Amance (Haute-Saône)
Amance est une commune française située dans le département de la Haute-Saône, la région culturelle et historique de Franche-Comté et la région administrative Bourgogne-Franche-Comté.
Amance | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
Département | Haute-Saône | ||||
Arrondissement | Vesoul | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Terres de Saône | ||||
Maire Mandat |
Jean-Marie Bertin 2020-2026 |
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Code postal | 70160 | ||||
Code commune | 70012 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
664 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 38 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 48′ 08″ nord, 6° 03′ 32″ est | ||||
Altitude | Min. 210 m Max. 287 m |
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Superficie | 17,54 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Vesoul (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Port-sur-Saône | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Saône
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
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Géographie
modifierCommunes limitrophes
modifierContréglise | Senoncourt | |||
Buffignécourt Baulay |
N | Menoux | ||
O Amance E | ||||
S | ||||
Faverney |
Hydrographie
modifierLa commune d'Amance est traversée par La Superbe, un cours d'eau affluent de rive gauche de la Saône.
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 959 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 9,6 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montureux-lès-Baulay », sur la commune de Montureux-lès-Baulay à 6 km à vol d'oiseau[3], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 907,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,8 °C, atteinte le ; la température minimale est de −25 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Amance est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vesoul, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[9]. Cette aire, qui regroupe 158 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (51,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (51,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (35,8 %), prairies (25,4 %), terres arables (16,3 %), zones agricoles hétérogènes (10,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,9 %), zones urbanisées (3,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,6 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
modifierLa gare de Port-d'Atelier (ligne de Paris-Est à Mulhouse-Ville) est située sur le territoire communal de Faverney. C'est le point de bifurcation de l'embranchement de la ligne d'Aillevillers à Port-d'Atelier (relation Vesoul à Nancy par Épinal).
Toponymie
modifierLe village a pris le nom de la petite rivière qui le traverse aujourd’hui encore et qui s’appelait autrefois « l’Amance ». Devenue « la Superbe », certainement la rivière a-t-elle changé de nom pour éviter la confusion avec « l’Amance » qui elle rejoint la Saône, en rive droite, à proximité de Jussey.
Histoire
modifierAucune trouvaille archéologique ancienne ne peut attester d’une présence humaine aux époques celtique ou préceltique. Des vestiges de postes de gardes ont cependant été découverts dans le bois, entre Faverney et Amance, certainement traces d’une voie romaine qui rejoignait Contréglise et devait traverser le territoire actuel d’Amance (entre « le Mont » et « les Roches [13]»).
La dédicace de l’église actuelle du village à Saint-Laurent, typique de la première évangélisation, pourrait faire avancer l’hypothèse d’une création de la paroisse avant le 10e siècle. Mais il n’existe aucune trace tangible d’Amance dans l’histoire avant le XIIe siècle...
Au XIIe siècle, les terres d’Amance, qui appartiennent en grande partie à l'abbaye voisine de Faverney, constituent un fief du comte de Bourgogne gardien de ladite abbaye.
En 1276, un traité de partage des droits entre l’abbé de Faverney et Alix de Bourgogne mentionne, entre autres villages : l’Aître, Le Magny, et le Mont-Sainte-Marie, « lesquels sont appelés vulgairement Emancia » c’est-à-dire Amance. Ces « trois noyaux de peuplement » correspondent aux trois quartiers du village que l’on nomme aujourd’hui « le Bourg », « le Magny » et « le Mont ».
Après 1276, la construction d’un château est entreprise. Pourtant, au XIVe siècle, la région vit les années terribles des guerres intérieures, invasions des « routiers », peste noire qui ravage la province vers 1349)… Malgré tout, si l’on en croit P.-L. David, en 1373, à la mort de Jean II de Bourgogne, « le château [d’Amance] est debout, l’enceinte du bourg s’achève lentement. Les terres sont remises en culture, les campagnes dévastées se repeuplent… »[14].
La seigneurie passe alors, par mariage, à la famille de Neufchâtel très attachée à la terre d’Amance. Il faut citer en particulier Jean Ier de Neufchâtel-Montaigu qui, après s’être rangé aux côtés des ducs de Bourgogne et avoir accèdé aux plus hautes charges du pouvoir, tombe en disgrâce, il se retire un temps à Amance avant de partir en Terre sainte où il meurt en 1433.
Au début du XVIe siècle, toujours par mariage, Amance revient à la famille de Rye, l’une des familles les plus illustres et les plus puissantes de Franche-Comté…
Comme toute la Comté, Amance subit, dans le courant et à la fin du XVIe siècle, des incursions de troupes armées détruisant tout, pillant et incendiant, village et châteaux.
Mais, c’est au cours de la Guerre de dix-ans (1634-1644) que la Franche-Comté connaît les pires calamités combinées de la guerre, de la famine et de la peste. Amance qui comptait 127 feux en 1600 n’en compte plus que 48 en 1688. Le château, déjà largement endommagé en 1595, est détruit en 1638.
En 1678, la Franche-Comté est définitivement rattachée à la France. Amance connaît alors de profondes transformations : les seigneurs d’Amance ne résidant plus au village sont de moins en moins mêlés à la vie locale ; les pierres du château en ruine servent à bâtir de nouveaux édifices (nouvelle église en 1721, belles maisons pour une nouvelle bourgeoisie enrichie remplaçant peu à peu l’ancienne noblesse…) ; les murs des remparts tombent rapidement, « Amance desserrant sa ceinture de pierre respira sans la regretter beaucoup » (P.-L. David). Au XVIIIe siècle les du Châtelet sont seigneurs d’Amance. Louis Marie Florent du Châtelet sera le dernier seigneur d’Amance ; ayant pris la tête d’un réseau contre-révolutionnaire, il est guillotiné à Paris, en décembre 1793).
La Révolution
Le village, sans connaître de troubles très graves met en place, avec plus ou moins d’enthousiasme et d’empressement, les organes de la nouvelle organisation locale. Le découpage du territoire national en départements fait d’Amance un chef-lieu de canton, appartenant au district de Jussey, département de la Haute-Saône. Les querelles, les conflits les plus graves naissent de la « guerre religieuse » (Claude-Gaspard Maignien, un enfant du village, compte parmi les victimes des « Massacres de Septembre » de 1792, à Paris) ; les épreuves pour la population résultent des guerres révolutionnaires (recrutement de volontaires ; réquisitions…).
Viennent les XIXe et XXe siècles, siècles des grandes transformations de la société : découvertes scientifiques et techniques, transformations sociales, colonisation… mais également instabilité politique, conflits mondiaux et décolonisation… Le village subit bien sûr les évènements mais sait aussi en saisir les opportunités pour s’adapter, se transformer, se moderniser. Amance prend alors, progressivement, son visage actuel :
- construction de la mairie-écoles (1836-1837), ouverture de la gare de « Port-d’Atelier-Amance » (en 1855) sur la ligne de chemin de fer Paris-Mulhouse ; passage, avec halte, de la ligne de tram (1911) ; élévation du monument aux morts (1921) ; puis travaux d’urbanisme (aménagement des espaces, salle polyvalente, immeuble à vocation « habitat et services », terrain de sport, gymnase, etc.) …
- la vie communale (économie, culture, loisirs) s’organise et évolue avec les époques.
La commune reste chef-lieu de canton jusqu’au redécoupage cantonal de 2014, elle appartient depuis au Canton de Port-sur-Saône. De 1994 à 2014, Amance fait partie de la communauté de communes « Agir ensemble » qui, en 2014 donc, fusionne avec d’autres intercommunalités pour former la communauté de communes Terres de Saône.
Politique et administration
modifierRattachements administratifs et électoraux
modifierAmance fait partie de l'arrondissement de Vesoul du département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté. Pour l'élection des députés, elle dépend de la première circonscription de la Haute-Saône.
La commune était depuis 1793 le chef-lieu du canton d'Amance[15]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Port-sur-Saône.
Intercommunalité
modifierLa commune était membre de la Communauté de communes Agir ensemble, créée en 1994.
L'article 35 de la loi no 2010-1563 du [16] « de réforme des collectivités territoriales » prévoyant d'achever et de rationaliser le dispositif intercommunal en France, et notamment d'intégrer la quasi-totalité des communes françaises dans des EPCI à fiscalité propre, dont la population soit normalement supérieure à 5 000 habitants, les communautés de communes :
- Agir ensemble ;
- de la Saône jolie ;
- des six villages ;
et les communes isolées de Bourguignon-lès-Conflans, Breurey-lès-Faverney et Vilory ont été regroupées pour former le la communauté de communes Terres de Saône, dont est désormais membre la commune.
Liste des maires
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierEn 2021, Amance comptait 664 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Les autres « recensements » sont des estimations.
Manifestations culturelles et festivités
modifierFoire de l'ouillotte (oie en patois franc-comtois) chaque année depuis 1985[21],[22].
Économie
modifierCulture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier-
La tour ouest des remparts
-
Pré à Amance
Personnalités liées à la commune
modifier- Claude Doyen, demeurant à Amance, de la seigneurie d'Amance en 1572 ; Laurent Doyen, capitaine-châtelain d'Amance, receveur pour le Roi, épouse en 1595 Laborey Françoise qui lui donna trois fils ; Jean Guillaume Doyen, fermier des rentes seigneuriales en 1619, capitaine châtelain de la seigneurie d'Amance en 1628.
- Auguste Desprez de Gésincourt, né à Amance en 1791, était un peintre réformateur de l'École française, considéré comme un précurseur de la peinture du XIXe siècle. Il exposa aux salons de 1834, 1835 et 1836. Il est le fils de François Joseph Desprez, commandant au régiment de Savoie-Carignan et Chevalier de Saint Louis. Le , les biens seigneuriaux de Gésincourt, d'Amance et d'Aboncourt ont été cédés par le Comte de Montrevel à François Joseph Desprez. La famille Desprez adopta alors le patronyme « de Gésincourt » qu'elle dissimula ensuite pendant la Révolution pour le porter à nouveau à partir de 1861. L'œuvre d'Auguste Desprez de Gésincourt a été étudiée récemment et publiée[25].
- Jacques Ferrand (1746-1804), homme politique, mort à Amance
- Léopold Aubry (1898-1930), pionnier de l'Aéropostale.
- Thomas Gousset (1792-1866), cardinal et théologien, a étudié au petit séminaire d'Amance
Héraldique
modifierLes armes de la ville se blasonnent ainsi : burelé de douze pièces d’argent et de sable, à la bande de gueules brochant sur le tout. |
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifierNotes et références
modifierNotes
modifier- Les records sont établis sur la période du au .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Amance et Montureux-lès-Baulay », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Montureux-lès-Baulay », sur la commune de Montureux-lès-Baulay - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Montureux-lès-Baulay », sur la commune de Montureux-lès-Baulay - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Vesoul », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- La Haute-Saône - Nouveau dictionnaire des communes - Tome I, Vesoul, SALSA de la Haute-Saône, , 349 p., p. 135 à 144
- P.-L. DAVID, Amance en Franche-Comté, Paris, A. Picard et Fils, , 511 p.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Loi no 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales sur Légifrance.
- http://www.ensemblepoursuivons.fr/images/pdfs/professiondefoi.pdf
- Préfecture de Haute-Saône, Liste des communes de Haute-Saône, consultée le 18 juillet 2013
- « Nouveau mandat pour Jean-Marie Bertin », L'Est républicain, (lire en ligne) « La liste conduite à Amance par Jean-Marie Bertin, maire sortant, a été élue dès le premier tour de scrutin. Les conseillers municipaux, 8 anciens et sept nouveaux, ont élu samedi leur maire au premier tour, Jean-Marie Bertin par 14 voix et un blanc ».
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Foire de l’ouillotte : la dernière ligne droite », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône, (lire en ligne) « Elles sont onze. Onze associations réunies au sein d’un même collectif créé pour proposer au public la Foire de l’ouillotte. Une grande manifestation régionale qui attire chaque année des milliers de visiteurs à Amance, et qui cette année, peut-être encore plus que les précédentes, nécessite de mobiliser de gros moyens humains ».
- « La 31e édition de la Foire de l'Ouillotte a eu lieu ce dimanche à Amance (70) », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône, (lire en ligne).
- « Remparts (anciens) », notice no PA00102106, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Maison Bucheron ou maison dite Espagnole », notice no PA00102105, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Vie et style d'Auguste Desprez