures[Note 3], dont 150 pour la commune[12],[13]. Le duché est réuni à la suite d'un plébiscite organisé les 22 et où 99,8 % des Savoyards répondent « oui » à la question « La Savoie veut-elle être réunie à la France ? »[14].

Au lendemain de l'Annexion de 1860, une route carrossable est construite, passant par le col des Montets, et reliant Vallorcine à la vallée de l'Arve, et donc à la France (auparavant, la plus grande partie du trafic du Valais vers Chamonix passait par le col de Balme).

En 1893 fut prise la décision de relier Le Fayet à Chamonix et Vallorcine par une ligne de chemin de fer. Le , le rail atteint enfin Vallorcine (voir ligne Saint-Gervais - Vallorcine), opérant ainsi la jonction avec le Martigny-Châtelard ouvert entre le Châtelard et Vallorcine à la même date.

Le chemin de fer amène un important afflux de touristes, permettant l'ouverture de nouveaux hôtels. À l'époque, compte tenu des conditions climatiques, le chemin de fer ne circulait que du 1er mai au . Il fallut attendre 1935 pour voir le train circuler en hiver (sauf en cas d'avalanche).

Politique et administration modifier

Situation administrative modifier

Anciennement rattachée au syndicat mixte du Pays du Mont-Blanc (regroupant initialement 14 communes), Vallorcine s'est associée avec Chamonix-Mont-Blanc, Les Houches et Servoz pour former, en 2009, la communauté de communes de la vallée de Chamonix Mont-Blanc[15].

Depuis le redécoupage cantonal de 2014, la commune est intégrée au canton du Mont-Blanc, avec Chamonix-Mont-Blanc, Les Contamines-Montjoie, Servoz, Passy, Saint-Gervais-les-Bains, et Les Houches. Le bureau centralisateur se trouve à Passy[16]. Avant ce redécoupage, elle appartenait au canton de Chamonix-Mont-Blanc.

Vallorcine relève de l'arrondissement de Bonneville et de la sixième circonscription de la Haute-Savoie (créée en 2009).

Administration municipale modifier

Les maires de Vallorcine modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1944 1947 Sylvain Ancey ... ...
1947 1949 Eloi Berguerand ... ...
1949 1965 Albert Burnet ... ...
1965 1977 Maurice Canat ... ...
1977 1989 Philippe Ancey ... ...
1989 1995 Georges Bidault ... ...
1995 1996 Philippe Ancey ... ...
1996 2001 Robert Chamel ... ...
2001 2008 Patrick Ancey PS ...
2008 2014 Claude Piccot ... ...
2014 En cours Jérémy Vallas DVD Employé

Politique environnementale modifier

Vallorcine se trouve au pied de la réserve naturelle du vallon de Bérard (539 hectares). Créée en 1992, celle-ci est la dernière née des neuf réserves de Haute-Savoie. Elle complète la réserve naturelle nationale des Aiguilles Rouges.

Jumelages modifier

Résultats des élections modifier

À l'issue de l'élection présidentielle de 2017, le candidat de la France Insoumise, Jean-Luc Mélenchon, est arrivé en tête du premier tour dans la commune avec 27,34% des suffrages exprimés (76 voix); son meilleur résultat dans le département. Il devançait de 5 voix Emmanuel Macron (25,54%) et François Fillon de 20 voix (20,14%).

Le second tour s'est quant à lui soldé par la victoire par la victoire d'Emmanuel Macron (196 voix, soit 89,09% des suffrages exprimés, son deuxième meilleur résultat du second tour en Haute-Savoie, contre 24 voix et 10,91% des suffrages exprimés pour Marine Le Pen)[17].

Population et société modifier

Ses habitants sont appelés les Vallorcins[18].

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[20].

En 2021, la commune comptait 409 habitants[Note 4], en augmentation de 3,81 % par rapport à 2015 (Haute-Savoie : +5,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
554484497700762767639624628
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
607602595611569527546693507
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
436468443395394349271314283
1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018 2021 -
303329390413419403404409-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

Vallorcine possède une école publique (dite Robert Chamel) où l'enseignement est assuré en maternelle et en primaire par deux enseignants. Celle-ci se situe au centre du village, près de la mairie et de l'office du tourisme.

Manifestations culturelles et festivités modifier

Santé modifier

Sports modifier

  • Le ski est beaucoup pratiqué. Le domaine skiable est de dimension modeste et réservé à une clientèle de débutants, néanmoins il existe depuis 2004 une liaison par télécabine reliant le domaine de Balme, qui offre un nombre de pistes beaucoup plus intéressant.

Il est proposé au pied du télécabine des activités sportives encadrées (ski de randonnée, raquettes, freeride et dépose par hélicoptère...)

  • Une patinoire a été édifiée dans le centre du village en 2009.
  • La saison estivale est quant à elle marquée par le VTT de descente, qui dispose d'une piste réservée sur le parcours des télécabines.
  • Nombreux chemins de randonnée avec niveaux de difficultés variables.

Médias modifier

  • Radio locale : Radio Mont Blanc sur le 89,6 MHz
  • Télévision locale : TV8 Mont-Blanc.

Économie modifier

L'économie de la commune est majoritairement orientée vers le tourisme de montagne, amateurs d'alpinisme et sportifs de montagne en général.

Revenus de la population et fiscalité modifier

Emploi modifier

Selon le recensement de 1999, la commune comprend 144 salariés, travaillant majoritairement dans le secteur tertiaire, à 60 % sur le territoire de la commune.

On trouve des agents municipaux, les professions sportives et de santé ainsi que de nombreux emplois saisonniers.

Capacité d'hébergement modifier

On trouve deux résidences de tourisme, un hôtel et cinq gites ou chalets de montagne, disposant de capacité d'hébergement variables.

Commerce modifier

Tourisme modifier

Au sud de la commune se trouve également un village vacances dénommé Les Racas (Villages Vacances CCE SNCF).

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • La maison de Barberine : musée Vallorcin, installé dans une ancienne maison du début XVIIIe siècle, restée telle qu'à l'époque pastorale. Présentation d'objets relatifs à la vie de la vallée.
  • Le chemin des diligences : sentier thématique permettant de traverser les principaux hameaux de Vallorcine.
  • Le sentier de la cascade de Bérard et la grotte du faux-monnayeur : sentier thématique menant jusqu'à une grotte qui servit de cache au faux-monnayeur Farinet.
  • Vallorcine est proche de la frontière suisse et du barrage d'Émosson.

Patrimoine culturel modifier

Personnalités liées à la commune modifier

  • Farinet, le faux-monnayeur qui s'est établi dans la grotte au-dessus de la cascade de Bérard.
  • André Devillaz, qui a reçu la médaille de chevalier du mérite agricole.
  • Frédéric Ancey, qui était dans l'équipe de France de descente.
  • Sacha Devillaz, champion de France de ski de fond KO Sprint.
  • Meije Bidault, championne de France de slalom, super-G, géant et super-combiné en catégorie assis femmes.

Vallorcine et le cinéma modifier

Le film Malabar Princess a été tourné partiellement à Vallorcine, notamment les scènes à l'école.

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Cette pétition réunit plus de 13 651 signatures dans des villages de la partie nord (aujourd'hui la Haute-Savoie) : 60 communes du Faucigny, 23 du Chablais savoyard et 13 aux environs de Saint-Julien-en-Genevois, soutenue par l’Angleterre[10],[11].
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références modifier

  1. « Climat Vallorcine: Pluviométrie et Température moyenne Vallorcine, diagramme ombrothermique pour Vallorcine », sur fr.climate-data.org (consulté le )
  2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Chamonix-Mont-Blanc », sur insee.fr (consulté le ).
  6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  8. Mathieu Petite, « (Ré)-imaginer la communauté Walser : Mobilisation de ressources symboliques dans un projet INTERREG », Revue de géographie alpine - Journal of alpine research, Grenoble, UGA éditions,‎ (ISSN 1760-7426, DOI https://doi.org/10.4000/rga.907, lire en ligne)
  9. Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 15
    Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
    .
  10. Luc Monnier, L'annexion de la Savoie à France et la politique suisse, 1860, A. Jullien, , p. 98.
  11. Paul Guichonnet (préf. Henri Baud), Histoire de l'annexion de la Savoie à la France et ses dossiers secrets, Roanne, Éditions Horvath, , 354 p. (ISBN 978-2-7171-0235-2), p. 163.
  12. Manifestes et déclarations de la Savoie du Nord, Genève, Imprimerie-Lithographie Vaney, , 152 p. (lire en ligne).
  13. Paul Guichonnet (préf. Henri Baud), Histoire de l'annexion de la Savoie à la France et ses dossiers secrets, Roanne, Éditions Horvath, , 354 p. (ISBN 978-2-7171-0235-2), p. 167.
  14. Paul Guichonnet, Nouvelle encyclopédie de la Haute-Savoie : Hier et aujourd'hui, La Fontaine de Siloé, , 399 p. (lire en ligne), p. 18.
  15. « La Communauté », sur site de la Communauté de communes Pays du Mont-Blanc (CCPMB) (consulté le ).
  16. « Décret no 2014-185 du 18 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Haute-Savoie », Légifrance, (consulté en ).
  17. « Résultats élections présidentielle 2017 : Vallorcine | Le Télégramme », sur elections.letelegramme.fr (consulté le )
  18. « Vallorcine », sur le site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - sabaudia.org (consulté le ), Ressources - Les communes.
  19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.