Chemins de fer de la Banlieue de Reims

chemin de fer

Chemins de fer de la Banlieue de Reims
illustration de Chemins de fer de la Banlieue de Reims

Création 1894
Disparition 1966

Sigle CBR
Croix de guerre 1914-1918 Croix de guerre 1914-1918
Siège social Reims
Drapeau de la France France

Localisation Marne, Aisne et Ardennes
Écartement des rails métrique

Les chemins de fer de la Banlieue de Reims (ou C.B.R.) étaient un réseau secondaire de chemins de fer à voie métrique du département de la Marne, qui, à son apogée, s'étendait sur 400 km en desservant 180 communes.

Historique modifier

Les débuts modifier

 
Un train sur le pont d'Épernay avant la Première Guerre mondiale.
 
Action de la Chemins de Fer de la Banlieue de Reims et Extensions SA en date du 1905

La première ligne, ouverte en 1896, relie Reims à Ludes.

La ligne Épernay - Montmirail, déclarée d'utilité publique en 1899, fut mise en service en 1903, et ferma en 1937.

Lors de la Première Guerre mondiale, le réseau fut détruit à 90 % et reconstruit dans les années suivantes.

Toutefois, le coût de la reconstruction du réseau, la hausse des dépenses et la réduction inexorable du trafic amènent le département de la Marne à racheter le réseau, qu'il afferme à la Société générale des transports départementaux (SGTD).

En 1929, on assiste aux premières suppressions de trains justifiées, comme ailleurs, par le développement des transports automobiles. Le trafic voyageur cesse sur le réseau en 1947 (ligne Reims-Asfeld) et l'arrêt du transport de marchandises intervient en 1953.

Historique des lignes modifier

Section Date d'ouverture Date de fermeture

au trafic voyageurs

Date de fermeture

au trafic marchandises

Concessionnaires Remarques
Épernay - Ay 4 août 1895 1937 1937 TEM / CBR (1905) Tramway hippomobile de 1895 à 1905
Reims - Puisieulx 16 mars 1896 20 mai 1931 Fin 1947 CBR
Puisieulx - Ludes 16 mars 1896 20 mai 1931 31 décembre 1933 CBR
Ludes - Verzy 4 avril 1896 20 mai 1931 31 décembre 1933 CBR
Ay - Mareuil-sur-Ay 15 août 1896 1937 1937 TEM / CBR (1905) Tramway hippomobile de 1895 à 1905
Reims - Saint-Brice 14 avril 1897 8 janvier 1933 Mai 1953 CBR Transformé en voie normale en 1952

et géré dès lors comme embranchement industriel

Saint-Brice - Cormicy 14 avril 1897 8 janvier 1933 31 décembre 1933 CBR
Verzy - Ambonnay 17 septembre 1901 20 mai 1931 31 décembre 1933 CBR
Reims - Villedommange 20 mars 1903 20 mai 1931 Fin 1947 CBR
Villedommange - Fismes 20 mars 1903 20 mai 1931 Avant 1939 CBR
Bouleuse - Dormans 20 mars 1903[1] 20 mai 1931 31 décembre 1933 CBR
Épernay - Ablois-Saint-Martin 27 juillet 1903[1] 1937 1937 CBR
Ablois-Saint-Martin - Montmirail 27 juillet 1903[1] 12 septembre 1932 31 décembre 1933 CBR
Soissons-Nord - Soissons-Saint-Waast 15 février 1904[2] 15 janvier 1948 15 janvier 1948 CBR / CDA (1918) Maintenu à voie métrique est exploité pour la desserte Soissons - Vic-sur-Aisne des CDA.
Soissons-Saint-Waast - Crouy 15 février 1904[2] 1953 CBR / CDA (1918) / NE (1922) / RTA (1952) / SNCF (1981) Voie normale après la 1re guerre mondiale
Crouy - Vailly 15 février 1904[2] 1953 31 juillet 1968 CBR / CDA (1918) / NE (1922) / RTA (1952) Voie normale après la 1re guerre mondiale
Ambonnay - Châlons-Port 8 avril 1904[2] 20 mai 1931 31 décembre 1933 CBR
Châlons-Port - Châlons-Transbordement [2] 20 mai 1931 31 décembre 1933 CBR
Vailly - Concevreux [2] 1914 1914 CBR
Concevreux - Cormicy [2] 1925 1925 CBR / CDA (1918) / NE (1922)
Roucy - Corbeny 1914 1914 CBR
Cormicy - Berry-au-Bac 25 octobre 1903[1] 8 janvier 1933 CBR
Berry-au-Bac - Guignicourt 25 octobre 1903[1] Mai 1940 CBR / CDA (1918) / NE (1922) / RTA (1952) / SNCF (1981) Voie normale le
Guignicourt - Neufchâtel 21 mai 1904[2] Mai 1940 CBR / CFS (1927) / RTA (1952) / SNCF (1981) Voie normale le 20 août 1961
Ambonnay - Mareuil-sur-Ay 25 mai 1905 20 mai 1931 31 décembre 1933 CBR
Neufchâtel - Évergnicourt 25 octobre 1903[1] Mai 1940 CBR / CFS (1927) / RTA (1952) / SNCF (1981) Voie normale le 20 août 1961
Évergnicourt - Asfeld 25 octobre 1903[1] Mai 1940 Mai 1940 CBR / CFS (1927)
Asfeld - Rethel 25 octobre 1903[1] 31 décembre 1949 1961 CBR / CFS (1927) / RDTA (1950)
Reims - Beine 16 octobre 1927 31 décembre 1933 CBR
Reims - Asfeld 24 novembre 1913 10 octobre 1932 Fin 1947 CBR Trafic voyageur rétabli pendant la 2e guerre mondiale
Vailly - Œuilly 1919 1953 16 février 1966 CDA / NE (1922) / RTA (1952) Voie normale
Œuilly - Beaurieux 1920 1953 16 février 1966 CDA / NE (1922) / RTA (1952) Voie normale
Beaurieux - Pontavert 1921 CDA / NE (1922) / RTA (1952) Voie normale
Cuiry - Concevreux 10 juillet 1933 Mai 1940 Mai 1940 NE Voie normale
Concevreux - Berry-au-Bac 10 juillet 1933 Mai 1940 NE / RTA (1952) Voie normale

Liste des concessionnaires : TEM : Tramway d'Épernay à Mareuil - CBR : Ch. de fer de la Banlieue de Reims - CDA : Ch. de fer Départementaux de l'Aisne - NE : Ch. de fer secondaires du Nord-Est - CFS : Ch. de fer secondaires - RDTA : Régie Départementale des Transports des Ardennes - RTA : Régie des Transports de l'Aisne

 
Un train place de la République à Reims.

Première Guerre mondiale modifier

 
Destructions de la Première Guerre mondiale, ici, à Berry-au-Bac...
 
... et à Reims

Le réseau eut un rôle très important pendant la Première Guerre mondiale, et du subir de nombreuses destructions.

Dès le début de la guerre le trafic fut pratiquement interrompu. Toutefois autour de Dormans, un tronçon de 69 km reste en exploitation jusqu'en 1916 pour le transport des troupes, munitions et ravitaillement. La quasi-totalité du matériel roulant était entreposé à Dormans où il subit de très graves dommages[3].

La circulation se fait vers Châlons ou Épernay, le terminus est à Puisieulx et Reims promenade ou Maison Blanche selon les bombardements.

 
L'évacuation des Rémois par les CBR, en 1915.

À Reims, la situation s’était aggravée. à partir de décembre 1914 les habitants avaient dû évacuer leur ville. La gare de Reims étant inutilisable, selon les conditions de bombardement, ils embarquaient à l'arrêt Reims promenade ou Maison Blanche beaucoup d’entre eux, venaient à pied à Bezannes pour monter dans le C.B.R qui partait de nuit.

Bientôt, les lignes de Bezannes à leur tour furent coupées, et c’est jusqu’à Pargny-lès-Reims qu’il fallut aller prendre le train. Le C.B.R évacua environ 1 000 personnes par jour. En août 1915, la ville ne comptait plus que 26 000 habitants qui étaient en grande partie ravitaillés par le chemin de fer.

L'armée utilisa certaines lignes du réseau CBR comme voies ferrées des réseaux de l'artillerie au front (voie étroite). Elles servirent au transport des blessés et du matériel militaire. La Ve Armée utilisa la plate-forme de certaines lignes du CBR pour y implanter la voie étroite des chemins de fer de campagne du système Péchot.

Une extension est mise en place pour ravitailler le fort de la Pompelle. Lors de l'Offensive Nivelle, sont créés 50 km de voies métriques entre Fismes et Mont-Notre-Dame, une gare à Courlandon, avec un parc de 10 locomotives Baldwin. Des sapeurs algériens gérèrent cette activité.

La 10e Section de Chemins de Fer de Campagne, mobilisée en , a exploité tous les réseaux de voie métrique utilisés pour les opérations militaires dont le CBR.

 

L'historique et l'utilisation du chemin de fer militaire en France font l'objet d'un article détaillé : Chemin de fer militaire (France).

En 1915, le 5e régiment du génie vérifie les ouvrages d'art, renforce les voies et modifie des gares pour assurer l'importante circulation des matériaux, le port de Try-sur-Marne est relié au chemin de fer.

Au 31 mars 1919, 45 km de voies ont été remis en service, pour atteindre 468 km au 31/12/1919[3]. La direction de C.B.R. demande le 27/6/1919, la restitution des voies à l'armée[4].

Décoration modifier

  Croix de guerre 1914-1918 À la fin de la Première Guerre mondiale, les C.B.R furent décorés de la Croix de guerre.

En régie de 1918 à 1926 modifier

Le 11 novembre 1918, seules les lignes Reims - Dormans et Bouleuse - Fismes sont utilisables après des réparations sommaires effectuées par la 10e section des chemins de fer de campagne.

Le , le Conseil général transforme l'exploitation en régie. Dès le 1er janvier, les recettes vont au Conseil Général qui rembourse aux C.B.R les frais, augmentés de 10 % pour avance de fonds.

Les C.B.R perdent la relation Soissons - Rethel qui est le tronçon le plus rentable. Celui-ci, mis à voie normale, est affermé à la Compagnie des chemins de fer départementaux de l'Aisne, avec du matériel de la Compagnie des chemins de fer du Nord[5].

La reconversion modifier

Il y a un classement entre les lignes de chemins de fer militaires pouvant être reconverties en exploitation voyageurs et, celles pouvant seulement devenir exploitation commerciale ou industrielle.

Le 20 septembre 1920, le ministère de la guerre « abandonne gratuitement les infrastructures et supporte les charges d'occupation jusqu'à la fin des hostilités. Le réseau acquéreur supporte à son tour, les charges d'occupation des terrains à partir du 12 novembre 1918 et les dépenses d'acquisitions s'il y a lieu. Il paie le matériel de voie et les signaux au prix en vigueur. Il renonce à toute réclamation pour la remise en état des installations du réseau préexistant ».

Les réparations modifier

De 1919 à 1924, le travail est intense pour la remise en état des lignes, pour la reconstruction et pour l'évacuation des reliefs de la guerre. Dans cette optique, le gouvernement crée le ministère des régions libérées. Le nombre de kilomètres de voies en service passe de 45 en mars 1919, à 140 en avril puis 468, fin 1919 et 526 fin mars 1920. L'exploitation assure le trafic quotidien et aussi celui de la reconstruction (600 000 tonnes mensuellement en mars 1920).

Fusion avec la S.G.T.D modifier

Par un décret du , la C.B.R est rachetée et son réseau affermé à la Société Générale des Transports Départementaux[6] qui était une société de transport routier.

Progressivement, les dessertes ferroviaires sont abandonnées au profit du transport routier assurés par autobus Panhard & Levassor :

  • 16 octobre 1927, la ligne Reims/Benne
  • 20 mai 1931, les axes Reims/Ambonnay/Châlons, Ambonnay/Epernay, Reims/Fismes, Bouleuse/Dormans
  • 12 septembre 1932, Asfeld/Reims
  • 8 janvier 1933, Cormicy/Berry-au-Bac

Certaines lignes ne sont maintenues que pour le transport de marchandises, transport qui fut souvent saisonnier (betteraves...).

Un renouveau d'intérêt existe alors pour les excursions en train. De nombreux Marnais retrouvent le plaisir du train lors de sorties dominicales.

Transfert de l'exploitation à la route modifier

Début 1933 la S.G.T.D met en place un plan de réforme qui inclut des réductions d'effectif et un Transfert de l'exploitation vers la route.

Devant cet état de fait, le Conseil général reprend en régie directe l'exploitation jusqu'à son abandon total le

Infrastructure modifier

Les sections Cormicy - Soissons et Cormicy - Guignicourt sont situées en grande partie dans le département de l'Aisne[7]. Les sections Guignicourt - Asfeld - Rethel et Reims - Asfeld sont situées en grande partie dans le département des Ardennes[8].

Le réseau était établi à l'écartement métrique, généralement en accotement de routes afin de réduire les dépenses, mais comprenant également des sections en site indépendant de la chaussée. De ce fait, les lignes avaient des tracés sinueux et accidentés, avec des rampes atteignant 43 mm/m. Le rail employé pèse 22 puis 25 kg/m.

Lignes modifier

Épernay - Montmirail (61 km)
Reims - Châlons-sur-Marne (58 km)
Reims - Cormicy (21 km)[9]
Soissons - Cormicy - Guignicourt (60 km)
Roucy - Corbeny (embranchement)
Reims - Bouleuse - Fismes (42 km)[10]
Bouleuse - Dormans (25 km)
Ambonnay - Épernay (22 km)
Ambonnay - Châlons-sur-Marne (22 km)
Reims - Beine (19 km)
Reims - Verzy (28 km)[9]
Reims - Asfeld (30 km)
Guignicourt-sur-Aisne - Rethel (37 km)[11]

Bâtiments modifier

 
La Gare de type 1 de Verzy.
 
La gare de type 2 de Bourg-et-Comin.

Les bâtiments voyageurs comprenaient :

  • le type 1, d'une longueur de 10 m et une largeur de 5,8 m avec auvent côté voie
    • T1 a ayant trois fenêtres à l'étage, une porte et deux fenêtres au rez-de-chaussée
    • T1 b ayant deux fenêtres à l'étage, une porte et une fenêtre au rez-de-chaussée
  • le type 2, étant identique au T1 b mais seulement 8 m de longueur
  • le type 3, étant comme le T2 mais avec un toit à quatre pans
  • le type 4, sans étage mais avec un bâtiment accolé
 
Épernay gare CBR, chalet de la gare des Mariniers

Les arrêts Mariniers à Épernay et Promenade à Reims étaient équipés de chalets en guise d'abri

Ouvrages d'art modifier

Les principaux ouvrages d'art étaient les suivants :

Points d'eau modifier

Il n'y avait pas là d'unité de style, 12 existaient pour le dépôt de Reims, 7 pour celui d'Épernay et 8 pour celui de Soissons.

L'exploitation modifier

 
Automotrice Purrey en gare de Soissons.
 
La gare du Port à Soissons
 
Autre vue de la gare de Soissons-Port

Le réseau était exploité par les compagnies suivantes :

  • en 1894, la Compagnie de chemin de fer de la banlieue de Reims et extensions, créée à l'instigation du Baron Empain.
  • en 1923, elle fusionna avec la Compagnie de chemin de fer de Marles à Moncornet pour former le Groupe des chemins de fer secondaires, renommé en 1927 Compagnie des chemins de fer secondaires.
  • en 1960, cette compagnie fusionna avec la Compagnie de chemin de fer du Nord-Est pour former la Compagnie des chemins de fer secondaires et transports automobiles (CFSTA),
  • en 1966, la CFSTA fusionna avec la Société générale des chemins de fer économiques (SE) pour former l'actuelle société des Chemins de fer et transport automobile (CFTA)[12].

Matériel roulant modifier

Locomotives modifier

Locomotives à vapeur modifier

Le matériel roulant initial est constitué de 18 locomotives bicabines type 030T fournies par Blanc-Misseron filiale de Tubize. Elles étaient d'un type classique des chemins de fer secondaires à voie métrique, dotées d'un tamponnement central et du frein continu à air comprimé.

Le matériel d'occasion est en italique.

Illustration Modèle / type Nombre Numéros Mise en service Réforme Remarques
  ANF Blanc-Misseron

type 030T bicabine[13]

5 1-5 n° constructeur 145-149
  La Métallurgique de Tubize

type 030T bicabine (occasion)[14]

1 6 Livrée par La Métallurgique de Tubize en au Chemin de fer à voie étroite de Bruxelles à Ixelles-Boendael (BIB) no 13 de la série 12-14, n° constructeur 743.
 
ANF Blanc-Misseron

type 030T bicabine[13]

12 7-18 n° constructeur 262-273
  Christian Hagans

type 020

1 19 Pour les manœuvres.
 
Decauville

type 030T bicabine

7 20-26
 
Corpet-Louvet Ct (030T) 5 30-34
 
Corpet-Louvet Ct (030T) 11 50-60 -
  Piguet

type 130T

4 40-43

Automotrices à vapeur modifier

  • no 118 et 119, automotrices à vapeur Purrey pour 18 places assises

Voitures passagers modifier

Il existait deux types de voitures voyageurs :

  • voitures à essieux et plateformes extrêmes, (136 unités)
  • voitures à essieux rayonnant Système de Rechter et plateformes extrêmes, (18 unités)
 
Locomotive Baldwin 031T en gare de Savigny sur Ardre
 
La locomotive Blanc-Misseron no 13, en tête d'un train mixte en gare d'Ay

Répartition en juin 1914 par dépôt modifier

  • Dépôt de Reims-Jacquart :
  • Dépôt d'Épernay-la-Goësse :
  • Dépôt de Soissons-Saint-Waast :

En 1919 modifier

Il ne reste plus que 35 locomotives en état de fonctionnement en 1919 à la remise par l'armée. Le C.B.R demande quatre locomotives Mallet abandonnées par les Allemands. Il obtiendra une dizaine de locomotives 031 T Baldwin provenant de la 10e section des chemins de fer de campagne.

Fin 1922 modifier

 
La voiture B 328 préservée au MTVS.

Les matériels réceptionnés :

  • neuf :
  • abandonné par les Allemands :
  • commandé par le Conseil général :
    • 13 wagons plates-formes

Matériel et installations préservés modifier

 
Intérieur de la voiture B 328 construite par Blanc-Misseron en 1892, restaurée par le MTVS

On peut notamment noter, parmi les matériels et installations préservés :

Notes et références modifier

  1. a b c d e f g et h « Recueil général des lois, décrets et arrêtés... », sur Gallica, (consulté le ).
  2. a b c d e f g et h « Recueil général des lois, décrets et arrêtés... », sur Gallica, (consulté le ).
  3. a et b REIMS - 150 ans du Chemin de Fer, avril 2004, éditions Alan Sutton
  4. Entre deux Terroirs, bulletin de l'Association (Massif de St Thierry), no 62 Oct-Déc 2009
  5. José Banaudo et Henri Domengie Les petits trains de Jadis, tome 9, le Nord (Édition du Cabri)
  6. J.O du 16 juin 1927
  7. respectivement 2 et 3 km dans le département de la Marne
  8. Respectivement 5 km pour Guignicourt - Asfeld et 21 km pour Reims - Asfeld auxquels il faut ajouter 22 km vers Rethel
  9. a et b Double écartement : voie normale et voie métrique)
  10. - Fermeture au service voyageurs le 13 août 1936)
  11. (27 km) dans les Ardennes
  12. [PDF] « Chemins de fer et transports automobiles - CFTA », sur archivesnationales.culture.gouv.fr (consulté le ).
  13. a et b Jens Merte, « Liste de construction ANF Blanc-Misseron », liste de construction du matériel roulant des Ateliers de construction du Nord de la France (ANF) de Blanc-Misseron établie par Jens Merte
  14. Luc Delporte, « Chemin de fer à voie étroite Bruxelles à Ixelles-Boendael (BIB) », sur le site du Musée de la porte de Tubize, .
  15. Notice no PM95000859, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

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Liens externes modifier