Reignac (Charente)

commune française du département de la Charente

Reignac
Reignac (Charente)
Le bourg et l'église fortifiée Saint-Pierre.
Blason de Reignac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Cognac
Intercommunalité Communauté de communes des 4B Sud-Charente
Maire
Mandat
Daniel Sauvaitre
2020-2026
Code postal 16360
Code commune 16276
Démographie
Gentilé Reignacais
Population
municipale
728 hab. (2021 en augmentation de 2,1 % par rapport à 2015)
Densité 33 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 25′ 24″ nord, 0° 10′ 55″ ouest
Altitude Min. 66 m
Max. 140 m
Superficie 22,14 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Barbezieux-Saint-Hilaire
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Charente-Sud
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Reignac
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Reignac
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Reignac
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Reignac

Reignac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont les Reignacais et les Reignacaises[1].

Géographie modifier

Localisation et accès modifier

Reignac est une commune du Sud Charente située à 6 km au sud de Barbezieux et 37 km au sud-ouest d'Angoulême, non loin de la Charente-Maritime.

Le bourg de Reignac est aussi à 6 km au nord-est de Baignes, chef-lieu de son canton, 20 km à l'est de Jonzac, 32 km au sud de Cognac et 72 km au nord-est de Bordeaux[2].

La route principale traversant la commune du nord au sud est la route nationale 10, entre Angoulême et Bordeaux, dont l'échangeur au sud de Barbezieux n'est qu'à 1 km du bourg. Le bourg est situé sur la D 14, route de Barbezieux à Baignes qui part de cet échangeur, et la D 127 de Montchaude à Condéon. La D 731, route de Chalais et Brossac à Barbezieux et Cognac, traverse le nord-est de cette commune assez étendue[3].

Hameaux et lieux-dits modifier

La commune compte de nombreuses fermes et de petits hameaux, comme Chez Saillant, le Rambeau, la Châtaigneraie au nord, Chez Desmard, Venelle à l'est, les Oliviers, les Chaussades (en limite avec Le Tâtre) au sud, Peurché à l'ouest, etc.

Communes limitrophes modifier

Géologie et relief modifier

La commune est située dans le calcaire du Bassin aquitain, comme une grande partie sud et ouest du département de la Charente. Elle est occupée dans une grande partie nord par le Campanien (Crétacé supérieur), calcaire crayeux, qui occupe une grande partie du Sud Charente et constitue la Champagne charentaise[4]. Le quart sud de la commune ainsi que quelques sommets au centre sont occupés par du sable kaolinique et galets du Tertiaire, terrains pauvres et boisés de la Double[5],[6],[7].

Le relief de la commune est celui de bas plateaux descendant doucement vers le nord, et de quelques buttes au nord-est. Son point culminant est à une altitude de 140 m, situé sur une de ces buttes, au bois de la Pivette. Le point le plus bas est à 66 m, situé le long du ruisseau de Condéon sur la limite orientale. Le bourg, situé dans la vallée du Trèfle, est à 105 m d'altitude[3].

Hydrographie modifier

Réseau hydrographique modifier

 
Réseaux hydrographique et routier de Reignac.

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[8]. Elle est drainée par le Trèfle, le ruisseau de Condéon, le Trèfle et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 17 km de longueur totale[9],[Carte 1].

Le Trèfle, affluent de la Seugne qui passe à Jonzac et sous-affluent de la Charente, naît au sud de la commune puis coule vers le nord et passe au bourg.

Le Petit Trèfle, affluent du Trèfle qui passe à Lamérac, naît à l'ouest de la commune.

Le ruisseau de Condéon, affluent du Beau qui passe à l'est de Barbezieux pour se jeter dans le , passe en limite orientale de commune[3].

Gestion des eaux modifier

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[10]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [11].

Climat modifier

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Reignac est une commune rurale[Note 1],[12]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Barbezieux-Saint-Hilaire, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (79 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (42,7 %), forêts (20,9 %), cultures permanentes (19,4 %), zones agricoles hétérogènes (15,6 %), zones urbanisées (0,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,4 %), prairies (0,4 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Reignac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

Risques naturels modifier

Reignac est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été élaboré pour la période 2017-2026, faisant suite à un plan 2007-2016[20]. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par divers arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du règlemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 3],[20],[21],[22].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Reignac.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des glissements de terrain[23].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 52,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 354 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 138 sont en aléa moyen ou fort, soit 39 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[25].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1987 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005 et par des mouvements de terrain en 1999[18].

Risques technologiques modifier

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[26].

Toponymie modifier

Les formes anciennes sont Rinac en 1167-1188[27], Riniaco en 1302, Riniac[28], Rinaco, Reginaco[29].

L'origine du nom de Reignac remonterait à un nom de personne gallo-romain Renius du gaulois Renos, auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Reniacum, « domaine de Renius »[30],[31].

Histoire modifier

L'église a été fortifiée au XVe siècle, postérieurement à sa construction au XIIe siècle. Elle était primitivement le prieuré Saint-Pierre dépendant de l'abbaye de Lesterps, de l'ordre augustinien[32].

Au sud de la commune, le domaine du Tastet était un fief possédé au XVIIe siècle par les Grimouard de Sainte-Croix, puis échut aux Fradin par mariage au XVIIIe siècle. Ceux-ci émigrèrent à la Révolution[33]. Il fut également la possession de la famille Grassin au XVIIIe siècle, par l'intermédiaire de Jean Grassin (né en 1762), « sieur du Tastet », notaire royal et procureur fiscal du marquisat de Barbezieux[34].

Au début du XXe siècle, l'industrie était représentée par quelques petits moulins, tuileries et fabriques de poterie. Pendant la première moitié du XXe siècle, la commune était desservie par la ligne de Châteauneuf à Saint-Mariens par Barbezieux, et la gare était située près du bourg[33].

Administration modifier

 
La nouvelle mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
    Pierre-François-Jacques Piet    
avant 1988 ? Michel Norbert    
1995 2008 Jacky Chaignaud    
2008 En cours Daniel Sauvaitre
Réélu pour le mandat 2020-2026 [35]
UMP-LR Agriculteur,
président de la Fédération UMP-LR de Charente jusqu'en 2018,
conseiller régional depuis 2015

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[37].

En 2021, la commune comptait 728 habitants[Note 4], en augmentation de 2,1 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
1 2041 2591 2731 2031 2141 2721 3201 2341 221
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
1 2231 1251 0771 0041 0091 003925876829
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
921885807780747745685742651
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021
636618605606582620666733728
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,8 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 371 hommes pour 382 femmes, soit un taux de 50,73 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,59 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[40]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90 ou +
0,8 
9,1 
75-89 ans
8,0 
18,4 
60-74 ans
17,1 
19,9 
45-59 ans
20,6 
20,0 
30-44 ans
18,1 
16,9 
15-29 ans
15,6 
15,4 
0-14 ans
19,8 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[41]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Économie modifier

Agriculture modifier

La viticulture occupe une partie de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[42].

Équipements, services et vie locale modifier

 
La salle des fêtes.

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Patrimoine religieux modifier

L'église paroissiale Saint-Pierre du XIIe siècle, remaniée et fortifiée au XVe siècle. La nef romane dont la croisée comporte une coupole sur pendentifs est augmentée d'une chapelle à croisées d'ogives et d'une chapelle gothique qui communique avec d'abside qui possède une arcature[32],[43].

Dans la nef est noté 1538. Les murs sont ornés de peintures murale et sur le mur ouest de la nef existe des restes d'une litre funéraire : des armoiries avec leurs tenants[44].

Le chevet a été fortifié par construction d'une galerie crénelée sous le toit et percement de nombreuses meurtrières.

Elle est classée monument historique depuis 1970[45].

Wikimedia Commons présente d’autres illustrations sur l'église Saint-Pierre.

Patrimoine civil modifier

 
Le logis.
  • Deux moulins l'un du XVIIIe siècle l'autre du début du XIXe siècle
  • Deux anciennes tuileries de la fin du XVIIIe siècle
  • Trois fermes du XVIIIe siècle[46]
  • Au lieu-dit le Logis un manoir du XVIIe siècle et son pigeonnier[47],[48].
  • Logis de Breuillac, des XVIIe et XVIIIe siècles[48]

Voie verte modifier

L'ancienne voie ferrée de Châteauneuf à Saint-Yzan a été aménagée en voie verte en 2004. Celle-ci va de Barbezieux à Clérac, en Charente-Maritime. Au nord de Barbezieux, elle a été prolongée jusqu'à Saint-Médard qui en marque l'extrémité goudronnée en 2015[3]. La liaison jusqu'à Châteauneuf est à l'étude[49],[50].

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

  Blason
D'azur à trois abeilles d'or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 7 mètres minimum de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Reignac » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a b c et d Carte IGN sous Géoportail
  4. Michel Vigneaux, Aquitaine occidentale, Paris, Masson, , 223 p. (ISBN 2-225-41118-2, lire en ligne), p. 48, 79
  5. Carte du BRGM sous Géoportail
  6. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  7. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Barbezieux », sur Infoterre, (consulté le ).
  8. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  9. « Fiche communale de Reignac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  10. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  11. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Reignac », sur Géorisques (consulté le ).
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  20. a et b « Plan départemental de protection des forêts contre l’incendie 2017 – 2026 », sur draaf.nouvelle-aquitaine.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Arrêté portant classement de massifs forestiers et obligation de débroussaillement. », sur charente.gouv.fr, (consulté le ).
  22. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  25. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Reignac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  26. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  27. Paul-François-Étienne Cholet (préf. L.Clouzot), Cartulaire de l'abbaye de Saint-Étienne de Baigne, Niort, L.Clouzot, , 382 p. (lire en ligne), p. 119
  28. Archives historiques de la Saintonge et de l'Aunis, Cartulaire du prieuré Notre-Dame de Barbezieux (1201-1300), , 426 p. (lire en ligne), p. 113,212
  29. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 312
  30. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 560.
  31. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
  32. a et b Christian Gillet, Églises et chapelles de la Charente, imprimé à Rioux-Martin, Le vent se lève, , 387 p. (ISBN 978-2-7466-7404-2), p. 277
  33. a et b Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 279
  34. (en) « Family tree of Jean Grassin (1) », sur Geneanet (consulté le ).
  35. « Welcome to nginx! », sur cafeyn.co (consulté le ).
  36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Reignac (16276) », (consulté le ).
  41. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  42. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le ).
  43. Abbayes, prieurés et commanderies de l'ancienne France, Poitou, Charentes, Vendée, François Semur, 1984, pas d'ISBN
  44. « Église de Reignac (notice) », notice no IA00041244, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  45. « Église de Reignac », notice no PA00104464, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
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  48. a et b Jean-Paul Gaillard, Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente, Paris, librairie Bruno Sepulchre, (réimpr. 2005), 893 p. (OCLC 908251975, présentation en ligne), p. 570
  49. AF3V, « Voie verte de la Galope Chopine »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), (consulté le ).
  50. AF3V, « Voie verte de Haute-Saintonge », (consulté le ).

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier