Saint-Auban

commune française du département des Alpes-Maritimes

Saint-Auban
Saint-Auban
Saint-Auban.
Blason de Saint-Auban
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-Maritimes
Arrondissement Grasse
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays de Grasse
Maire
Mandat
Claude Ceppi
2020-2026
Code postal 06850
Code commune 06116
Démographie
Gentilé Saint-Aubanais
Population
municipale
213 hab. (2021 en diminution de 8,58 % par rapport à 2015)
Densité hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 50′ 57″ nord, 6° 43′ 38″ est
Altitude Min. 899 m
Max. 1 689 m
Superficie 42,54 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Grasse-1
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Saint-Auban

Saint-Auban est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Ses habitants sont appelés les saint-aubanais ou aubanais.

Géographie modifier

Localisation modifier

Le chef-lieu de Saint-Auban est situé à 29 kilomètres de Castellane, 60 kilomètres de Grasse et 31 kilomètres de Puget-Théniers[1].

Géologie et relief modifier

Commune située dans le parc naturel régional des Préalpes d'Azur[2], et limitrophe du parc naturel régional du Verdon.

La forêt domaniale[3] représente 1 691 hectares, se situant principalement dans les massifs du Pensier et de Bleine[4].

Sismicité modifier

Commune située dans une zone de sismicité moyenne[5].

Hydrographie et eaux souterraines modifier

Cours d'eau sur la commune ou à son aval[6] :

  • rivière l'Estéron, la Gironde,
  • ruisseaux de la Faye, du col des lattes, des lones,
  • torrent de la sagne,
  • vallons du riou, de la baume, de l'abey,
  • ravin de verraillon.
 
Le paysage entre Le Mas et Saint-Auban de part et d'autre de la CD5.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans la région climatique Var, Alpes-Maritimes, caractérisée par une pluviométrie abondante en automne et en hiver (250 à 300 mm en automne), un très bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 75 %), un hiver doux (°C) et peu de brouillards[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 994 mm, avec 5,6 jours de précipitations en janvier et 5,1 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Le Mas », sur la commune du Mas à 11 km à vol d'oiseau[9], est de 9,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 236,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 32,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de −13,5 °C, atteinte le [Note 1],[10],[11].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[12]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Voies de communications et transports modifier

Voies routières modifier

Village desservi par la départementale D2211 depuis Puget-Théniers.

Transports en commun modifier

Village desservi par le Réseau régional de transport et le réseau Lignes d'Azur[14].

Intercommunalité modifier

Commune membre de la Communauté d'agglomération du Pays de Grasse.

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Saint-Auban est une commune rurale[Note 2],[15]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[16],[17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].

La commune est dotée d'un plan local d'urbanisme[20] et d'un Dossier d'information communal sur les risques majeurs[21].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (87 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (89 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (76,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8,3 %), prairies (6,6 %), zones agricoles hétérogènes (6,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2,5 %)[22].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire modifier

Un peu à l'Ouest du village de Saint-Auban (Alpes-Maritimes), à la cote 1440 de l'État-major, se trouve une barre abrupte formant une gorge étroite et profonde, un thalweg de cassure creusé par l'Estéron, appelé aussi clue ou cluse sur l'extrémité Est de laquelle se trouve la relativement célèbre clue de Saint-Auban[23],[24], enceinte de pierres sèches ou Castelar[25],[26],[27], qui servira de base à son château féodal, aux ruines pittoresques.

Le village est cité en 1166 sous le nom de « Sancto Albano ». Le village était alors situé plus haut comme le montrent les restes de remparts.

Au XIIIe siècle, Saint-Auban est un chef-lieu de bailliage dont le suzerain est Raymond Béranger IV, Comte de Provence. En effet, en 1235 la vallée de Thorenc est conquise jusqu'à Saint-Auban par son officier Romée de Villeneuve, qui choisit Saint-Auban comme chef-lieu. Son rôle est de contrôler la frontière avec la principauté de Castellane et le commerce. Raymond Béranger IV se réserve la position stratégique de Gréolières-Haute.

À la mort de Raimond Bérenger en 1245, Romée de Villeneuve hérite par testament de la seigneurie de Vence, devient tuteur de la fille du Comte, Béatrice, comtesse de Provence et régent du Comté de Provence. En 1246, Romée de Villeneuve maria sa pupille à Charles d'Anjou, frère de Saint Louis, permettant ainsi la réunion de la Provence à la couronne de France.

En 1409, la seigneurie appartient aux Genovardis et passe aux Flotte d'Agoult en 1550[28], puis aux Villeneuve-Bargemon, en 1711.

Au XXe siècle, le village compte un téléski sur la montagne face au village au-dessus du lac ; en inactivité depuis 1990, les cinq pylônes sont démontés en [29].

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 En cours Claude Ceppi UMP-LR Retraité

Budget et fiscalité 2019 modifier

En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[30] :

  • total des produits de fonctionnement : 434 000 , soit 1 887  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 545 000 , soit 2 371  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 292 000 , soit 1 268  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 272 000 , soit 1 181  par habitant ;
  • endettement : 104 000 , soit 453  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 10,60 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 9,49 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 26,53 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2017 : médiane en 2017 du revenu disponible, par unité de consommation : 17 450 [31].

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[33].

En 2021, la commune comptait 213 habitants[Note 3], en diminution de 8,58 % par rapport à 2015 (Alpes-Maritimes : +1,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
607624622585641660687647636
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
634615574573554540481460511
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
424383332287273274253207202
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
219211225221217267232221232
2018 2021 - - - - - - -
216213-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

Établissements d'enseignement[36] :

  • Écoles : maternelle et élémentaire ;
  • collèges à Annot, Castellane, Puget-Théniers ;
  • lycées à Grasse.

Santé modifier

Professionnels et établissements de santé[37] :

  • Médecins à Valderoure, Entrevaux,

Cultes modifier

Économie modifier

Entreprises et commerces modifier

Agriculture modifier

  • Élevage[39], fromagerie des Défends.

Tourisme modifier

Commerces modifier

  • Commerce de proximité[41].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • Route des clues de Provence[42] : la clue de Saint-Auban, gorges de 1 000 mètres environ, taillée dans la montagne par l'Estéron.
    Cette clue est remarquable par la verticalité de ses parois. L'Estéron a creusé des marmites dans son lit, avec des cascades. Dans un grotte découverte au cours des travaux pour aménager la route a été aménagé l'oratoire de Notre-Dame-de-Lourdes.
    Dans la clue, à 80 mètres au-dessus de la rivière se trouve la grotte d'Oneille[43] qui a été murée et aménagée en fort vers le XVIe ou XVIIe siècle.
  • Grotte-oratoire Notre-Dame-de-Lourdes dans les clues.
  • Porte de Tra Castel[44].

Patrimoine religieux :

Autres patrimoines :

  • Les ruines du donjon et de l'enceinte du château, déjà cité au XIIIe siècle.
  • Porte Tracastel.
  • Menhir isolé : pierre levée[51].
  • Le château, ancienne gendarmerie, avec une façade classique.
  • Fontaine-lavoir, et lavoir.
  • Musée des traditions[52].

Héraldique modifier

  Blason
De gueules à la palm d’or adextrée, en chef d’une étoile d’argent chaussé d’argent aux deux croisettes de gueules[53].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Personnalités liées à la commune modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. « OpenStreetMap », sur OpenStreetMap (consulté le )
  2. Parc naturel régional des Préalpes d'Azur : Saint-Auban
  3. Clue et forêt domaniale de Saint-Auban
  4. Cartographie des espaces protégés, ZNIEFF
  5. Didacticiel de la règlementation parasismique
  6. L'eau dans la commune
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Saint-Auban et Le Mas », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Le Mas », sur la commune du Mas - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Station Météo-France « Le Mas », sur la commune du Mas - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  14. Réseau Lignes d'Azur
  15. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. Plan local d'urbanisme
  21. Dossier d'information communal sur les risques majeurs
  22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  23. Guébhard Adrien. Notes brèves pour la Commission d'Études des Enceintes préhistoriques et Fortifications anhistoriques. In:Bulletin de la Société préhistorique de France, tome 14, n°8, 1917. pp. 428-431 https://www.persee.fr/docAsPDF/bspf_0249-7638_1917_num_14_8_7642.pdf
  24. En topographie, le terme clue désigne un passage étroit, creusé par un torrent perpendiculairement à un massif montagneux, apparemment infranchissable. Comme toute topographie, elle est souvent à l'origine de la toponymie locale. Exemple: la clue de Sisteron, la clue de Barles, La Clusaz voir aussi http://www.donnees.paca.developpement-durable.gouv.fr/docHTML/atlas04/files/4de/4de_27_fc.pdf
  25. Les "castellars" sont des fortifications, des structures de pierres sèches, édifiées depuis « la préhistoire finissante » jusqu'au Haut Moyen Âge, dont l'identification et l'étude a constitué le cœur du travail du géologue et préhistorien Adrien Guebhard (1849-1924) https://www.archeoprovence.com/archeo/notes-et-billets/339-pionniers-de-la-prehistoire-en-pays-grassois https://www.idref.fr/05729206X
  26. Guébhard Adrien. Découvertes nouvelles de Castelars provençaux. Liste récapitulative. (Alpes-Maritimes). In: Bulletin de la Société préhistorique de France, tome 13, n°2, 1916. pp. 85-86 https://www.persee.fr/doc/bspf_0249-7638_1916_num_13_2_7148
  27. Guébhard, Adrien (1849-1924), Le vrai problème des enceintes préhistoriques.- Deux mots à propos du Castelar du Mont-Bastide (A.-M.)- Première revision de l'inventaire des enceintes préhistoriques du département du Var, 1907, Notes présentées au IIe Congrès préhistorique de France (Vannes - 1906), 27 p. https://www.tpsalomonreinach.mom.fr/Reinach/MOM_TP_135806/MOM_TP_135806_0001/PDF/MOM_TP_135806_0001.pdf
  28. Borel d'Hauterive, Annuaire de la Noblesse de France et des Maisons souveraines de l'Europe, Paris, Au bureau de la publication, 1863 (20e année), p. 206. URL : https://books.google.fr/books?id=bbEllImnX-cC&pg=PA206&dq=flotte+d%27agoult+saint+auban&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwiG-tOcnNztAhUE2uAKHakDDEMQ6AEwA3oECAQQAg#v=onepage&q=flotte%20d'agoult&f=false
  29. « Démantèlement des cinq pylônes de l’ancien téléski à Saint-Auban », Nice-Matin,‎ (lire en ligne, consulté le )
  30. Les comptes de la commune
  31. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Établissements d'enseignements
  37. Professionnels et établissements de santé
  38. Paroisse Sainte-Marie des Sources
  39. Activité agricole
  40. Gîtes ruraux
  41. Commerce de proximité
  42. CG06 : Route des clues
  43. Notre Dame de la Clue à Saint Auban, histoire du Sanctuaire
  44. Porte de Tra Castel : Dossier final de synthèse : Archéologie du bâti, par Fabien Blanc.
  45. Saint-Auban, sur paysdegrassetourisme.fr/
  46. Église paroissiale
  47. Les églises et édifices religieux recensés par l'Observatoire du patrimoine religieux
  48. Les églises et édifices religieux, recensés par l'Observatoire du patrimoine religieux
  49. Pénitents Blancs, sur l'Observatoire du patrimoine religieux
  50. Monument aux morts
  51. Menhir isolé : pierre levée
  52. Musée des traditions
  53. Dominique Cureau, « Les Monts d'azur : Saint-Auban », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).

Voir aussi modifier

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Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier