Sours

commune française du département d'Eure-et-Loir

Sours
Sours
Le lycée agricole de la Saussaye, à Sours
En arrière-plan, la RN 154.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Chartres
Intercommunalité Communauté d'agglomération Chartres Métropole
Maire
Mandat
Jean-Michel Plault
2020-2026
Code postal 28630
Code commune 28380
Démographie
Population
municipale
1 969 hab. (2021 en augmentation de 2,18 % par rapport à 2015)
Densité 59 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 24′ 38″ nord, 1° 35′ 53″ est
Altitude Min. 136 m
Max. 158 m
Superficie 33,15 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Chartres
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chartres-2
Législatives Première circonscription
Localisation
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Sours
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Sours
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Sours

Sours [suʁ] est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire. Son histoire, du néolithique à nos jours est marquée par son importance dans l'histoire de l'agriculture céréalière. Son territoire représente 3 315 hectares dont 90 % de terres de culture. Proportionnellement à son aspect « rural » et à son nombre d'habitants, la commune bénéficie d'une vie associative importante. La Roguenette, un affluent de l'Eure, prend sa source au milieu du village.

Géographie modifier

Situation modifier

Sours est située dans le nord-ouest de la France, à 93 km au sud-ouest de Paris.

La ville de Sours s'est développée dans la petite vallée de la Roguenette, un affluent de l'Eure dans la plaine de Beauce. Après l'occupation de la vallée, la ville s'est étendue sur la plaine, autant vers Chartres que vers Francourville.

Communes limitrophes modifier

Hameaux et lieux-dits modifier

Outre le bourg, la commune compte 4 hameaux :

  • Génerville ;
  • Brétigny ;
  • Chandres ;
  • La Saussaye ;

Ainsi que de nombreux lieux-dits, dont Lorville, le PN9 (passage à niveau no 9), le Moulin, etc.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 646 mm, avec 10,7 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 587,6 mm[3],[4]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[5].

Statistiques 1991-2020 et records SOURS_SAPC (28) - alt : 147m, lat : 48°24'22"N, lon : 1°33'18"E
Records établis sur la période du 01-01-2008 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,7 1,3 3,2 4,8 8,1 11,6 13,3 13,2 10,5 8,2 5,1 2,3 6,9
Température moyenne (°C) 4,3 4,8 7,7 10,6 13,8 17,2 19,6 19,4 16,2 12,4 8,2 5 11,6
Température maximale moyenne (°C) 6,9 8,3 12,2 16,3 19,4 22,9 26 25,6 21,9 16,6 11,2 7,8 16,3
Record de froid (°C)
date du record
−15,8
08.01.10
−14,8
07.02.12
−10,2
13.03.13
−6
06.04.21
−0,6
02.05.21
4,3
03.06.13
6
31.07.15
5,4
26.08.18
1,9
30.09.12
−2,9
21.10.10
−12,9
30.11.10
−11,9
18.12.09
−15,8
2010
Record de chaleur (°C)
date du record
14,4
08.01.14
19,9
27.02.19
24,3
31.03.21
28,6
20.04.18
29,7
15.05.22
36,5
18.06.22
40,9
25.07.19
38,6
08.08.20
35,1
09.09.23
29,8
02.10.23
20,9
07.11.15
15,1
30.12.22
40,9
2019
Précipitations (mm) 44,6 38,6 44,3 40,4 63,9 57 38,3 46 42,9 55,7 55,9 60 587,6
Source : « Fiche 28380003 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Urbanisme modifier

Typologie modifier

Sours est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[6],[7],[8].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chartres, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 117 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9],[10].

En , la mairie entame un projet de construction d’une école maternelle et d’un centre de loisirs sans hébergement.

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (90,2 %), forêts (5,5 %), zones urbanisées (3,6 %), zones agricoles hétérogènes (0,8 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Sours est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[12]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[13].

Risques naturels modifier

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Roguenette. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999 et 2001[14],[12].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Sours.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines[15]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[16].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 27,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 772 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 561 sont en aléa moyen ou fort, soit 73 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[17],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[12].

Risques technologiques modifier

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[18].

Toponymie modifier

Noms de la commune à travers l'histoire[19] :

  • Serae en 930 d’après le cartulaire de Saint-Père-en-Vallée ;
  • Seorsum en 1099 ;
  • Sevors en 1207 d’après le chapitre de l’abbaye de saint-Jean-en-vallée ;
  • Soors vers 1160 ;
  • Sordae vers 1180 d’après le chapitre de la léproserie du grand Beaulieu ;
  • Sohors en 1220 d’après le chapitre du prieuré de la Bourdinière ;
  • Sours 1443 dans le registre des contrats du chapitre de Chartres ;
  • Surdae (1626) ;
  • Sors d’après le livre des miracles ;
  • Saint Germain de Sours (1736) puis abrégé en "Sours" ;
  • Sois (1902) dans le cartulaire de l'abbé Métais.

On appelle aujourd'hui ses habitants les "Sourcéens" ou "Sourséens".

Son nom aurait une origine celte, il pourrait signifier: la "source". En effet, la Roguenette, affluent de l'Eure, prend sa source au milieu du village.

Au hameau de Chandres, se situe également la source d'une petite rivière dont le lit a été modifié lors de la création des réseaux d'irrigation pour les cultures.

Histoire modifier

Les Templiers et les Hospitaliers modifier

La commanderie de Sours, d'abord propriété d'Alix de France puis concédée à l'ordre du Temple qui en fit un de ses lieux les plus importants. Elle fut dévolue en 1312 au Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem.

Politique et administration modifier

Liste des maires modifier

 
La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
septembre 1926 1971 Jacques Gautron Rad. ind. Sénateur d'Eure-et-Loir
septembre 1977 1989 Denise Egasse    
septembre 1989 1992 Michel Morin    
1992 1995 1er conseiller municipal par intérim    
mars 2001 2014 Claude Joseph    
mars 2014 En cours Jean-Michel Plault[20],[21]   Cadre de la fonction publique
Les données manquantes sont à compléter.

En , le village rejoint la communauté d'agglomération Chartres Métropole.

Jumelages modifier

 
Jumelages et partenariats de Sours. 
Jumelages et partenariats de Sours. 
VillePaysPériode
 Dienheim[22] Allemagnedepuis

Politique environnementale modifier

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[24].

En 2021, la commune comptait 1 969 habitants[Note 3], en augmentation de 2,18 % par rapport à 2015 (Eure-et-Loir : −0,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 6341 2001 1761 1811 3581 3251 3281 3091 334
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 3801 3101 3461 3161 3221 2941 3211 3241 312
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2941 2351 2141 0941 1001 1051 0321 0861 060
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 0341 1081 2391 2621 5131 6661 7211 8521 951
2021 - - - - - - - -
1 969--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

Sours compte :

  • l'établissement public local d'enseignement et de formation professionnelle agricole de La Saussaye[27] comprenant :
    • le lycée d'enseignement général, technologique et professionnel ;
    • le centre de formation pour apprentis ;
    • le centre de formation pour adultes ;
    • une exploitation agricole.
  • une école maternelle publique
  • une école primaire publique.
  • une école primaire et maternelle privée.

Culture, sports et vie associative modifier

 
Stade Pierre Delachaume.

Malgré sa ruralité et sa petite population (moins de 2 000 habitants), la commune connaît une riche activité associative. L'esprit associatif est ancré dans la mentalité locale au moins depuis le XIXe siècle, à l'époque où les habitants ont rassemblé leurs efforts financiers, manuels et artistique pour reconstruire la chapelle Saint-Jean-Baptiste de Génerville. Parmi les associations les plus fréquentées et actives on trouve :

  • L'amicale de Sours, dont dépendent six sections : clubs sportifs de tir, football[28], gym, judo et randonnée, ainsi que l'association des parents d'élèves des écoles publique et la section culturelle ;
  • L'amicale des sapeurs-pompiers et des jeunes sapeurs-pompiers ;
  • L’école de musique de Sours et son union musicale[29] ;
  • L'association de jumelage avec la ville de Dienheim en Allemagne. Étant l'un des plus fraternels du pays, il est « Second jumelage de France » en 1997, lors de la célébration de ses 20 ans.
  • L'association « Parc et Nature », qui aide notamment à l'entretien du parc du château de Sours ;
  • La troupe de théâtre bénévole « Les quiproquos »[30].

Économie modifier

Une micro-brasserie, L'Eurélienne, est installée sur le territoire de la commune (en direction du hameau de Chandres).

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Château de Sours modifier

  Inscrit MH (1987)[31]

Le château de Sours est entouré d'un parc divisé en deux parties, publique et privée, où l'on trouve un corps de logis de 1653, une faune particulière ainsi qu'un ancien système d'irrigation dont l'étang principal est appelé le « canal ».

Commanderie modifier

La commanderie de Sours, d'abord propriété d'Alix de France puis concédée à l'ordre du Temple puis en 1312 au Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem.

Domaine de la Saussaye modifier

Le domaine de La Saussaye bénéficie d'un grand parc dont le château, aujourd'hui démoli, a pu appartenir à Louis de La Saussaye, un érudit français et fut construit vers 1450 par Robert de Bugy, contrôleur des greniers à sel de la région de Blois et écuyer du roi François Ier, seigneur du lieu.

Église Saint-Germain modifier

L'église Saint-Germain est reconstruite à la Révolution française après sa destruction par une tempête en 1788. Elle est terminée en 1803[32].

Elle abrite les vitraux de généreux donateurs, réalisés aux XIXe et XXe siècles par les ateliers Lorin et Bernard Campin[33].

Chapelle Saint-Jean-Baptiste de Génerville modifier

La chapelle Saint-Jean-Baptiste de Génerville, symbole du courant associatif des Sourcéens dans l'histoire.

Autres lieux et monuments modifier

  • La source de la Roguenette, sous la rue Moinet, et celle du Ru de Chandres ;
  • Les lavoirs du Clos de Brye, de Chandres et de Fonteny ;
  • Au hameau de Brétigny, la stèle rappelant le traité de Brétigny ;
  • La Pierre Complissée, sépulture néolithique sous dalle[34] ;
  • Le monument aux morts, rue Pasteur ;
  • Le grand silo jaune qui domine la commune ;
  • L'ancienne gare des tramways d'Eure-et-Loir, au pied du grand silo.

Personnalités liées à la commune modifier

 
Claude de La Trémoille par Éloi Firmin Féron, 1835.

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

Références modifier

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Station Météo-France « Sours » - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  4. « Station Météo-France « Sours » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  6. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  8. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  12. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Sours », sur Géorisques (consulté le )
  13. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
  14. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  15. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  16. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Sours », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
  17. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  18. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  19. « histoire-eure-et-loir.fr/sours… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  20. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  21. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  22. « http://www.sours.fr/ » (consulté le )
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. « legta.chartres.educagri.fr/epl… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  28. « Amicale de SOURS - Section Football », sur as.sours.foot.free.fr (consulté le ).
  29. « HOME / ums28 », sur ums28 (consulté le ).
  30. « lesquiproquos.com/http-lesquip… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  31. « Château », notice no PA00097219, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. Société archéologique d'Eure-et-Loir, Procès-verbaux de la Société archéologique d'Eure-et-Loir, vol. 1, [lire en ligne], p. 123.
  33. Association Églises Ouvertes en Eure-et-Loir, « Église Saint-Germain de Sours », sur http://www.eglises-ouvertes-eure-et-loir.fr (consulté le ) [PDF].
  34. Joan Pons, « Sur la route des mégalithes d'Eure-et-Loir », sur https://www.lechorepublicain.fr, presse quotidienne régionale, .

Voir aussi modifier

Sources et bibliographie modifier

  : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • V. Chevard, Histoire de chartres et de l'ancien pays chartrain : avec une description statistique du Département d'Eure-et-Loir, Durand-le-Tellier, imprimeur, , 571 p. (lire en ligne).  
  • Histoire littéraire de la France : ouvrage commencé par des religieux bénédictins de la Congrégation de Saint Maur, et continué par des membres de l'Institut (Académie des inscriptions et belles-lettres), t. XXIII, Paris, (lire en ligne), p. 606-607.  
  • Ernest de Buchère de Lépinois, Histoire de Chartres, vol. 1, Chartres, Garnier éditeur, (lire en ligne).  
  • Paul Durand, « Rapport de M. Paul Durand sur une excursion archéologique à Ver, Mignières et les environs. », dans Société archéologique d'Eure-et-Loir, séance du 9 juin 1859, Procès-Verbaux, tome I,, Chartres, Petrot-Garnier, libraire, 16 et 17 place des Halles, , 336 p. (ISSN 1149-7203, lire en ligne), p. 180-187 ;
    Les « environs » visités sont Thivars, Corancez et Génerville (commune de Sours)
  • Eugène Mannier, Ordre de Malte : Les commanderies du grand-prieuré de France d'après les documents inédits conservés aux Archives nationales à Paris, Aubry & Dumoulin, , 808 p. (lire en ligne), p. 138.  
  • Laurent Dailliez, Guide de la France templière, Paris, Table d'Emeraude, , 190 p. (ISBN 978-2-903965-23-5).  
  • Valérie Alaniece et François Gilet, Les Templiers et leurs Commanderies, l'exemple d'Avalleur en Champagne, Langres, Dominique Gueniot, , 276 p. (ISBN 978-2-87825-117-3, LCCN 98203613).  
  • Ivy-Stevan Guiho, L'Ordre des templiers : Petite encyclopédie, Paris, L'harmattan, , 290 p. (ISBN 978-2-296-09240-2, lire en ligne).  
  • Michel Panis, Sours, petits récits et grande histoire, Les Amis de la bibliothèque de Sours[réf. incomplète].

Articles connexes modifier

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Liens externes modifier