Stade aurillacois Cantal Auvergne

club de rugby à XV en France
(Redirigé depuis Stade aurillacois)
Stade aurillacois
Logo du Stade aurillacois
Généralités
Nom complet Stade aurillacois Cantal Auvergne
Fondation 1904
Statut professionnel 1998-2007
depuis 2007
Couleurs Rouge et bleu
Stade Stade Jean-Alric
(7 800 places)
Siège 70 Boulevard Louis Dauzier
15000 Aurillac
Championnat actuel Pro D2 (2023-2024)
Président Christian Millette
Entraîneur Walter Olombel (directeur sportif)
Romeo Gontineac (manager)
Mathieu Lescure (avants)
Jeremy Wanin (arrières)
Alain Belguiral (mêlée)
Meilleur buteur Maxime Petitjean (2284 pts)
Site web www.stade-aurillacois.fr
Palmarès principal
National[Note 1] Championnat de France de Fédérale 1 (1)

Maillots

Domicile

Extérieur

Dernière mise à jour : 9 février 2024.

Le Stade aurillacois Cantal Auvergne est un club de rugby à XV français basé à Aurillac (Cantal). Le club évolue en Pro D2 et joue ses rencontres à domicile au stade Jean-Alric.

Le Stade aurillacois est actuellement présidé par Christian Millette. L'équipe première est encadrée par plusieurs spécialistes : Walter Olombel (directeur sportif), Romeo Gontineac (manager), Mathieu Lescure (entraîneur des avants), Jeremy Wanin (entraîneur des arrières) et Alain Belguiral (entraîneur de la mêlée).

A l'exception d'un court passage dans la division inférieure (Fédérale 1 à l'époque) durant la saison 2006-2007 à l'issue de laquelle le Stade aurillacois termine champion, le club évolue en Pro D2 depuis la création de cette division.

Histoire modifier

Les origines modifier

Le club est fondé le . Il est alors composé des militaires du 139e régiment d'infanterie et des Francs-joueurs du lycée Émile Duclaux.

En 1908, le club est vice-champion des Pyrénées de deuxième série, battu par le FC Auch en finale 12-0[1]. Malheureusement, beaucoup des joueurs du club ne survivent pas aux combats de la Première Guerre mondiale. Après le conflit, le club évolue dans le championnat régional qualificatif. L’équipe monte en Honneur en 1932 puis en Excellence en 1933.

Première expérience en première division en Championnat de France de rugby en 1934 modifier

Ascenseur entre la première la deuxième division (1934-1939) modifier

Pour sa première saison en première division, Aurillac termine 8e de sa poule de 9 et se maintient de justesse. Il descend la saison suivante et joue en Honneur les deux saisons suivantes. Le club remonte en 1937 après avoir battu Oloron en barrage puis pour son retour en élite, se qualifie pour les seizièmes de finale 1938, qu’il perd contre l’Aviron bayonnais.

Aurillac ne renouvelle pas cette performance la saison suivante, 5e seulement de sa poule de 7. Puis c’est la seconde guerre mondiale et le championnat est mis en sommeil jusqu’en 1943.

Retour en première division (1943-1949) modifier

Durant les années suivant le second conflit mondial, l’équipe se montre brillante et évolue en première division jusqu’en 1949.

Descente en deuxième division (1950-1951) modifier

Le club descend mais remonte deux ans plus tard en 1951 alors que la première division est élargie de 48 à 64 clubs.

Retour en première division (1952-1954) modifier

Aurillac joue trois saisons consécutives en première division entre 1952 et 1954 puis redescend pour une saison lors de la saison 1954-1955.

34 années consécutives dans l’élite (1956-1989) modifier

Aurillac joue ensuite 34 années consécutives en première division. Il jouera notamment 8 huitièmes de finale du championnat de France.

Années 1960 modifier

Après trois années d'apprentissage de la première division, Aurillac obtient une première qualification pour les seizièmes de finale en 1959, Aurillac se qualifie pour les huitièmes de finale en 1960 et en 1964.

Années 1970 modifier

Aurillac se qualifie pour deux autres huitièmes de finale en 1975 et en 1976 où il perd de justesse 18-15 contre Romans.

L'apogée du club dans les années 1980 modifier

Au début des années 1980, Aurillac atteint 4 fois en 6 saisons les huitièmes de finale du championnat de France en 1980, 1981, 1982 et 1985 et se qualifie aussi pour les huitièmes de finale du challenge Yves du Manoir en 1982, 1984 et 1985. Les juniors obtiennent eux aussi de bons résultats durant cette période, finaliste notamment du championnat juniors Reichel en 1982[2].

Finaliste de la Coupe de France 1986 modifier

Aurillac s'incline en finale de la Coupe de France en 1986 contre l'AS Béziers après avoir éliminé Hyères en demi-finale.

La même année, il perd contre Grenoble en seizième de finale du championnat de France mais conserve toutefois sa place dans l'élite réduite à vingt clubs. Ce sera sa dernière qualification pour les phases finales dans l’élite.

En 1987, Aurillac dernier de sa poule de Challenge et huitième de sa poule de Championnat.

L'année suivante le Championnat est porté à 80 clubs groupés initialement en seize poules de cinq. Les deux premiers de chaque poule (soit 32 clubs) forment alors le groupe A et se disputent le Bouclier de Brennus. Les autres forment alors le groupe B et après une première phase de brassage, le club 2e de son groupe est donc maintenu en championnat de France groupe A , Aurillac manque ensuite de peu la qualification pour les huitièmes de finale, cinquième de sa poule de Championnat mais termine dernier de sa poule en Challenge. Patrick Bonal met alors un terme à sa carrière après douze saisons passées au club où il ne manque que 7 matches, marquant 1 715 points (76 essais, 343 pénalités, 188 transformations et deux drops) représentant 52,6 % des points marqués par son équipe.

La saison 1989 en groupe A est similaire pour Aurillac qui termine cinquième de sa poule de Championnat.

Aurillac finit par descendre en 1990 via la phase de brassage.

Descente en première division groupe B modifier

Aurillac joue donc en groupe B pour la saison 1990. La même année, Thierry Peuchlestrade, son frère Yann ainsi que Claude Lagarde sont suspendus par la commission de discipline de la FFR pour avoir enregistré une chanson pastichant Renaud dans « Où c'est qu'j'ai mis mon flingue ? »[3] et Aurillac reste encore 7 ans en groupe B. En 1992, Aurillac perd en barrage d’accession contre Toulon.

Le , le Stade aurillacois affronte le Stade français lors de la finale du championnat de France du groupe B et s’incline 23-16 sur le stade Marcel-Michelin à Clermont-Ferrand.

Remontée en groupe A2 modifier

Aurillac joue deux ans dans le groupe A2 (le deuxième niveau hiérarchique du rugby français) en 1997 et 1998 et atteint les huitièmes de finale de la Coupe de France en 1997.

Retour au plus haut niveau modifier

Trois saisons en Élite 1 (1999-2000-2001) modifier

À la fin de la saison 1997-1998, Aurillac monte en élite, qui passe de 20 à 24 clubs. La saison suivante en 1999, Aurillac obtient sa qualification pour la Bouclier européen à la suite de sa victoire 36 à 21 face au Racing club de France en finale de la phase de maintien, terminant ainsi 17e club français.

Lors de la saison 1999-2000, le club participe à la coupe de France et au Bouclier européen. 11e de sa poule, il est relégué en Pro D2 mais en raison d'un déficit cumulé de 10 millions de Francs, la Ligue Nationale de Rugby décide la rétrogradation du RC Toulon en deuxième division le . Un match de barrage de maintien est organisé entre Aurillac et le Racing club de France gagné par Aurillac. Aurillac est donc maintenu en élite 1.

La saison suivante (2000-2001) le club participe à la coupe de la Ligue et au Bouclier européen mais il est relégué en Pro D2.

Entre 2001 et 2006, le club évolue en Pro D2.

Vice-champion de France de Pro D2 (2005) modifier

Alors que l'élite du championnat de France doit être réduite au terme de sa saison 2004-2005, d'un nombre de seize à quatorze équipes, trois équipes sont reléguées en Pro D2 de par leur classement. Par ailleurs, un match de barrage est organisé entre le 13e du Top 16 et le vainqueur des phases de barrages de Pro D2.

Le premier classé, le RC Toulon est champion de France et accède directement au Top 14. Aurillac sort vainqueur de la phase finale qualificative après une victoire 21-19 sur le Lyon OU et devient alors vice-champion de France.

 
Stade Marcel-Michelin à Clermont-Ferrand où le Stade aurillacois devient vice-champion de France 2005 de Pro D2 en s'imposant en finale face au Lyon OU.

Équipe victorieuse de la finale qualificative pour le barrage d'accession en Top 14[4] :

1. Bernard Fakaté 2. Roger Ripol 3. Ludovic Monier
4. David Courteix 5. David Gabin
6. Anthony Martrette 8. Fabien Domingo 7. Fabien Berneau
9. Mickaël Gracia 10. Maxime Petitjean
11. Valentin Maftei 12. Fabrice Ribeyrolles 13. Romeo Gontineac 14. Stéphane Robert
15. Jean-François Viars

Défaite en barrage d'accession au Top 14 (2005) modifier

Après sa victoire en finale, Aurillac gagne le droit d'affronter la Section paloise au Stade Ernest-Wallon de Toulouse dans un match de barrage le Les Palois l'emportent sur le score de 46 à 13[5],[6] et conservent leur place dans l'élite[6].

Championnat de France de Fédérale 1 (2007) modifier

Puis Aurillac descend en Fédérale 1. Il demeure une seule saison chez les amateurs, remontant dès en Pro D2 après avoir remporté son Championnat.

Défaite en barrage d'accession au Top 14 (2016) modifier

Troisième de la phase régulière de la saison 2015-2016, le Stade aurillacois dispute à domicile la demi-finale d'accession au Top 14, qu'il remporte 28 à 13 face au Stade montois[7]. Aurillac perd ensuite la finale face à l'Aviron bayonnais qui s'impose 21 à 16[8].

Le Stade aurillacois inscrit un record d'invincibilité à domicile de Pro D2 avec 35 victoires consécutives entre et le [9].

La saison 2018-2019 débute au stade Jean-Alric, le vendredi , par un drame lors du match amical contre le Stade Rodez Aveyron[10],[11]. Après, un choc violent à la poitrine[12],[13] ou un placage[14], l'ailier aurillacois Louis Fajfrowski décède dans la soirée[15]. Une enquête est ouverte afin de déterminer les causes de son décès[16]. Une autopsie du corps aura lieu le 13 août à l’Institut médico-légal de Clermont-Ferrand[17].

En 2022, le club termine à la dixième place du Championnat à l'issue de la saison régulière échouant ainsi à se qualifier pour les barrages.

Le Stade aurillacois remporte le Championnat de France espoirs 2022 en battant le Stade toulousain en finale sur le score de 37 à 26[18].

En 2023, Aurillac termine encore dixième du Championnat avec un bilan équilibré de 15 victoires pour 15 défaites.

Image et identité modifier

Couleurs et maillots modifier

Les couleurs du Stade aurillacois sont le rouge et le bleu.

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Le Stade aurillacois change de logo pendant l'intersaison 2018[19].

Palmarès modifier

Palmarès du Stade aurillacois depuis 1904
Compétitions nationales Compétitions régionales
  • Championnat d'Auvergne :
    • Champion (1) : 1932
Compétitions réserves Compétitions jeunes
  • Challenge Provinces Seniors :
    • Champion (1) : 1998

Les finales du Stade aurillacois modifier

Compétition Date de la finale Vainqueur Score Finaliste Lieu de la finale
Championnat d'Auvergne Stade aurillacois 6-0[21] Sporting Club decazevillois Stade du Calvaire, Figeac
Challenge de l'Espérance Stade montchaninois 9-4 Stade aurillacois Stade Marcel-Michelin, Clermont-Ferrand[22]
Challenge de l'Amitié 1977 Stade aurillacois - - -
Coupe de France AS Béziers 40-9 Stade aurillacois Stade Pierre-Fabre, Castres
Championnat de France groupe B Stade français 18-9[23] Stade aurillacois Stade Marcel-Michelin, Clermont-Ferrand
Finale qualificative pour le barrage d'accession en Top 14 Stade aurillacois 21-19 Lyon OU Stade Marcel-Michelin, Clermont-Ferrand
Match de barrage contre le 13e du Top 16 Section paloise 46-13 Stade aurillacois Stade Ernest-Wallon, Toulouse
Championnat de Fédérale 1 Stade aurillacois 31-6 Blagnac sporting club rugby Stade Paul-Lignon, Rodez
Barrages d'accession en Top 14 Aviron bayonnais 21-16 Stade aurillacois Stade Ernest-Wallon, Toulouse
Championnat de France espoirs Stade aurillacois 37-26 Stade toulousain Parc des sports Marcel Michelin, Clermont-Ferrand

Bilan par saison du Stade aurillacois modifier

Personnalités du club modifier

Joueurs emblématiques modifier

Entraîneurs modifier

Effectif 2022-2023 modifier

Nom Poste Naissance Nationalité sportive International Dernier club Arrivée au club
(année[Note 2])
Tim Daniel-Meissen Pilier   France - RC Nîmes 2020
Gymaël Jean-Jacques Pilier   France - SC Albi 2021
Giorgi Kartvelishvili Pilier   Géorgie - Formé au club 2019
Henzo Kiteau Pilier   France - ASM Clermont 2022
Jarod Lévèque Pilier   France - Formé au club 2018
Alexandre Plantier Pilier   France - Stade nantais 2020
Robert Rodgers Pilier   Afrique du Sud - Montpellier HR 2022
Julien Royer Pilier   France - Valence Romans DR 2021
Théo Lachaud Talonneur   France - RC Toulon 2021
Luka Nioradze Talonneur   Géorgie   Formé au club 2019
Adrian Smith Talonneur   Nouvelle-Zélande -   North Harbour 2018
Cam Dodson 2e ligne   Angleterre -   Wasps 2022
Giorgi Javakhia 2e ligne   Géorgie   Lyon OU 2018
Martial Rolland 2e ligne   France - Lyon OU 2020
Mehdi Slamani 2e ligne   Algérie   Formé au club 2022
Jean-Baptiste Singer 2e ligne   France - Biarritz olympique 2020
Yann Tivoli 2e ligne   France - Stade niçois 2021
Aleksandre Burduli 3e ligne aile   Géorgie - RC Narbonne 2022
Théo Cambon 3e ligne aile   France - Formé au club 2020
Paul Farret 3e ligne aile   France - SC Albi 2021
Eoghan Masterson (en) 3e ligne aile   Irlande -   Connacht Rugby 2022
Steve Moukete 3e ligne aile   Cameroun - Formé au club 2018
Maxime Profit 3e ligne aile   France - Lyon OU 2020
Latuka Maituku 3e ligne centre   France - Formé au club 2009
Didier Tison 3e ligne centre   France - Oyonnax rugby 2020
Mikheil Alania Mêlée   Géorgie   Formé au club 2020
Hugo Bouyssou Mêlée   France - Formé au club 2015
David Delarue Mêlée   France - CA Brive 2021
Antoine Aucagne Ouverture   France - Formé au club 2020
Marc Palmier Ouverture   France - ASM Clermont 2019
Jordon Janse van Rensburg Centre   Afrique du Sud - Formé au club 2022
Elijah Niko Centre   Nouvelle-Zélande -   Bedford Blues 2021
Christa Powell Centre   Fidji - Stade français 2019
Lucas Vaccaro Centre   France - SC Albi 2021
Jimmy Yobo Centre   France - Stade français 2019
AJ Coertzen (en) Ailier   Afrique du Sud -   Wildeklawer Griquas 2018
Giorgi Gogoladze (en) Ailier   Géorgie - Avenir castanéen 2018
Gauthier Minguillón Ailier   Espagne   Avenir valencien 2019
Albert Valentin Ailier   France - Formé au club 2008
Simeli Yabaki Ailier   Fidji - Formé au club 2020
Pierre Le Huby Arrière   France - AS Mâcon 2021
Anderson Neisen Arrière   France - Valence Romans DR 2019
Peter Nelson (en) Arrière   Canada   US bressane 2021

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Seuls les principaux titres en compétitions officielles sont indiqués ici.
  2. Pour les joueurs formés au club, année de leur première apparition en équipe professionnelle.

Références modifier

  1. « AUCH 12-0 AURILLAC », sur finalesrugby.fr
  2. a et b « Reichel 1982 », sur finalesrugby.fr
  3. FERRASSE NE RIGOLE PAS, L'Humanité, 19 mai 1990.
  4. « Finale de D2. Et les Cantalous étaient toujours vivants ! », sur ladepeche.fr.
  5. Didier Hassoux, « La Section paloise, monument historique », sur www.liberation.fr, Libération, (consulté le )
  6. a et b « Stade de France, Saint-Denis, 11 juin 2005 », sur lnr.fr, (consulté le ).
  7. Julien Plazanet, « PRO D2 - Aurillac - Mont-de-Marsan (28-13) : Aurillac décroche sa première finale d'accession ! », sur rugbyrama.fr, .
  8. Richard Escot, « En battant Aurillac en finale d'accession, Bayonne retrouve le Top 14 », sur lequipe.fr, .
  9. « PRO D2 - Jean-Alric est tombé ! », Rugbyrama,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  10. L’Équipe : Louis Fajfrowski (Aurillac) est mort après un match amical
  11. Louis FAJFROWSKI
  12. Ouest-France : Rugby. Après le décès d'un jeune joueur d'Aurillac, l’attente et la consternation
  13. France TV Info: Rugby : mort d'un joueur à Aurillac
  14. Europe 1 : Enquête ouverte après la mort d'un jeune rugbyman d'Aurillac
  15. 20 Minutes : Mort de Louis Fajfrowski, un jeune joueur d'Aurillac, après un malaise en match
  16. L’Équipe : Enquête ouverte après le décès de Louis Fajfrowski, joueur d'Aurillac
  17. Décès du jeune rugbyman Louis Fajfrowski : une enquête ouverte
  18. « Les espoirs du Stade Aurillacois ont poursuivi leur folle épopée en battant le Stade Toulousain ce dimanche 12 juin. ».
  19. « Le Stade Aurillacois change de logo », La Montagne (journal), (consulté le ).
  20. « Jeunes : les cadets du Stade Aurillacois champions de France ! », sur www.lamontagne.fr, La Montagne, (consulté le )
  21. « Championnat Auvergne 1932 », sur finalesrugby.fr.
  22. « Le Challenge de l’Espérance revient à Montchanin », sur www.lejsl.com
  23. « Groupe B 1996 », sur finalesrugby.fr
  24. « Joris Segonds, un maître du jeu au pied avec le Bassin comme ballon d’oxygène », sur centrepresseaveyron.fr/,
  25. Cinq choses à savoir sur Aurillac avant la finale contre Bayonne
  26. Pour Michel Peuchlestrade, ancien entraîneur du CA Brive et du Stade Aurillacois, la demi-finale de Pro D2 sera “serrée”
  27. Thierry Peuchlestrade, ancien rugbyman professionnel, s’est imposé hier avec le stade aurillacois

Voir aussi modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie modifier

  • Emmanuel Moussié, Yves Manière et Jacques Déat, Histoire du rugby auvergnat : un siecle de rugby 1904-2004, Loubeyrat, La Courriere Eds De, , 160 p. (ISBN 2-912393-01-9)

Liens externes modifier