Palante (Haute-Saône)

commune française du département de la Haute-Saône

Palante
Palante (Haute-Saône)
Le massif des Vosges avec au centre la Planche des Belles Filles et le puits Arthur-de-Buyer visibles depuis Palante.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Haute-Saône
Arrondissement Lure
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Lure
Maire
Mandat
Michel Daguenet
2020-2026
Code postal 70200
Code commune 70403
Démographie
Population
municipale
243 hab. (2021 en augmentation de 4,29 % par rapport à 2015)
Densité 70 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 39′ 35″ nord, 6° 35′ 09″ est
Altitude Min. 299 m
Max. 337 m
Superficie 3,46 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Lure
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lure-2
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Palante
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Palante
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Palante
Liens
Site web pays-de-lure.fr/palante.htm

Palante est une commune française située dans le département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté. Son nom est une anagramme de platane.

Géographie modifier

 
Le territoire communal dans son contexte local.

Situation modifier

Le village est établi à 7 km à l'est-sud-est de Lure et environ 21 km à l'ouest de la ville de Belfort. Le village est situé dans la partie orientale du département, l’altitude augmente légèrement à l'ouest de la plaine du Rognon, à l'extrémité ouest des hauteurs du Chérimont[1].

Le territoire communal recouvre 3,46 km2. Sa frontière orientale longe le Rognon[1].

Communes limitrophes modifier

Topographie modifier

l’altitude varie de 299 à 337 mètres soit un dénivelé de 38 mètres. Andornay ne possède pas de relief notable mais reste vallonné, et boisé uniquement sur son extrémité nord, là où l'altitude est la plus élevée[1].

Géologie modifier

Palante est construite sur le plateau de Haute-Saône dans la dépression sous-vosgienne[2] et s'appuie sur le versant méridional du massif des Vosges[3]. En terme géologique la zone se compose de sable et de sédiments calcaires marneux déposé au cours lias (Jurassique inférieur et du Trias calcaire). Le territoire communal repose sur le bassin houiller stéphanien sous-vosgien[4].

Hydrographie modifier

Plusieurs petits ruisseaux s'écoulent dans les vallons du territoire communal, la plupart se jettent dans le Rognon sous-affluent de l'Ognon qui s'écoule au sud-est. Plusieurs mares et petits étangs sont présents au centre et au sud du territoire[1].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 259 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 10,4 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Étobon », sur la commune d'Étobon à 7 km à vol d'oiseau[7], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 272,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de −18 °C, atteinte le [Note 1],[8],[9].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Palante est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[12],[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lure, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 33 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (78,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (67,1 %), forêts (21,5 %), zones urbanisées (10,2 %), zones agricoles hétérogènes (1,2 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Projet d'aménagement et paysage modifier

La commune fait partie du plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi) de la communauté de communes du pays de Lure (CCPL), document d'urbanisme de référence pour la commune et toute l'intercommunalité approuvé le [18]. Palante fait également partie du SCOT du pays des Vosges saônoises, un projet de territoire visant à mettre en cohérence l'ensemble des politiques sectorielles, notamment en matière d’habitat, de mobilité, d’aménagement commercial, d’environnement et de paysage[19].

Voies de communication et transports modifier

 
La RN 19 passant au sud de la commune.

Palante est un village rural, mais se situe à proximité d'un échangeur avec la RN 19 (double-voie expresse E54) qui établit une connexion entre Lure-Vesoul-Luxeuil et la conurbation de Belfort-Héricourt-Montbéliard, ce qui permet une offre de transport hors de la commune.

Toponymie modifier

 
Palantin et ses environs sur la carte de Cassini.

Le village est appelé Palantin jusqu'au XVIIIe siècle[20].

Histoire modifier

 
Palante sur l'atlas cantonal des communes de Haute-Saône en 1858.

Le village compte de nombreux mineurs travaillant aux houillères de Ronchamp entre le XIXe siècle et le XXe siècle. Il fait alors partie du territoire du bassin minier[21]. Les mineurs du village travaillent essentiellement au puits Arthur-de-Buyer et au puits du Magny[22]. En 1930, la commune comporte 15 mineurs pour 140 habitants[23].

Le village a fait construire un monument aux morts comme tous les autres villages pour honorer ses habitants morts dans les guerres : Palante en a en effet perdu onze pendant la Première Guerre mondiale.

Le village est libéré par la 1re DFL le 27 octobre 1944. Une stèle située sur la commune voisine de Lyoffans a été érigée en l'honneur des libérateurs[24].

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

 
Carte départementale représentant en rouge la communauté de communes du Pays de Lure.

La commune fait partie de l'arrondissement de Lure du département de la Haute-Saône[25]. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de la Haute-Saône.

Elle faisait partie de 1801 à 1985 du canton de Lure. Celui-ci a été scindé par le décret du 31 janvier 1985 et la commune rattachée au canton de Lure-Sud[26]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Lure-2.

La commune de Magny-Jobert fait partie du ressort du tribunal d'instance, du conseil de prud'hommes et du tribunal paritaire des baux ruraux de Lure, du tribunal de grande instance, du tribunal de commerce et de la cour d'assises de Vesoul, du tribunal des affaires de Sécurité sociale du Territoire de Belfort et de la cour d'appel de Besançon.

Dans l'ordre administratif, elle relève du Tribunal administratif et que de la cour administrative d'appel de Nancy[27],[28].

Intercommunalité modifier

La commune fait partie de la communauté de communes du pays de Lure (CCPL), intercommunalité créée en 1998 et dont le territoire est progressivement passé de 8 communes à l'origine à 24 communes en 2016.

Liste des maires modifier

 
La mairie.
Liste des maires successifs[29]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1802 1813 Desle François Tourdot    
Les données manquantes sont à compléter.
2001 En cours
(au 2 décembre 2020)
Michel Daguenet UMPLR[30] Agriculteur
Vice-président de la CC du Pays de Lure (2020 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[31],[32], [33]

Population et société modifier

Évolutions démographiques modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[35].

En 2021, la commune comptait 243 habitants[Note 4], en augmentation de 4,29 % par rapport à 2015 (Haute-Saône : −1,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
175194185219215210228229213
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
161166189154166160142149131
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
15213913211812013989100104
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
106103103124164156156169177
2014 2019 2021 - - - - - -
220243243------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

 
Le pôle éducatif des Vosges saônoises.

De manière générale, Palante dépend de l'académie de Besançon. À proximité se trouve le Pôle Éducatif des Vosges Saônoises, co-géré par la communauté de communes Rahin et Chérimont et la communauté de communes du pays de Lure[37]. Cette école primaire publique accueille 160 élèves, mais ne dispose pas de cantine[38],[39].

Pour les niveaux de scolarisation des collégiens et des lycéens, le collège Victor Schœlcher de Champagney et le lycée G. Colomb de Lure seront les établissements privilégiés.

Santé modifier

Il n'existe aucune infrastructure de santé ou de médecins au sein du village, ni dans les communes limitrophes. L'hôpital le plus proche étant celui de Lure, de plus en plus désinvestis par les services publics au profit de celui de Vesoul, il n'est pas exclu qu'à moyen terme, Palante se trouve dans un désert médical, contraignant à la fréquentation des hôpitaux de Belfort, Montbéliard ou Vesoul, accessible entre 30 minutes et une heure en voiture. Par ailleurs, ces hôpitaux fusionnent en 2017 au profit de la nouvelle infrastructure commune du centre hospitalier de Belfort-Montbéliard, située à mi-chemin entre les deux villes, à Trévenans[40].

Services modifier

Hormis les services assurés par la mairie, la commune n'a aucun service public sur son territoire. L'ensemble des services publics sont disponibles à Lure, qui concentre le Pôle emploi, EDF, les impôts, la justice ou la bibliothèque, médiathèque et espace culturels.

Cultes modifier

Le village ne dispose d'aucun lieu de culte et fait partie de la paroisse de Lyoffans, rattachée à l'unité pastorale d'Athesans-Moffans[41], faisant partie du doyenné de Lure, qui dépend de l'archidiocèse de Besançon[42].

Économie modifier

Le village dépendant économiquement des deux centres urbains de Lure et de l'agglomération d'Héricourt-Montbéliard. Ces deux pôles offrent de nombreux emplois et sont rapidement accessibles par une voie expresse passant dans ces axes à proximité de Palante.

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Personnalités liées à la commune modifier

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Bibliographie modifier

  : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • L. Suchaux, La Haute-Saône : dictionnaire historique, topographique et statistique des communes du département, (lire en ligne)
  • Jean-Jacques Parietti, Les Houillères de Ronchamp vol. II : Les mineurs, fc culture & patrimoine, (ISBN 978-2-36230-001-1).  

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a b c et d « Carte IGN de Palante » sur Géoportail.
  2. « La dépression sous-vosgienne », sur caue-franche-comte.fr.
  3. [PDF] « Carte du massif des Vosges », sur massif-des-vosges.com.
  4. Édouard Thirria, Manuel à l'usage de l'habitant du département de la Haute-Saône, (lire en ligne), p. 184-185.
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Palante et Étobon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Étobon », sur la commune d'Étobon - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Étobon », sur la commune d'Étobon - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lure », sur insee.fr (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. « Plan Local d'Urbanisme Intercommunal », sur le site de la communauté de communes du pays de Lure, (consulté le ).
  19. « SCOT du pays des Vosges saônoises » [PDF], sur haute-saone.gouv.fr (consulté le ).
  20. a et b « Palante », sur pays-de-lure.fr.
  21. Jean-Jacques Parietti 2010, p. 14.
  22. Jean-Jacques Parietti 2010, p. 15.
  23. Jean-Jacques Parietti 2010, p. 16.
  24. « MAGNY-JOBERT, mon village dans la tourmente (25-27 septembre 1944) par Madame VIllemot, institutrice en poste lors de combats de 1944 - 1DFL »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur 1dfl.fr (consulté le ).
  25. [PDF] « Populations légales en vigueur à compter du 1er janvier 2013 (Arrondissements - cantons - communes) » (consulté le ).
  26. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. « Juridictions de Vesoul », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
  28. « Carte judiciaire »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF], sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
  29. « Les maires de Palante », sur francegenweb.org (consulté le ).
  30. « Départementales 2015: Palante 70 403 », sur Le Monde.
  31. « Michel Daguenet repart », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône,‎ (lire en ligne) « Une hausse de 31 habitants en sept ans. « On a doublé le nombre d’enfants au pôle éducatif » souligne Michel Daguenet, le maire de Palante. C’est acquis, il repart pour un troisième mandat ».
  32. « Liste des maires de la Haute-Saône » [PDF], Liste des maires de la Haute-Saône et des présidents de communautés de communes, Préfecture de la Haute-Saône, (consulté le ).
  33. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. « Peri- et extrascolaire », sur communauté de communes Rahin et Chérimont.
  38. « Ecole primaire publique », sur education.gouv.fr.
  39. « Ecole primaire publique », sur journaldesfemmes.com.
  40. « Trévenans : les urgences du nouvel hôpital sont ouvertes », sur L'Est républicain, (consulté le ).
  41. « Unité pastorale d'Athesans-Moffans »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du diocèse de Besançon (consulté le ).
  42. « Doyenné de Lure »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du diocèse de Besançon (consulté le ).