Mérigny

commune française du département de l'Indre
(Redirigé depuis Plaincourault)

Mérigny
Mérigny
La place de l'Église et l'église Saint-Sulpice.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre
Arrondissement Le Blanc
Intercommunalité Communauté de communes Brenne - Val de Creuse
Maire
Mandat
Michel Liaudois
2020-2026
Code postal 36220
Code commune 36119
Démographie
Gentilé Mérinois
Population
municipale
544 hab. (2021 en augmentation de 2,06 % par rapport à 2015)
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 37′ 55″ nord, 0° 55′ 36″ est
Altitude Min. 67 m
Max. 136 m
Superficie 31,77 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Le Blanc
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Blanc
Législatives Première circonscription
Localisation
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Mérigny
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Mérigny
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Mérigny
Liens
Site web merigny.fr

Mérigny est une commune française située dans le département de l'Indre, en région Centre-Val de Loire.

Géographie modifier

Localisation modifier

La commune est située dans le sud-ouest[1] du département, à la limite avec le département de la Vienne. Elle est située dans la région naturelle du Blancois, au sein du parc naturel régional de la Brenne.

Les communes limitrophes[1] sont : Ingrandes (5 km), Nalliers (6 km), Fontgombault (7 km), Sauzelles (7 km), Saint-Pierre-de-Maillé (8 km), Lurais (8 km), Saint-Aigny (8 km) et Saint-Germain (9 km).

Les communes chefs-lieux[1] et préfectorales sont : Le Blanc (10 km), Châteauroux (62 km), La Châtre (81 km) et Issoudun (88 km).

 
Localisation de la commune de Mérigny

Hameaux et lieux-dits modifier

Les hameaux et lieux-dits de la commune sont : la Rochebellusson, le Bois, la Bauducellerie, Chantemerle et le Ploudray[2].

Géologie et hydrographie modifier

Mérigny dispose de six cavités souterraines naturelles nommées « fontaine de Cul-Froid », « grotte Lhéritier », « grotte Pailler », « grotte de Gaudon », « grotte du Rocher de la Dube » et « grotte de la Roche noire ».

La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible[3].

Le territoire communal est arrosé par la rivière Anglin[2].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 747 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune du Blanc à 11 km à vol d'oiseau[6], est de 12,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 776,4 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Voies de communication et transports modifier

Le territoire communal est desservi par les routes départementales : 27, 27A, 43, 50, 53 et 95[10].

La ligne de Saint-Benoît au Blanc passait par le territoire communal, une gare (Ingrandes - Mérigny) desservait la commune. Les gares ferroviaires les plus proches sont les gares de Châtellerault[10] (42 km) et Argenton-sur-Creuse[10] (50 km).

Mérigny est desservie par la ligne O du Réseau de mobilité interurbaine[11].

L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Châteauroux-Centre[10], à 74 km.

Le territoire communal est traversé par le sentier de grande randonnée 48[2] et par le sentier de grande randonnée de pays de la Brenne[2].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Mérigny est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[12],[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Blanc, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 23 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (69,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (42,3 %), forêts (29,6 %), zones agricoles hétérogènes (20,7 %), prairies (6,5 %), zones urbanisées (0,8 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Logement modifier

Le tableau ci-dessous présente le détail du secteur des logements[18] de la commune :

Date du relevé 2013
Nombre total de logements 391
Résidences principales 62,7 %
Résidences secondaires 19,9 %
Logements vacants 17,4 %
Part des ménages propriétaires de leur résidence principale 76,3 %

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Mérigny est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Mérigny.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[21].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 59,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (84,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 381 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 273 sont en aléa moyen ou fort, soit 72 %, à comparer aux 86 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[23].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003, 2017 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[19].

Toponymie modifier

Ses habitants sont appelés les Mérinois[24].

Histoire modifier

Préhistoire modifier

L'homme était présent sur ces terres à l'époque préhistorique, comme en témoignent les nombreux outils en silex éclaté ou poli retrouvés : des haches, des couteaux, des pointes de flèche, des marteaux, des racloirs. Cependant, on ne rencontre ni tumulus, ni dolmen et ni menhir sur la commune[25].

Le site de la Vieille Grange, prospecté par le Dr Jacques Allain en 1972, a livré du Châtelperronien[26] sous la forme d'un lambeau de couche piégé dans une brèche[27].

La grotte de la Roche Noire a servi de sépulture collective à l'âge du fer.

Antiquité modifier

À l'époque gauloise, la région était frontalière au peuple des Bituriges (Bourges) et à celui des Pictaves (Poitiers). À cette époque, les hommes travaillaient aisément le fer et le bronze, nécessaires pour la fabrication des harnais, des chars et des armes. Ils étaient chasseurs et bergers, élevaient des troupeaux de porcs, cultivaient le blé, le chanvre et le lin et croyaient à l'immortalité de l'âme et à une vie future[25].

À l'époque gallo-romaine, la civilisation latine s'implanta en apportant la religion chrétienne et la culture de la vigne. L'agriculture et le commerce se développèrent autour de la demeure d'un maître gaulois du nom de « Marinus, Marinius ou Mariniacus » d'où provient le nom de Mérigny (la villa de Marinius)[25].

Puis vint l'époque des grandes conquêtes. Les Romains furent chassés des terres en 475 par les Wisigoths, eux-mêmes chassés par Clovis en 507. Les rois de France et seigneurs de province se succédèrent. Pour se protéger des envahisseurs, les hommes bâtirent des châteaux forts sur des lieux stratégiques. Pour cela les bords de l'Anglin offraient un relief intéressant[25].

Moyen-Âge modifier

La guerre de Cent Ans fit des ravages dans la région. En 1416, Jean du Plessis fut chargé de défendre le château de la Roche-Bellusson contre les Anglais[25].

À partir du XVIe siècle, l'histoire de Mérigny est liée à la vie de ses habitants sous le régime de la seigneurie de la Roche-Bellusson, de la commanderie de Plaincourault, du prieuré de Puychevrier et de la paroisse[25].

Époque contemporaine modifier

À partir du XIXe siècle, le village a pris un réel essor grâce au développement des moyens de communication : le pont, les routes, le chemin de fer et le service postal. Avant 1820, il n'existait aucune route carrossable à Mérigny. Les déplacements s'effectuaient à pied, à cheval ou à dos d'âne dans des chemins tortueux et étroits. Il faut attendre 1850 pour emprunter la première route reliant Châtellerault au Blanc par Mérigny, et 1885 pour connaître la ligne de chemin de fer reliant Poitiers à Argenton par Ingrandes, distante de 5 km. Ce développement s'intensifia, au XXe siècle, avec l'arrivée de l'automobile et du téléphone dans chaque foyer[25].

La commune fut rattachée de 1801 à 2015 au canton de Tournon-Saint-Martin.

Politique et administration modifier

 
La mairie en 2011.

La commune dépend de l'arrondissement du Blanc, du canton du Blanc, de la première circonscription de l'Indre et de la communauté de communes Brenne - Val de Creuse[28].

Elle dispose d'une agence postale communale[29].

Liste des maires depuis la Libération
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001[30],[31],[32] En cours Michel Liaudois DVD Cadre commercial

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[34].

En 2021, la commune comptait 544 habitants[Note 3], en augmentation de 2,06 % par rapport à 2015 (Indre : −3,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0721 3456669699881 0241 0301 0841 088
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0711 0021 0001 0061 0331 0151 0831 0141 055
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0061 0151 032920842803826820817
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
804767700570563571571562538
2018 2021 - - - - - - -
539544-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

La commune dépend de la circonscription académique du Blanc.

Manifestations culturelles et festivités modifier

Équipement culturel modifier

Elle dispose aussi d'une salle des fêtes.

Santé modifier

Sports modifier

Médias modifier

La commune est couverte par les médias suivants : La Nouvelle République du Centre-Ouest, Le Berry républicain, L'Écho - La Marseillaise, La Bouinotte, Le Petit Berrichon, France 3 Centre-Val de Loire, Berry Issoudun Première, Vibration, Forum, France Bleu Berry et RCF en Berry.

Cultes modifier

Économie modifier

La commune se situe dans la zone d’emploi du Blanc et dans le bassin de vie du Blanc[28].

La commune se trouve dans l'aire géographique et dans la zone de production du lait, de fabrication et d'affinage des fromages Pouligny-saint-pierre[39] et Sainte-maure-de-touraine[40].

L'abattoir est une des principales sources d'économie de la commune.

Un camping est présent dans la commune. Il s'agit du camping municipal de Champ de la Cure qui dispose de 30 emplacements[41].

Culture locale et patrimoine modifier

Personnalités liées à la commune modifier

Voir aussi modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

 

Les coordonnées de cet article :

Bibliographie modifier

  • Maxime Berry, Monographie de Mérigny, Association des Amis de Mérigny et de ses environs, .
  • Laurence Chatel de Brancion [dir.], Val de Creuse et Val d'Anglin. Nature et patrimoine. Guide, Bélâbre, Histaval, 2023, p. 176-181, notice de Patrick Grosjean et Thierry Sarmant.

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a b et c « Indre », sur le site de Lion 1906, consulté le 3 septembre 2018.
  2. a b c et d « Mérigny » sur Géoportail., consulté le 17 septembre 2018.
  3. « Didacticiel de la règlementation parasismique : Indre », sur le site de la Prévention du risque sismique, consulté le 3 septembre 2018.
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Mérigny et Le Blanc », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Le Blanc », sur la commune du Blanc - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Le Blanc », sur la commune du Blanc - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. a b c et d « Mérigny », sur le site de ViaMichelin, consulté le 3 septembre 2018.
  11. « Indre (36) - Fiches horaires », sur le site du Réseau de mobilité interurbaine, consulté le 2 septembre 2018.
  12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  18. Site de l'Insee : Mérigny, consulté le 6 septembre 2016.
  19. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Mérigny », sur Géorisques (consulté le )
  20. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
  21. « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Indre », sur www.indre.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  23. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
  24. « Nom des habitants des communes françaises, Mérigny », sur le site habitants.fr de la SARL Patagos (consulté le ).
  25. a b c d e f et g « L'histoire de Mérigny », sur merigny.fr, commune de Mérigny (consulté le ).
  26. [Agogué 2005] Olivier Agogué, « Autour du grand paléolac miocène : continuités et ruptures de l'occupation territoriale au Paléolithique supérieur en région Centre », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 102, no 3,‎ , p. 509-526 (lire en ligne [sur persee]), p. 521.
  27. Agogué 2005, p. 510.
  28. a et b « Commune de Mérigny (36119) », sur le site de l'Insee, consulté le 28 octobre 2018.
  29. Site de La Poste : Un bureau de poste, consulté le 22 août 2012.
  30. « Résultats des élections municipales 2001 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
  31. « Résultats des élections municipales 2008 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
  32. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. « Liste des établissements scolaires de l'Indre - Année scolaire 2018/2019 » [PDF], sur le site de l'Académie d'Orléans-Tours (consulté le ).
  38. « Regroupements pédagogiques intercommunaux (R.P.I.) » [PDF], sur le site de l'Académie d'Orléans-Tours (consulté le ).
  39. Site de l'Institut national de l'origine et de la qualité : Pouligny-Saint-Pierre, consulté le 15 août 2014.
  40. « Sainte-maure-de-touraine », sur le site de l'Institut national de l'origine et de la qualité, consulté le 19 février 2018.
  41. « Camping municipal Champ de la Cure », sur le site de campingfrance.com (consulté le ).
  42. Notice no PA00097393, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  43. Notice no PA00097394, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  44. « Un dimanche patrimonial et artistique », La Nouvelle République du Centre-Ouest, Indre,‎ .