Saint-Martin-d'Ablois

commune française du département de la Marne

Saint-Martin-d'Ablois
Saint-Martin-d'Ablois
Vue d'ensemble de Saint-Martin-d'Ablois.
Blason de Saint-Martin-d'Ablois
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Marne
Arrondissement Épernay
Intercommunalité Communauté de communes des Paysages de la Champagne
Maire
Mandat
Catherine Fontanesi
2020-2026
Code postal 51530
Code commune 51002
Démographie
Gentilé Ablutiens
Population
municipale
1 374 hab. (2021 en diminution de 5,24 % par rapport à 2015)
Densité 63 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 00′ 47″ nord, 3° 52′ 07″ est
Altitude Min. 110 m
Max. 241 m
Superficie 21,88 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Épernay
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Dormans-Paysages de Champagne
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.saintmartindablois.fr

Saint-Martin-d'Ablois est une commune française, située dans le département de la Marne en région Grand Est.

Ses habitants sont les Ablutiens.

Géographie modifier

Elle se situe au sud-ouest d'Épernay. Saint-Martin-d'Ablois se trouve aux confins des forêts de Brugny, d'Enghien, d'Épernay et du bois de Boursault. La commune se trouve dans le vignoble de Champagne « Vallée de la Marne » sur le terroir des « Coteaux Sud d’Épernay ». Elle comptabilise 82,2 hectares de vigne travaillée par 71 exploitants en grande majorité sur le cépage pinot meunier. Le Sourdon (ruisseau) y prend sa source.

Communes limitrophes de Saint-Martin-d'Ablois
Œuilly Boursault Épernay
Festigny   Vinay
Le Baizil Brugny-Vaudancourt

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 774 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chouilly », sur la commune de Chouilly à 11 km à vol d'oiseau[3], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 668,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de −12,3 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Saint-Martin-d'Ablois est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Épernay, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (59,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (59,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (58,6 %), terres arables (31,1 %), cultures permanentes (5 %), zones urbanisées (1,6 %), zones agricoles hétérogènes (1,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,3 %), prairies (1,2 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Le village apparaît dès 1145 sur les cartes de l'abbaye Saint-Martin d'Épernay sous le nom Sanctus Martinus de Avleis, puis Sanctus Martinus de Avlis en 1155. Dans la première moitié du XVIIIe siècle, plusieurs forment sont rapportées : Avelois (1219), Aublois, Avlois et Avloys. Ablois est utilisé pour la première fois en 1252. En 1262, le bourg est à nouveau répertorié en latin, en tant que Sanctus Martinus de Avlois. La décennie suivante, le terme Avloi est employé[14].

Au début du XVe siècle, les Archives nationales font état d'Abloiz, puis Abloys en 1462. Le « Saint-Martin » réapparaît en 1539 avec Saint-Martin-d'Ablays, puis Sainct-Martin de la Bloys (1634), Saint-Martin d'Amblois (1735) et Saint-Martin d'Hablois (1749). En 1783, le nom latin du village est Sanctus Martinus in pago Ablensi[14].

En 1789, la commune de Saint-Martin-d'Ablois est officiellement créée. Cependant, les révolutionnaires la renomment Ablois quatre ans plus tard[15]. Ce nom perdure jusqu'en 1952 lorsque la commune reprend son ancien nom et devient à nouveau Saint-Martin-d'Ablois[16].

Histoire modifier

Antiquité et Moyen Âge modifier

 
L'église de Saint-Martin-d'Ablois.

D'après le géographe Jean-Baptiste Bourguignon d'Anville, le village s'élève sur le site d'un bourg gallo-romain, Bibe. En 1855, le congrès archéologique de Châlons-sur-Marne note la découverte de pièces romaines à la ferme de Mont Bayen, au nord de la commune. Ce lieu-dit semble d'ailleurs être les vestiges d'une ancienne cité[15].

À partir du milieu XIIe siècle, le village alors dénommé Sanctus Martinus de Avleis est rattaché à l'abbaye Saint-Martin d’Épernay, dont les chanoines s'y établissent en 1152[15].

Marie Stuart, vicomtesse d'Ablois modifier

À la suite du décès de François II de France en 1560, Marie Stuart sépare la vicomté d'Ablois de la châtellenie d’Épernay. Le , elle est accueillie au monastère de Saint-Martin, pour participer à la messe. L'après-midi, guidée par l'abbé du couvent dans le bois du Sourdon, la dame prononce ces mots : « Oh ! Cette France aimée, la quitter quand il fait si bon y vivre des choses de l'esprit ! La quitter quand elle offre tant de poésie sous son beau ciel ! Tenez ces ombrages, comme ils sont beaux ! Cette source qui se répand en cascades à travers les rochers donne par son murmure l'illusion d'une musique lointaine, dont l'âme est délicieusement caressée ! Ces rayons d'or qui traversent la feuillée, ces oiseaux qui se jouent dans le prisme ensoleillé, non on ne peut se résigner à quitter tout cela ? »[15].

XIXe et XXe siècles modifier

Le , la ligne des Chemins de fer de la Banlieue de Reims (CBR), entre Épernay et Montmirail, est inaugurée. Une gare dessert Saint-Martin-d'Ablois et on met en place un arrêt facultatif à Sourdon[15].

Durant la Première Guerre mondiale, le village est à proximité du front, notamment lors de la seconde bataille de la Marne. 64 Ablutiens meurent sur le champ de bataille. Un cimetière militaire est créé près de la ferme des Meulières ; un monument aux morts est inauguré le , rue Julien-Ducos[15].

La ligne de chemin de fer desservant la ville est déclassée en 1937[15].

Lors de la Seconde Guerre mondiale, trois Albutiens (Michel Destrez, Julien Ducos et Marcel Soyeux) sont arrêtés pour résistance et fusillés près de Châlons-sur-Marne, le . Ils avaient tous entre 20 et 25 ans. Trois rues portent aujourd'hui leur nom. Par ailleurs, trois autres sont déportés en Allemagne (Adrien Didier, Marcel Fouju et Jacques Soardi). Ce dernier ne reviendra jamais, une rue porte également son nom[15].

Politique et administration modifier

Tendances politiques et résultats modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs[17]
Période Identité Étiquette Qualité
an XVIII 1806 Nicolas Lelouvier    
1806 1812 Jean-Baptiste Piéton    
1812 1814 Louis Rossignol    
1814 1825 Auguste Sannegon    
1825 1831 Auguste de Talhouët Conservateur
Monarchiste
Militaire, marquis de Talhouët
1831 1843 Louis Noël    
1843 1855 Étienne François    
1855 1857 Sébastien Malet    
1857 1865 François Miloni    
1865 1866 Louis Fagot    
1866 1871 Pierre Ketterer    
1871 1892 Louis Fagot    
1892 1893 Jules Ketterer    
1893 1894 Ernest Moreau    
1894 1897 Jules Lalouelle    
1897 1908 Charles Daumont    
1908 1911 Henri Durantel    
1911 1932 Jules Ketterer    
1932 1944 Émilien Jamart    
1944 1945 Simon Moreau    
1945 1965 Léon Durantel    
1965 1971 Robert Jamart    
1971 1983 Léon Durantel    
1983 1989 Bernard Rauscher    
1989 mai 2020 Jackie Barrois[18],[19] PS[20]
mai 2020[21],[22] En cours
(au 2 décembre 2020)
Catherine Fontanesi   Directrice générale des services d’une collectivité
Vice-présidente de la CC des Paysages de la Champagne (2020 → )

Jumelages modifier

Saint-Martin-d'Ablois est jumelée avec :   Avessac (France) depuis le

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[24].

En 2021, la commune comptait 1 374 habitants[Note 4], en diminution de 5,24 % par rapport à 2015 (Marne : −1,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0411 1781 2131 2361 4171 4751 5071 5331 525
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 3411 4031 4101 3731 4471 3651 3531 2861 230
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2161 2121 1471 2229609029069511 001
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 0451 0351 0211 2211 4311 4011 4571 4731 456
2018 2021 - - - - - - -
1 4141 374-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

 
Exemple d'une meule à grain.

Les meules à moulin modifier

Au cours des XVIIe et XVIIIe siècles, le village est réputé pour ses meules à moulin. Les meules d'Ablois sont à l'époque extraites de bancs de meulières, enterrées sous un sol sableux, dans la forêt d'Enghein, à l'ouest de Saint-Martin-d'Ablois et, dans celle d’Épernay, au nord du village[15].

Ces meules à grains sont blanches, grises ou rouges et font entre 1,53 m et 2,09 m de diamètre et de 35 à 42 cm d'épaisseur. Transformées à Saint-Martin-d'Ablois, elles étaient ensuite acheminées principalement par la Marne, à Port-à-Binson ou Épernay, en direction de toute la Champagne mais également de toute la France et même jusqu'aux États-Unis[15].

Culture locale et patrimoine modifier

Monuments modifier

Château d'Ablois modifier

 
Le château d'Ablois.

Le château de Saint-Martin-d'Ablois, date du XVIIIe siècle. Depuis 2009, il appartient à la famille Breul, rénové c'est la maison principale du Champagne Patrick Breul, où l’accueil des visiteurs se fait sous forme de visites et de dégustations.

Le refuge des cheminots modifier

En 1928, Georges Rosset, président de la Fédération des retraités du chemin de fer, créé le « Refuge des cheminots » à la Foulerie, au nord-est du bourg principal. Le but de l'institution, inaugurée en 1928 par le Ministre des travaux publics, André Tardieu, est d'héberger des employés des chemins de fer[15].

Le bâtiment se modernise au fil des années et accueille jusqu'à 62 retraités en 1956. Il est détruit en 1986. Dans l'ancien parc de la Foulerie se trouve aujourd'hui l'école primaire du village[15] et l'on trouve en dessous de celle-ci la rue Georges-Rosset.

Patrimoine environnemental modifier

Le parc du Sourdon modifier

Un parc de trois hectares où jaillit la source du Sourdon, un ruisseau qui parcourt 1,2 km en traversant le village de Saint-Martin-d'Ablois avant de se jeter dans le Cubry, ruisseau rejoignant la Marne à Épernay. Un sentier suit le ruisseau qui parcourt le parc en suivant des cascades artificielles. Le parc, aujourd'hui propriété communale, a été créé à la fin du XIXe siècle. C'est un site naturel inscrit depuis le  ; il figure en outre sur la liste des parcs et jardins remarquables du ministère de la Culture[26],[27]. Le parc est ouvert au public en accès libre du 1er avril au de 9 h à 19 h et possède quelques aménagements pour le pique-nique.

Héraldique modifier

Les armoiries de Saint-Martin-d'Ablois se blasonnent ainsi :
« Taillée : au premier d'or à la branche de vigne pamprée de sinople, fruitée de deux pièces de pourpre, au second d'azur à la double cotice potencée et contre-potencée d'or soutenue d'une roue de moulin d'argent mouvant du flanc senestre, issant d'une plaine ondée du même. »

Personnalités liées à la commune modifier

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

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Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Saint-Martin-d'Ablois et Chouilly », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Chouilly », sur la commune de Chouilly - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Chouilly », sur la commune de Chouilly - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a et b Auguste Longnon, Dictionnaire topographique de département de la Marne : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Imprimerie nationale, coll. « Dictionnaire topographique de la France », , p. 1-2lire en ligne=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k39298v/f269.image.
  15. a b c d e f g h i j k et l « Historique »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Commune de Saint-Martin-d'Ablois (consulté le ).
  16. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  17. « L'Histoire Ablutienne au fil du temps »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Le village, sur saintmartindablois.fr (consulté le ).
  18. Réélu pour le mandat 2008-2014 : Liste des maires au 1er août 2008, site de la préfecture de la Marne, [xls], consulté le 22 décembre 2008
  19. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Liste des maires du département de la Marne » [PDF], Renouvellement des exécutifs locaux, Préfecture de la Marne (consulté le ).
  20. Annuaire des mairies de la Marne, EIP/ Les Editions Céline, coll. « Annuaire des mairies de France », 2006-2007 (ISBN 978-2-35258-151-2), p. 170.
  21. Maxime Mascoli, « Municipales 2020. Catherine Fontanesi, conseillère sortante remet le couvert à Saint-Martin-d’Ablois : Avec Catherine Fontanesi à sa tête, la liste, dont sont issus cinq anciens membres du conseil municipal de Saint-Martin-d’Ablois, veut développer les transports et redynamiser la commune », L'Union,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. « Municipales 2020. Le conseil installé à Saint-Martin-d’Ablois », L'Union,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. [PDF]http://sig.champagne-ardenne.ecologie.gouv.fr/sites_paysages/sites_pdf/pdf_SitesCI_51/SI118_fiche.pdf
  27. [PDF] http://www.culture.gouv.fr/champagne-ardenne/4publications/jardins/parcs-jardins-proteges/MA_st_martin_d_ablois_sources_du_sourdon.pdf